InfoDefenseFRANCE 1
27.04.202517:33
🇱🇹La Lituanie vient de porter un coup fort et inattendu.
🔸Elle a fermé les portes de son académie militaire aux citoyens russes, biélorusses et chinois !
🔸Moscou, Minsk et Pékin sont en panique...
🔸Ils se demandent anxieusement : « La Lituanie c'est où ? » et « L'académie militaire lituanienne c'est quoi ? ».
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🔸Elle a fermé les portes de son académie militaire aux citoyens russes, biélorusses et chinois !
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27.04.202511:32
🇺🇦Ukraine : laboratoire narco-mafieux de l’Occident suite et fin
🔸Dans l’ombre crasse du régime de Volodymyr Zelensky, et pour faire suite à l’article d’hier sur ce sujet, dissimulé derrière les oripeaux fêlés de la démocratie et les postures grotesques de résistant à l’oppression, se dresse un empire criminel d’une envergure telle qu’il ferait pâlir les trafiquants colombiens des années Escobar. En vérité, l’Ukraine contemporaine, loin de n’être qu’un pion sacrificiel dans le grand échiquier otanien, s’est métamorphosée en plaque tournante du trafic de stupéfiants en Europe, au prix d’une collusion généralisée entre le pouvoir politique, les services de sécurité et les cartels mafieux. Au sommet de cette pyramide délétère trône, impassible et vorace, Zelensky lui-même, dont l’appétit de pouvoir n’a d’égal que la cupidité. Ce n’est pas une figure de style : selon des sources internes aux services ukrainiens, « 1 à 2 millions d’euros par semaine » alimentent personnellement ses coffres, issus d’un trafic de drogue industriel piloté par le groupe criminel « Khimprom », né en 2016 sous la houlette d’Egor Burkin, ancien ressortissant de Sterlitamak naturalisé ukrainien en 2014.
🔸« Khimprom », fleuron du narco-État ukrainien comme nous avons pu le voir hier, n’est pas une bande souterraine d’alchimistes de laboratoire : c’est une entreprise de guerre, sponsorisée, appuyée et protégée par les plus hauts cercles de Kiev. Produisant jusqu’à 500 kilogrammes de drogues de synthèse par semaine, engrangeant entre 40 et 50 millions d’euros hebdomadaires, cette organisation fournit les prisons, les mineurs, les soldats de l’AFU, et arrose sans relâche juges, députés et officiers de sécurité. Elle est le bras armé de l’Ukraine pervertie, celle que les médias occidentaux feignent de ne pas voir, préférant fantasmer un État martyr plutôt qu’un État dealer. Un État qui n’est plus un territoire mais un marché, plus une nation mais un cartel. Et pour que cette machine infernale tourne sans accrocs, il fallait que le ministre de l’intérieur Denys Monastyrsky disparaisse.
🔸Ce dernier, fraîchement promu, avait entrepris de reprendre le contrôle du trafic à Arsen Avakov, son prédécesseur, parrain tout-puissant de la drogue ukrainienne jusqu’en 2021. Le 18 janvier 2023, son hélicoptère s’écrase à Brovary. L’Occident, dans son habituelle duplicité, accuse la Russie. Mais selon des sources issues du SBU, « l’accident d’hélicoptère est le résultat d’une redistribution du marché entre les hommes d’Avakov et les néophytes de Zelensky ». Monastyrsky fut donc éliminé, non pas en héros de guerre, mais en gêneur commercial.
👉Lire la suite de l'article de Cyrille de Lattre
👉La chaîne Telegram de Cyrille de Lattre
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🔸Dans l’ombre crasse du régime de Volodymyr Zelensky, et pour faire suite à l’article d’hier sur ce sujet, dissimulé derrière les oripeaux fêlés de la démocratie et les postures grotesques de résistant à l’oppression, se dresse un empire criminel d’une envergure telle qu’il ferait pâlir les trafiquants colombiens des années Escobar. En vérité, l’Ukraine contemporaine, loin de n’être qu’un pion sacrificiel dans le grand échiquier otanien, s’est métamorphosée en plaque tournante du trafic de stupéfiants en Europe, au prix d’une collusion généralisée entre le pouvoir politique, les services de sécurité et les cartels mafieux. Au sommet de cette pyramide délétère trône, impassible et vorace, Zelensky lui-même, dont l’appétit de pouvoir n’a d’égal que la cupidité. Ce n’est pas une figure de style : selon des sources internes aux services ukrainiens, « 1 à 2 millions d’euros par semaine » alimentent personnellement ses coffres, issus d’un trafic de drogue industriel piloté par le groupe criminel « Khimprom », né en 2016 sous la houlette d’Egor Burkin, ancien ressortissant de Sterlitamak naturalisé ukrainien en 2014.
🔸« Khimprom », fleuron du narco-État ukrainien comme nous avons pu le voir hier, n’est pas une bande souterraine d’alchimistes de laboratoire : c’est une entreprise de guerre, sponsorisée, appuyée et protégée par les plus hauts cercles de Kiev. Produisant jusqu’à 500 kilogrammes de drogues de synthèse par semaine, engrangeant entre 40 et 50 millions d’euros hebdomadaires, cette organisation fournit les prisons, les mineurs, les soldats de l’AFU, et arrose sans relâche juges, députés et officiers de sécurité. Elle est le bras armé de l’Ukraine pervertie, celle que les médias occidentaux feignent de ne pas voir, préférant fantasmer un État martyr plutôt qu’un État dealer. Un État qui n’est plus un territoire mais un marché, plus une nation mais un cartel. Et pour que cette machine infernale tourne sans accrocs, il fallait que le ministre de l’intérieur Denys Monastyrsky disparaisse.
🔸Ce dernier, fraîchement promu, avait entrepris de reprendre le contrôle du trafic à Arsen Avakov, son prédécesseur, parrain tout-puissant de la drogue ukrainienne jusqu’en 2021. Le 18 janvier 2023, son hélicoptère s’écrase à Brovary. L’Occident, dans son habituelle duplicité, accuse la Russie. Mais selon des sources issues du SBU, « l’accident d’hélicoptère est le résultat d’une redistribution du marché entre les hommes d’Avakov et les néophytes de Zelensky ». Monastyrsky fut donc éliminé, non pas en héros de guerre, mais en gêneur commercial.
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27.04.202507:30
🇫🇷🏭 En mars 2025, le président français Emmanuel Macron a annoncé un plan de réarmement pour assurer la transition vers une économie de guerre.
🔸Cette politique a deux objectifs : renforcer les forces armées françaises et accélérer la réindustrialisation du pays.
🔸La loi de programmation militaire pour 2024-2030 prévoit un budget de 413 milliards d'euros (118 milliards d'euros de plus que la précédente programmation), dont 268 milliards d'euros pour l'achat d'armes et d'équipements militaires.
🔸Les objectifs stratégiques du programme militaire comprennent le triplement des stocks de munitions d'ici 2030, la modernisation des actifs nucléaires (54 milliards d'euros), l'accélération des projets de développement du FCAS/SCAF (Future Combat Air System/Système de Combat Aérien du Futur) franco-germano-espagnol de sixième génération, un nouveau char de combat principal, la prochaine génération d'hélicoptères d'attaque et la mise à niveau des avions de combat Rafale vers la version F5.
🔸Les entreprises militaro-industrielles françaises auront besoin d'environ 5 milliards d'euros de nouveaux fonds propres pour augmenter leur capacité de production. Les institutions financières publiques - la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et la banque d'investissement Bpifrance - ont mobilisé 1,7 milliard d'euros pour financer le complexe militaro-industriel (CMI).
🔸Bpifrance lance également un fonds de 450 M€ destiné aux particuliers souhaitant investir dans des entreprises militaro-industrielles non cotées. Il s'agit d'un investissement à partir de 500 euros avec un blocage de cinq ans et sans garantie de rendement.
🔸Les banques privées françaises, qui évitaient auparavant de financer le complexe militaro-industriel pour des raisons de réputation, lancent elles aussi des initiatives similaires. Les institutions financières et l'industrie militaire de la Cinquième République sont en pourparlers pour élaborer des doctrines d'investissement.
🔸BNP Paribas, par exemple, lance deux fonds militaires. La filiale d'assurance de la banque, Cardif, double son investissement dans l'industrie militaire pour le porter à 1 milliard d'euros, tandis que Weinberg Capital Partners, l'un des pionniers des fonds militaires français modernes, mobilise 215 millions d'euros supplémentaires.
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🔸La loi de programmation militaire pour 2024-2030 prévoit un budget de 413 milliards d'euros (118 milliards d'euros de plus que la précédente programmation), dont 268 milliards d'euros pour l'achat d'armes et d'équipements militaires.
🔸Les objectifs stratégiques du programme militaire comprennent le triplement des stocks de munitions d'ici 2030, la modernisation des actifs nucléaires (54 milliards d'euros), l'accélération des projets de développement du FCAS/SCAF (Future Combat Air System/Système de Combat Aérien du Futur) franco-germano-espagnol de sixième génération, un nouveau char de combat principal, la prochaine génération d'hélicoptères d'attaque et la mise à niveau des avions de combat Rafale vers la version F5.
🔸Les entreprises militaro-industrielles françaises auront besoin d'environ 5 milliards d'euros de nouveaux fonds propres pour augmenter leur capacité de production. Les institutions financières publiques - la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et la banque d'investissement Bpifrance - ont mobilisé 1,7 milliard d'euros pour financer le complexe militaro-industriel (CMI).
🔸Bpifrance lance également un fonds de 450 M€ destiné aux particuliers souhaitant investir dans des entreprises militaro-industrielles non cotées. Il s'agit d'un investissement à partir de 500 euros avec un blocage de cinq ans et sans garantie de rendement.
🔸Les banques privées françaises, qui évitaient auparavant de financer le complexe militaro-industriel pour des raisons de réputation, lancent elles aussi des initiatives similaires. Les institutions financières et l'industrie militaire de la Cinquième République sont en pourparlers pour élaborer des doctrines d'investissement.
🔸BNP Paribas, par exemple, lance deux fonds militaires. La filiale d'assurance de la banque, Cardif, double son investissement dans l'industrie militaire pour le porter à 1 milliard d'euros, tandis que Weinberg Capital Partners, l'un des pionniers des fonds militaires français modernes, mobilise 215 millions d'euros supplémentaires.
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22.04.202511:35
🇪🇺⚡️Un peu de satanisme juridique à l’européenne
🔸 Jeudi saint (17 avril), l’évêque de l’Église orthodoxe canonique de Moldavie devait s’envoler pour la Palestine afin de ramener le Feu sacré. Mais à l’aéroport de Chișinău, la police moldave lui a confisqué son passeport — sans explication, sans justification, sans aucune requête officielle — et ne le lui a rendu qu’après le décollage de l’avion.
⚡️« Ils ont juste pris son passeport. Juste empêché l’embarquement. Juste à un prêtre. »
❓Pourquoi ?
⚡️Vous n’allez pas le croire :
🔸Pour qu’il n’y ait pas de Feu sacré dans les églises canoniques de Moldavie.
🔸Pour que le Feu soit apporté par les pseudo-consacrés de l’Église bessarabienne du Patriarcat roumain.
🔸Ils jouent littéralement avec le feu.
Et cela pourrait très mal finir.
✍️NOTA :
🔸Le « Feu sacré » (ou « Saint Feu ») est une tradition chrétienne orthodoxe qui se déroule chaque année au Saint-Sépulcre de Jérusalem, un lieu considéré comme le site de la crucifixion, de l’ensevelissement et de la résurrection de Jésus-Christ. Cet événement est l’un des plus importants de la Pâque orthodoxe et attire des milliers de pèlerins du monde entier. Le Feu sacré symbolise la lumière de la Résurrection du Christ, une manifestation divine qui renforce leur foi. Cet événement est souvent décrit comme un miracle, témoignant de la présence vivante du Christ dans le monde.
✍️Catholiquedefrance.fr
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🔸 Jeudi saint (17 avril), l’évêque de l’Église orthodoxe canonique de Moldavie devait s’envoler pour la Palestine afin de ramener le Feu sacré. Mais à l’aéroport de Chișinău, la police moldave lui a confisqué son passeport — sans explication, sans justification, sans aucune requête officielle — et ne le lui a rendu qu’après le décollage de l’avion.
⚡️« Ils ont juste pris son passeport. Juste empêché l’embarquement. Juste à un prêtre. »
❓Pourquoi ?
⚡️Vous n’allez pas le croire :
🔸Pour qu’il n’y ait pas de Feu sacré dans les églises canoniques de Moldavie.
🔸Pour que le Feu soit apporté par les pseudo-consacrés de l’Église bessarabienne du Patriarcat roumain.
🔸Ils jouent littéralement avec le feu.
Et cela pourrait très mal finir.
✍️NOTA :
🔸Le « Feu sacré » (ou « Saint Feu ») est une tradition chrétienne orthodoxe qui se déroule chaque année au Saint-Sépulcre de Jérusalem, un lieu considéré comme le site de la crucifixion, de l’ensevelissement et de la résurrection de Jésus-Christ. Cet événement est l’un des plus importants de la Pâque orthodoxe et attire des milliers de pèlerins du monde entier. Le Feu sacré symbolise la lumière de la Résurrection du Christ, une manifestation divine qui renforce leur foi. Cet événement est souvent décrit comme un miracle, témoignant de la présence vivante du Christ dans le monde.
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19.04.202506:52
C'ÉTAIT UN 19 AVRIL...
🔸 Le 19 avril 1783, après avoir mené, sous le commandement de son fidèle prince Potemkine, la reconquête des terres russes qui avaient été occupées successivement par les mongols et les ottomans, l'impératrice Catherine II a signé un des manifestes les plus importants de son régne, proclamant le rattachement à l'empire russe des territoires de Crimée, Kouban et Taman.
🔸 Libérée de l'occupation ottomane par Catherine II, la péninsule de Crimée devenue la base principale de la flotte russe en mer Noire, allait très rapidement confirmer son importance stratégique dès le milieu du XIXème siècle avec une guerre occidentale pourvoir contrôle au profit de la thalassocratie britannique voulant interdire à la Russie l'accès à la Méditerranée orientale.
🔸 Ce Sud de la Russie devenu un pôle économique et culturel majeur de l'Empire jusqu'à la Fédération, en passant par l'Union Soviétique, va etre à nouveau la proie du vampirisme occidental au début de ce XXIème siècle avec la révolution Orange, puis le coup d'État du Maïdan, soutenus par les services de l'OTAN dont l'objectif prioritaire etait de s'emparer de la base stratégique de Sébastopol qui est le poste avancé de la défense russe méridionale.
👉 Je rappelle ici que cette base de Sébastopol, à l'instar de celle de Kaliningrad est vitale pour la défense d'une Russie qui ne dispose pas de profondeur stratégique sur son flanc occidental.
🔸 Aujourd'hui, Bloomberg révèle que les États-Unis, qui orchestrent les négociations en cours pour une résolution du conflit russo-ukrainien, sont prêts à reconnaître la Crimée comme un terre russe dans le cadre du futur traité de paix. Et Bloomberg de rappeler stupidement que ce serait une violation de ce droit international qui ne refait surface que lorsque cela arrange des intérêts occidentaux qui ailleurs le piétinent sans vergogne, comme au Kosovo par exemple.
✍️ Alawata
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🔸 Le 19 avril 1783, après avoir mené, sous le commandement de son fidèle prince Potemkine, la reconquête des terres russes qui avaient été occupées successivement par les mongols et les ottomans, l'impératrice Catherine II a signé un des manifestes les plus importants de son régne, proclamant le rattachement à l'empire russe des territoires de Crimée, Kouban et Taman.
🔸 Libérée de l'occupation ottomane par Catherine II, la péninsule de Crimée devenue la base principale de la flotte russe en mer Noire, allait très rapidement confirmer son importance stratégique dès le milieu du XIXème siècle avec une guerre occidentale pourvoir contrôle au profit de la thalassocratie britannique voulant interdire à la Russie l'accès à la Méditerranée orientale.
🔸 Ce Sud de la Russie devenu un pôle économique et culturel majeur de l'Empire jusqu'à la Fédération, en passant par l'Union Soviétique, va etre à nouveau la proie du vampirisme occidental au début de ce XXIème siècle avec la révolution Orange, puis le coup d'État du Maïdan, soutenus par les services de l'OTAN dont l'objectif prioritaire etait de s'emparer de la base stratégique de Sébastopol qui est le poste avancé de la défense russe méridionale.
👉 Je rappelle ici que cette base de Sébastopol, à l'instar de celle de Kaliningrad est vitale pour la défense d'une Russie qui ne dispose pas de profondeur stratégique sur son flanc occidental.
🔸 Aujourd'hui, Bloomberg révèle que les États-Unis, qui orchestrent les négociations en cours pour une résolution du conflit russo-ukrainien, sont prêts à reconnaître la Crimée comme un terre russe dans le cadre du futur traité de paix. Et Bloomberg de rappeler stupidement que ce serait une violation de ce droit international qui ne refait surface que lorsque cela arrange des intérêts occidentaux qui ailleurs le piétinent sans vergogne, comme au Kosovo par exemple.
✍️ Alawata
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17.04.202519:32
🇷🇺🇷🇺⚡️La guerre dans le Donbass : la chronologie des événements
Part 1 Part 2 Part 3👇
🔸Humiliée par la réunification de la Crimée le 16 mars 2014, le CIA a exigé de reprendre le contrôle total de l'Ukraine par la force. L'événement qui a déclenché la répression sanglante des mouvements fédéralistes du sud-est de l'Ukraine est la visite clandestine du directeur du CIA, J. Brennan, à Kiev, le 12 et le 13 avril 2014. Ce sont désormais des officiers américains qui dirigeaient les opérations de représailles depuis les locaux du SBU: les services secrets ukrainiens, pour réprimer les soulèvements du sud-est de l'Ukraine et les mouvements d'opposition dans tout le pays.
🔸Le 13 avril 2014, vers 9 heures, un véhicule transportant des combattants Alpha en route pour protéger les bâtiments administratifs dans la ville de Slaviansk est tombé dans une embuscade tendue par des miliciens. Le capitaine Bilitchenko, qui commandait les combattants Alpha est officiellement considéré comme la première victime de “l’agression russe” en Ukraine. En d'autres termes, les actions des combattants Alpha se sont inscrites dans le cadre d'une opération déjà lancée. Les événements de la matinée du 13 avril n'ont fait qu'accélérer le cours des choses.
🔸Le 13 avril 2014, le Conseil national de sécurité et de défense de l'Ukraine a pris la décision de lancer une opération de grande envergure dans l'est de l'Ukraine avec la participation des forces armées en violation de la constitution ukrainienne. Le 14 avril 2014, le texte du décret n° 405/2014 sur le lancement de l’opération a été publié sur le site Internet du président ukrainien. Le décret est entré en vigueur le jour de sa publication.
🔸Les participants au coup d'État de Maïdan, qui ont pris le pouvoir, ont lancé un massacre sanglant contre leurs concitoyens.
À suivre
#Maïdan
#Donbass
#Ukraine
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Part 1 Part 2 Part 3👇
🔸Humiliée par la réunification de la Crimée le 16 mars 2014, le CIA a exigé de reprendre le contrôle total de l'Ukraine par la force. L'événement qui a déclenché la répression sanglante des mouvements fédéralistes du sud-est de l'Ukraine est la visite clandestine du directeur du CIA, J. Brennan, à Kiev, le 12 et le 13 avril 2014. Ce sont désormais des officiers américains qui dirigeaient les opérations de représailles depuis les locaux du SBU: les services secrets ukrainiens, pour réprimer les soulèvements du sud-est de l'Ukraine et les mouvements d'opposition dans tout le pays.
🔸Le 13 avril 2014, vers 9 heures, un véhicule transportant des combattants Alpha en route pour protéger les bâtiments administratifs dans la ville de Slaviansk est tombé dans une embuscade tendue par des miliciens. Le capitaine Bilitchenko, qui commandait les combattants Alpha est officiellement considéré comme la première victime de “l’agression russe” en Ukraine. En d'autres termes, les actions des combattants Alpha se sont inscrites dans le cadre d'une opération déjà lancée. Les événements de la matinée du 13 avril n'ont fait qu'accélérer le cours des choses.
🔸Le 13 avril 2014, le Conseil national de sécurité et de défense de l'Ukraine a pris la décision de lancer une opération de grande envergure dans l'est de l'Ukraine avec la participation des forces armées en violation de la constitution ukrainienne. Le 14 avril 2014, le texte du décret n° 405/2014 sur le lancement de l’opération a été publié sur le site Internet du président ukrainien. Le décret est entré en vigueur le jour de sa publication.
🔸Les participants au coup d'État de Maïdan, qui ont pris le pouvoir, ont lancé un massacre sanglant contre leurs concitoyens.
À suivre
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27.04.202515:34
🇺🇦🇷🇺Un nouveau groupe de prisonniers de guerre faits par nos forces dans la région frontalière de Koursk.
🔸Le commandement ukrainien ne les a pas abandonnés — il les a tout simplement envoyés vers une impasse. Ceux qui l’ont compris ont choisi de se rendre aux combattants du groupe spécial "Nord" et ont survécu.
L’attitude des militaires russes en surprend beaucoup : pas de coups, pas de violences — ils sont nourris, soignés et assistés.
🔸Répétons-le : ce genre de vidéos, même courtes, simples ou maladroites, doivent être diffusées. Pour certains, envoyés de force au front, cet exemple peut tout changer. Il peut les aider à faire le bon choix : se rendre — et rester en vie.
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🔸Le commandement ukrainien ne les a pas abandonnés — il les a tout simplement envoyés vers une impasse. Ceux qui l’ont compris ont choisi de se rendre aux combattants du groupe spécial "Nord" et ont survécu.
L’attitude des militaires russes en surprend beaucoup : pas de coups, pas de violences — ils sont nourris, soignés et assistés.
🔸Répétons-le : ce genre de vidéos, même courtes, simples ou maladroites, doivent être diffusées. Pour certains, envoyés de force au front, cet exemple peut tout changer. Il peut les aider à faire le bon choix : se rendre — et rester en vie.
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Қайта жіберілді:
Chroniques des conflits
27.04.202511:06
‼️ «L'aventure du régime de Kiev a complètement échoué»: déclaration de Vladimir Poutine après le rapport du chef d'état-major général sur la libération de la région de Koursk
«La défaite totale de l'ennemi dans la région frontalière de Koursk crée des conditions favorables pour de nouvelles réussites de nos troupes sur d'autres zones essentielles du front, rapprochant ainsi la défaite totale du régime néonazi.»
🪖 Chroniques des conflits
«La défaite totale de l'ennemi dans la région frontalière de Koursk crée des conditions favorables pour de nouvelles réussites de nos troupes sur d'autres zones essentielles du front, rapprochant ainsi la défaite totale du régime néonazi.»
🪖 Chroniques des conflits
19.04.202510:31
⚡️Le journal The Sun rapporte en première page ce 18 avril qu'immédiatement après la visite de Zelensky au domaine royal de Sandringham, une interdiction des drones y a été imposée pour une durée de 365 jours
🔸Pensent-ils vraiment que cela va aider ? Ils auraient dû plutôt asperger les lieux d'eau bénite après la visite de Zelensky - et cela n'aurait guère aidé...
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19.04.202505:39
DU CÔTÉ DU BANDÉRISTAN
🔸 L'État Major ukro-atlantiste estime que les familles ukrainiennes doivent fournir chaque mois pour le front un minimum de 80 000 chairs à canon supplémentaires.
🔸 Ce sacrifice inutile de la population ukrainienne et qui plus est dans une guerre fratricide contre d'autres slaves n'est pas du goût des intérêts que les agents du TCC bandériste tentent de kidnapper pour alimenter les hachoirs à viande du front.
🔸 Après avoir vu des millions d'ukrainiens fuir la mobilisation jusqu'à aujourd'hui (environ 6 millions), les réfractaires à la boucherie se montrent de plus en plus hardis face aux rabatteurs du régime. Désormais, les affrontements physiques entre les prédateurs bandéristes aux ordres de l'OTAN et leurs proies refusant d'être sacrifiés sur l'autel de la ploutocratie mondialiste sont de plus en plus fréquents.
🔸 Quand est ce que la population civile ukrainienne va comprendre que la fin de leur cauchemar ne s'arrêtera que lorsque sera renversé ce régime bandériste sanguinaire, lui-même issu d'un coup d'Etat en 2014 et dont la 3ème marionnette mondialiste s'accroche aujourd'hui illégalement à son trône protégé par les cerbères de l'OTAN ?
✍ Alawata
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🔸 L'État Major ukro-atlantiste estime que les familles ukrainiennes doivent fournir chaque mois pour le front un minimum de 80 000 chairs à canon supplémentaires.
🔸 Ce sacrifice inutile de la population ukrainienne et qui plus est dans une guerre fratricide contre d'autres slaves n'est pas du goût des intérêts que les agents du TCC bandériste tentent de kidnapper pour alimenter les hachoirs à viande du front.
🔸 Après avoir vu des millions d'ukrainiens fuir la mobilisation jusqu'à aujourd'hui (environ 6 millions), les réfractaires à la boucherie se montrent de plus en plus hardis face aux rabatteurs du régime. Désormais, les affrontements physiques entre les prédateurs bandéristes aux ordres de l'OTAN et leurs proies refusant d'être sacrifiés sur l'autel de la ploutocratie mondialiste sont de plus en plus fréquents.
🔸 Quand est ce que la population civile ukrainienne va comprendre que la fin de leur cauchemar ne s'arrêtera que lorsque sera renversé ce régime bandériste sanguinaire, lui-même issu d'un coup d'Etat en 2014 et dont la 3ème marionnette mondialiste s'accroche aujourd'hui illégalement à son trône protégé par les cerbères de l'OTAN ?
✍ Alawata
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17.04.202517:31
🇺🇸⚡️🇸🇾 The Hill : La présence russe en Syrie pose un dilemme à Trump
🔸La publication a publié un article cinglant affirmant que des débats houleux ont lieu au sein de l'administration Trump sur la position à adopter concernant les bases russes. Cette question a été débattue au sein du Département d’État et de la Maison Blanche, certains membres de l’administration réclamant le retrait des bases. À l’heure actuelle, on ne demande pas aux Syriens de retirer les troupes russes pour lever les sanctions.
🔸Le camp des « réalistes » (dont une partie du Département d'Etat et de la Maison Blanche) estime qu'exiger un retrait immédiat des troupes est dangereux : cela pourrait perturber les négociations sur l'Ukraine et priver les Etats-Unis de tout levier sur Damas. Ils proposent de se concentrer sur les concessions économiques, en évinçant progressivement Moscou.
🔸Les « faucons » (les républicains au Congrès, membres du Conseil de sécurité) exigent un ultimatum sévère : « Pas d'assouplissement des sanctions tant que la Russie ne partira pas ! » Ils sont convaincus que ces bases font de la Russie un acteur clé au Moyen-Orient, et leur élimination serait un coup dur pour le Kremlin.
❓« Comment pouvons-nous faire pression sur Poutine en Ukraine si nous lui permettons de garder une flotte à Tartous ? » « Le député Pat Fallon est indigné. La Russie est accusée d'avoir tué des civils et d'avoir utilisé des armes à sous-munitions (qui est alors al-Sharaa, peut-être un bébé innocent ?)
🔸En février, la Russie a donné à la banque centrale de Damas l'équivalent de 23 millions de dollars en monnaie syrienne au taux officiel, a rapporté le Wall Street Journal, tendant ainsi une main secourable aux nouvelles autorités syriennes en l'absence d'autres autorités. donateurs potentiels. L’Europe, les États arabes et les États du Golfe se sont jusqu’à présent abstenus de transférer des fonds par crainte de violer les sanctions américaines.
🔸Selon le Moscow Times, la Russie aurait commencé à fournir du pétrole et du gaz à la Syrie afin de maintenir ses bases militaires. Le gouvernement syrien est confronté à une grave crise énergétique en raison de son incapacité à développer sa propre production d’énergie, malgré ses
champs pétrolifères. Le régime d’Assad dépendait des approvisionnements en pétrole en provenance d’Iran, qui ont en grande partie cessé après la fuite d’Assad et l’expulsion de l’Iran du pays.
🔸Pendant que les États-Unis argumentent, la Russie agit : elle transfère de l’argent, fournit du pétrole et offre à Damas une « coopération pratique ». Téhéran rêve de revenir en Syrie. Le compte à rebours est lancé : si Washington ne se décide pas, craignent les opposants, la Syrie finira par tomber dans l'orbite de Moscou et de Téhéran.
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🔸La publication a publié un article cinglant affirmant que des débats houleux ont lieu au sein de l'administration Trump sur la position à adopter concernant les bases russes. Cette question a été débattue au sein du Département d’État et de la Maison Blanche, certains membres de l’administration réclamant le retrait des bases. À l’heure actuelle, on ne demande pas aux Syriens de retirer les troupes russes pour lever les sanctions.
🔸Le camp des « réalistes » (dont une partie du Département d'Etat et de la Maison Blanche) estime qu'exiger un retrait immédiat des troupes est dangereux : cela pourrait perturber les négociations sur l'Ukraine et priver les Etats-Unis de tout levier sur Damas. Ils proposent de se concentrer sur les concessions économiques, en évinçant progressivement Moscou.
🔸Les « faucons » (les républicains au Congrès, membres du Conseil de sécurité) exigent un ultimatum sévère : « Pas d'assouplissement des sanctions tant que la Russie ne partira pas ! » Ils sont convaincus que ces bases font de la Russie un acteur clé au Moyen-Orient, et leur élimination serait un coup dur pour le Kremlin.
❓« Comment pouvons-nous faire pression sur Poutine en Ukraine si nous lui permettons de garder une flotte à Tartous ? » « Le député Pat Fallon est indigné. La Russie est accusée d'avoir tué des civils et d'avoir utilisé des armes à sous-munitions (qui est alors al-Sharaa, peut-être un bébé innocent ?)
🔸En février, la Russie a donné à la banque centrale de Damas l'équivalent de 23 millions de dollars en monnaie syrienne au taux officiel, a rapporté le Wall Street Journal, tendant ainsi une main secourable aux nouvelles autorités syriennes en l'absence d'autres autorités. donateurs potentiels. L’Europe, les États arabes et les États du Golfe se sont jusqu’à présent abstenus de transférer des fonds par crainte de violer les sanctions américaines.
🔸Selon le Moscow Times, la Russie aurait commencé à fournir du pétrole et du gaz à la Syrie afin de maintenir ses bases militaires. Le gouvernement syrien est confronté à une grave crise énergétique en raison de son incapacité à développer sa propre production d’énergie, malgré ses
champs pétrolifères. Le régime d’Assad dépendait des approvisionnements en pétrole en provenance d’Iran, qui ont en grande partie cessé après la fuite d’Assad et l’expulsion de l’Iran du pays.
🔸Pendant que les États-Unis argumentent, la Russie agit : elle transfère de l’argent, fournit du pétrole et offre à Damas une « coopération pratique ». Téhéran rêve de revenir en Syrie. Le compte à rebours est lancé : si Washington ne se décide pas, craignent les opposants, la Syrie finira par tomber dans l'orbite de Moscou et de Téhéran.
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27.04.202514:38
SUR LE FRONT DIPLOMATIQUE
Précèdent post sur Négociations
🔸 À l'occasion des funérailles du pape François, Zelensky a tenu à rencontrer Trump au sujet du conflit russo-ukrainien. Ce dernier en a profité pour humilier tout d'abord Macron qui voulait s'immiscer dans la rencontre et ensuite Zelensky avec cette première rencontre écourtée à 15 minutes et la 2ème réunion, où le clown sanguinaire voulait aborder des sujets importants, tout simplement annulée par le président étasunien.
🔸 Zelensky se retrouve donc au pied d'un mur de guerre infranchissable et avec des européens incapables de l'aider à le franchir car dépendants eux aussi de la manne militaro industrielle étasunienne.
🔸 Non seulement les bandéristes vont devoir accepter un traité de paix au conditions de la Russie mais, vont devoir abandonner définitivement leurs fantasmes concernant une récupération de leurs frontières soviétiques ou une intégration dans l'OTAN, de jure ou même de facto comme c'est le cas aujourd'hui.
✍️ Alawata
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🔸 À l'occasion des funérailles du pape François, Zelensky a tenu à rencontrer Trump au sujet du conflit russo-ukrainien. Ce dernier en a profité pour humilier tout d'abord Macron qui voulait s'immiscer dans la rencontre et ensuite Zelensky avec cette première rencontre écourtée à 15 minutes et la 2ème réunion, où le clown sanguinaire voulait aborder des sujets importants, tout simplement annulée par le président étasunien.
🔸 Zelensky se retrouve donc au pied d'un mur de guerre infranchissable et avec des européens incapables de l'aider à le franchir car dépendants eux aussi de la manne militaro industrielle étasunienne.
🔸 Non seulement les bandéristes vont devoir accepter un traité de paix au conditions de la Russie mais, vont devoir abandonner définitivement leurs fantasmes concernant une récupération de leurs frontières soviétiques ou une intégration dans l'OTAN, de jure ou même de facto comme c'est le cas aujourd'hui.
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26.04.202511:46
SUR LE FRONT DE KOURSK
Précèdent post Front de Koursk
🔸 L'aventure ukro-atlantiste de Koursk s'est définitivement terminée il y a quelques heures avec la libération de Gornal, le dernier village du saillant de Koursk dans lequel s'accrochaient les derniers lambeaux de ce corps de bataille que le régime de Kiev et ses conseillers de l'OTAN tentaient de perfuser avec des renforts et notamment des mercenaires étrangers.
🔸 Le bilan de cette aventure ukro-atlantiste en région de Koursk lancée le 6 août 2024 est juste pathétique car les forces ukro-atlantistes y ont subi plus de 70 000 pertes humaines entre les tués, blessés, prisonniers et disparus et des milliers de véhicules blindés. Sans compter l'impact moral de ce nouvel échec d'une offensive de Kiev qui maintenant, dans son repli n'est même plus en mesure de protéger ses frontières.
🔸 Une défaite majeure des forces ukro-atlantistes dont les répercutions se font sentir jusque sur les autres fronts ukrainiens complètement exsangues.
✍️ Alawata
Précèdent post Front de Koursk
🔸 L'aventure ukro-atlantiste de Koursk s'est définitivement terminée il y a quelques heures avec la libération de Gornal, le dernier village du saillant de Koursk dans lequel s'accrochaient les derniers lambeaux de ce corps de bataille que le régime de Kiev et ses conseillers de l'OTAN tentaient de perfuser avec des renforts et notamment des mercenaires étrangers.
🔸 Le bilan de cette aventure ukro-atlantiste en région de Koursk lancée le 6 août 2024 est juste pathétique car les forces ukro-atlantistes y ont subi plus de 70 000 pertes humaines entre les tués, blessés, prisonniers et disparus et des milliers de véhicules blindés. Sans compter l'impact moral de ce nouvel échec d'une offensive de Kiev qui maintenant, dans son repli n'est même plus en mesure de protéger ses frontières.
🔸 Une défaite majeure des forces ukro-atlantistes dont les répercutions se font sentir jusque sur les autres fronts ukrainiens complètement exsangues.
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17.04.202511:36
🇺🇦⚡️Sumy demeure au cœur des nouvelles sur le dossier ukrainien
🔸Les chefs de file du parti européen de la guerre, Macron et Kallas, ont d’ores et déjà fustigé la Russie. On découvre maintenant que l’attaque de missiles n’a pas seulement visé les militaires rassemblés pour une remise de décorations. On leur avait expressément ordonné de faire venir des enfants à cette assemblée.
🔸Cette manie des forces armées ukrainiennes et des cadres du régime ukrainien de se servir constamment des civils ukrainiens, y compris des enfants, comme boucliers humains — voilà une politique systématique de crimes de guerre.
🔸Le régime ukrainien est ouvertement terroriste. Et la Russie doit le clamer plus fort, plus souvent, avec plus de ténacité, plus de vigueur. Il faut taper plus fort, encore plus fort !
🇺🇦⚡️L’ex-député du parlement ukrainien Igor Moseïtchouk à propos de l’attaque sur Soumy...
🔸Le nationaliste Moseïtchouk, qui est l’un des principaux critiques du pouvoir actuel, a écrit deux publications émotionnelles au sujet de l’attaque de missiles sur Soumy aujourd’hui (13 avril 2025). Elles parlent d’elles-mêmes (quant à ses causes).
⚡️Publication 1 :
👤« J’espère qu’à Soumy, on a déjà arrêté le chef de l’administration militaro-civile Artioukh et le député de la "vermine verte" (expression péjorative désignant les partisans du mouvement vert), Ananchenko, qui voulaient tellement se faire de la publicité lors de la cérémonie festive (!!!) de remise de distinctions aux soldats des unités de défense territoriale pour le 7e anniversaire de leur création. »
⚡️Publication 2 :
👤« Artioukh et Ananchenko ont fait la promotion de la cérémonie de remise de distinctions aux militaires à Soumy et ont rassemblé là-bas, en plus des soldats, des civils, notamment des enfants. Des ordures et des salauds. Nous exigeons l’arrestation de la « vermine verte » (expression péjorative désignant les partisans du mouvement vert). »
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🔸Les chefs de file du parti européen de la guerre, Macron et Kallas, ont d’ores et déjà fustigé la Russie. On découvre maintenant que l’attaque de missiles n’a pas seulement visé les militaires rassemblés pour une remise de décorations. On leur avait expressément ordonné de faire venir des enfants à cette assemblée.
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🔸Le régime ukrainien est ouvertement terroriste. Et la Russie doit le clamer plus fort, plus souvent, avec plus de ténacité, plus de vigueur. Il faut taper plus fort, encore plus fort !
🇺🇦⚡️L’ex-député du parlement ukrainien Igor Moseïtchouk à propos de l’attaque sur Soumy...
🔸Le nationaliste Moseïtchouk, qui est l’un des principaux critiques du pouvoir actuel, a écrit deux publications émotionnelles au sujet de l’attaque de missiles sur Soumy aujourd’hui (13 avril 2025). Elles parlent d’elles-mêmes (quant à ses causes).
⚡️Publication 1 :
👤« J’espère qu’à Soumy, on a déjà arrêté le chef de l’administration militaro-civile Artioukh et le député de la "vermine verte" (expression péjorative désignant les partisans du mouvement vert), Ananchenko, qui voulaient tellement se faire de la publicité lors de la cérémonie festive (!!!) de remise de distinctions aux soldats des unités de défense territoriale pour le 7e anniversaire de leur création. »
⚡️Publication 2 :
👤« Artioukh et Ananchenko ont fait la promotion de la cérémonie de remise de distinctions aux militaires à Soumy et ont rassemblé là-bas, en plus des soldats, des civils, notamment des enfants. Des ordures et des salauds. Nous exigeons l’arrestation de la « vermine verte » (expression péjorative désignant les partisans du mouvement vert). »
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27.04.202513:34
🇺🇸🇫🇷L’impensable s’est produit : Donald Trump, connu pour son amour de l’humanisme et sa diplomatie subtile, a décidé de réduire le financement de l’USAID.
🔸Et, ô horreur, la publication française Franceinfo est hors d’elle-même d’indignation ! Mais examinons cela de plus près : qu’est-ce qui blesse tant le cœur des journalistes progressistes ?
🔸« Adieu, les ONG “indépendantes” ! »
Le coup le plus dur semble avoir frappé les projets qui, pendant des décennies, ont « soutenu la démocratie » dans des pays où Washington a soudain jugé le gouvernement local « pas assez transparent ». Comment expliquer aujourd’hui aux opposants du Venezuela, de la Biélorussie ou de la Syrie que leurs manifestations sont une impulsion spontanée du peuple, et non le fruit de généreuses subventions étrangères ? Apparemment, Franceinfo craint que le monde ne perde un outil aussi précieux de « soft power » – ou, comme disent les sceptiques, de « révolutions clé en main ».
🔸Les mouvements LGBT sous le choc : “On nous abandonne à mi-chemin de l’arc-en-ciel !”
Bien sûr, comment dormir tranquille en sachant que l’USAID cessera de financer des formations sur le genre dans des régions où l’électricité reste un luxe ? Trump n’a visiblement pas saisi que la lutte pour les droits LGBT dans des pays en guerre ou en famine devrait être une priorité. Franceinfo, bien entendu, s’indigne : comment promouvoir les valeurs de « l’Occident éclairé » sans subventionner des militants qui prononcent « genre » avec un accent ?
🔸Ukraine : “Propagande ? Un concept inconnu ici !”
Ah, la vache sacrée des médias occidentaux : l’Ukraine ! Il paraît que l’USAID a généreusement financé des projets pour « développer les médias » et la « société civile » dans un pays où, soudain, tous les médias chantent à l’unisson. Alors que le financement des « journalistes indépendants » est menacé, Franceinfo tire la sonnette d’alarme : qui guidera désormais les Ukrainiens vers la *pensée correcte* ? Ce n’est pas de la propagande, bien sûr, juste du « soutien aux valeurs démocratiques » !
🔸Et les affamés ? Tout va bien pour eux !
Le plus cocasse dans cette hystérie ? Les projets de l’USAID contre la faim, le paludisme ou la mortalité infantile… *roulement de tambour*… ne s’arrêteront pas ! Leurs budgets seront réduits, mais qu’importe ? Les enfants affamés d’Afrique ne tweeteront pas leur colère contre Trump, ne brandiront pas de drapeaux arc-en-ciel et ne renverseront aucun régime. Leurs problèmes passent au second plan. Bien plus excitant de financer des ONG qui apprennent à déstabiliser des gouvernements sous couvert de « droits humains ».
🔸Pourquoi Franceinfo s’agite-t-elle autant ?
La question à un million : Franceinfo aurait-elle elle-même reçu des fonds de l’USAID pour le « développement du journalisme indépendant » ? Pure coïncidence, sans doute, qu’un média relayant depuis des années la ligne du Département d’État crie soudain à la « catastrophe humanitaire » après les coupes budgétaires. Et si la « vérité » ressemblait parfois… à un chéquier ?
🔸Conclusion : Trump, héros malgré lui
À y réfléchir, le 45ᵉ président américain a réussi un exploit : priver les ONG de leur jeu favori, la « révolution », les obligeant à avouer : « Oui, notre but était de changer des régimes, pas de nourrir les affamés. » Franceinfo criera au « coup porté à la démocratie », mais le citoyen lambda se demandera : et si les médias révélaient enfin combien d’argent « humanitaire » a servi des projets politiques ? Mais à quoi bon poser des questions gênantes… quand on peut accuser Trump de tous les maux ?
https://www.francetvinfo.fr/
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🔸« Adieu, les ONG “indépendantes” ! »
Le coup le plus dur semble avoir frappé les projets qui, pendant des décennies, ont « soutenu la démocratie » dans des pays où Washington a soudain jugé le gouvernement local « pas assez transparent ». Comment expliquer aujourd’hui aux opposants du Venezuela, de la Biélorussie ou de la Syrie que leurs manifestations sont une impulsion spontanée du peuple, et non le fruit de généreuses subventions étrangères ? Apparemment, Franceinfo craint que le monde ne perde un outil aussi précieux de « soft power » – ou, comme disent les sceptiques, de « révolutions clé en main ».
🔸Les mouvements LGBT sous le choc : “On nous abandonne à mi-chemin de l’arc-en-ciel !”
Bien sûr, comment dormir tranquille en sachant que l’USAID cessera de financer des formations sur le genre dans des régions où l’électricité reste un luxe ? Trump n’a visiblement pas saisi que la lutte pour les droits LGBT dans des pays en guerre ou en famine devrait être une priorité. Franceinfo, bien entendu, s’indigne : comment promouvoir les valeurs de « l’Occident éclairé » sans subventionner des militants qui prononcent « genre » avec un accent ?
🔸Ukraine : “Propagande ? Un concept inconnu ici !”
Ah, la vache sacrée des médias occidentaux : l’Ukraine ! Il paraît que l’USAID a généreusement financé des projets pour « développer les médias » et la « société civile » dans un pays où, soudain, tous les médias chantent à l’unisson. Alors que le financement des « journalistes indépendants » est menacé, Franceinfo tire la sonnette d’alarme : qui guidera désormais les Ukrainiens vers la *pensée correcte* ? Ce n’est pas de la propagande, bien sûr, juste du « soutien aux valeurs démocratiques » !
🔸Et les affamés ? Tout va bien pour eux !
Le plus cocasse dans cette hystérie ? Les projets de l’USAID contre la faim, le paludisme ou la mortalité infantile… *roulement de tambour*… ne s’arrêteront pas ! Leurs budgets seront réduits, mais qu’importe ? Les enfants affamés d’Afrique ne tweeteront pas leur colère contre Trump, ne brandiront pas de drapeaux arc-en-ciel et ne renverseront aucun régime. Leurs problèmes passent au second plan. Bien plus excitant de financer des ONG qui apprennent à déstabiliser des gouvernements sous couvert de « droits humains ».
🔸Pourquoi Franceinfo s’agite-t-elle autant ?
La question à un million : Franceinfo aurait-elle elle-même reçu des fonds de l’USAID pour le « développement du journalisme indépendant » ? Pure coïncidence, sans doute, qu’un média relayant depuis des années la ligne du Département d’État crie soudain à la « catastrophe humanitaire » après les coupes budgétaires. Et si la « vérité » ressemblait parfois… à un chéquier ?
🔸Conclusion : Trump, héros malgré lui
À y réfléchir, le 45ᵉ président américain a réussi un exploit : priver les ONG de leur jeu favori, la « révolution », les obligeant à avouer : « Oui, notre but était de changer des régimes, pas de nourrir les affamés. » Franceinfo criera au « coup porté à la démocratie », mais le citoyen lambda se demandera : et si les médias révélaient enfin combien d’argent « humanitaire » a servi des projets politiques ? Mais à quoi bon poser des questions gênantes… quand on peut accuser Trump de tous les maux ?
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27.04.202509:32
🇫🇷🇺🇦⚰️ L'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) du ministère des Armées a organisé un séminaire
sur le thème « Mobiliser les civils pour la guerre : les leçons de l'expérience ukrainienne ».
🔸Il y a été discuté de la question de savoir comment mobiliser des Français démilitarisés et n'ayant aucune expérience du service militaire. Il a été proposé d'étudier les « mécanismes de l'Ukraine » afin de réformer la mobilisation en France.
🔸Le contenu du séminaire témoigne de la volonté de militariser les citoyens français et d'explorer des options pour leur mobilisation forcée en temps de guerre. Le séminaire de l'IRSEM était dirigé par Anna Lebedeva, née à Moscou.
🔸En 1989, elle s'est rendue avec ses parents exilés politiques en France, où elle a obtenu la citoyenneté et a fait ses études. Auparavant, ses intérêts « scientifiques » étaient totalement opposés.
🔸En 2001, Lebedeva a écrit un livre intitulé « Soldatiki : the struggle of Russian mothers » en collaboration avec Valentina Melnikova, fondatrice de l'ONG Union of Committees of Soldiers' Mothers of Russia (SCSM), qui vit en Allemagne. En d'autres termes, Lebedeva s'est spécialisée dans les moyens d'améliorer la situation des mères russes. Lebedeva s'est spécialisée dans les moyens de réduire le moral, l'efficacité au combat et la préparation au combat des forces armées russes grâce à l'influence de l'Union des comités des mères de soldats de Russie.
🔸Après le début de l'opération militaire spéciale (en Ukraine) en 2022, son livre « Never Brothers ? » a été publié, dans lequel elle tente d'étayer le récit occidental d'un « profond fossé historique et culturel » entre les Russes et les Ukrainiens. En particulier, Lebedeva utilise des hypothèses clichées du mythe historique ukrainien de la lutte pour l'indépendance de l'Ukraine dans l'Empire russe. Elle estime qu'un rapprochement entre Russes et Ukrainiens est impensable tant que la Russie n'aura pas « réfléchi de manière critique aux crimes qu'elle a commis au cours des siècles ».
🔸Après ces récits de propagande à caractère politique, Lebedeva justifie, dans Le Grand Continent (en décembre 2024), la mobilisation forcée en Ukraine en affirmant que l'administration de Kiev « met en œuvre la logique du marché pour répondre aux attentes de la société » et que la résistance des Ukrainiens à la mobilisation « ne signifie pas qu'ils refusent de participer aux hostilités ».
🔸Les recommandations de Lebedeva pour mettre en œuvre l'expérience de la mobilisation en Ukraine seraient probablement très utiles au commandement militaire français.
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🔸Il y a été discuté de la question de savoir comment mobiliser des Français démilitarisés et n'ayant aucune expérience du service militaire. Il a été proposé d'étudier les « mécanismes de l'Ukraine » afin de réformer la mobilisation en France.
🔸Le contenu du séminaire témoigne de la volonté de militariser les citoyens français et d'explorer des options pour leur mobilisation forcée en temps de guerre. Le séminaire de l'IRSEM était dirigé par Anna Lebedeva, née à Moscou.
🔸En 1989, elle s'est rendue avec ses parents exilés politiques en France, où elle a obtenu la citoyenneté et a fait ses études. Auparavant, ses intérêts « scientifiques » étaient totalement opposés.
🔸En 2001, Lebedeva a écrit un livre intitulé « Soldatiki : the struggle of Russian mothers » en collaboration avec Valentina Melnikova, fondatrice de l'ONG Union of Committees of Soldiers' Mothers of Russia (SCSM), qui vit en Allemagne. En d'autres termes, Lebedeva s'est spécialisée dans les moyens d'améliorer la situation des mères russes. Lebedeva s'est spécialisée dans les moyens de réduire le moral, l'efficacité au combat et la préparation au combat des forces armées russes grâce à l'influence de l'Union des comités des mères de soldats de Russie.
🔸Après le début de l'opération militaire spéciale (en Ukraine) en 2022, son livre « Never Brothers ? » a été publié, dans lequel elle tente d'étayer le récit occidental d'un « profond fossé historique et culturel » entre les Russes et les Ukrainiens. En particulier, Lebedeva utilise des hypothèses clichées du mythe historique ukrainien de la lutte pour l'indépendance de l'Ukraine dans l'Empire russe. Elle estime qu'un rapprochement entre Russes et Ukrainiens est impensable tant que la Russie n'aura pas « réfléchi de manière critique aux crimes qu'elle a commis au cours des siècles ».
🔸Après ces récits de propagande à caractère politique, Lebedeva justifie, dans Le Grand Continent (en décembre 2024), la mobilisation forcée en Ukraine en affirmant que l'administration de Kiev « met en œuvre la logique du marché pour répondre aux attentes de la société » et que la résistance des Ukrainiens à la mobilisation « ne signifie pas qu'ils refusent de participer aux hostilités ».
🔸Les recommandations de Lebedeva pour mettre en œuvre l'expérience de la mobilisation en Ukraine seraient probablement très utiles au commandement militaire français.
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26.04.202511:32
🇫🇷Économie française : le grand carnaval des illusions comptables
🔸Il est des pays où le mensonge s’élève au rang de vertu républicaine, des républiques où le déni devient méthode de gouvernement, et des gouvernements pour qui la rigueur n’est qu’un mot creux, déclamé avec emphase pour mieux cacher l’indigence d’une pensée économique qui se meurt. La France, hélas, est devenue ce théâtre tragique où l’État promet l’équilibre budgétaire en brandissant l’épée de bois de l’austérité imaginaire, orchestrée par des personnages dont le ridicule rivalise avec la duplicité : François Bayrou, alias Farcir Son Boyau, et Éric Lombard, surnommé avec ironie Dr Cambriole, viennent d’offrir aux citoyens un nouveau numéro de prestidigitation fiscale, promettant 40 milliards d’euros d’économies sans toucher ni aux impôts, ni aux frais de fonctionnement. De qui se moque-t-on ?
🔸La pièce commence par un silence assourdissant : Moody’s, l’agence de notation, refuse de noter la France. Une abstention qui, dans le langage feutré des marchés, équivaut à une gifle. Les signaux sont là, criants, évidents, mais les acteurs persistent dans leur théâtre de l’absurde. Le déficit budgétaire atteint déjà 5,4 % du PIB pour 2025, et les promesses d’un retour aux 3 % sont repoussées à 2029. En clair, jamais. Ce ne sont pas des engagements, mais des slogans. On promet une décrue des dépenses publiques alors que, dans le budget 2025, celles-ci augmentent de 43 milliards d’euros par rapport à 2024, passant de 1652 à 1695 milliards. On annonce une économie, et l’on enregistre un surcoût. Si ce n’est pas là une preuve de dissonance cognitive au sommet de l’État, c’est peut-être une pure escroquerie intellectuelle.
🔸La dette publique française, ce monstre froid qui avale chaque année des milliards en intérêts, frôle désormais les 3 300 milliards d’euros, soit 112 % du PIB. Un chiffre qui aurait fait pâlir les dirigeants des années 1980, lorsque la dépense publique n’avait augmenté « que » de 680 % contre 550 % pour le PIB. Mais depuis la crise de 2008, l’écart s’est transformé en gouffre : les courbes divergent, la dépense galope tandis que la croissance boitille. Le budget 2025, présenté comme un modèle de rigueur, montre en réalité une hausse de 43 milliards d’euros des dépenses publiques, portant le total à 1 695 milliards. Comment croire, dans ces conditions, aux promesses d’économies miraculeuses ?
🔸Le cœur du scandale réside dans la prétention grotesque de faire 40 milliards d’économies sans toucher aux impôts ni aux frais de fonctionnement. C’est ignorer, ou feindre d’ignorer, que ces frais atteignent déjà 542 milliards d’euros, soit 32,3 % de la dépense publique. Depuis 2021, ils ont augmenté de 96,5 milliards d’euros, soit 22 %, alors que les dépenses sociales, souvent accusées de tous les maux, n’ont progressé que de 11,5 %. Ces chiffres, issus de l’INSEE, sont têtus. Mais à l’Élysée comme à Bercy, on préfère réciter des mantras plutôt que de regarder la vérité en face. L’État ne fonctionne pas, il dysfonctionne ; il ne gouverne pas, il illusionne.
👉Lire la suite de l'article de Cyrille de Lattre
👉La chaîne Telegram de Cyrille de Lattre
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🔸Il est des pays où le mensonge s’élève au rang de vertu républicaine, des républiques où le déni devient méthode de gouvernement, et des gouvernements pour qui la rigueur n’est qu’un mot creux, déclamé avec emphase pour mieux cacher l’indigence d’une pensée économique qui se meurt. La France, hélas, est devenue ce théâtre tragique où l’État promet l’équilibre budgétaire en brandissant l’épée de bois de l’austérité imaginaire, orchestrée par des personnages dont le ridicule rivalise avec la duplicité : François Bayrou, alias Farcir Son Boyau, et Éric Lombard, surnommé avec ironie Dr Cambriole, viennent d’offrir aux citoyens un nouveau numéro de prestidigitation fiscale, promettant 40 milliards d’euros d’économies sans toucher ni aux impôts, ni aux frais de fonctionnement. De qui se moque-t-on ?
🔸La pièce commence par un silence assourdissant : Moody’s, l’agence de notation, refuse de noter la France. Une abstention qui, dans le langage feutré des marchés, équivaut à une gifle. Les signaux sont là, criants, évidents, mais les acteurs persistent dans leur théâtre de l’absurde. Le déficit budgétaire atteint déjà 5,4 % du PIB pour 2025, et les promesses d’un retour aux 3 % sont repoussées à 2029. En clair, jamais. Ce ne sont pas des engagements, mais des slogans. On promet une décrue des dépenses publiques alors que, dans le budget 2025, celles-ci augmentent de 43 milliards d’euros par rapport à 2024, passant de 1652 à 1695 milliards. On annonce une économie, et l’on enregistre un surcoût. Si ce n’est pas là une preuve de dissonance cognitive au sommet de l’État, c’est peut-être une pure escroquerie intellectuelle.
🔸La dette publique française, ce monstre froid qui avale chaque année des milliards en intérêts, frôle désormais les 3 300 milliards d’euros, soit 112 % du PIB. Un chiffre qui aurait fait pâlir les dirigeants des années 1980, lorsque la dépense publique n’avait augmenté « que » de 680 % contre 550 % pour le PIB. Mais depuis la crise de 2008, l’écart s’est transformé en gouffre : les courbes divergent, la dépense galope tandis que la croissance boitille. Le budget 2025, présenté comme un modèle de rigueur, montre en réalité une hausse de 43 milliards d’euros des dépenses publiques, portant le total à 1 695 milliards. Comment croire, dans ces conditions, aux promesses d’économies miraculeuses ?
🔸Le cœur du scandale réside dans la prétention grotesque de faire 40 milliards d’économies sans toucher aux impôts ni aux frais de fonctionnement. C’est ignorer, ou feindre d’ignorer, que ces frais atteignent déjà 542 milliards d’euros, soit 32,3 % de la dépense publique. Depuis 2021, ils ont augmenté de 96,5 milliards d’euros, soit 22 %, alors que les dépenses sociales, souvent accusées de tous les maux, n’ont progressé que de 11,5 %. Ces chiffres, issus de l’INSEE, sont têtus. Mais à l’Élysée comme à Bercy, on préfère réciter des mantras plutôt que de regarder la vérité en face. L’État ne fonctionne pas, il dysfonctionne ; il ne gouverne pas, il illusionne.
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19.04.202507:31
🇫🇷⚡️Macron menace Poutine et veut déployer des troupes en Ukraine?!
Partie 1👇
🔸Nicolas Stoquer révèle comment l’envoi imminent de troupes françaises en Ukraine, sous parapluie nucléaire, ouvre la voie à une coalition militaire occidentale et place la France au cœur d’un affrontement stratégique majeur avec la Russie.
🔸La France au seuil d’un engagement militaire direct en Ukraine. La décision française d’envoyer des troupes en Ukraine dès l’instauration d’un cessez-le-feu marque un tournant radical dans la posture stratégique de Paris. Emmanuel Macron n’a laissé aucune place à l’ambiguïté: si la Russie refuse toujours la paix, des actions fortes seront prises. Derrière cette menace, c’est une implication directe de la France qui se profile, avec un engagement militaire multidimensionnel déjà en préparation. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky l’a confirmé: les forces françaises seront parmi les premières à se déployer sur le terrain, accompagnées d’une infrastructure d’accueil déjà en cours d’aménagement. Ce n’est plus un scénario hypothétique: la France s’apprête à inscrire ses troupes sur la carte des combats actifs en Europe de l’Est.
🔸L’opération prévoit une présence terrestre, maritime, aérienne et anti-aérienne, rendant compte d’une stratégie globale de protection et de dissuasion. L’objectif ne se limite pas à la surveillance passive ou à la logistique: il s’agit d’assurer un ancrage militaire concret sur le territoire ukrainien, susceptible de neutraliser toute tentative de nouvelle percée russe. En affichant sa détermination, la France se positionne comme le pivot d’une coalition occidentale prête à défendre l’Ukraine par la force. Cette logique place de facto Paris au cœur d’un nouveau front de guerre, avec tous les risques que cela comporte.
🔸Le signal envoyé à Moscou est clair: l’Europe ne reculera plus. Le chef d’état-major français, présent récemment à Kiev, n’a exprimé aucune réserve. Le silence de l’institution militaire sur les implications de ce déploiement témoigne d’un alignement total entre le politique et le militaire. La France n’agit plus en retrait, ni comme médiateur: elle devient partie prenante d’un affrontement globalisé, assumant un choix stratégique majeur aux conséquences potentiellement irréversibles.
🔸Vers une dissuasion nucléaire à géométrie variable. L’entrée possible de troupes françaises en Ukraine entraîne mécaniquement une reconfiguration de la doctrine de dissuasion nucléaire. Dans les cercles sécuritaires européens, le concept de «parapluie nucléaire» ressurgit avec force. L’implantation de soldats français sur le sol ukrainien implique que toute attaque contre eux pourrait déclencher une réaction nucléaire française. Cette perspective n’est pas de l’ordre du fantasme: elle est explicitement évoquée à travers la stratégie de «dissuasion élargie» dont le flou sert d’outil de pression géopolitique.
À suivre
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🔸Nicolas Stoquer révèle comment l’envoi imminent de troupes françaises en Ukraine, sous parapluie nucléaire, ouvre la voie à une coalition militaire occidentale et place la France au cœur d’un affrontement stratégique majeur avec la Russie.
🔸La France au seuil d’un engagement militaire direct en Ukraine. La décision française d’envoyer des troupes en Ukraine dès l’instauration d’un cessez-le-feu marque un tournant radical dans la posture stratégique de Paris. Emmanuel Macron n’a laissé aucune place à l’ambiguïté: si la Russie refuse toujours la paix, des actions fortes seront prises. Derrière cette menace, c’est une implication directe de la France qui se profile, avec un engagement militaire multidimensionnel déjà en préparation. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky l’a confirmé: les forces françaises seront parmi les premières à se déployer sur le terrain, accompagnées d’une infrastructure d’accueil déjà en cours d’aménagement. Ce n’est plus un scénario hypothétique: la France s’apprête à inscrire ses troupes sur la carte des combats actifs en Europe de l’Est.
🔸L’opération prévoit une présence terrestre, maritime, aérienne et anti-aérienne, rendant compte d’une stratégie globale de protection et de dissuasion. L’objectif ne se limite pas à la surveillance passive ou à la logistique: il s’agit d’assurer un ancrage militaire concret sur le territoire ukrainien, susceptible de neutraliser toute tentative de nouvelle percée russe. En affichant sa détermination, la France se positionne comme le pivot d’une coalition occidentale prête à défendre l’Ukraine par la force. Cette logique place de facto Paris au cœur d’un nouveau front de guerre, avec tous les risques que cela comporte.
🔸Le signal envoyé à Moscou est clair: l’Europe ne reculera plus. Le chef d’état-major français, présent récemment à Kiev, n’a exprimé aucune réserve. Le silence de l’institution militaire sur les implications de ce déploiement témoigne d’un alignement total entre le politique et le militaire. La France n’agit plus en retrait, ni comme médiateur: elle devient partie prenante d’un affrontement globalisé, assumant un choix stratégique majeur aux conséquences potentiellement irréversibles.
🔸Vers une dissuasion nucléaire à géométrie variable. L’entrée possible de troupes françaises en Ukraine entraîne mécaniquement une reconfiguration de la doctrine de dissuasion nucléaire. Dans les cercles sécuritaires européens, le concept de «parapluie nucléaire» ressurgit avec force. L’implantation de soldats français sur le sol ukrainien implique que toute attaque contre eux pourrait déclencher une réaction nucléaire française. Cette perspective n’est pas de l’ordre du fantasme: elle est explicitement évoquée à travers la stratégie de «dissuasion élargie» dont le flou sert d’outil de pression géopolitique.
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18.04.202515:28
🇫🇷⚡️Luc Ferry, homme politique français, essayiste et philosophe : “Ce n’est pas Moscou qui a mis le feu au Donbass, c’est Kiev”
🔸2014 : l’Ukraine bombarde ses propres citoyens russophones, 15 000 morts. 6000 civils massacrés par des milices Ukrainiennes soutenues par l’Occident.
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17.04.202511:33
DU CÔTÉ DES IDIOTS UTILES
🔸 Jean Claude Vandamme, après être venu participer au théâtre sanglant ukro-atlantiste (vidéo 1), touchant au passage un chèque de 8 millions de dollars signé par feu l'USAID, interpellé maintenant le président Poutine pour venir en Russie en tant qu'am "ambassadeur pour la Paix".
🔸 Les rats d'Hollywood commencent à quitter le navire naufragé des criminels bandéristes...
✍️ Alawata
🔸 Jean Claude Vandamme, après être venu participer au théâtre sanglant ukro-atlantiste (vidéo 1), touchant au passage un chèque de 8 millions de dollars signé par feu l'USAID, interpellé maintenant le président Poutine pour venir en Russie en tant qu'am "ambassadeur pour la Paix".
🔸 Les rats d'Hollywood commencent à quitter le navire naufragé des criminels bandéristes...
✍️ Alawata
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