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Fenêtre sur la Russie
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9.09%ERR16.05.202517:06
Garde du Kremlin: exemple d’endurance et de discipline
L’impressionnante parade de la relève de la garde pédestre et équestre du Kremlin est de retour pour sa 20e saison, débutée fin avril.
📹 Ruptly
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L’impressionnante parade de la relève de la garde pédestre et équestre du Kremlin est de retour pour sa 20e saison, débutée fin avril.
📹 Ruptly
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18.04.202517:06
Moscou revêt ses décorations en prévision de Pâques 2025
📷 Evgueni Biyatov / Sputnik, Iaroslav Tchinguaïev/ Agence Moskva, Kristina Kormilitsyna / Sputnik, Vassili Kouzmitchionok / Agence Moskva
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📷 Evgueni Biyatov / Sputnik, Iaroslav Tchinguaïev/ Agence Moskva, Kristina Kormilitsyna / Sputnik, Vassili Kouzmitchionok / Agence Moskva
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04.05.202519:04
Comment une princesse russe a donné sa vie pour la libération de la France
« Je suis née Russe et j’ai passé la majeure partie de ma vie en France. Je ne trahirai ni ma patrie ni le pays qui m’a accueillie », a déclaré la princesse russe Vera Obolenskaïa, surnommée « Vicky » par les membres de la Résistance française.
Vera est née dans la famille du vice-gouverneur de Bakou, qui faisait alors partie de l'Empire russe. Lorsque la fillette avait 9 ans, son père a pris la décision difficile de quitter son pays natal, devenu méconnaissable à cause des événements de la Révolution de 1917, et de déplacer ses proches en France.
Vera s’est rapidement adaptée à sa nouvelle vie. Dix ans plus tard, il était difficile de la distinguer d’une Française. Passionnée par la mode, la jeune femme travaillait comme mannequin. À l’âge de 26 ans, Vera a épousé le prince Nikolaï Obolenski et a reçu le titre de princesse. Trois ans plus tard, Paris s'est toutefois retrouvée occupée par les troupes de la Wehrmacht.
Sans hésiter, le couple a rejoint les rangs de la Résistance française, notamment l’Organisation civile et militaire. Audacieuse et de sang-froid, Vera est devenue la plus proche collaboratrice de son fondateur, Jacques Arthuys. Vicky recueillait des informations sur les forces d’occupation et aidait les prisonniers de guerre soviétiques, tout en occupant le poste de secrétaire général de l’OCM. La jeune femme avait une capacité étonnante : elle n’avait pas besoin d’écrire les informations pour s’en souvenir pour toujours, ce qui était très utile dans la clandestinité.
Vers l’été 1943, l’Organisation civile et militaire comptait déjà 63 000 personnes dans ses rangs. Cependant, à l’automne, la police allemande a réussi à arrêter l’un des dirigeants de sa branche régionale. Les perquisitions et les arrestations ont commencé. Obolenskaïa est tombée aux mains des nazis, tandis que son mari a été envoyé en camp de concentration.
Lors des interrogatoires menés par les nazis, elle n’a trahi aucun camarade et les Allemands l’ont condamnée à mort, puis l’ont emmenée à la prison de Plötzensee, à Berlin. C’est là que la princesse russe a été décapitée, littéralement trois semaines avant la libération de Paris par les troupes alliées.
Vicky ne dispose pas de tombe, seul un cénotaphe au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois rappelle sa vie et ses exploits.
📷 Maison des Russes à l'étranger Alexandre Soljenitsyne
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« Je suis née Russe et j’ai passé la majeure partie de ma vie en France. Je ne trahirai ni ma patrie ni le pays qui m’a accueillie », a déclaré la princesse russe Vera Obolenskaïa, surnommée « Vicky » par les membres de la Résistance française.
Vera est née dans la famille du vice-gouverneur de Bakou, qui faisait alors partie de l'Empire russe. Lorsque la fillette avait 9 ans, son père a pris la décision difficile de quitter son pays natal, devenu méconnaissable à cause des événements de la Révolution de 1917, et de déplacer ses proches en France.
Vera s’est rapidement adaptée à sa nouvelle vie. Dix ans plus tard, il était difficile de la distinguer d’une Française. Passionnée par la mode, la jeune femme travaillait comme mannequin. À l’âge de 26 ans, Vera a épousé le prince Nikolaï Obolenski et a reçu le titre de princesse. Trois ans plus tard, Paris s'est toutefois retrouvée occupée par les troupes de la Wehrmacht.
Sans hésiter, le couple a rejoint les rangs de la Résistance française, notamment l’Organisation civile et militaire. Audacieuse et de sang-froid, Vera est devenue la plus proche collaboratrice de son fondateur, Jacques Arthuys. Vicky recueillait des informations sur les forces d’occupation et aidait les prisonniers de guerre soviétiques, tout en occupant le poste de secrétaire général de l’OCM. La jeune femme avait une capacité étonnante : elle n’avait pas besoin d’écrire les informations pour s’en souvenir pour toujours, ce qui était très utile dans la clandestinité.
Vers l’été 1943, l’Organisation civile et militaire comptait déjà 63 000 personnes dans ses rangs. Cependant, à l’automne, la police allemande a réussi à arrêter l’un des dirigeants de sa branche régionale. Les perquisitions et les arrestations ont commencé. Obolenskaïa est tombée aux mains des nazis, tandis que son mari a été envoyé en camp de concentration.
Lors des interrogatoires menés par les nazis, elle n’a trahi aucun camarade et les Allemands l’ont condamnée à mort, puis l’ont emmenée à la prison de Plötzensee, à Berlin. C’est là que la princesse russe a été décapitée, littéralement trois semaines avant la libération de Paris par les troupes alliées.
Vicky ne dispose pas de tombe, seul un cénotaphe au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois rappelle sa vie et ses exploits.
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17.04.202515:04
Où mettre l’accent tonique? Parfois, même les Russes sombrent dans la confusion
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18.04.202515:05
« Paskha » n’est pas seulement le nom de Pâques en russe, mais aussi un dessert!
Ce plat sucré à base de fromage cottage a la forme d’une pyramide et est, comme l’on peut s’y attendre, servi sur la table de Pâques.
Les principaux symboles comestibles de Pâques en Russie sont la brioche «koulitch» et les œufs peints. Toutefois, un autre plat est fréquemment cuisiné et apparaît souvent dans les rayons des supermarchés à l’approche de cet événement.
La résurrection du Christ, ou Pâques, est considérée comme la principale fête de l’Église orthodoxe russe (et célébrée plus encore que Noël). En russe, Pâques s’appelle « Пасха » (Paskha). Un dessert à base de tvorog (fromage cottage) sucré avec des raisins secs et des noix (facultatif) porte également ce nom.
La principale différence entre ce plat et le tvorog ordinaire est sa forme. Il se présente comme une pyramide tronquée, qui symbolise le Saint-Sépulcre. Des croix et les lettres « ХВ » (abréviation de « Христос Воскресе », ce qui signifie « le Christ est ressuscité ») sont inscrites sur ses côtés.
Dans cet autre article, retrouvez notre recette de ce délicieux dessert.
📷 Ioulia Bogdanova/Getty Images
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Ce plat sucré à base de fromage cottage a la forme d’une pyramide et est, comme l’on peut s’y attendre, servi sur la table de Pâques.
Les principaux symboles comestibles de Pâques en Russie sont la brioche «koulitch» et les œufs peints. Toutefois, un autre plat est fréquemment cuisiné et apparaît souvent dans les rayons des supermarchés à l’approche de cet événement.
La résurrection du Christ, ou Pâques, est considérée comme la principale fête de l’Église orthodoxe russe (et célébrée plus encore que Noël). En russe, Pâques s’appelle « Пасха » (Paskha). Un dessert à base de tvorog (fromage cottage) sucré avec des raisins secs et des noix (facultatif) porte également ce nom.
La principale différence entre ce plat et le tvorog ordinaire est sa forme. Il se présente comme une pyramide tronquée, qui symbolise le Saint-Sépulcre. Des croix et les lettres « ХВ » (abréviation de « Христос Воскресе », ce qui signifie « le Christ est ressuscité ») sont inscrites sur ses côtés.
Dans cet autre article, retrouvez notre recette de ce délicieux dessert.
📷 Ioulia Bogdanova/Getty Images
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09.05.202517:59
Bannière de la Victoire brandie sur des sommets de Iamalie
En prévision des célébration du 80a anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, quelque 80 habitants du District autonome de Iamalo-Nénétsie ont escaladé les monts Lamba-Pe et Poour-Keou pour y déployer des répliques de la bannière de la Victoire.
📷 Ruptly
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En prévision des célébration du 80a anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, quelque 80 habitants du District autonome de Iamalo-Nénétsie ont escaladé les monts Lamba-Pe et Poour-Keou pour y déployer des répliques de la bannière de la Victoire.
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12.05.202517:59
Serguiev Possad, ce joyau de l’Anneau d’or de Russie
Cette ville a été appelée d’après Serge de Radonège, ce saint très vénéré en Russie. Elle dénombre plus de 250 monuments architecturaux, dont l’académie théologique, qui est l’une des plus anciennes institutions éducatives du pays.
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Cette ville a été appelée d’après Serge de Radonège, ce saint très vénéré en Russie. Elle dénombre plus de 250 monuments architecturaux, dont l’académie théologique, qui est l’une des plus anciennes institutions éducatives du pays.
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23.04.202511:04
Ce boxeur français qui a popularisé la savate dans l’Empire russe
« Avec sa jambe, il agit aussi librement qu’avec ses bras », s’est-on étonné à Saint-Pétersbourg à l’arrivée de l’athlète français Ernest Lustallo, en 1897. Auparavant familiers uniquement des combats aux poings et de la boxe anglaise, les habitants de l’Empire russe ont été surpris par les techniques sportives inhabituelles de l’étranger.
Le pays lointain et froid a plu à ce natif du sud de l’Hexagone. Lustallo, qui avait déjà derrière lui une carrière internationale brillante, a décidé d’enseigner la savate aux Russes afin qu’ils puissent apprendre à se battre avec leurs pieds et ne plus être surpris. Il a commencé à entraîner de jeunes sportifs et à organiser des tournois et s’est si bien intégré en Russie impériale qu’il en a même reçu la citoyenneté et s’est appelé à la manière russe : Ernest Ivanovitch.
En réalité, le Français avait d'autres cordes à son arc en plus de la boxe - il savait nager, faire de l’escrime et effectuer des acrobaties à la perfection. On lui attribue le mérite d’avoir formé plusieurs générations de brillants artistes de cirque et les premiers cascadeurs russes.
Lustallo semblait ne connaître aucune peur. Lorsque les bolcheviks sont arrivés au pouvoir, il n’a pas quitté le pays, restant fidèle à sa seconde patrie. Il ne savait pas que des temps difficiles attendaient la savate en URSS : au milieu des années 1920, ce sport a été interdit en raison de sa nature bourgeoise et n’a été à nouveau reconnu qu’après une série de combats de démonstration organisés par les disciples du Français.
Lustallo est décédé en 1931 à Leningrad (Saint-Pétersbourg à l’époque soviétique) alors qu’il se rendait à son travail. Or, même après sa mort, il a continué à servir la Russie - son squelette est toujours conservé au Musée d’anatomie de l’Université d’éducation physique Lesgaft à Saint-Pétersbourg.
📷 Domaine public
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« Avec sa jambe, il agit aussi librement qu’avec ses bras », s’est-on étonné à Saint-Pétersbourg à l’arrivée de l’athlète français Ernest Lustallo, en 1897. Auparavant familiers uniquement des combats aux poings et de la boxe anglaise, les habitants de l’Empire russe ont été surpris par les techniques sportives inhabituelles de l’étranger.
Le pays lointain et froid a plu à ce natif du sud de l’Hexagone. Lustallo, qui avait déjà derrière lui une carrière internationale brillante, a décidé d’enseigner la savate aux Russes afin qu’ils puissent apprendre à se battre avec leurs pieds et ne plus être surpris. Il a commencé à entraîner de jeunes sportifs et à organiser des tournois et s’est si bien intégré en Russie impériale qu’il en a même reçu la citoyenneté et s’est appelé à la manière russe : Ernest Ivanovitch.
En réalité, le Français avait d'autres cordes à son arc en plus de la boxe - il savait nager, faire de l’escrime et effectuer des acrobaties à la perfection. On lui attribue le mérite d’avoir formé plusieurs générations de brillants artistes de cirque et les premiers cascadeurs russes.
Lustallo semblait ne connaître aucune peur. Lorsque les bolcheviks sont arrivés au pouvoir, il n’a pas quitté le pays, restant fidèle à sa seconde patrie. Il ne savait pas que des temps difficiles attendaient la savate en URSS : au milieu des années 1920, ce sport a été interdit en raison de sa nature bourgeoise et n’a été à nouveau reconnu qu’après une série de combats de démonstration organisés par les disciples du Français.
Lustallo est décédé en 1931 à Leningrad (Saint-Pétersbourg à l’époque soviétique) alors qu’il se rendait à son travail. Or, même après sa mort, il a continué à servir la Russie - son squelette est toujours conservé au Musée d’anatomie de l’Université d’éducation physique Lesgaft à Saint-Pétersbourg.
📷 Domaine public
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11.05.202517:05
Une île merveilleuse aux confins de la Russie
Sakhaline ne se résume pas aux délicieux fruits de mer. Ici, vous pouvez faire du surf, rencontrer de charmants phoques, escalader le cap Aniva abritant un phare homonyme ou tout simplement vous balader le long de la côte en profitant de la brise fraîche et de vues imprenables !
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Sakhaline ne se résume pas aux délicieux fruits de mer. Ici, vous pouvez faire du surf, rencontrer de charmants phoques, escalader le cap Aniva abritant un phare homonyme ou tout simplement vous balader le long de la côte en profitant de la brise fraîche et de vues imprenables !
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05.05.202513:02
Recette russe ancienne de sauce au rutabaga, accompagnement unique pour vos viandes
Le rutabaga est une plante pratiquement oubliée en Russie aujourd’hui, mais ce légume-racine était néanmoins largement utilisé dans la cuisine nationale avant l’émergence des pommes de terre. Le rutabaga ressemble et a la même saveur qu’un navet, mais il est beaucoup plus nutritif.
Autrefois, les Russes en préparaient ce que l’on appelait les « parenki » (du verbe « parit’ », cuire à la vapeur). Il s’agit de morceaux de rutabaga, mijotés longuement dans des marmites en fonte au poêle et sans ajout d’eau. Dans certaines régions de Russie, par exemple, en Oudmourtie, le rutabaga est également utilisé comme base pour les garnitures de tartes.
Nous vous proposons de rendre hommage à ce légume-racine en vous tournant vers la recette d’une sauce tirée du Livre de la nourriture saine et savoureuse, très populaire auprès des ménagères soviétiques.
Ingrédients :
🔸300g de rutabaga
🔸1 cuillère à soupe de sucre
🔸2 cuillères à soupe de beurre
🔸1 œuf
🔸1 citron
Préparation :
🔸Épluchez le rutabaga, faites-le bouillir et râpez-le.
🔸Ajoutez le sucre et le beurre et faites cuire jusqu’à ce que le mélange soit épais.
🔸Laissez refroidir le mélange obtenu, ajoutez 1 blanc d’œuf et battez le tout jusqu’à ce qu’il soit mousseux.
🔸Ajoutez le jus et le zeste de citron.
🔸Servez la sauce avec des viandes frites ou mijotées, de la volaille sauvage ou domestique.
📷 freepik.com
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Le rutabaga est une plante pratiquement oubliée en Russie aujourd’hui, mais ce légume-racine était néanmoins largement utilisé dans la cuisine nationale avant l’émergence des pommes de terre. Le rutabaga ressemble et a la même saveur qu’un navet, mais il est beaucoup plus nutritif.
Autrefois, les Russes en préparaient ce que l’on appelait les « parenki » (du verbe « parit’ », cuire à la vapeur). Il s’agit de morceaux de rutabaga, mijotés longuement dans des marmites en fonte au poêle et sans ajout d’eau. Dans certaines régions de Russie, par exemple, en Oudmourtie, le rutabaga est également utilisé comme base pour les garnitures de tartes.
Nous vous proposons de rendre hommage à ce légume-racine en vous tournant vers la recette d’une sauce tirée du Livre de la nourriture saine et savoureuse, très populaire auprès des ménagères soviétiques.
Ingrédients :
🔸300g de rutabaga
🔸1 cuillère à soupe de sucre
🔸2 cuillères à soupe de beurre
🔸1 œuf
🔸1 citron
Préparation :
🔸Épluchez le rutabaga, faites-le bouillir et râpez-le.
🔸Ajoutez le sucre et le beurre et faites cuire jusqu’à ce que le mélange soit épais.
🔸Laissez refroidir le mélange obtenu, ajoutez 1 blanc d’œuf et battez le tout jusqu’à ce qu’il soit mousseux.
🔸Ajoutez le jus et le zeste de citron.
🔸Servez la sauce avec des viandes frites ou mijotées, de la volaille sauvage ou domestique.
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10.05.202517:59
Koulikovo, ce champ d’importance historique
En 1380, ce champ a été le théâtre d’une bataille historique entre les troupes de Dmitri Donskoï et celles du khan Mamaï. La défaite de la Horde d’Or a marqué le début de la libération de la Russie du joug tataro-mongol. Aujourd’hui, ce site abrite un musée ainsi que plusieurs monuments commémoratifs et églises.
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En 1380, ce champ a été le théâtre d’une bataille historique entre les troupes de Dmitri Donskoï et celles du khan Mamaï. La défaite de la Horde d’Or a marqué le début de la libération de la Russie du joug tataro-mongol. Aujourd’hui, ce site abrite un musée ainsi que plusieurs monuments commémoratifs et églises.
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09.05.202506:59
15.05.202515:05
Vues panoramiques de Sakhaline
Cette île de l’Extrême-Orient russe vous inspire où que vous y jetiez le regard.
📹 @smotri_65
Cette île de l’Extrême-Orient russe vous inspire où que vous y jetiez le regard.
📹 @smotri_65


10.05.202511:04
Tchak-tchak, la plus célèbre des pâtisseries tatares
Cette douceur originaire de la République du Tatarstan est populaire aux quatre coins de la Russie. Il s’agit en effet de petits morceaux de pâte croustillante frits et généreusement imbibés de sirop de miel.
Son nom se traduit du tatar comme « petit » ou « un petit peu », un possible écho aux morceaux composant ce mets. D’autres estiment que le nom « tchak-tchak » renvoie au bruit d’un couteau tranchant une pâte croustillante.
Une belle légende entoure son origine. D’après elle, le khan tatar aurait demandé à ses chefs de préparer un nouveau dessert à l’occasion du mariage de son fils. D’une longue liste de douceurs, il aurait choisi le tchak-tchak. Il est donc perçu comme un dessert rituel, préparé pour les grandes fêtes et les mariages. Aujourd’hui, l’on en trouve dans toutes les épiceries russes.
Attention! Ce plat est tellement bon qu’il provoque une addiction 😉!
La recette est disponible ici ⛓️
📷 Andrei Efimov/500px/Getty Images
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Cette douceur originaire de la République du Tatarstan est populaire aux quatre coins de la Russie. Il s’agit en effet de petits morceaux de pâte croustillante frits et généreusement imbibés de sirop de miel.
Son nom se traduit du tatar comme « petit » ou « un petit peu », un possible écho aux morceaux composant ce mets. D’autres estiment que le nom « tchak-tchak » renvoie au bruit d’un couteau tranchant une pâte croustillante.
Une belle légende entoure son origine. D’après elle, le khan tatar aurait demandé à ses chefs de préparer un nouveau dessert à l’occasion du mariage de son fils. D’une longue liste de douceurs, il aurait choisi le tchak-tchak. Il est donc perçu comme un dessert rituel, préparé pour les grandes fêtes et les mariages. Aujourd’hui, l’on en trouve dans toutes les épiceries russes.
Attention! Ce plat est tellement bon qu’il provoque une addiction 😉!
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09.05.202514:59
En quoi l’aigle bicéphale des armoiries russes se distingue-t-elle des autres?
L’aigle bicéphale comme figure héraldique apparut en Russie il y a plus de cinq cents ans. La Russie n’est pas le seul pays européen dont elle est l’emblème.
Aigle russe
L’aigle bicéphale russe trouve son origine à Constantinople. On la connaît en Moscovie depuis le règne d’Ivan III (1440-1505) dont la seconde femme, Sophie Paléologue (vers 1455-1503), était une des nièces du dernier empereur byzantin Constantin XI Paléologue (1405-1453). Ce symbole héraldique, sur lequel les deux têtes sont couronnées, était gravé sur le sceau d’Ivan III dit de 1497. L’orbe et le sceptre apparurent pour la première fois entre les serres de l’aigle sur le sceau du tsar Alexeï Mikhaïlovitch (1629-1676) dit de 1654.
En 1923 fut présenté le blason de la toute jeune URSS : deux gerbes de blé entourent un globe terrestre surmonté d’une étoile rouge et frappé d’une faucille et d’un marteau.
Soixante-dix ans plus tard, l’aigle bicéphale fut choisie pour emblème de la Fédération de Russie. Evgueni Oukhnalev (1931-2015), peintre en chef du musée de l’Ermitage, dessina les armoiries du pays en s’inspirant de l’aigle de la Russie impériale. Les têtes de l’aigle sont, l’une, orientée vers l’Est et, l’autre, vers l’Ouest. Elles symbolisent la puissance. Les couronnes sur les deux têtes du rapace et en chef sont le symbole de la souveraineté du pays et de ses composantes. L’orbe et le sceptre sont celui de l’unité de l’État. Le cavalier terrassant le dragon figure la victoire sur le mal et la défense du pays.
Plus de détails, en suivant ce lien ⛓️
📷 ilkercelik / Getty Images
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L’aigle bicéphale comme figure héraldique apparut en Russie il y a plus de cinq cents ans. La Russie n’est pas le seul pays européen dont elle est l’emblème.
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L’aigle bicéphale russe trouve son origine à Constantinople. On la connaît en Moscovie depuis le règne d’Ivan III (1440-1505) dont la seconde femme, Sophie Paléologue (vers 1455-1503), était une des nièces du dernier empereur byzantin Constantin XI Paléologue (1405-1453). Ce symbole héraldique, sur lequel les deux têtes sont couronnées, était gravé sur le sceau d’Ivan III dit de 1497. L’orbe et le sceptre apparurent pour la première fois entre les serres de l’aigle sur le sceau du tsar Alexeï Mikhaïlovitch (1629-1676) dit de 1654.
En 1923 fut présenté le blason de la toute jeune URSS : deux gerbes de blé entourent un globe terrestre surmonté d’une étoile rouge et frappé d’une faucille et d’un marteau.
Soixante-dix ans plus tard, l’aigle bicéphale fut choisie pour emblème de la Fédération de Russie. Evgueni Oukhnalev (1931-2015), peintre en chef du musée de l’Ermitage, dessina les armoiries du pays en s’inspirant de l’aigle de la Russie impériale. Les têtes de l’aigle sont, l’une, orientée vers l’Est et, l’autre, vers l’Ouest. Elles symbolisent la puissance. Les couronnes sur les deux têtes du rapace et en chef sont le symbole de la souveraineté du pays et de ses composantes. L’orbe et le sceptre sont celui de l’unité de l’État. Le cavalier terrassant le dragon figure la victoire sur le mal et la défense du pays.
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