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Jonathan Sturel avatar
Jonathan Sturel
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Jonathan Sturel
09.04.202508:07
Je me suis laissé tenter par la série Chucky, dérivée des films d'horreur où l'on suit les aventures sanguinaires de la poupée tueuse. J'ai noté un ou deux éléments amusants :

Autre temps, autre mœurs : le héros de la série, un jeune homme qui achète la saleté de poupée dans un vide-grenier sans connaître sa véritable identité, est un homo qui accroche des drapeaux LGBT dans sa chambre. Inévitablement, cela donne lieu à quelques scènes paranos où il s'imagine être oppressé du fait de son orientation sexuelle alors qu'objectivement rien dans le comportement des autres ne permet d'en arriver à cette analyse.

Le plus "drôle" vient après, dans l'épisode 2 ou 3 : entre temps, la poupée s'est révélée au personnage en question et ne lui cache pas qu'elle est habitée par l'esprit diabolique du tueur en série vaudou Charles Lee Ray. D'ailleurs, Chucky a tué le père du jeune homme, ce que le jeune homme sait, et maintenant elle le pousse à tuer cette nana qui se moque de lui au collège. Autant dire que notre héros sait qu'il parle à un assassin sans pitié, ce qui ne l'empêche pas de faire copain-copain avec.

Dans une discussion entre la poupée et lui, discussion qui tourne autour du futur assassinat qu'ils projettent de commettre, une énième allusion est faite à la sexualité du héros. Chucky est soupçonné un instant d'... homophobie ! Pensez donc, immédiatement la poupée le rassure et lui dit que son propre fils (visible dans le film Le fils de Chucky) est lui-même... gender-fluid ! Chucky parle comme un woke ! et même lorsqu'on s'attend à tout, je confesse qu'à ça on ne s'attend pas.

Ce n'est pas tout ! Le héros, qui a craint une seconde que son nouvel ami tueur vaudou habité par l'esprit diabolique d'un tueur en série ait assez de cruauté en lui pour être un sale homophobe, lui demande même dans un air de défi : «Quoi ? Ca te dérange que j'en sois ?!»

Et j'ai trouvé ça assez cocasse. Dans son échelle d'évaluation des mauvais comportements, le héros, qui a été capable de sympathiser avec une poupée tueuse, a trouvé dans sa potentielle homophobie une motif de scandale plus grand que lorsqu'il a découvert qu'elle trucidait des gens, y compris son propre père.

La série a été écrite et tournée sous l'ère Biden, lorsque le wokisme était à son apogée. On ne mesure pas encore à quel point cette période a été désastreuse pour la création artistique, et à quel point le wokisme est effectivement un cancer de l'esprit.
Repost qilingan:
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Vers les étoiles
23.03.202516:23
Chers lecteurs,

C'est avec une immense joie que je vous annonce la sortie de mon premier livre, en l'occurrence, un recueil de poèmes :
« Journal d'un Français ».


Cela fait désormais plus de trois ans que je partage avec vous certains de mes écrits. Ce recueil de poèmes inédits est l'aboutissement d'un long travail, en plus de renforcer mon engagement au sein du combat culturel qui, comme vous le savez, est si important.

Mon recueil est d'ores et déjà disponible en pré-vente aux Éditions Saint Barthélémy, que je remercie vivement de leur confiance.

Vous pouvez donc pré-commander mon recueil dès maintenant via le lien suivant :
https://editionssaintbarthelemy.fr/2025/03/20/alexandre-charpentier-journal-dun-francais/

Je vous remercie d'en parler autour de vous et de partager ce message à un maximum de personnes.

Face à l'abaissement généralisé de l'offre culturelle, au reniement de nos racines et au refus de vivre pleinement, nous opposons la France véritable, droite et fière.

J'espère sincèrement que ma modeste pierre à l'édifice saura trouver grâce à vos yeux.

Qui vive ? France !

~ Alexandre Charpentier

@editionssaintbarthelemy
@vers_les_etoiles
@tradwest

@Sentinelle_Invisible
10.03.202510:18
Les journalistes parisiens ont un accès quasi illimité à la salle de presse de l'Élysée, ils approchent, voient, fréquentent, interrogent un Emmanuel Macron omniprésent dans la bulle médiatique où il passe son temps à dévoiler ses merveilleuses stratégies devant les caméras, mais ils seraient malgré cela incapables de comprendre les leviers politiciens de l'opération de communication qu'il est en train de mener ?

Dans le même temps ces mêmes journalistes qui ne voient pas l'éléphant macronien au milieu de la pièce prétendent avoir compris la psychologie, les projets et les intentions d'un Vladimir Poutine lointain et opaque qu'ils n'ont jamais approché de leur vie et dont ils ne parlent pas la langue.

C'est comme si mon voisin Dédé, infoutu d'ouvrir sa boîte aux lettres, prétendait pouvoir décoder la machine Enigma.

Je ne crois pas que mon voisin Dédé soit capable de décoder Enigma, malgré ce qu'il dit, ni que les journalistes parisiens soient capables de comprendre quoi que ce soit aux ramifications réelles de ce qui se passe en ce moment, malgré le ton pédant avec lequel ils le font pourtant.

Mon voisin Dédé est un filou qui veut épater son voisinage, les journalistes de fieffés manipulateurs qui veulent enrôler leur public.

Je fais confiance à mon voisin Dédé uniquement lorsqu'il m'assure qu'il sait ouvrir lui-même sa boîte aux lettres ; quant aux journalistes, je les crois capables de me donner la date et la météo du jour sans trop me mentir, mais pas plus.
12.02.202508:50
Le bruit selon lequel Brigitte Macron serait en fait Jean-Michel Trogneux prend des proportions inattendues maintenant que des influenceurs américains disposant d'audiences phénoménales, notamment Candace Owens, s'emparent du sujet.

Vraie ou fausse, cette histoire est un caillou dans la chaussure de Macron qui se retrouve accusé, en tout cas soupçonné d'être le mari d'un vieux trans fripé de vingt-cinq ans son aîné, autrement dit un milf-feuilles.

Macron martyrise notre pays. Lui et sa clique ont érigé le mensonge, la manipulation et la subversion du réel au rang de modes de gouvernance et il n'y a plus qu'en se servant du mensonge, de la manipulation et de la subversion qu'ils réussissent à retarder l'éclosion en France d'une opposition capable de nous débarrasser de leur secte malfaisante.

Lorsque nous avons l'audace de ne pas fondre d'admiration devant la macronie, nous sommes accusés d'être racistes, fascistes, réactionnaires, antivax, poutinistes, lâches, traîtres, etc. Dans 99% des cas ces accusations sont mensongères et la macronie le sait ; pourtant la macronie ne se prive pas et actionne tous ses réseaux depuis 8 ans pour faire retomber sur les récalcitrants tout le poids de ces injures destinées à leur rendre toute vie sociale impossible et à les faire exclure du périmètre de l'acceptabilité politique.

La politique, c'est l'entrechoquement régulier entre la noblesse d'âme et les coups bas. Les peaux de bananes que l'on jette sous les pieds d'un adversaire font hélas entièrement partie du « jeu », et ce depuis que la politique existe. Chaque génération politique prétend nettoyer les écuries d'Augias et repartir sur des bases nouvelles et saines ; or chaque nouvelle génération use finalement des mêmes techniques que les précédentes dès qu'elle réalise qu'elle y est contrainte par sa propre réalité bassement humaine, avide, ambitieuse et querelleuse.

La génération du macronisme, non contente de faire honneur à cette triste tradition, l'a même banalisée et systématisée à des niveaux qui peut-être n'avaient encore jamais été expérimentés. Tout, absolument tout dans le macronisme est une escroquerie intégrale doublée d'une vilénie permanente.

Lorsqu'on a à ce point banalisé et systématisé le recours au mensonge et à la manipulation pour gouverner, qu'on ne s'étonne pas de recevoir un jour
un peu de la monnaie de sa pièce. Ce qui se retourne contre Macron aujourd'hui, c'est un monstre qu'il nourrit lui-même depuis bientôt dix ans et à qui il doit son ascension politique et son maintien au pouvoir malgré un bilan qui relève du désastre total.

« Justement, nous ne sommes pas comme eux » me répondent mes amis, « nous ne devrions pas nous abaisser à reproduire leurs méthodes ». Oui, certes. Idéalement, en effet. Dans un monde normal, c'est vrai. Mais hélas le corps est malade, rongé par des bactéries qui affectent son fonctionnement et menace de le faire périr définitivement.

Ce que nous devons accepter d'être temporairement, c'est un antibiotique. Un antibiotique, pour empêcher qu'une mauvaise bactérie fasse son mauvais travail, accepte d'être comme elle, c'est-à-dire de faire comme elle, en l'occurrence de l'attaquer avec les mêmes armes qu'elle parce que dans l'écosystème où l'antibiotique et la mauvaise bactérie sont amenés à se rencontrer, il n'y a que ce langage de la confrontation en miroir qui fonctionne.

La politique a été transformée en écosystème sordide, sale, visqueux, par nos adversaires. Ce faisant ils nous obligent pour les combattre à être comme eux, comme un mal nécessaire par lequel il faut passer pour rétablir un microbiote politique et moral sain.

Je n'ai personnellement jamais relayé les informations concernant Brigitte Macron/Jean-Michel Trogneux. Je regarde simplement si ces informations sont susceptibles d'être ce que les mêmes méthodes potentiellement mensongères sont lorsqu'elles sont employées contre nous par la macronie : à savoir des obstacles capables d'entamer une réputation et d'entraver une progression politique.

C'est tout.
Tout est pareil, et pourtant tout a changé.
Marion avorte. Son témoignage se résume à nous raconter qu'elle a mal au ventre, mais pas un mot sur la dimension morale du geste qu'elle est en train d'accomplir et du fait que son mal de ventre s'explique parce qu'elle est en train de détruire son enfant dans son ventre.

L'époque est résumée par ce témoignage : l'avortement est abordé, pratiqué et chroniqué comme une intervention médicale au même titre que des points de suture ou l'extraction par un dermato d'un gros bouton. La seule souffrance qui attire l'attention de Marion, c'est la souffrance physique, et pas une seconde elle n'a l'air de mesurer la portée véritable de ce qu'elle fait.
CYBER ATTAQUE : Des internautes francs-comtois doivent confirmer DEUX fois au lieu d'une qu'ils acceptent les cookies : "probablement" un coup des Russes pour déstabiliser nos démocraties.

Poutine ne recule décidément devant aucun coup bas.
09.03.202511:51
Rendons à César ce qui est à César... Je ne suis pas le dernier à critiquer CNEWS que j'accuse régulièrement d'être faussement courageuse.

Je dois cependant noter et admettre qu'elle est actuellement la seule chaîne sur laquelle on peut entendre qu'Emmanuel Macron est un demi-dingue qui instrumentalise la guerre en Ukraine pour se refaire la cerise et accélérer la mise en place de son obsession européenne.

Pascal Praud, si décevant habituellement, sent lui-même qu'il ne peut pas ne pas dire à voix haute que Macron se fout de nous et que ce à quoi nous assistons relève d'un épisode d'hypnose collective savamment scénarisé par l'équipe de communication du président.

Je me fiche de savoir si Pascal Praud le dit par opportunisme ou pour flatter un segment d'audience ou pour se singulariser par goût de la différence. Ce qu'il dit, même s'il le dit encore trop modérément à mon goût, il faut le dire, il faut absolument le dire, il n'est pas possible de ne pas le dire.
11.02.202507:25
Dans intelligence artificielle, certes il y a intelligence mais il y a aussi artificielle.

Le monde moderne a fait revenir les barbares, c'est-à-dire les ennemis de la civilisation ; c'est-à-dire des gens qui travaillent à inverser les énergies qui bâtissent les nations et renforcent les peuples depuis des millénaires.

Ce faisant, ils permettent la libération de pulsions malsaines, présentes dans l'esprit humain mais enfouies heureusement sous l'épaisse couche de la civilisation qui fait des hommes et des femmes à partir de potentiels barbares.

C'est à ce moment crucial où les barbares sont de plus en plus libérés, où la civilisation est de plus en plus remise en cause, que l'humanité décide de se placer comme un seul homme apparemment sous le patronage d'une autorité qui revendique sa condition artificielle, autorité devenue subitement son nouveau Dieu en même temps que son seul espoir apparent de renaissance.

L'irruption de cette technologie au moment où l'humanité est la moins maîtresse de ses pulsions peut faire craindre le pire. Notamment parce que cette technologie va réussir à amplifier, décupler tous les potentiels, toutes les pratiques, tous les mécanismes logistiques du monde et de son organisation pratique, nous devrions tempérer notre enthousiasme et nous assurer, avant de pouvoir l'exprimer sereinement, que l'humanité est capable de ne pas devenir folle si on met entre ses mains un outil capable à ce point d'amplifier sa folie renaissante.

Pour le moment, tous les gens qui s'émoustillent aujourd'hui devant le Dieu IA sont les mêmes qui ont rendu possible l'abaissement de la civilisation et la résurgence par conséquent des barbares. Je ne peux pas faire semblant de ne pas le remarquer.
Ce qui pourrait décider le système a finalement repêcher le soldat Marine c'est ça : Jordan Bardella fait encore mieux qu'elle dans les différents baromètres.
19.03.202518:29
Vincent Hervouët est, de tous les intervenants de Cnews, le seul qui présente un véritable intérêt intellectuel, le seul que l'on écoute avec plaisir, le seul qui n'est pas un bavard incontinent.

Il m'arrive encore de regarder L'heure des pros, si Hervouët en est, faute de quoi j'éteins la télévision.
12.03.202509:20
Qui se souvient de Jean-Luc Mélenchon ?
14.02.202509:38
L'oligarchie utilise ses réseaux médiatiques pour faire savoir aux citoyens des pays de l'Europe que Vladimir Poutine ambitionne, dans un délai de cinq ans, d'entamer une guerre totale jusqu'en Europe de l'ouest.

On prend soin de préciser que Poutine s'autoriserait cette audace si les États-Unis de Trump prenaient le large et, s'éloignant de l'OTAN, laisseraient l'Europe seule face à l'ogre russe. De cette manière, l'oligarchie cosmopolite parvient à accuser en même temps la Russie de Poutine et l'Amérique de Trump, ses deux ennemis. D'une pierre deux coups !

C'est, à ce jour, le scénario du dernier épisode de la série en cours. Comme dans toutes les séries, l'intensité augmente saison après saison. Le téléspectateur, pardon le citoyen, est prié de croire que cette menace est réelle même si objectivement il ne comprend pas où serait l'intérêt pour la Russie de se lancer dans une guerre à grande échelle contre des dizaines de pays en même temps.

Ce flou fait partie du scénario. Nous sommes dans une série où le méchant fait des trucs de méchants sans que l'on comprenne pourquoi il est aussi méchant. Il est méchant, c'est tout ce que nous avons besoin de savoir, et c'est d'ailleurs pour cela qu'il occupe le rôle du méchant dans la série. On expliquera peut-être dans une prochaine saison pourquoi il est si méchant mais pour le moment, le téléspectateur n'a pas besoin de comprendre : il a seulement besoin d'avoir peur.

Une chose nous étonne cependant : l'Union européenne admet que sans l'Amérique pour lui servir de gilet pare-balles, elle ne peut pas tenir tête à la Russie ; pourtant cette même Union prétend depuis trois ans qu'elle tient la Russie en échec grâce à l'aide qu'elle apporte à l'Ukraine. Je ne comprends pas comment ce conglomérat de nations parvient dans le même temps à tenir en échec la Russie avec simplement de l'aide à distance, tout en déclarant que cette même Russie, qui donc serait tenue en échec, pourrait attaquer frontalement, c'est-à-dire dans une guerre ouverte cette fois, ces nations qui la mettent en échec avec simplement de l'aide à distance.

Il y a comme un nœud dans le scénario à cet endroit précis du récit. Gageons que les scénaristes sauront nous trouver une petite facilité narrative pour débloquer ce dilemme et ainsi faire avancer la série.

🍿
10.02.202506:58
Un parallèle possible entre la situation de Joe Biden et celle de Jean-Luc Mélenchon.

Les deux hommes sont vieux, dépassés par les événements et utilisés par une jeune garde qui a besoin d'avoir des entrées et des accès dans les appareils politiques et institutionnels.

Joe Biden, dès le moment de son élection, était un mort-vivant qui avait déjà perdu le contact avec le réel. Mais sa position de vieux démocrate l'avait fait choisir par les wokistes pour leur servir de cheval de Troie. Derrière Biden, une armée de wokistes s'infiltrait dans l'État et dans les institutions en jouant le jeu politique traditionnel, mais en s'en servant en réalité pour mettre le dernier clou au cercueil d'une certaine Amérique blanche.

La situation est très semblable chez Mélenchon, lui aussi sur la fin, lui aussi dépassé, et lui aussi utilisé par une jeune garde wokiste, indigéniste et revancharde qui l'utilise lui et sa structure politique pour infiltrer l'appareil institutionnel, la coulisse politique, les médias et l'Assemblée.

Mélenchon impressionne les esprits fébriles par sa gouaille, sa grande gueule et ses effets de voix dans les discours. Lui-même doit encore penser qu'il est le gourou qu'il s'imagine être. Or il y a bien longtemps que ce vieux fou est considéré comme tel par une certaine base militante islamo-gauchiste et wokiste qui n'a que faire des coups de menton de ce vieux notable de la politique, de ce pantouflard de la République bourgeoise, de ce multi-retraité qui n'est rien à ses yeux qu'un cheval de Troie dont elle se sert pour avancer ses pions dans les champs de la politique et de la métapolitique.

De l'autre côté de l'Atlantique, l'opération a été à deux doigts de réussir, puis s'est écroulée lorsque les électeurs, réagissant in extremis, ont arrêté la machine infernale qui allait permettre au wokisme d'achever l'Amérique.

Chez nous, la même opération est engagée avec Mélenchon dans le rôle de Biden. Il nous appartient d'organiser son écroulement politique et de le faire de telle sorte qu'il emportera dans sa chute les islamo-gauchistes de l'anti-France, associés temporairement et stratégiquement aux wokistes de l'anti-France pour mettre le dernier clou au cercueil de notre patrie.

Partout les derniers braves doivent joebideniser les séniles qui trahissent leurs pays.
31.03.202512:33
Le système avait deux cordes à son arc pour empêcher l'inévitable accession au pouvoir de Marine le Pen :

- La rendre inéligible.
- La faire assassiner.

Je prétends que le système est capable des deux et que ces deux scénarios ont été très sérieusement étudiés et envisagés.

Aujourd'hui, en faisant le sale boulot, un juge a mis un barbouze au chômage.
Un camarade, ami des belles causes et des bons mots, témoigne en poésie. J'encourage à s'y intéresser, à faire connaître, à acheter et à lire, autant pour l'amour de l'ouvrage bien faite que pour soutenir un compagnon dans sa contribution au sauvetage de notre monde par la Beauté.
17.03.202510:52
Si nous avions dit non au confinement il y a cinq ans, nos maîtres n'oseraient pas aujourd'hui nous maintenir sous leur joug en agitant le chiffon rouge de la guerre pour nous discipliner et nous faire accepter leurs nouvelles folies.

Nous avons dit oui une fois à l'inadmissible, à la peur et à l'arbitraire, maintenant ils rejouent la même scène. Ils ont vu que nous étions faibles et obéissants et cela les a renforcé dans l'idée qu'ils étaient forts et donneurs d'ordres.

En disant oui le 17 mars 2020, nous avons accepté de franchir un cap et nous voilà, depuis cette date particulièrement, dans une interminable réalité parallèle où le raisonnable est écrasé par l'irrationnel.

Dire oui le 17 mars 2020 a enclenché une cascade de mesures objectivement folles, surréalistes, improbables, inexplicables par la raison.

Nous avons laissé nos maîtres nous passer des fers aux pieds, aux mains et à la tête et quoique le confinement en lui-même a finalement pris fin, ses effets psychologiques et politiques sur notre enfermement mental durent toujours.

Le 17 mars 2020 est un moment de bascule considérable dont on n'a pas fini de payer le prix.
Je traduis : Macron prépare l'opinion pour lui faire accepter qu'on ne peut pas laisser Marine le Pen se présenter aux prochaines élections présidentielles.
05.02.202507:59
La grande erreur, volontaire, des «fact-checkers» sauce Mendès France, Rudy Reichstadt, Julien Pain et compagnie, c'est de penser qu'une information n'est vraie que s'ils en ont eux-mêmes connaissance, c'est-à-dire, méthodologiquement, s'ils ont pu en vérifier l'existence dans un document officiel, une note officielle, un communiqué ministériel par exemple.

Tant qu'une chose n'apparaît pas dans ce circuit-ci, ils considèrent que l'information n'est pas exacte.

Ce qui explique que depuis des années, les «fact-checkers» servent à ce point la soupe aux autorités en place puisque leur véritable métier et seul rôle dans la Cité consiste à lire et à approuver automatiquement la communication de ces autorités, avant de leur donner l'onction journalistique destinée à faire passer une décision politique par définition discutable en réalité factuelle par définition indiscutable.

Le fact-checking, qui signifie «la vérification des faits» est donc forcément autre chose que ce que font les peintres cités plus haut. Eux ne font que de la lecture de communiqués officiels, sans vouloir savoir si le contenu de ces communiqués est conforme à la réalité ou non.

Cette façon de faire les conduit inévitablement à passer à coté de tout ce que les autorités en place pourraient être susceptibles de masquer, de cacher, d'oblitérer par intérêts politiques ou pour des raisons stratégiques. Le vrai métier d'un vérificateur devrait être d'éplucher chaque mot, chaque décision d'un pouvoir en place pour aller chercher, dans l'interligne, tout ce que ce pouvoir a dissimulé par intérêts politiques.

Au lieu de cela, non seulement nos célèbres «fact-checkers» ne font pas ce travail mais, plus grave encore, ils accusent quiconque le fait à leur place d'être complotiste, ce qui en quelque sorte boucle la boucle et les installe définitivement dans la sphère d'influence non de la vérité mais des pouvoirs politiques.

Or contrairement à ce que veulent faire croire ces gens : oui les politiques mentent, oui ils dissimulent, oui ils interprètent et oui ils peuvent prendre des décisions en fonction d'inquiétudes tactiques, personnelles, carriéristes ou judiciaires.

Le crime des «fact-checkers» est d'être en partie parvenu à installer une réalité alternative dans laquelle les pouvoirs politiques sont automatiquement disculpés, où ils sont par avance et quoi qu'ils fassent des «diseurs de vérités» dont on ne peut pas douter de la parole, sauf à sombrer dans le complotisme.
Ko'rsatilgan 1 - 24 dan 124
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