"Si tous les otages ne sont pas libérés d'ici samedi à 12h00, j'annulerai le cessez-le-feu et il faudra laisser l'enfer se déchaîner. Et s'ils ne sont pas tous libérés, tous, et pas au compte-gouttes, pas deux, ni un, ni trois, ni quatre... Samedi. 12h00. Et après, l'enfer va se déchaîner."