
Fenêtre sur la Russie
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13.05.202518:03
Le cap Kamenny sous la neige
Quand la neige blanchit le cap Kamenny, en Iamalie, il se transforme en un endroit magique. Les falaises blanches et les étendues glacées créent une atmosphère de conte de fées hivernal.
Soleil de minuit et toundra en fleurs : est-ce c’est comme ça que nous imaginons l’Arctique ? Les éditeurs du projet éducatif « Arctic Children » combattent les mythes les plus répandus sur le Grand Nord. Pour en savoir plus arctic-children.com
Quand la neige blanchit le cap Kamenny, en Iamalie, il se transforme en un endroit magique. Les falaises blanches et les étendues glacées créent une atmosphère de conte de fées hivernal.
Soleil de minuit et toundra en fleurs : est-ce c’est comme ça que nous imaginons l’Arctique ? Les éditeurs du projet éducatif « Arctic Children » combattent les mythes les plus répandus sur le Grand Nord. Pour en savoir plus arctic-children.com
13.05.202517:02
Se débarrasser d’un corps par amour, l’acte fou du poète russe Lermontov ❤️
L’on ne sait si c’est en raison de son apparence ou de son caractère, mais le poète russe Mikhaïl Lermontov éprouvait certains problèmes avec les femmes, ce qui lui causait de la peine.
Néanmoins, en 1837, la chance lui a souri : une jeune Géorgienne s’est avérée être plus bienveillante que les beautés mondaines de Saint-Pétersbourg et a répondu à ses tentatives de gagner ses faveurs. Toutefois, elle a immédiatement demandé de lui rendre un petit service : faire sortir de sa maison… la dépouille de son précédent admirateur ! Quoique stupéfait, le jeune poète lui a accordé son assistance et aurait jeté le corps inanimé dans le fleuve Koura.
Il est impossible de confirmer la véracité de cette histoire, mais c’est ce que Lermontov a confié dans une lettre à ses amis. Quelle suite a eu cette relation ? On l’ignore.
📷 Sovetskaïa Rossia, 1987 ; Galerie nationale de Géorgie
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L’on ne sait si c’est en raison de son apparence ou de son caractère, mais le poète russe Mikhaïl Lermontov éprouvait certains problèmes avec les femmes, ce qui lui causait de la peine.
Néanmoins, en 1837, la chance lui a souri : une jeune Géorgienne s’est avérée être plus bienveillante que les beautés mondaines de Saint-Pétersbourg et a répondu à ses tentatives de gagner ses faveurs. Toutefois, elle a immédiatement demandé de lui rendre un petit service : faire sortir de sa maison… la dépouille de son précédent admirateur ! Quoique stupéfait, le jeune poète lui a accordé son assistance et aurait jeté le corps inanimé dans le fleuve Koura.
Il est impossible de confirmer la véracité de cette histoire, mais c’est ce que Lermontov a confié dans une lettre à ses amis. Quelle suite a eu cette relation ? On l’ignore.
📷 Sovetskaïa Rossia, 1987 ; Galerie nationale de Géorgie
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13.05.202515:04
Faits sur la langue russe
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12.05.202517:59
Serguiev Possad, ce joyau de l’Anneau d’or de Russie
Cette ville a été appelée d’après Serge de Radonège, ce saint très vénéré en Russie. Elle dénombre plus de 250 monuments architecturaux, dont l’académie théologique, qui est l’une des plus anciennes institutions éducatives du pays.
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Cette ville a été appelée d’après Serge de Radonège, ce saint très vénéré en Russie. Elle dénombre plus de 250 monuments architecturaux, dont l’académie théologique, qui est l’une des plus anciennes institutions éducatives du pays.
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12.05.202517:03
La Kalmoukie résumée en trois symboles
Cette république est l'un des centres du bouddhisme russe et près de 70% de sa population locale pratiquent cette foi. Voici trois de ses principaux symboles.
❤️ L’adobe d'or du Bouddha Shakyamuni, bâtie en 2005 / Золотая обитель Будды Шакьямуни
Haut de 63 mètres, ce temple bouddhiste est le plus grand en Europe. C’est le 14e Dalaï Lama, Tenzin Gyatso, qui a béni sa construction lors de sa visite en Kalmoukie en 2004. Sous ses voûtes, se dresse une statue de Bouddha haute de 9m, ce qui en fait la deuxième plus grande du Vieux continent.
❤️ Eelian Ovla / Ээлян Овла
Dans la capitale kalmouke Elista, se dresse une statue dédiée à ce conteur et interprète de chansons épiques Djangar. C’est d’après ses paroles que cette œuvre monumentale de la culture kalmouke a été portée sur papier au début du XXe siècle. Aujourd’hui, son village natal d'Iki-Boukhous accueille un musée dédié à sa personne.
❤️ Oulan zala / Улан зала
Ce nom est porté par un gland ou un pompon en fils de soie rouges qui constitue un élément important du couvre-chef masculin kalmouk. C’est lui qui distingue les représentants de ce peuple d’autres ethnies mongoles.
📷 Pavel Sipachev / Getty Images; Legion Media; Erik Romanenko / TASS
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Cette république est l'un des centres du bouddhisme russe et près de 70% de sa population locale pratiquent cette foi. Voici trois de ses principaux symboles.
❤️ L’adobe d'or du Bouddha Shakyamuni, bâtie en 2005 / Золотая обитель Будды Шакьямуни
Haut de 63 mètres, ce temple bouddhiste est le plus grand en Europe. C’est le 14e Dalaï Lama, Tenzin Gyatso, qui a béni sa construction lors de sa visite en Kalmoukie en 2004. Sous ses voûtes, se dresse une statue de Bouddha haute de 9m, ce qui en fait la deuxième plus grande du Vieux continent.
❤️ Eelian Ovla / Ээлян Овла
Dans la capitale kalmouke Elista, se dresse une statue dédiée à ce conteur et interprète de chansons épiques Djangar. C’est d’après ses paroles que cette œuvre monumentale de la culture kalmouke a été portée sur papier au début du XXe siècle. Aujourd’hui, son village natal d'Iki-Boukhous accueille un musée dédié à sa personne.
❤️ Oulan zala / Улан зала
Ce nom est porté par un gland ou un pompon en fils de soie rouges qui constitue un élément important du couvre-chef masculin kalmouk. C’est lui qui distingue les représentants de ce peuple d’autres ethnies mongoles.
📷 Pavel Sipachev / Getty Images; Legion Media; Erik Romanenko / TASS
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12.05.202515:04
Cinq faits méconnus sur le théâtre Bolchoï de Moscou 🎭
Faisant partie des principales cartes postales de la capitale russe, le Bolchoï cache pourtant bien des secrets, dont nous vous révélons quelques exemples sans plus tarder.
Le premier théâtre public de Moscou
Le théâtre Petrovski était le nom du théâtre Bolchoï à la fin du XVIIIe siècle, en raison de son emplacement sur la rue Petrovka. Il est devenu le premier théâtre public de la ville. En plus de la salle de spectacle pouvant accueillir 1 500 personnes, l’on y trouvait des salles pour les bals et les mascarades, ainsi qu’une salle de jeux.
Fondé par un Anglais
L’Anglais Michael Maddox est venu en Russie pour enseigner la physique et les mathématiques au grand-duc Pavel Petrovitch, le futur Paul Ier. Dans son pays, il était devenu célèbre en tant qu’équilibriste et s’était produit avec succès au théâtre Haymarket. Grâce à son amour de la scène, il s’est hissé au rang d’associé du procureur provincial Ouroussov, qui avait le privilège d’organiser des représentations théâtrales, des concerts et des mascarades à Moscou. Plus tard, Maddox a reçu la propriété exclusive de ce droit. Il a donc procédé en 1780 à la construction du premier bâtiment du théâtre sur la Petrovka.
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📷 Panthermedia/Vostock-photo
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Faisant partie des principales cartes postales de la capitale russe, le Bolchoï cache pourtant bien des secrets, dont nous vous révélons quelques exemples sans plus tarder.
Le premier théâtre public de Moscou
Le théâtre Petrovski était le nom du théâtre Bolchoï à la fin du XVIIIe siècle, en raison de son emplacement sur la rue Petrovka. Il est devenu le premier théâtre public de la ville. En plus de la salle de spectacle pouvant accueillir 1 500 personnes, l’on y trouvait des salles pour les bals et les mascarades, ainsi qu’une salle de jeux.
Fondé par un Anglais
L’Anglais Michael Maddox est venu en Russie pour enseigner la physique et les mathématiques au grand-duc Pavel Petrovitch, le futur Paul Ier. Dans son pays, il était devenu célèbre en tant qu’équilibriste et s’était produit avec succès au théâtre Haymarket. Grâce à son amour de la scène, il s’est hissé au rang d’associé du procureur provincial Ouroussov, qui avait le privilège d’organiser des représentations théâtrales, des concerts et des mascarades à Moscou. Plus tard, Maddox a reçu la propriété exclusive de ce droit. Il a donc procédé en 1780 à la construction du premier bâtiment du théâtre sur la Petrovka.
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📷 Panthermedia/Vostock-photo
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12.05.202512:59
Les affiches de guerre soviétiques avaient pour vocation de remonter le moral des soldats pendant la Grande Guerre patriotique. Voici quelques-unes d’entre elles.
📷 Bibliothèque présidentielle Boris Eltsine, Galerie d'art de Perm, Pavel Kuzmichev
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📷 Bibliothèque présidentielle Boris Eltsine, Galerie d'art de Perm, Pavel Kuzmichev
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12.05.202511:05
Que montre Pavel Tchistiakov sur son tableau Sofia Vitovtovna au mariage de son fils Vassili II? 🎨
Les dons de Pavel Tchistiakov (1832-1919) pour la peinture d’histoire furent remarqués alors que le jeune homme étudiait encore à l’Académie des beaux-arts de Saint-Pétersbourg. En 1860, Le Patriarche Hermogène refusant de bénir les Polonais, toile à la composition théâtrale évidente, lui valut la petite médaille d’or. Un an plus tard, sur le thème imposé pour les examens de fin d’études – un épisode dramatique de l’histoire russe du XVe siècle – il présenta un tableau intitulé : La Grande-Princesse Sofia Vitovtovna au mariage du grand-prince Vassili l’Aveugle en 1433 arrache une ceinture ayant appartenu à Dmitri Donskoï de la taille du Prince Vassili le Borgne. Apportons sans plus attendre une précision : en 1433, les deux cousins n’avaient pas encore perdu la vue.
Sofia, fille de Vitovt de Lituanie et femme de Vassili Ier
La grande-princesse Sofia Vitovtovna était la femme du grand-prince de Moscou Vassili Ier, lui-même fils de Dmitri Donskoï. En 1425, à la mort de son mari, elle devint régente de leur fils. Dans les faits, c’était elle qui dirigeait la grande-principauté de Moscou et qui fit tout pour que Vassili II reste sur le trône de son père. Iouri Dmitrievitch, prince de Zvenigorod, un des frères cadets de Vassili Ier, le revendiquait pour lui-même. Mais Sofia obtint des boyards qu’ils reconnaissent son fils comme l’héritier du trône moscovite.
La partie semblait gagner jusqu’à ce que Vassili II ne soit en âge de prendre femme.
Esclandre lors des noces
Au mariage de son cousin, Vassili, l’un des fils de Iouri Dmitrievitch de Zvenigorod, portait une ceinture dorée qui avait été dérobée lors des noces de leur grand-père Dmitri Donskoï. Sofia Vitovtovna entra dans une colère bleue et arracha l’accessoire de la taille du prince. Cette ceinture n’était pas seulement rehaussée de pierres précieuses. Elle était aussi l’un des attributs du pouvoir grand-princier.
Piqué au vif, le jeune prince quitta les festivités et son père déclencha bientôt une guerre contre son neveu qui allait durer une vingtaine d’années. En 1436, Vassili II fit crever un œil à son cousin Vassili. Dix ans plus tard, Dmitri Chemiaka vengea son frère et fit aveugler Vassili II qu’il était parvenu à faire prisonnier.
Le peintre Viktor Vasnetsov était d’avis que le genre de la peinture historique était né en Russie avec ce tableau de Pavel Tchistiakov. Ce dernier fut récompensé de la grande médaille d’or de l’Académie des beaux-arts et reçut une bourse pour poursuivre ses études à l’étranger. L’institution lui acheta cette toile pour la somme importante de huit cents roubles. Depuis 1923, ce tableau est exposé au Musée Russe.
📷 Musée Russe
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Les dons de Pavel Tchistiakov (1832-1919) pour la peinture d’histoire furent remarqués alors que le jeune homme étudiait encore à l’Académie des beaux-arts de Saint-Pétersbourg. En 1860, Le Patriarche Hermogène refusant de bénir les Polonais, toile à la composition théâtrale évidente, lui valut la petite médaille d’or. Un an plus tard, sur le thème imposé pour les examens de fin d’études – un épisode dramatique de l’histoire russe du XVe siècle – il présenta un tableau intitulé : La Grande-Princesse Sofia Vitovtovna au mariage du grand-prince Vassili l’Aveugle en 1433 arrache une ceinture ayant appartenu à Dmitri Donskoï de la taille du Prince Vassili le Borgne. Apportons sans plus attendre une précision : en 1433, les deux cousins n’avaient pas encore perdu la vue.
Sofia, fille de Vitovt de Lituanie et femme de Vassili Ier
La grande-princesse Sofia Vitovtovna était la femme du grand-prince de Moscou Vassili Ier, lui-même fils de Dmitri Donskoï. En 1425, à la mort de son mari, elle devint régente de leur fils. Dans les faits, c’était elle qui dirigeait la grande-principauté de Moscou et qui fit tout pour que Vassili II reste sur le trône de son père. Iouri Dmitrievitch, prince de Zvenigorod, un des frères cadets de Vassili Ier, le revendiquait pour lui-même. Mais Sofia obtint des boyards qu’ils reconnaissent son fils comme l’héritier du trône moscovite.
La partie semblait gagner jusqu’à ce que Vassili II ne soit en âge de prendre femme.
Esclandre lors des noces
Au mariage de son cousin, Vassili, l’un des fils de Iouri Dmitrievitch de Zvenigorod, portait une ceinture dorée qui avait été dérobée lors des noces de leur grand-père Dmitri Donskoï. Sofia Vitovtovna entra dans une colère bleue et arracha l’accessoire de la taille du prince. Cette ceinture n’était pas seulement rehaussée de pierres précieuses. Elle était aussi l’un des attributs du pouvoir grand-princier.
Piqué au vif, le jeune prince quitta les festivités et son père déclencha bientôt une guerre contre son neveu qui allait durer une vingtaine d’années. En 1436, Vassili II fit crever un œil à son cousin Vassili. Dix ans plus tard, Dmitri Chemiaka vengea son frère et fit aveugler Vassili II qu’il était parvenu à faire prisonnier.
Le peintre Viktor Vasnetsov était d’avis que le genre de la peinture historique était né en Russie avec ce tableau de Pavel Tchistiakov. Ce dernier fut récompensé de la grande médaille d’or de l’Académie des beaux-arts et reçut une bourse pour poursuivre ses études à l’étranger. L’institution lui acheta cette toile pour la somme importante de huit cents roubles. Depuis 1923, ce tableau est exposé au Musée Russe.
📷 Musée Russe
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12.05.202509:05
Découvrez les meilleures publications de la semaine dernière :
⭐️ Moscou et d’autres villes russes en prévision du 80e anniversaire de la Victoire
⭐️ Rétrospective de voyages: les aventures d’un Breton en Russie, de l’Arctique à la Sibérie
⭐️ Dix films soviétiques et russes récompensés au festival de Cannes
⭐️ Cinq (nouveaux) faux-amis d’origine française dans la langue russe sur le thème du théâtre
⭐️ Dix livres soviétiques incontournables sur la Seconde Guerre mondiale
⭐️ Ces blogueurs russes faisant la promotion de la vie à la campagne
⭐️ Les quinze plus célèbres citations d’écrivains russes
Fenêtre sur la Russie ❤️
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11.05.202517:05
Une île merveilleuse aux confins de la Russie
Sakhaline ne se résume pas aux délicieux fruits de mer. Ici, vous pouvez faire du surf, rencontrer de charmants phoques, escalader le cap Aniva abritant un phare homonyme ou tout simplement vous balader le long de la côte en profitant de la brise fraîche et de vues imprenables !
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Sakhaline ne se résume pas aux délicieux fruits de mer. Ici, vous pouvez faire du surf, rencontrer de charmants phoques, escalader le cap Aniva abritant un phare homonyme ou tout simplement vous balader le long de la côte en profitant de la brise fraîche et de vues imprenables !
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11.05.202514:59
Dix livres soviétiques incontournables sur la Seconde Guerre Mondiale
Ces œuvres sont depuis longtemps des classiques de la littérature soviétique en langue russe. Si leurs qualités artistiques sont incontestables, elles sont avant tout des nouvelles et romans écrits par des hommes qui avaient participé et été témoins de la Grande Guerre Patriotique. La plupart d’entre elles furent adaptées à l’écran et à la scène.
⭐️ Boris Vassiliev. Ici, les aubes sont calmes
Cinq jeunes femmes, canonnières de DCA, et leur officier font face à des soldats de reconnaissance allemands dans les forêts de Carélie. Privés de liaison avec leur commandement, ils doivent prendre leurs décisions seuls. Le sujet de cette nouvelle est inspiré de l’histoire de soldats qui, sans avoir reçu l’ordre de le faire, résistèrent jusqu’à la mort pour empêcher l’ennemi d’avancer.
Boris Vassiliev était parti sur le front en tant qu’engagé volontaire dès les premiers jours de la guerre. Il y vit la mort de près à plusieurs reprises. Sa nouvelle connut beaucoup de succès. Elle fut adaptée à l’écran en 1972 et en 2015 et au théâtre où elle est régulièrement donnée.
⭐️ Vassili Grossman. Vie et Destin
Ce roman est inspiré de la vie de son auteur. Vassili Grossman fut longtemps correspondant de guerre et fut témoin de la bataille de Stalingrad. Il décrivit la vie en évacuation, les répressions, comment les amis et voisins tournaient le dos aux parents des personnes victimes des répressions. Il vit l’extermination de juifs par les nazis (sa propre mère mourut sous occupation allemande).
L’épopée de Vassili Grossman est aujourd’hui considérée comme le Guerre et Paix du XXe siècle. Mais, à l’époque soviétique, son manuscrit fut confisqué et il fut interdit de publier son texte sous prétexte d’une critique du régime stalinien (et même d’une comparaison entre Joseph Staline et Adolf Hitler). Vassili Grossman avait pu faire parvenir une copie de son manuscrit à l’étranger. Son roman fut édité en Suisse en 1980 et en URSS durant la Perestroïka en 1988.
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📷 Serhii Sobolevskyi/Getty Images
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Ces œuvres sont depuis longtemps des classiques de la littérature soviétique en langue russe. Si leurs qualités artistiques sont incontestables, elles sont avant tout des nouvelles et romans écrits par des hommes qui avaient participé et été témoins de la Grande Guerre Patriotique. La plupart d’entre elles furent adaptées à l’écran et à la scène.
⭐️ Boris Vassiliev. Ici, les aubes sont calmes
Cinq jeunes femmes, canonnières de DCA, et leur officier font face à des soldats de reconnaissance allemands dans les forêts de Carélie. Privés de liaison avec leur commandement, ils doivent prendre leurs décisions seuls. Le sujet de cette nouvelle est inspiré de l’histoire de soldats qui, sans avoir reçu l’ordre de le faire, résistèrent jusqu’à la mort pour empêcher l’ennemi d’avancer.
Boris Vassiliev était parti sur le front en tant qu’engagé volontaire dès les premiers jours de la guerre. Il y vit la mort de près à plusieurs reprises. Sa nouvelle connut beaucoup de succès. Elle fut adaptée à l’écran en 1972 et en 2015 et au théâtre où elle est régulièrement donnée.
⭐️ Vassili Grossman. Vie et Destin
Ce roman est inspiré de la vie de son auteur. Vassili Grossman fut longtemps correspondant de guerre et fut témoin de la bataille de Stalingrad. Il décrivit la vie en évacuation, les répressions, comment les amis et voisins tournaient le dos aux parents des personnes victimes des répressions. Il vit l’extermination de juifs par les nazis (sa propre mère mourut sous occupation allemande).
L’épopée de Vassili Grossman est aujourd’hui considérée comme le Guerre et Paix du XXe siècle. Mais, à l’époque soviétique, son manuscrit fut confisqué et il fut interdit de publier son texte sous prétexte d’une critique du régime stalinien (et même d’une comparaison entre Joseph Staline et Adolf Hitler). Vassili Grossman avait pu faire parvenir une copie de son manuscrit à l’étranger. Son roman fut édité en Suisse en 1980 et en URSS durant la Perestroïka en 1988.
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10.05.202517:59
Koulikovo, ce champ d’importance historique
En 1380, ce champ a été le théâtre d’une bataille historique entre les troupes de Dmitri Donskoï et celles du khan Mamaï. La défaite de la Horde d’Or a marqué le début de la libération de la Russie du joug tataro-mongol. Aujourd’hui, ce site abrite un musée ainsi que plusieurs monuments commémoratifs et églises.
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En 1380, ce champ a été le théâtre d’une bataille historique entre les troupes de Dmitri Donskoï et celles du khan Mamaï. La défaite de la Horde d’Or a marqué le début de la libération de la Russie du joug tataro-mongol. Aujourd’hui, ce site abrite un musée ainsi que plusieurs monuments commémoratifs et églises.
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10.05.202516:59
Incontournable vocabulaire sur le thème du cinéma
Le mois de mai est celui du Festival de Cannes, où de nombreux films soviétiques et russes furent récompensés. À cette occasion, nous vous proposons de réviser le lexique du cinéma.
🔸Кинематограф (kinimatograf) - cinématographie
🔸Фильм (fil’m) – film
🔸Жанр (janre) - genre
🔸Сценарий (stsynariï) – scénario
🔸Сценарист (stsynarist) – scénarist
🔸Сниматься/сняться в фильме (snimat’sia/sniat’sia v fil’me) - tourner dans un film
🔸Режиссёр (rijissior) - réalisateur
🔸Кинотеатр, кинозал (kinotiatr / kinazal) - cinéma / salle de cinéma
🔸Международный кинематографический фестиваль (mijdounarodny kinamatagrafitchesky fistival’) - festival international de cinéma
🔸Жюри (jouri) - jury
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Le mois de mai est celui du Festival de Cannes, où de nombreux films soviétiques et russes furent récompensés. À cette occasion, nous vous proposons de réviser le lexique du cinéma.
🔸Кинематограф (kinimatograf) - cinématographie
🔸Фильм (fil’m) – film
🔸Жанр (janre) - genre
🔸Сценарий (stsynariï) – scénario
🔸Сценарист (stsynarist) – scénarist
🔸Сниматься/сняться в фильме (snimat’sia/sniat’sia v fil’me) - tourner dans un film
🔸Режиссёр (rijissior) - réalisateur
🔸Кинотеатр, кинозал (kinotiatr / kinazal) - cinéma / salle de cinéma
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10.05.202515:04
Comment fonctionnaient les «cuisines de campagne» sur le front de l’Est?
Avez-vous déjà célébré le Jour de la Victoire en Russie? Si c'est le cas, vous avez peut-être remarqué les cuisines de campagne soviétiques placées dans les lieux de rassemblements et de manifestations festives. Installées en mémoire des événements de la Grande Guerre patriotique de 1941-1945, elles attirent des foules, si bien que toute une file d’attente se forme devant leurs chaudières. L'on y sert pourtant de la simple bouillie, ration des soldats d'antan.
Les premières cuisines de campagne semblent être arrivées au pays lors de la Campagne de Napoléon - l'une d'entre elles fait d'ailleurs partie de la collection du Musée de la Guerre patriotique de 1812. Cependant, les habitants de l’Empire russe n’ont pas immédiatement adopté cette invention et les cuisines de campagne ne sont apparues dans l’armée russe qu’à la fin du XIXe siècle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les troupes de chars et de fusiliers motorisés de l’Armée rouge attachaient des remorques spéciales à leurs véhicules, mais l’infanterie et l’artillerie devaient se contenter de cuisines de campagne avec une seule chaudière de type KP-41 et KP-42 tirées souvent par des chevaux. Ce sont elles qui débarquent habituellement dans les rues lors des festivités du 9 mai.
Au front, les repas chauds étaient généralement livrés deux fois par jour – avant l’aube et après le coucher du soleil, afin que la fumée ne révèle pas l’emplacement des unités à l’ennemi. Pendant la journée, les soldats survivaient grâce à des rations sèches et des conserves. La cuisine prenait plusieurs heures et il n'était pas rare que les horaires de service des chefs des unités combattantes de l’armée soient encore plus strictes que celles des soldats réguliers.
Le menu des cuisines de campagne était basé sur le vieux proverbe russe : « Chtchi i kacha pichtchia nacha » (« [La soupe] chtchi et la bouillie sont notre nourriture »). Ainsi, le plat le plus courant des soldats soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale était le koulech, une soupe épaisse à base de millet avec du saindoux et des légumes. De plus, les soldats de l’Armée rouge mangeaient du sarrasin avec de la viande, du makalovka (du verbe « makat’ », « tremper » à base de pain trempé dans de la viande mijotée avec des légumes), le pain de Rjev à base de pommes de terre et de son. Quant aux boissons, les chefs soviétiques ont inventé un thé incroyablement délicieux à base de... carottes frites et du chaga.
Si dans les premières années de la guerre l’approvisionnement de l’Armée rouge et le travail des cuisines de campagne laissaient beaucoup à désirer, au fil du temps la situation s’est considérablement améliorée. À la fin de la guerre, les cuisines de campagne soviétiques nourrissaient déjà non seulement leurs propres soldats, mais aussi les habitants affamés des territoires délivrés des nazis.
📷 Vladimir Grebnev/Sputnik
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Avez-vous déjà célébré le Jour de la Victoire en Russie? Si c'est le cas, vous avez peut-être remarqué les cuisines de campagne soviétiques placées dans les lieux de rassemblements et de manifestations festives. Installées en mémoire des événements de la Grande Guerre patriotique de 1941-1945, elles attirent des foules, si bien que toute une file d’attente se forme devant leurs chaudières. L'on y sert pourtant de la simple bouillie, ration des soldats d'antan.
Les premières cuisines de campagne semblent être arrivées au pays lors de la Campagne de Napoléon - l'une d'entre elles fait d'ailleurs partie de la collection du Musée de la Guerre patriotique de 1812. Cependant, les habitants de l’Empire russe n’ont pas immédiatement adopté cette invention et les cuisines de campagne ne sont apparues dans l’armée russe qu’à la fin du XIXe siècle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les troupes de chars et de fusiliers motorisés de l’Armée rouge attachaient des remorques spéciales à leurs véhicules, mais l’infanterie et l’artillerie devaient se contenter de cuisines de campagne avec une seule chaudière de type KP-41 et KP-42 tirées souvent par des chevaux. Ce sont elles qui débarquent habituellement dans les rues lors des festivités du 9 mai.
Au front, les repas chauds étaient généralement livrés deux fois par jour – avant l’aube et après le coucher du soleil, afin que la fumée ne révèle pas l’emplacement des unités à l’ennemi. Pendant la journée, les soldats survivaient grâce à des rations sèches et des conserves. La cuisine prenait plusieurs heures et il n'était pas rare que les horaires de service des chefs des unités combattantes de l’armée soient encore plus strictes que celles des soldats réguliers.
Le menu des cuisines de campagne était basé sur le vieux proverbe russe : « Chtchi i kacha pichtchia nacha » (« [La soupe] chtchi et la bouillie sont notre nourriture »). Ainsi, le plat le plus courant des soldats soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale était le koulech, une soupe épaisse à base de millet avec du saindoux et des légumes. De plus, les soldats de l’Armée rouge mangeaient du sarrasin avec de la viande, du makalovka (du verbe « makat’ », « tremper » à base de pain trempé dans de la viande mijotée avec des légumes), le pain de Rjev à base de pommes de terre et de son. Quant aux boissons, les chefs soviétiques ont inventé un thé incroyablement délicieux à base de... carottes frites et du chaga.
Si dans les premières années de la guerre l’approvisionnement de l’Armée rouge et le travail des cuisines de campagne laissaient beaucoup à désirer, au fil du temps la situation s’est considérablement améliorée. À la fin de la guerre, les cuisines de campagne soviétiques nourrissaient déjà non seulement leurs propres soldats, mais aussi les habitants affamés des territoires délivrés des nazis.
📷 Vladimir Grebnev/Sputnik
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10.05.202513:04
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