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Tout est accompli
05.05.202507:53
Pie XI aurait condamné solennellement le racisme en 1937 avec son encyclique Mit brennender Sorge. C'est faux. Pie XI a pris soin de faire la part des choses. Il condamnait non pas "la race, ou le peuple, ou l'État, ou la forme de l'État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine - toutes choses qui tiennent dans lordre terrestre une place nécessaire et honorable" mais il condamnait "la divinisation" de ces valeurs "par un culte idolatrique", ce qui, rappelons-le en passant, se trouve étre aussi une caractéristique du sionisme. Vers la même époque, un archevêque allemand, Mgr Conrad Gröber, mettait en garde les fidèles contre "l'envahissement de la race par l'étranger" qui peut porter "atteinte à l'essence originelle de notre civilisation. L'afflux de races étrangères (l'immigration excessive) déforme sa nature propre [...] Du fait que chaque peuple assume la responsabilité de son heureux maintien, et que l'apport de sang totalement étranger représente toujours une menace pour le caractère historiquement préservé d'un peuple, il s'ensuit que l'on ne saurait contester à aucun peuple le droit de maintenir l'acquit intégral de sa race ni celui de prendre les mesures qui doivent le lui assurer. La religion chrétienne exige seulement que les moyens appliqués ne contreviennent pas à la loi morale ni à la justice naturelle."

Abbé Rioult, L'Antijudaïsme Chrétien
Il n'y a point de contradiction entre la parole de l'ancienne Écriture : "Vous haïrez votre ennemi" (Lév 19,18), et celle de l'Evangile : "aimez vos ennemis" (Mt 5,44), attendu que tout homme mauvais, en tant qu'il est mauvais, doit pour nous étre un objet de haine et, en tant qu'il est homme, un objet d'amour, en sorte que nous blâmions ce que nous haïssons justement en lui, c'est-à-dire le vice, de manière que ce que nous aimons avec raison en lui, je veux dire, la nature même de l'homme, soit sauvé après que le vice aura été corrigé. Voilà la règle suivant laquelle nous haïrons un ennemi à raison du mal qui se trouve en lui, à raison de son iniquité, et nous aimerons notre ennemi à cause de ce qu'il y a de bon en lui, à cause de la créature sociale et raisonnable, attendu que nous avons la conviction qu'il n'est pas mauvais par le fait de sa nature, mais par le fait de sa propre volonté.

Saint Augustin, Contre Fauste
Aucun prophète n'a prétendu à un autre titre que celui d'humble serviteur de cet Être ; aucun mystique n'a enseigné que les hommes pouvaient obtenir mieux qu'un aperçu de sa gloire ou, plus souvent, de la gloire d'êtres spirituels inférieurs. Jamais aucun mythe n'a fait plus que suggérer la présence du Créateur derrière la création. Non, il n'y a rien de comparable à cette affirmation que le Créateur a participé à la vie quotidienne de l'Empire romain et qu'il a parlé avec des percepteurs et des fonctionnaires en des temps à peine postérieurs aux petits soupers d'Horace. Il n'y a pas d'équivalent non plus au fait que cette affirmation - la plus formidable et la plus saisissante que I'homme ait jamais proférée depuis qu'il parle - ait été fermement énoncée par une civilisation entière pendant plus d'un millénaire.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
21.04.202509:51
Apashe - Catch Me
1. Il fut un temps où le judaïsme était source de bénédiction pour I'humanité parce qu'il préparait et conduisait au Christ, salut de toutes les nations.

2. Mais la plupart des Juifs ont refusé le Messie. Pour s'enfermer dans une auto-adoration et une haine aveuglante des autres, les rabbins ont corrompu le mosaïsme pour lui substituer un talmudisme pervers et dégénéré.

3. Depuis lors, le judaïsme n'est plus qu'une idéologie et une imposture, source de malédictions pour les juifs eux-mêmes et pour I'humanité ensuite.

Avec ce triptyque, la question juive est abordée sous tous ces aspects et avec toutes les nuances requises.

Abbé Rioult, L'Antijudaïsme Chrétien
26.04.202506:13
" Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. "
La civilisation de l'Antiquité était universelle et les hommes ne pensaient pas plus à sa fin qu'à la fin du monde. Ils ne pouvaient pas imaginer un autre ordre qui ne fût en même temps un autre monde. Cette civilisation a disparu, ces paroles n'ont point passé. Dans la longue nuit du Moyen Age, la féodalité était chose si familière qu'aucun homme n'aurait pu s'imaginer sans seigneur, et la religion était si bien liée à la trame de cette tapisserie que nul ne pensait qu'elle s'en dégagerait. Mais la vie populaire du Moyen Age usa puis détruisit la féodalité. Au sein de cette indépendance nouvelle, le premier pouvoir, et le plus fringant, fut la vieille religion. La féodalité disparut et ces paroles ne passèrent point. L'ordre médiéval tout entier, qui offrait à l'homme un univers si complet et si familier, s'affaiblit à son tour. Cette fois on pensa bien que ces paroles trépasseraient. Elles franchirent le rayonnant abîme de la Renaissance et, en un demi-siècle, dans leur lumière et par leur puissance, on vit surgir de nouveaux fondements de la religion, une nouvelle apologétique, de nouveaux saints. On crut enfin que la foi s'évanouirait devant la sèche raison du Siècle des Lumières, puis que les cataclysmes de l'Age des Révolutions I'engloutiraient. La science l'expliqua, ce qui ne l'empêcha pas d'exister. L'histoire l'enterrait dans le passé quand, soudain, elle réapparut comme l'avenir. Elle est aujourd hui sur notre chemin et se développe sous nos yeux.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
24.04.202515:00
L'Église a réponse à tout, connaît le secret du monde et de la vie elle-même. A côté d'elle, toutes les autres réponses se révèlent insuffisantes et bornées - je ne dis pas cela par goût de la rhétorique, mais parce que c'est un fait réel et un réel dilemme. Où est l'Enfant Jésus dans le stoïcisme et le culte des ancêtres? Où est Notre-Dame des musulmans, la femme qui ne connaît point d'homme et règne sur les anges? Où est saint Michel des moines bouddhiques, héraut et chevalier, gardien en chaque soldat de l'honneur des armes? Qu'aurait fait saint Thomas de la mythologie brahmanique, lui qui a entrepris de rassembler toute la science, la rationalité et même le rationalisme du christianisme ? Si nous comparons l'Aquinate avec Aristote , l'autre pôle de la raison, nous aurons encore le sentiment d'un achèvement, Saint Thomas pouvait comprendre Aristote dans ses raisonnements les plus serrés ; il n'est pas sûr qu'Aristote aurait compris les passages mystiques de saint Thomas. Alors que nous hésitons à dire le chrétien plus grand, nous voyons bien que ses vues sont plus amples. Il en va de même si nous nous tournons vers les philosophies et les hérésies du monde moderne. [...]
Les théosophes construisent un panthéon et convoquent un parlement des religions afin de rapprocher les peuples : ils n'obtiennent qu'un rassemblement de cuistres. L'entreprise n'est pas nouvelle.Il y a deux mille ans, sur les rivages de la Méditerranée, un autre panthéon avait ouvert ses portes aux chrétiens, cordialement invités à dresser une statue de Jésus à côté des images de Jupiter, de Mithra, d'Osiris, d'Atis ou d'Ammon. Leur refus est un moment crucial de l'histoire. S'ils avaient accepté, c'en aurait été la fin. Ils auraient rejoint la formidable marmite où mijotaient déjà, au feu d'une corruption universelle, tant de mythes et de mystères. Ce fut une grande épreuve d'échapper à ce monstrueux chaudron. Nul ne peut comprendre le mystère de l'Église, nul n'est au diapason de la foi des premiers âges, s'il ne mesure que la tolérance sans limite et la fraternisation générale des religions mirent alors le monde au bord du gouffre.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
22.04.202507:31
A Ville-Neuve, que les Romains nommaient Carthage, comme en Phénicie, le dieu qui faisait marcher les affaires s'appelait Moloch - le même, peut-être que nous trouvons ailleurs sous le nom de Baal, le Seigneur. Les Romains d'abord ne surent quel nom donner à ce dieu ni ce qu'ils devaient en penser ; il leur fallut remonter jusqu'au plus fruste de leurs anciens mythes pour y trouver une comparaison avec Saturne dévorant ses propres enfants. Mais les adorateurs de Moloch n'étaient ni frustes ni primitifs : parvenue à maturité, leur civilisation, beaucoup plus raffinée que celle des Romains, abondait en plaisirs délicats. Et Moloch n'était pas un mythe - son repas, du moins, n'était pas mythique : en effet, ces gens si raffinés se réunissaient pour appeler les bénédictions du ciel sur leur empire en jetant par centaines leurs petits enfants au feu. [...] Lorsqu'elle s'installa en Espagne. Rome se trouva prise entre les mâchoires d'une tenaille qui l'aurait broyée, s'il avait été dans sa nature d'être broyée - ce qu'elle fut pratiquement, le fait vaut d'être souligné. Sil n'y avait eu en jeu que les facteurs matériels, l'affaire se serait terminée comme les Carthaginois l'escomptaient manifestement. On reproche communément aux Romains d'avoir refusé de faire la paix, un instinct profond les avertissait que la paix était impossible avec de tels adversaires. Ce fut le meilleur paganisme qui l'emporta sur l'or de Carthage, ce fut le meilleur qui porta les lauriers romains. Si l'on considère les choses sur une très vaste échelle, le monde n'avait jamais rien vu d'aussi bon que l'empire qui sétendit de I'Écosse à l'Euphrate.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
Par I'affirmation fondamentale que l'homme est un animal politique, Aristote a confondu une fois pour toutes les anarchistes et autres adeptes de la vie naturelle. Platon a anticipé le réalisme catholique en lutte contre le nominalisme hérétique, en affirmant, notion essentielle, que les idées sont des réalités. Non content de leur attribuer une existence aussi réelle que la nôtre, Platon a parfois donné l'impression que les idées étaient plus réelles que les hommes, et que ceux-ci devaient, en cas de conflit, leur être sacrifiés. Si grand qu'il soit, sa conception d`un citoyen fait sur mesure pour la cité fait de lui le père de tous les idéologues, Aristote a mieux pressenti l'équilibre sacramentel qui combine la matière et l'esprit, il a su considérer à la fois la nature de l'homme et celle de la pensée : les yeux, pour lui, comptent autant que la lumière.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
03.05.202509:52
Voilà deux mille ans, depuis le sacrifice du Christ, que les juifs sont sans Temple, sans culte, sans sacerdoce, sans sacrifice... Bref sans religion, sans la possibilité de suivre les préceptes de la loi donnée par Dieu à Moïse, car toute la vie religieuse juive était centrée et dépendait du temple et du tabernacle. "Les synagogues juives n'ont jamais été des temples. La synagogue a existé longtemps, concurremment avec le Temple, sans qu'aucun Juif ait jamais pris le change, sur leur essentielle et absolue différence. [...] La synagogue est, principalement et nécessairement, une chaire d'enseignement religieux. Le rabbin est un professeur de théologie et à l'occasion, un casuiste ; quelquefois, un juge de paix ; mais son rôle s'arrête là."* Or Moïse a vécu au XIVe siècle avant J.C. Pendant 1400 ans la religion juive a pu exercer son culte. Mais depuis I'an 70, ce culte juif a cessé. 1400 ans de culte contre près de 2000 ans d'impossibilité de culte... L'interruption est donc plus longue que la durée même du mosaïsme. Donc, de deux choses I'une : ou Dieu demande l'impossible aux Juifs, ou leur loi est abrogée.


*R.P.Constant, Les Juifs devant l'Eglise et l'histoire
Abbé Rioult, L'Antijudaïsme Chrétien
29.04.202503:41
Mais cette folie s'est révélée saine d'esprit. Dans un monde qui perdait la raison, elle a gardé la sienne. L'asile de fous est resté, siècle après siècle, la maison où les hommes n'ont cessé de revenir comme chez eux. L'énigme se perpétue. Quoique d'apparence extraordinaire et abrupte, cette maison passe toujours pour agréable et accueillante. Le sceptique peut bien trouver mon histoire extravagante, je ne vois pas comment une tour si audacieuse aurait pu s'élever d'âge en âge sans fondations. Je vois moins encore comment elle serait devenue ce qu'elle est - un foyer. Aurait-elle disparu qu'elle aurait pu rester dans nos mémoires et s'expliquer comme l'ultime sursaut de notre rage d'illusions, mythe ultime d'un âge finissant, où la pensée, heurtant le ciel, aurait volé en éclats. Mais cette dislocation n'a pas eu lieu. Dans l'incessant démantèlement du monde, seule sa pensée demeure inentamée. S'il s'agissait d'une erreur, il semble qu'elle aurait disparu dans la journée. S'il s'agissait d'une crise d'exaltation, il ne semble pas qu'elle aurait duré plus d'une heure. Or elle est là depuis bientôt deux mille ans, et là où son influence s'est fait sentir, le monde a été plus équilibré, plus raisonnable dans ses espoirs, plus sain dans ses instincts, plus ferme et plus joyeux en face de son destin et de la mort. Car elle est l'âme de la chrétienté, engendrée par l'inimaginable Envoyé de Dieu, et cette âme, c'est le bon sens.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
Les turpitudes produites par l'inversion de l'imagination sont tellement ignobles qu'il n'y aurait pas grand mal à les nommer ici,bien qu'il soit préférable de ne pas en parler : tout est pur aux purs et peu de gens s'y reconnaîtraient. Signalons sans insister la persistance de certaines obsessions inhumaines dans la tradition de la magie noire,par exemple une haine mystique de l'idée d'enfance qui semble inhérente à son existence même. On comprend mieux la fureur populaire contre les sorcières si l'on se souvient que l'un des principaux méfaits qu'on leur imputait était de faire obstacle aux naissances. Les prophètes hébreux luttèrent sans cesse contre les retours d'une idolâtrie meurtrière d'enfants. Il est assez probable que cette abominable apostasie du Dieu d'Israël s'est produite plusieurs fois sous forme de meurtres rituels qui n'étaient pas le fait d'authentiques fidèles du judaïsme,bien entendu,mais de diabolistes isolés et irresponsables qui se trouvaient être juifs.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
25.04.202507:10
La foi catholique rapproche la mythologie et la philosophie parce qu'elle en est I'achèvement. Dans la mesure où elle raconte une histoire, c'est une histoire parmi cent autres, mais vraie. Dans la mesure où elle est une philosophie, c'est une philosophie parmi cent autres, mais vivante. Par-dessus tout, elle institue une entente à laquelle je ne vois pas quel nom donner si ce n'est celui de philosophie des histoires. Le besoin naturel de raconter, qui a donné naissance à tant de contes et de légendes, est négligé par toutes les philosophies sauf une. La foi justifie ce besoin populaire, elle lui propose - ou trouve en lui une finalite philosophique. De même que le héros de la légende doit surmonter certaines épreuves pour sauver sa vie, ainsi l'homme, dans cette philosophie, doit affronter certaines épreuves pour sauver son âme. Il s'agit dans les deux cas d'une volonté libre dont I'exercice est soumis à un dessein général. Autrement dit, il y a un objectif que l'homme doit atteindre et nous regardons dans quelle mesure il l'atteint. Or, si répandu et puissant qu'il soit, ce sens dramatique est maltraité par toutes les autres philosophies. De leur propre aveu, elles finissent comme elles ont commencé, tandis qu'une histoire, par définition, ne finit pas comme elle a commencé : son point de départ n'est pas son point d'arrivée.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
23.04.202508:57
Perdez de vue cette grande vérité et vous aurez une vue faussée de l'histoire. Le pessimisme n'est pas la lassitude du mal, mais la lassitude du bien. Le désespoir ne consiste pas à se fatiguer de la souffrance, mais à se fatiguer de la joie. Une société commence à décliner lorsque, pour une raison ou une autre, rien de ce qui la fait vivre n'opère plus : elle ne profite plus ni de ce qui la nourrissait ni de ce qui la guerissait, et ses prières sont sans ferveur. [...]
Il arriva de fait que, de plus en plus immorale, la poésie mythologique versa dans l'insupportable. Vices grecs, vices orientaux, fantasmes des antiques atrocités des démons sémites, toutes les perversions peuplèrent I'imagination de la Rome décadente comme les mouches bourdonnent sur le fumier. La psychologie de cet effondrement est humaine et bien connue de ceux qui font l'effort de voir l'histoire de l'intérieur. On se lasse de tout. Il vient toujours une heure, à la fin de la journée, où l'enfant en a assez de 'faire semblant' et commence à tourmenter le chat. L'heure sonne de même à l'horloge des empires rassis, où I'homme ne se satisfait plus de sa mythologie, où il ne trouve plus de saveur à se persuader qu'un arbre est une belle fille et que la lune est descendue dans la couche d'un berger. Cette satiété produit partout le même effet : quelle que soit la drogue, on double la dose. L'homme cherche alors des péchés nouveaux et d'inédites obscénités afin d'exciter ses sens émoussés. Il se tourne vers les plus folles superstitions orientales pour tenter de ranimer ses nerfs fatigués, jusqu'à prendre le couteau des prêtres de Baal. A sa marche de somnambule, il cherche une issue dans le cauchemar.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
Le matérialisme historique, selon lequel la morale et la politique sont des produits de l'économie, est une sottise qui consiste à confondre les conditions de la vie avec son objet propre [...] si vous ôtez de l'histoire humaine les explorations et les guerres de religions, qu'en reste-t-il ? L'histoire est façonnée par la volonté de l'homme. Purement économique, l'histoire cesserait d'être l'histoire. [...]
Il y a plus grave, que l'homme ne puisse pas vivre sans pain, n'implique pas qu'il vive seulement de pain. Ce n'est pas sa subsistance qui le préoccupe le plus, mais son existence. Pour une fois où il se représentera clairement ce que lui rapporte son travail et ce que lui coûte sa nourriture, il lui arrivera dix fois de se dire qu'il fait beau, que le monde est bizarre, que la vie vaut d'être vécue, que le mariage n'est pas toujours rose, que les enfants sont gentils mais que sa jeunesse était plus gaie, bref de méditer vaguement sur le mystère de la vie humaine.

G.K.Chesterton, L'Homme Eternel
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