

02.05.202515:53
À titre indicatif, les hommes ayant contracté la COVID-19 pourraient être confrontés à des risques cachés pour leur fertilité... L'infection à la COVID-19 a été associée à une mauvaise qualité du sperme ! Cette nouvelle étude, https://www.nature.com/articles/s41598-025-94570-5, révèle des dommages massifs aux spermatozoïdes des mois après l'infection, un nombre plus faible, une motilité plus faible, un ADN brisé... MAIS N'OSEZ MÊME PAS PENSER À RELIER CELA AUX INJECTIONS d'ARNM EXPÉRIMENTALES QUE DES MILLIONS DE PERSONNES ONT ÉTÉ CONTRAINTES DE PRENDRE ! https://t.me/vivrecorrectement/4038
Pour mémoire ou pour information, Pfizer utilise pour son "vaccin ARNm" BNT162b2 un système d'administration développé par une société destinée à la stérilisation des populations animales. Découvrez le,
https://t.me/vivrecorrectement/6142
https://t.me/vivrecorrectement/6143
Pour mémoire ou pour information, Pfizer utilise pour son "vaccin ARNm" BNT162b2 un système d'administration développé par une société destinée à la stérilisation des populations animales. Découvrez le,
https://t.me/vivrecorrectement/6142
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27.04.202512:29
« Ce qui est aujourd'hui un paradoxe pour nous sera pour la postérité une vérité démontrée. » Denis Diderot. Il existe de nombreux paradoxes, et ils sont fascinants (je vous invite à les rechercher !), mais en ces temps « étranges » dans lesquels nous vivons, il existe un paradoxe imbattable... Êtes-vous prêt ?
La mortalité attribuée à la COVID-19 a augmenté après que davantage de vaccins contre la COVID-19 ont commencé à être largement administrés. Quel paradoxe ! Je veux dire, les vaccins ne sont-ils pas censés protéger contre la maladie et donc la mort ? Eh bien ! Que s'est-il passé ici ? Je n'invente rien. Les tendances observées dans les bases de données officielles ont été formellement analysées par Okoro et ses collaborateurs, et ces excellents auteurs ont trouvé précisément ce paradoxe : plus la couverture vaccinale est élevée, plus le taux de mortalité dû à la COVID-19 est élevé, https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/09246479251336610
L'étude s'intitule « Augmentation paradoxale des décès mondiaux dus à la COVID-19 selon la couverture vaccinale : estimations de l'Organisation mondiale de la santé (2020-2023) ». Les auteurs reconnaissent le caractère arbitraire des estimations faites (et criées à haute voix) par des gens qui, par malveillance ou par ignorance, ont cru qu'un modèle était identique à la réalité et ont ainsi, sur la base d'hypothèses erronées, déterminé que « les vaccins ont sauvé 17 millions de vies » ou une autre absurdité. Au fil du temps (c’est-à-dire lorsque la réalité a fait taire les modélisateurs), l’excès de décès a clairement montré que quelque chose se passait. Cela a conduit les auteurs de l'étude que je partage avec vous à comparer les taux de mortalité liés à la COVID-19 avant et après la vaccination, afin de déterminer (avec des données réelles, et non un onanisme mental mathématique) quel impact la vaccination contre la COVID-19 a eu sur la mortalité pendant la pandémie...
Pour atteindre leur objectif, ils se sont appuyés sur les cas de COVID, les décès dus à la COVID et les taux de vaccination de l’OMS (c’est-à-dire les données officielles) depuis le début de la pandémie jusqu’au 7 juin 2023. Ils ont calculé les taux de mortalité pour 1000 cas pour la période pré-vaccinale et pour la période post-vaccinale et comparé ces valeurs pour toutes les régions du monde. Ils ont également calculé les corrélations (c’est-à-dire le degré de relation entre deux variables) entre le pourcentage de variation des décès dus à la COVID et les taux de vaccination. Ils ont constaté que les décès dus à la COVID avant la vaccination étaient les plus élevés dans les Amériques (49,9% du total des décès) et en Europe (27,6%) et les plus faibles dans le Pacifique occidental (1,5%) et en Afrique (3,8%), et que les décès dus à la COVID ont augmenté après la vaccination de 43,3% (en Afrique) et jusqu'à un chiffre stupéfiant de 1275% (dans le Pacifique occidental). Malgré les vaccins vantés qui « sauveraient des vies », les régions ayant les taux de vaccination les plus élevés (les Amériques et l’Europe) ont représenté plus de 70% de tous les décès post-vaccinaux dans le monde.
La conclusion de l’étude n’est donc pas surprenante : la mortalité due à la COVID a augmenté après la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée. Cette étude, qui ne se base pas sur des modèles mais sur des données réelles (et officielles), montre que loin de « sauver 17 millions de vies », les vaccins contre la COVID ont causé davantage de décès. Il n'y a pas grand chose de plus à dire, n'est-ce pas ? Je me demande quelle tournure Pfizer (ou les médecins) vont donner à cela, à l'étude de Okoro et al, au-delà de l'ignorer et d'espérer que personne ne le lira. Peut-être que quelque chose comme « Pfizer... Vous rapproche du paradis » pourrait être le slogan de campagne le plus honnête qu'ils pourraient avoir. À bon entendeur ! « Le paradoxe est le moyen le plus tranchant et le plus efficace de transmettre la vérité aux endormis et aux distraits. » Miguel De Unamuno
La mortalité attribuée à la COVID-19 a augmenté après que davantage de vaccins contre la COVID-19 ont commencé à être largement administrés. Quel paradoxe ! Je veux dire, les vaccins ne sont-ils pas censés protéger contre la maladie et donc la mort ? Eh bien ! Que s'est-il passé ici ? Je n'invente rien. Les tendances observées dans les bases de données officielles ont été formellement analysées par Okoro et ses collaborateurs, et ces excellents auteurs ont trouvé précisément ce paradoxe : plus la couverture vaccinale est élevée, plus le taux de mortalité dû à la COVID-19 est élevé, https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/09246479251336610
L'étude s'intitule « Augmentation paradoxale des décès mondiaux dus à la COVID-19 selon la couverture vaccinale : estimations de l'Organisation mondiale de la santé (2020-2023) ». Les auteurs reconnaissent le caractère arbitraire des estimations faites (et criées à haute voix) par des gens qui, par malveillance ou par ignorance, ont cru qu'un modèle était identique à la réalité et ont ainsi, sur la base d'hypothèses erronées, déterminé que « les vaccins ont sauvé 17 millions de vies » ou une autre absurdité. Au fil du temps (c’est-à-dire lorsque la réalité a fait taire les modélisateurs), l’excès de décès a clairement montré que quelque chose se passait. Cela a conduit les auteurs de l'étude que je partage avec vous à comparer les taux de mortalité liés à la COVID-19 avant et après la vaccination, afin de déterminer (avec des données réelles, et non un onanisme mental mathématique) quel impact la vaccination contre la COVID-19 a eu sur la mortalité pendant la pandémie...
Pour atteindre leur objectif, ils se sont appuyés sur les cas de COVID, les décès dus à la COVID et les taux de vaccination de l’OMS (c’est-à-dire les données officielles) depuis le début de la pandémie jusqu’au 7 juin 2023. Ils ont calculé les taux de mortalité pour 1000 cas pour la période pré-vaccinale et pour la période post-vaccinale et comparé ces valeurs pour toutes les régions du monde. Ils ont également calculé les corrélations (c’est-à-dire le degré de relation entre deux variables) entre le pourcentage de variation des décès dus à la COVID et les taux de vaccination. Ils ont constaté que les décès dus à la COVID avant la vaccination étaient les plus élevés dans les Amériques (49,9% du total des décès) et en Europe (27,6%) et les plus faibles dans le Pacifique occidental (1,5%) et en Afrique (3,8%), et que les décès dus à la COVID ont augmenté après la vaccination de 43,3% (en Afrique) et jusqu'à un chiffre stupéfiant de 1275% (dans le Pacifique occidental). Malgré les vaccins vantés qui « sauveraient des vies », les régions ayant les taux de vaccination les plus élevés (les Amériques et l’Europe) ont représenté plus de 70% de tous les décès post-vaccinaux dans le monde.
La conclusion de l’étude n’est donc pas surprenante : la mortalité due à la COVID a augmenté après la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée. Cette étude, qui ne se base pas sur des modèles mais sur des données réelles (et officielles), montre que loin de « sauver 17 millions de vies », les vaccins contre la COVID ont causé davantage de décès. Il n'y a pas grand chose de plus à dire, n'est-ce pas ? Je me demande quelle tournure Pfizer (ou les médecins) vont donner à cela, à l'étude de Okoro et al, au-delà de l'ignorer et d'espérer que personne ne le lira. Peut-être que quelque chose comme « Pfizer... Vous rapproche du paradis » pourrait être le slogan de campagne le plus honnête qu'ils pourraient avoir. À bon entendeur ! « Le paradoxe est le moyen le plus tranchant et le plus efficace de transmettre la vérité aux endormis et aux distraits. » Miguel De Unamuno


19.04.202511:33
1/3 Monsieur Yannick Neuder, il est temps d’agir fermement pour protéger la population face à la propagation de fausses informations en matière de santé... Il y a quelques jours, un article a été publié dans la revue scientifique MDPI Pharmaceuticals. L'article s'intitule « Spectre élargi et incidence accrue des événements indésirables liés aux vaccins génétiques contre la COVID-19 : nouveaux concepts sur la thérapie prophylactique immunogène, la maladie orpheline iatrogène et les défis inhérents à la plateforme », https://doi.org/10.3390/pharmaceutics17040450. Cet article est basé sur une revue de la littérature scientifique et une évaluation des dossiers VAERS et a été rédigé par le Dr James Szebeni. Szebeni a comparé les taux relatifs de déclaration d'événements indésirables présentant un intérêt particulier (c'est-à-dire ceux que les autorités et les « experts » eux-mêmes considèrent comme inquiétants) des « vaccins » génétiques contre la COVID (par rapport à ceux associés aux vaccins contre la grippe).
17.04.202517:04
Dr. Emmett Brown, « Je suis allé dans le futur, les "Complotistes" avaient raison !! » Au propos de ce qu'ont découvert Ota et ses collègue (post précédent), sur les 3 patients qui n’ont pas reçu de vaccins à ARNm mais que 2 avaient également la protéine Spike du vaccin dans leurs tissus cérébraux. La menace des vaccins à propagation est bien réelle ! Pour info, les études sur ce que l'on appelle les vaccins auto-disséminés ont toujours été d'actualité. Des scientifiques développent actuellement des vaccins "contagieux" qui peuvent se propager de vaccinés à non vaccinés !! Il y a plus de 4 ans quand nous affirmions ce genre d'infos, nous étions traités de complotistes... Les faits comptent ! Si se poser des questions, refuser la crédibilité des journaux subventionnés par des gens ayant des conflits d'intérêt, de labos faisant pression sur des éditeurs ou avec des contrats opaques... Si c'est cela être complotiste, et bien nous le sommes. Avez-vous entendu parler de vaccin auto-disséminé qui peut être transmis par voie aérienne ou par le toucher ??? Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi. Voici quelques posts passés de 2021/22 pour le découvrir,


17.04.202510:32
1/3 Une étude menée par Ota et ses collègues a récemment été publiée dans le Journal of Clinical Neuroscience. L'étude est intitulée "Expression de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 dans les artères cérébrales : implications pour les infarctus hémorragiques cérébraux après vaccination par ARNm" https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S096758682500195X. Il me semble que le titre ne nécessite pas trop d'explications. Essentiellement, cela signifie que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est produite dans les cellules qui tapissent les parois internes des artères du cerveau des personnes qui ont reçu des injections d’ARNm synthétiques anti-Covid (vous vous souvenez ? Ces « merveilles » de la science et de la technologie que tant de médecins ont présentées comme des bouées de sauvetage ? Ouais, celles-là). Je m’attends à ce que personne sur ce canal ne soit surpris que cette protéine étrangère soit exprimée (produite) dans les cellules des sujets injectés...


11.04.202510:11
Il est temps de comprendre que les enjeux des politiques vaccinales subies vont bien au-delà du risque d’éventuelles complications de la grippe ou de la rougeole... Une politique d’obligations et de surveillance à l’échelle mondiale, associée à une concentration de pouvoirs anormale, menée sans transparence ni contrôle indépendant, avec des mesures de censure et, in fine, la possibilité d’expérimenter des programmes eugénistes et transhumanistes a été/est une situation hautement alarmante... Par Bon Sens, arrêtez d'utiliser ces produits ou tout autre vaccin ARNm car cela peut aggraver votre état en exacerbant un état pro et auto-inflammatoire. Il faut dire NON ! https://t.me/joinchat/FapZ4Mq8_f0wMTk0. Prenez donc conscience du remplacement des vaccins antigrippaux existants (et bien d'autres...) par des alternatives basées sur l'ARNm et ses dangers, https://t.me/vivrecorrectement/5742?single
01.05.202515:10
Beaucoup considèrent que "c'est fini", et je comprends qu'ils veuillent voir les choses de cette façon. J'aimerais bien aussi, mais je ne peux pas me leurrer. La vérité est que non, ce n’est pas fini. Partout où les données sont rapportées de manière complète et raisonnablement honnête, il est très clair que la vaccination à ARNm non seulement ne fonctionne pas, mais cause même des dommages. Une nouvelle étude différentielle de marque en Floride montre que le vaccin Pfizer a probablement TUÉ plus de 470 000 Américains. Le chirurgien général Joseph Ladapo est la seule autorité sanitaire en Amérique à examiner de manière critique ses propres données de santé. Il a collaboré avec le professeur Retsef Levi du MIT sur une étude extrêmement bien menée qui prouve, sans l'ombre d'un doute, que les vaccins Pfizer ont tué un nombre considérable d'Américains.
Qu'a-t-il trouvé en faisant cela ? L’article compare la mortalité toutes causes non liée à la COVID (NCACM) entre les deux principales marques de vaccins en utilisant une méthodologie de correspondance très minutieuse (https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2025.04.25.25326460v1). En examinant ses propres données de santé avec un œil critique, il a découvert que les personnes ayant reçu le vaccin Pfizer ont connu une augmentation stupéfiante de 36% de leur mortalité toutes causes confondues pendant au moins un an après leur vaccination... C'est un désastre !! Les vaccins ne devraient JAMAIS augmenter la mortalité toutes causes confondues. Cette étude, qui a été réalisée avec grand soin, révèle une défaillance majeure de tous les systèmes de surveillance de la sécurité des vaccins dans le monde ainsi que l’échec majeur de la communauté médicale traditionnelle à identifier les problèmes de sécurité des vaccins. CE DOCUMENT EST AUSSI INFAILLIBLE QU’IL EST POSSIBLE DE L’ÊTRE ! Ce qui va se passer maintenant, ce sont des excuses abondantes de la part des fabricants de médicaments, des autorités de réglementation, des médias grand public et de la communauté médicale pour n'avoir pas su déceler un problème de sécurité aussi colossal. Malheureusement, cela n'arrivera que dans mes rêves... Ou peut être pas !?
Qu'a-t-il trouvé en faisant cela ? L’article compare la mortalité toutes causes non liée à la COVID (NCACM) entre les deux principales marques de vaccins en utilisant une méthodologie de correspondance très minutieuse (https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2025.04.25.25326460v1). En examinant ses propres données de santé avec un œil critique, il a découvert que les personnes ayant reçu le vaccin Pfizer ont connu une augmentation stupéfiante de 36% de leur mortalité toutes causes confondues pendant au moins un an après leur vaccination... C'est un désastre !! Les vaccins ne devraient JAMAIS augmenter la mortalité toutes causes confondues. Cette étude, qui a été réalisée avec grand soin, révèle une défaillance majeure de tous les systèmes de surveillance de la sécurité des vaccins dans le monde ainsi que l’échec majeur de la communauté médicale traditionnelle à identifier les problèmes de sécurité des vaccins. CE DOCUMENT EST AUSSI INFAILLIBLE QU’IL EST POSSIBLE DE L’ÊTRE ! Ce qui va se passer maintenant, ce sont des excuses abondantes de la part des fabricants de médicaments, des autorités de réglementation, des médias grand public et de la communauté médicale pour n'avoir pas su déceler un problème de sécurité aussi colossal. Malheureusement, cela n'arrivera que dans mes rêves... Ou peut être pas !?


20.04.202513:40
« En 2025, il n'est plus possible de taire cette réalité et de laisser des personnes souffrir dans le silence. Nous souhaitons que les victimes soient écoutées, reconnues, prises en charge et que des pistes de traitements adaptés soient explorées. Le dernier rapport publié en juin 2023, par l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament, totalisait en France, 193 934 signalements d'effets indésirables, dont 1635 décès. À ce jour, aucune action n'a été réellement entreprise par les autorités compétentes, en faveur des victimes. Il y a des voix qui résonnent un peu partout en France et dans d'autres pays, nous souhaitons leur donner un écho décuplé à l'occasion d'une première date commune pour se rassembler, se coordonner partout sur nos territoires respectifs et porter un message Commun... » Plus d'info via https://t.me/onaeunotdose/663
VERITY France, AAVIC Team, Où est mon cycle, VVC19, Liberty Hauts de France, Impfopfer.info, BAM!, Contre Propagande... https://www.contrepropagande.fr/on-a-eu-not-dose
VERITY France, AAVIC Team, Où est mon cycle, VVC19, Liberty Hauts de France, Impfopfer.info, BAM!, Contre Propagande... https://www.contrepropagande.fr/on-a-eu-not-dose


18.04.202519:10
Crise sanitaire de la Covid-19 : la vérité continue d'avancer ! Bien que je sois désolé pour les infirmes, les handicapés mentaux et les un peu idiots qui ont dû faire confiance à leur gouvernement et à leur médecin, j'ai l'impression que toute personne en bonne santé, individu apparemment intelligent qui retrousse encore ses manches et accepte ce bric-à-brac dans son corps mérite ce qu'il obtiendra sans aucun doute... « La vérité finira par prévaloir là où il y a des efforts pour la mettre en lumière » George Washington http://COVID.gov
से पुनः पोस्ट किया:
Bon Sens

17.04.202517:04
⚠️ ON NE NOUS A PAS TOUT DIT ‼️
Plus le temps passe plus cela devient très inquiétant toutes ces expériences grandeurs nature...
-Avez-vous entendu parler de personnes testées positives après avoir été vaccinées contre la Covid ?
-Avez-vous entendu parlé de personnes vaccinées décéder quand même du coronavirus ?
-Avez-vous entendu parler d’une personne vaccinée dont le conjoint non vacciné a fini à l’hôpital à cause de la Covid ?
PROBABLEMENT QUE OUI.
La question du jour est celle-ci,
Avez-vous entendu parler de vaccin auto-disséminé qui peut être transmis par voie aérienne ou par le toucher ???
Nous allons présenter quelques données sur cette nouvelle technologie qui a fait tout de même l’objet d’un article dans Nature l’été dernier mais qui avait déjà été présentée en 2016...
Une gamme de technologies est en cours de développement pour accélérer la livraison de médicaments vitaux. L’une de ces technologies est celle des vaccins auto-disséminés, grâce auxquels le remède se propage à travers la population de la même manière qu’un virus le ferait.
Les vaccins auto-propagateurs sont administrés à quelques individus clé dans une population et sont génétiquement modifiés afin que la souche vaccinale active se déplace à travers un groupe de personnes comme une maladie pathogène. 🥶
Des vaccins « auto-disséminés » pour réduire la menace des maladies infectieuses 🤪🤪
En 2018, des chercheurs du Johns Hopkins Center for Global Security ont publié un rapport sur les technologies déjà disponibles mais qui n’ont pas encore été appliquées à une situation d’urgence.
Les vaccins auto-propagateurs figuraient parmi les technologies les plus accrocheuses décrites par la recherche.
En utilisant cette méthode, un petit nombre d’individus est ciblé afin qu’une population entière puisse être protégée. 😵😵
A la découverte des vaccins auto-disséminés. ⬇️⬇️
https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/06/a-la-decouverte-des-vaccins-autodissemines/#more-56473
L'étude parue dans Nature, à pour conclusion, nous ne savons pas encore grand chose sur la performance des vaccins auto-disséminés dans des conditions réelles. L'investissement financier requis pour développer et tester la première génération de vaccins transmissibles sera probablement substantiel...
Vaccins auto-disséminés pour supprimer les zoonoses ⬇️⬇️
https://www.nature.com/articles/s41559-020-1254-y?error=cookies_not_supported&code=c599bcf8-11f1-46df-9ed6-ef514a02f739
Plus le temps passe plus cela devient très inquiétant toutes ces expériences grandeurs nature...
-Avez-vous entendu parler de personnes testées positives après avoir été vaccinées contre la Covid ?
-Avez-vous entendu parlé de personnes vaccinées décéder quand même du coronavirus ?
-Avez-vous entendu parler d’une personne vaccinée dont le conjoint non vacciné a fini à l’hôpital à cause de la Covid ?
PROBABLEMENT QUE OUI.
La question du jour est celle-ci,
Avez-vous entendu parler de vaccin auto-disséminé qui peut être transmis par voie aérienne ou par le toucher ???
Nous allons présenter quelques données sur cette nouvelle technologie qui a fait tout de même l’objet d’un article dans Nature l’été dernier mais qui avait déjà été présentée en 2016...
Une gamme de technologies est en cours de développement pour accélérer la livraison de médicaments vitaux. L’une de ces technologies est celle des vaccins auto-disséminés, grâce auxquels le remède se propage à travers la population de la même manière qu’un virus le ferait.
Les vaccins auto-propagateurs sont administrés à quelques individus clé dans une population et sont génétiquement modifiés afin que la souche vaccinale active se déplace à travers un groupe de personnes comme une maladie pathogène. 🥶
Des vaccins « auto-disséminés » pour réduire la menace des maladies infectieuses 🤪🤪
En 2018, des chercheurs du Johns Hopkins Center for Global Security ont publié un rapport sur les technologies déjà disponibles mais qui n’ont pas encore été appliquées à une situation d’urgence.
Les vaccins auto-propagateurs figuraient parmi les technologies les plus accrocheuses décrites par la recherche.
En utilisant cette méthode, un petit nombre d’individus est ciblé afin qu’une population entière puisse être protégée. 😵😵
A la découverte des vaccins auto-disséminés. ⬇️⬇️
https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/06/a-la-decouverte-des-vaccins-autodissemines/#more-56473
L'étude parue dans Nature, à pour conclusion, nous ne savons pas encore grand chose sur la performance des vaccins auto-disséminés dans des conditions réelles. L'investissement financier requis pour développer et tester la première génération de vaccins transmissibles sera probablement substantiel...
Vaccins auto-disséminés pour supprimer les zoonoses ⬇️⬇️
https://www.nature.com/articles/s41559-020-1254-y?error=cookies_not_supported&code=c599bcf8-11f1-46df-9ed6-ef514a02f739
16.04.202509:11
Il y a quelques jours, une étude a été publiée, rédigée par Simonis et ses collaborateurs, intitulée, "Mémoire épigénétique persistante de la vaccination par ARNm contre le SRAS-CoV-2 dans les macrophages dérivés de monocytes", https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/40133533
Je sais ! Parfois, les titres suffisent à nous faire décider de ne pas lire quelque chose, parce que cela semble au-delà de notre compréhension. Chacun d’entre nous a un parcours, un ensemble de connaissances et un espace dans lequel nous nous sentons à l’aise, et il est facile pour des mots inconnus sur des sujets inexplorés de nous déstabiliser. Si l’on prend en compte qu’au moins trois milliards de personnes dans le monde possèdent au moins une dose d’ARNm synthétique « anti-COVID », il devient un peu plus pertinent de faire l’effort de comprendre ce que signifie "Mémoire épigénétique persistante de la vaccination par ARNm dans les macrophages dérivés des monocytes". Mémoire épigénétique... Le terme fait référence aux modifications de l’ADN, des protéines ou de l’ARN (je ne fais pas référence à la séquence elle-même, mais au matériel génétique ou protéique) qui sont héritées de la cellule mère à la cellule fille et qui affectent les modèles d’expression des gènes.
Imaginez maintenant que quelqu’un vienne et colle les bords de deux pages d’un livre ensemble avec de la colle. Cela n'affecte pas les lettres du livre ou le livre lui-même, mais lorsque vous souhaitez utiliser ce livre pour avoir des instructions pour faire quelque chose en particulier, le fait que ces deux pages soient collées ensemble a déjà affecté les informations du livre, n'est-ce pas ? Peut-être que le livre n'est même plus lu. Il s’agirait d’une modification épigénétique (le gène est affecté, mais pas sa séquence elle-même). C'est précisément de cela qu'il s'agit dans la mémoire épigénétique (ou, pourrait-on aussi dire, dans l'héritage épigénétique).
C'est un peu compliqué à résumer car c'est un sujet à multiples facettes, mais si vous voulez juste avoir un aperçu général, l’ARNm synthétique contenu dans les vaccins Pfizer et Moderna provoque des modifications héréditaires dans les protéines qui déterminent la structure de l’ADN des cellules immunitaires, https://t.me/vivrecorrectement/5603. Les auteurs ne contestent pas l’implication, ces changements surviennent en raison de modifications du métabolisme cellulaire, qui génèrent un microenvironnement propice au cancer... À bon entendeur ! https://t.me/vivrecorrectement/5822
Je sais ! Parfois, les titres suffisent à nous faire décider de ne pas lire quelque chose, parce que cela semble au-delà de notre compréhension. Chacun d’entre nous a un parcours, un ensemble de connaissances et un espace dans lequel nous nous sentons à l’aise, et il est facile pour des mots inconnus sur des sujets inexplorés de nous déstabiliser. Si l’on prend en compte qu’au moins trois milliards de personnes dans le monde possèdent au moins une dose d’ARNm synthétique « anti-COVID », il devient un peu plus pertinent de faire l’effort de comprendre ce que signifie "Mémoire épigénétique persistante de la vaccination par ARNm dans les macrophages dérivés des monocytes". Mémoire épigénétique... Le terme fait référence aux modifications de l’ADN, des protéines ou de l’ARN (je ne fais pas référence à la séquence elle-même, mais au matériel génétique ou protéique) qui sont héritées de la cellule mère à la cellule fille et qui affectent les modèles d’expression des gènes.
Imaginez maintenant que quelqu’un vienne et colle les bords de deux pages d’un livre ensemble avec de la colle. Cela n'affecte pas les lettres du livre ou le livre lui-même, mais lorsque vous souhaitez utiliser ce livre pour avoir des instructions pour faire quelque chose en particulier, le fait que ces deux pages soient collées ensemble a déjà affecté les informations du livre, n'est-ce pas ? Peut-être que le livre n'est même plus lu. Il s’agirait d’une modification épigénétique (le gène est affecté, mais pas sa séquence elle-même). C'est précisément de cela qu'il s'agit dans la mémoire épigénétique (ou, pourrait-on aussi dire, dans l'héritage épigénétique).
C'est un peu compliqué à résumer car c'est un sujet à multiples facettes, mais si vous voulez juste avoir un aperçu général, l’ARNm synthétique contenu dans les vaccins Pfizer et Moderna provoque des modifications héréditaires dans les protéines qui déterminent la structure de l’ADN des cellules immunitaires, https://t.me/vivrecorrectement/5603. Les auteurs ne contestent pas l’implication, ces changements surviennent en raison de modifications du métabolisme cellulaire, qui génèrent un microenvironnement propice au cancer... À bon entendeur ! https://t.me/vivrecorrectement/5822


09.04.202515:40
On continue dans le déni !! Rapports VAERS des décès dus aux vaccins depuis 1990... Jusqu'au 28/03/2025
● 1990 ➨ 80 (sans ARNm)
● 2000 ➨ 212 (sans ARNm)
● 2010 ➨ 319 (sans ARNm)
● 2011 ➨ 331 (sans ARNm)
● 2012 ➨ 316 (sans ARNm)
● 2013 ➨ 339 (sans ARNm)
● 2014 ➨ 358 (sans ARNm)
● 2015 ➨ 377 (sans ARNm)
● 2016 ➨ 437 (sans ARNm)
● 2017 ➨ 467 (sans ARNm)
● 2018 ➨ 534 (sans ARNm)
● 2019 ➨ 603 (sans ARNm)
● 2020 ➨ 420 (sans ARNm)
● 2021 ➨ 22 269 (avec ARNm)
● 2022 ➨ 12 444 (avec ARNm)
● 2023 ➨ 3686 (avec ARNm)
● 2024 ➨ 2098 (avec ARNm)
● 2025 ➨ 386 (avec ARNm)
Alors, les vaccins à ARNm "Sûr"... Non ! et "efficace" dans quel sens du terme ?! Efficace pour tuer ? https://openvaers.com/covid-data/mortality
Mise à jour des données suivantes, https://t.me/vivrecorrectement/6164
● 1990 ➨ 80 (sans ARNm)
● 2000 ➨ 212 (sans ARNm)
● 2010 ➨ 319 (sans ARNm)
● 2011 ➨ 331 (sans ARNm)
● 2012 ➨ 316 (sans ARNm)
● 2013 ➨ 339 (sans ARNm)
● 2014 ➨ 358 (sans ARNm)
● 2015 ➨ 377 (sans ARNm)
● 2016 ➨ 437 (sans ARNm)
● 2017 ➨ 467 (sans ARNm)
● 2018 ➨ 534 (sans ARNm)
● 2019 ➨ 603 (sans ARNm)
● 2020 ➨ 420 (sans ARNm)
● 2021 ➨ 22 269 (avec ARNm)
● 2022 ➨ 12 444 (avec ARNm)
● 2023 ➨ 3686 (avec ARNm)
● 2024 ➨ 2098 (avec ARNm)
● 2025 ➨ 386 (avec ARNm)
Alors, les vaccins à ARNm "Sûr"... Non ! et "efficace" dans quel sens du terme ?! Efficace pour tuer ? https://openvaers.com/covid-data/mortality
Mise à jour des données suivantes, https://t.me/vivrecorrectement/6164


30.04.202517:44
Pendant ce temps là... Le ministère de la Justice américaine (DOJ) lance une enquête sur les principales revues médicales concernant les préjugés, la fraude et la corruption liés à la pandémie, remettant en question leurs pratiques éditoriales. Ces lettres du ministère de la Justice ciblent des membres éminents du complexe biopharmaceutique au sujet de conflits financiers, de rétractations injustifiées et de la suppression de données sur la sécurité des vaccins. En substance, les revues sont devenues des vecteurs de promotion des vaccins. Aucune des principales revues n'a publié de manuscrit concluant que les risques l'emportaient sur les bénéfices de la vaccination, malgré des articles plus complets publiés ailleurs et établissant la vérité. Par conséquent, le lectorat médical et le grand public ont été dupés en croyant que les vaccins contre la COVID-19 étaient « sûrs et efficaces », alors que rien n'était plus faux... https://www.thefocalpoints.com/p/breaking-doj-launches-investigation
19.04.202511:33
3/3 Concentrons-nous sur les cas de myocardite après injections anti-COVID. Vous vous souvenez combien de médecins ont commencé à dire qu’il s’agissait d’une « myocardite légère » ? Eh bien, nous l'avons déjà expliqué ici que cela n'existe pas, que les cellules musculaires du cœur meurent et que le tissu ne se régénère pas, et qu'il est remplacé par du matériel fibreux, de sorte que même si la personne affectée peut penser qu'elle est en bonne santé, au moment où elle fait un effort qui augmente son débit cardiaque (c'est-à-dire que son cœur doit battre plus fort et plus vite à cause, disons, de la course), ce tissu fibrotique ne permet pas au cœur de se contracter correctement, il n'y a donc aucun moyen de répondre à la demande de plus d'oxygène, et il peut y avoir une syncope ou une mort subite. Voilà à quel point une myocardite peut être « légère » !
Eh bien, le fait que les rapports de myocardite après les « vaccins » contre la COVID-19 soient 1152 fois plus fréquents que ceux après les vaccins contre la grippe implique un risque plus élevé. Et quand je dis plus grand, je veux dire un risque accru de 115% par rapport aux vaccins contre la grippe. L’article expose et résume une grande partie de ce que l'on a dit sur ce canal (et bien d’autres). Ce qu’il présente n’est pas nouveau, mais je trouve la publication très précieuse pour plusieurs raisons. Tout d'abord, le professeur János Szebeni est hautement reconnu, avec près de 200 publications et plus de 12 000 citations de son travail (https://sciprofiles.com/profile/880989). Disons simplement qu’il n’y a aucun moyen (du moins aucun moyen honnête) de le considérer comme un « négationniste du complot ». Puis, l'article a été publié dans le cadre d'un numéro spécial de la revue (qui, soit dit en passant, est plutôt pro-officiel) sur les injections à ARNm. Ce n'est pas une mince affaire que de proposer dans ce numéro une revue plutôt critique des effets nocifs de ces produits.
Monsieur le ministre de la Santé Yannick Neuder, transmettez l'article à vos connaissances, médecins et personnes exerçant des professions connexes qui n'ont pas voulu lire ou écouter quoi que ce soit de la part de personnes qu'ils considèrent comme des théoriciens du complot (https://doi.org/10.3390/pharmaceutics17040450). Peut-être qu’à travers cette voix plus "officielle", ils commenceront à écouter, à bien y réfléchir et vous avec.... ou peut-être pas ! Après tout, ces injections ne peuvent provoquer que des effets indésirables mineurs, n’est-ce pas ?
Eh bien, le fait que les rapports de myocardite après les « vaccins » contre la COVID-19 soient 1152 fois plus fréquents que ceux après les vaccins contre la grippe implique un risque plus élevé. Et quand je dis plus grand, je veux dire un risque accru de 115% par rapport aux vaccins contre la grippe. L’article expose et résume une grande partie de ce que l'on a dit sur ce canal (et bien d’autres). Ce qu’il présente n’est pas nouveau, mais je trouve la publication très précieuse pour plusieurs raisons. Tout d'abord, le professeur János Szebeni est hautement reconnu, avec près de 200 publications et plus de 12 000 citations de son travail (https://sciprofiles.com/profile/880989). Disons simplement qu’il n’y a aucun moyen (du moins aucun moyen honnête) de le considérer comme un « négationniste du complot ». Puis, l'article a été publié dans le cadre d'un numéro spécial de la revue (qui, soit dit en passant, est plutôt pro-officiel) sur les injections à ARNm. Ce n'est pas une mince affaire que de proposer dans ce numéro une revue plutôt critique des effets nocifs de ces produits.
Monsieur le ministre de la Santé Yannick Neuder, transmettez l'article à vos connaissances, médecins et personnes exerçant des professions connexes qui n'ont pas voulu lire ou écouter quoi que ce soit de la part de personnes qu'ils considèrent comme des théoriciens du complot (https://doi.org/10.3390/pharmaceutics17040450). Peut-être qu’à travers cette voix plus "officielle", ils commenceront à écouter, à bien y réfléchir et vous avec.... ou peut-être pas ! Après tout, ces injections ne peuvent provoquer que des effets indésirables mineurs, n’est-ce pas ?
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Bon Sens

17.04.202517:04
VACCINS AUTO-DISSÉMINÉS ?
Voici une nouvelle découverte importante. La preuve du transfert par aérosol de l'immunité humorale spécifique au SRAS-CoV2. L'on sait que les virus peuvent être transmis par voie aérienne mais maintenant également les ANTICORPS !!
Cette nouvelle étude démontre un transfert d'anticorps par aérosol, "... UN MÉCANISME TOTALEMENT MÉCONNU..." 😳😳
Ces anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2 ont été trouvés dans l'élution* de masques chirurgicaux portés par des membres de laboratoire vaccinés donnés à la fin d'une journée de travail....
Récapitulons, l'immunité humorale est un type d'immunité, constituée d'anticorps, (immunoglobulines), et de compléments. Ce type d'immunité appelée aussi immunité à médiation humorale ou acquise, se fait par voie sanguine et fait intervenir certains globules blancs, en particulier les lymphocytes B, qui se transforment en plasmocytes, capables de fabriquer des anticorps. Contrairement à l'immunité innée, elle est spécifique de l'agent qui l'a induite dans le passé. L'organisme répond à chaque fois qu'il rencontre à nouveau cet agent. La deuxième réponse immunitaire à l'agent est généralement supérieure à la première....
L'immunité acquise se caractérise donc par une mémoire immunitaire et une spécificité. LA VACCINATION REPOSE SUR LE PRINCIPE DE CETTE MÉMOIRE IMMUNITAIRE. De la même façon, le fait d'avoir déjà contracté une maladie comme la varicelle immunise l'individu grâce à l'immunité acquise.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.04.28.22274443v1.full-text
Concernant le vaccin Covid (auto-disséminé ?) il a été constaté que des enfants NON VACCINÉS d'adultes VACCINÉS avaient des anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2. Les enfants d'adultes NON VACCINÉS n'en avaient pas. Les parents qui ont reçu le vaccin COVID semblent transmettre des anticorps dans l'aérosol expiré. Les "complotistes" n'étaient DONC pas si fantasques que ça !! Pour mémoire, Aviez-vous entendu parler du vaccin auto-disséminé qui peut être transmis par voie aérienne ou par le toucher ???
Pour info, les études sur ce que l'on appelle les vaccins auto-disséminés sont à nouveau d'actualité. Des scientifiques développent actuellement des "vaccins contagieux" qui peuvent se propager de vaccinés à non vaccinés !!
TOUT EST LÀ, via
1-https://t.me/vivrecorrectement/2313
2-https://t.me/vivrecorrectement/3495
*L'élution est un procédé permettant de mettre en solution (dite éluée) un composé adsorbé à l'aide d'un solvant (ou un chélateur) nommé l'éluant.
Voici une nouvelle découverte importante. La preuve du transfert par aérosol de l'immunité humorale spécifique au SRAS-CoV2. L'on sait que les virus peuvent être transmis par voie aérienne mais maintenant également les ANTICORPS !!
Cette nouvelle étude démontre un transfert d'anticorps par aérosol, "... UN MÉCANISME TOTALEMENT MÉCONNU..." 😳😳
Ces anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2 ont été trouvés dans l'élution* de masques chirurgicaux portés par des membres de laboratoire vaccinés donnés à la fin d'une journée de travail....
Récapitulons, l'immunité humorale est un type d'immunité, constituée d'anticorps, (immunoglobulines), et de compléments. Ce type d'immunité appelée aussi immunité à médiation humorale ou acquise, se fait par voie sanguine et fait intervenir certains globules blancs, en particulier les lymphocytes B, qui se transforment en plasmocytes, capables de fabriquer des anticorps. Contrairement à l'immunité innée, elle est spécifique de l'agent qui l'a induite dans le passé. L'organisme répond à chaque fois qu'il rencontre à nouveau cet agent. La deuxième réponse immunitaire à l'agent est généralement supérieure à la première....
L'immunité acquise se caractérise donc par une mémoire immunitaire et une spécificité. LA VACCINATION REPOSE SUR LE PRINCIPE DE CETTE MÉMOIRE IMMUNITAIRE. De la même façon, le fait d'avoir déjà contracté une maladie comme la varicelle immunise l'individu grâce à l'immunité acquise.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.04.28.22274443v1.full-text
Concernant le vaccin Covid (auto-disséminé ?) il a été constaté que des enfants NON VACCINÉS d'adultes VACCINÉS avaient des anticorps spécifiques anti-SARS-CoV-2. Les enfants d'adultes NON VACCINÉS n'en avaient pas. Les parents qui ont reçu le vaccin COVID semblent transmettre des anticorps dans l'aérosol expiré. Les "complotistes" n'étaient DONC pas si fantasques que ça !! Pour mémoire, Aviez-vous entendu parler du vaccin auto-disséminé qui peut être transmis par voie aérienne ou par le toucher ???
Pour info, les études sur ce que l'on appelle les vaccins auto-disséminés sont à nouveau d'actualité. Des scientifiques développent actuellement des "vaccins contagieux" qui peuvent se propager de vaccinés à non vaccinés !!
TOUT EST LÀ, via
1-https://t.me/vivrecorrectement/2313
2-https://t.me/vivrecorrectement/3495
*L'élution est un procédé permettant de mettre en solution (dite éluée) un composé adsorbé à l'aide d'un solvant (ou un chélateur) nommé l'éluant.
17.04.202510:32
3/3 Leur étude montre (en fait, elle s’ajoute à de nombreuses autres études) que l’ARNm synthétique issu de ces injections persiste définitivement dans les cellules des personnes vaccinées. Plus précisément, dans cette étude, ils montrent qu’il persiste jusqu’à 17 mois dans les cellules des artères cérébrales. Ils affirment textuellement que « la production de la protéine Spike dans les parois artérielles du cerveau persiste plus longtemps que prévu » et que « le comportement réel des vaccins à ARNm dans le corps humain pourrait différer de ce que l’on croyait auparavant ». Autrement dit, un peu plus de quatre ans après l’autorisation de ces produits, ils remettent en question leur « profil de sécurité ». Ota et ses collaborateurs sont un peu lents, mais bon, je suppose qu'il vaut mieux tard que jamais.
Ils ont inclus une section « Limites de leur étude », mais je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils disent. En substance, comme ils ont également détecté Spike chez des individus non vaccinés, ils disent qu'ils ne peuvent pas exclure que ce qu'ils ont observé soit dû au virus et non au vaccin. Je ne suis pas d'accord. D’une part, ils ont détecté l’ARNm du vaccin, puis autre côté, ils ignorent complètement la possibilité d’une transmission d’ARNm synthétique d’une personne vaccinée à une personne non vaccinée. D'une manière ou d'une autre, en incluant ce paragraphe, ils ont réussi à faire accepter leur article, mais cela tente de minimiser leurs conclusions. Une vraie honte !
Je me demande à quel point il est puissant et tragique qu’une personne ayant reçu sa dernière dose il y a 17 mois puisse développer un infarctus hémorragique cérébral. C'est pourquoi je trouve tragiques les appels officiels pour que les gens reçoivent leur nouvelle dose de rappel. S'ils étaient au moins honnêtes et incluaient une clause de non-responsabilité disant « Ces produits augmentent le risque de cancer, d'infarctus hémorragiques cérébraux, de troubles de la reproduction, de maladies auto-immunes et de troubles psychiatriques », ils pourraient peut-être être considérés avec moins de culpabilité pour ce qui, pour moi du moins, constitue un crime contre l'humanité, peut-être le plus grand crime organisé contre l'Homo sapiens de notre histoire... https://t.me/vivrecorrectement/6239
Ils ont inclus une section « Limites de leur étude », mais je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils disent. En substance, comme ils ont également détecté Spike chez des individus non vaccinés, ils disent qu'ils ne peuvent pas exclure que ce qu'ils ont observé soit dû au virus et non au vaccin. Je ne suis pas d'accord. D’une part, ils ont détecté l’ARNm du vaccin, puis autre côté, ils ignorent complètement la possibilité d’une transmission d’ARNm synthétique d’une personne vaccinée à une personne non vaccinée. D'une manière ou d'une autre, en incluant ce paragraphe, ils ont réussi à faire accepter leur article, mais cela tente de minimiser leurs conclusions. Une vraie honte !
Je me demande à quel point il est puissant et tragique qu’une personne ayant reçu sa dernière dose il y a 17 mois puisse développer un infarctus hémorragique cérébral. C'est pourquoi je trouve tragiques les appels officiels pour que les gens reçoivent leur nouvelle dose de rappel. S'ils étaient au moins honnêtes et incluaient une clause de non-responsabilité disant « Ces produits augmentent le risque de cancer, d'infarctus hémorragiques cérébraux, de troubles de la reproduction, de maladies auto-immunes et de troubles psychiatriques », ils pourraient peut-être être considérés avec moins de culpabilité pour ce qui, pour moi du moins, constitue un crime contre l'humanité, peut-être le plus grand crime organisé contre l'Homo sapiens de notre histoire... https://t.me/vivrecorrectement/6239
13.04.202517:27
Pourquoi tant d'effets indésirables (EI) avec cette technologie ARNm ? On en parle toujours pas !! Pourquoi ? Pour les non-initiés, des données probantes, revues par des pairs confirment que les vaccins à ARNm de Pfizer contiennent de l'ADN plasmidique bactérien, notamment l'élément viral potentiellement nocif SV40. Pour les non-initiés... Nous l'avons enfin la toute première preuve scientifique publiée montrant que le vaccin à ARNm, les vaccins Pfizer, était contaminé par de l'ADN plasmidique bactérien et montrant plus précisément que ces plasmides possédaient bien la région promotrice de l'amplification du virus SV40. C'est cet article, https://t.me/vivrecorrectement/6050, le premier article au monde évalué par des pairs qui révélait une contamination de l'ADN du vaccin à ARNm de Pfizer. Ah oui, et en prime, le mystérieux activateur SV40. Eh oui vous savez, cette injection impeccable pour laquelle des millions de personnes se sont retroussé les manches ? Pas si impeccable que ça, après tout. Il ne s'agit pas d'une conspiration farfelue griffonnée sur un mouchoir en papier, mais de véritables données scientifiques publiées. Pour l'instant !
L'histoire de la contamination de l'ADN a commencé il y a plus de deux ans... les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna étaient contaminés par de l'ADN plasmidique bactérien. Nous en avons parlé pour la première fois sur ce canal le 17 mars 2023, https://t.me/vivrecorrectement/4639 puis le 27 mars, https://t.me/vivrecorrectement/4663 lorsque Kevin McKernan a lancé la bombe sur son Substack début 2023. Eh oui, pendant que le grand public dormait, McKernan brandissait le drapeau rouge, et maintenant (surprise !) les preuves évaluées par les pairs ont enfin rattrapé leur retard. Mieux vaut tard que jamais, je suppose. À l'époque, il s'agissait simplement d'articles de sous-titrage qui ont ensuite évolué vers des pré-impressions que les revues médicales ne voulaient pas imprimer de peur d'offenser leurs seigneurs pharmaceutiques, donc aucune preuve solide. Mais cet article change la donne. Il est évalué par des pairs et indéniable... https://t.me/vivrecorrectement/4687
Mais comment cela a-t-il pu arriver ? Voici à nouveau le résumé pour les non-initiés. Lorsque Pfizer a obtenu l'autorisation d'urgence, l'entreprise a utilisé un procédé PCR pour produire l'ARNm nécessaire à ses essais cliniques, ceux qui ont obtenu la médaille d'or d'une « efficacité de 95% » (Process 1). Mais une fois le feu vert donné et la production de milliards de doses nécessaire, elle a changé de méthode (https://t.me/vivrecorrectement/5208, Process 2 ). Ceci n'est pas de la désinformation ou un Fake !! C'est là qu'est apparu l'ADN plasmidique bactérien : des fragments génétiques circulaires insérés dans des bactéries pour produire massivement de l'ARNm. Ces plasmides portaient des gènes de protéines de spicule, des marqueurs de résistance aux antibiotiques et, surprise, des suppléments comme des activateurs/promoteurs du SV40. Pour info, l'Agence européenne des médicaments (EMA) a également confirmé la présence du promoteur SV40 dans le vaccin Pfizer en novembre 2023, https://t.me/vivrecorrectement/5208. Comprenez-vous maintenant pourquoi de plus en plus de scientifiques réclament la suspension des vaccins à ARNm et la responsabilisation face à cette contamination. #PLASMIDGATE
L'histoire de la contamination de l'ADN a commencé il y a plus de deux ans... les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna étaient contaminés par de l'ADN plasmidique bactérien. Nous en avons parlé pour la première fois sur ce canal le 17 mars 2023, https://t.me/vivrecorrectement/4639 puis le 27 mars, https://t.me/vivrecorrectement/4663 lorsque Kevin McKernan a lancé la bombe sur son Substack début 2023. Eh oui, pendant que le grand public dormait, McKernan brandissait le drapeau rouge, et maintenant (surprise !) les preuves évaluées par les pairs ont enfin rattrapé leur retard. Mieux vaut tard que jamais, je suppose. À l'époque, il s'agissait simplement d'articles de sous-titrage qui ont ensuite évolué vers des pré-impressions que les revues médicales ne voulaient pas imprimer de peur d'offenser leurs seigneurs pharmaceutiques, donc aucune preuve solide. Mais cet article change la donne. Il est évalué par des pairs et indéniable... https://t.me/vivrecorrectement/4687
Mais comment cela a-t-il pu arriver ? Voici à nouveau le résumé pour les non-initiés. Lorsque Pfizer a obtenu l'autorisation d'urgence, l'entreprise a utilisé un procédé PCR pour produire l'ARNm nécessaire à ses essais cliniques, ceux qui ont obtenu la médaille d'or d'une « efficacité de 95% » (Process 1). Mais une fois le feu vert donné et la production de milliards de doses nécessaire, elle a changé de méthode (https://t.me/vivrecorrectement/5208, Process 2 ). Ceci n'est pas de la désinformation ou un Fake !! C'est là qu'est apparu l'ADN plasmidique bactérien : des fragments génétiques circulaires insérés dans des bactéries pour produire massivement de l'ARNm. Ces plasmides portaient des gènes de protéines de spicule, des marqueurs de résistance aux antibiotiques et, surprise, des suppléments comme des activateurs/promoteurs du SV40. Pour info, l'Agence européenne des médicaments (EMA) a également confirmé la présence du promoteur SV40 dans le vaccin Pfizer en novembre 2023, https://t.me/vivrecorrectement/5208. Comprenez-vous maintenant pourquoi de plus en plus de scientifiques réclament la suspension des vaccins à ARNm et la responsabilisation face à cette contamination. #PLASMIDGATE


08.04.202512:58
« je t'ai empoisonné, toi et ta famille, et je m'en suis tiré ». En France c'est la même musique... En 2020, ils ont jeté toute la science établie par la fenêtre et ont inventé la Nouvelle Science™. L'immunité naturelle bien établie s'est transformée en une "théorie dangereuse" des "anti-vaccins". Quel dommage que la Covid ait ignoré leur Nouvelle Science™ et suivi la science établie et épargné les non-vaccinés... Ni oubli ni pardon ! Pour la vérité et la justice, SE LEVER. S'EXPRIMER. RÉSISTER. t.me/vivrecorrectement
29.04.202517:56
CELUI QUI BLESSE OUBLIE VITE, MAIS LA PERSONNE QUI PORTE LA CICATRICE N'OUBLIE JAMAIS... Pour que nous ne perdions pas la mémoire ! Ni oubli Ni pardon ! Ce lien https://linktr.ee/nionip regroupe toutes les plates-formes NONP, et est probablement la plus grande archive vidéo sur la manipulation liée à la COVID. La plupart des acteurs y sont répertoriés, pour ne jamais les oublier à ces... On n'oubliera pas ! Justice sera faite ! https://t.me/Ni_Oubli_Ni_Pardon
Une autre archive... À voir ou revoir, le film documentaire « La loi, la liberté » du réalisateur belge Bernard Crutzen, sortie en juin 2022, qui retrace à merveille le scénario du narratif covidien. Manipulation de masse, fausses statistiques, corruptions en tous genres, et autres exclusions sociales qui ont mené les gens du désespoir à l’obéissance. La finesse avec laquelle le réalisateur arrive à restituer les divers niveaux du cauchemar est à relever absolument... https://t.me/vivrecorrectement/3746.
Une autre archive... À voir ou revoir, le film documentaire « La loi, la liberté » du réalisateur belge Bernard Crutzen, sortie en juin 2022, qui retrace à merveille le scénario du narratif covidien. Manipulation de masse, fausses statistiques, corruptions en tous genres, et autres exclusions sociales qui ont mené les gens du désespoir à l’obéissance. La finesse avec laquelle le réalisateur arrive à restituer les divers niveaux du cauchemar est à relever absolument... https://t.me/vivrecorrectement/3746.
19.04.202511:33
2/3 L'auteur a constaté que les cas de myocardite étaient 1152 fois plus fréquents que pour les vaccins contre la grippe, tandis que les cas de thrombose étaient 455 fois plus fréquents, les décès 226 fois plus fréquents, les crises cardiaques 218 fois plus fréquentes, la tachycardie 162 fois plus fréquentes, la dyspnée (difficulté à respirer) 152 fois plus fréquente et l'hypertension 131 fois plus fréquente. Je ne pense pas que quiconque ayant lu ce qui est écrit sur ce canal, ou ayant écouté les séminaires et les présentations de scientifiques/médecins ces dernières années, sera surpris de lire ces données (https://t.me/vivrecorrectement/6094).
L’analyse réalisée par Szebeni est la même que celle réalisée lorsque l'on compare, précisément, les taux de déclaration d’événements indésirables associés à ces injections et aux vaccins contre la grippe au cours de la période pendant laquelle les deux produits ont été utilisés (ainsi, les temps exprimés par année ou par mois sont comparables). C'est une bonne façon de procéder, car il n'y a pas d'informations sur le nombre d'injections administrées (la page VAERS ne présente pas le dénominateur, elle sait seulement combien d'événements ont été signalés), il reste donc à comparer cette fréquence de rapports sur la page avec les mêmes événements associés à un autre produit couramment utilisé et dans les mêmes tranches d'âge (comme le vaccin contre la grippe) et le faire en fonction du temps pendant lequel ils ont été administrés car les injections COVID sont autorisées depuis quatre ans et six mois, tandis que les vaccins contre la grippe existent depuis plus de 30 ans. Les rapports sont donc comparés dans le temps et exprimés en événements indésirables par mois ou par an. Donc oui, ils sont comparables...
L’analyse réalisée par Szebeni est la même que celle réalisée lorsque l'on compare, précisément, les taux de déclaration d’événements indésirables associés à ces injections et aux vaccins contre la grippe au cours de la période pendant laquelle les deux produits ont été utilisés (ainsi, les temps exprimés par année ou par mois sont comparables). C'est une bonne façon de procéder, car il n'y a pas d'informations sur le nombre d'injections administrées (la page VAERS ne présente pas le dénominateur, elle sait seulement combien d'événements ont été signalés), il reste donc à comparer cette fréquence de rapports sur la page avec les mêmes événements associés à un autre produit couramment utilisé et dans les mêmes tranches d'âge (comme le vaccin contre la grippe) et le faire en fonction du temps pendant lequel ils ont été administrés car les injections COVID sont autorisées depuis quatre ans et six mois, tandis que les vaccins contre la grippe existent depuis plus de 30 ans. Les rapports sont donc comparés dans le temps et exprimés en événements indésirables par mois ou par an. Donc oui, ils sont comparables...
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Bon Sens

17.04.202517:04
Avez-vous entendu parler de vaccin auto-disséminé qui peut être transmis par voie aérienne ou par le toucher ???
Pour info, les études sur ce que l'on appelle les vaccins auto-disséminés sont à nouveau d'actualité. Des scientifiques développent actuellement des "vaccins contagieux" qui peuvent se propager de vaccinés à non vaccinés !!
Le National géographic en reparle tout dernièrement dans un de ses articles... Pour mémoire, cette nouvelle technologie avait tout de même fait l’objet d’un article dans la revue scientifique Nature à l’été 2020, et avait déjà été présentée en 2016...
Des groupes de scientifiques développent donc actuellement des "vaccins à propagation automatique" qui pourraient infecter d'autres personnes. L'expérience a été conçue pour propager le vaccin à des personnes non vaccinées à proximité d'une personne vaccinée.
Imaginez un remède aussi contagieux que la maladie qu'il combat, un vaccin qui pourrait se répliquer dans le corps d'un hôte et se propager à d'autres personnes à proximité, protégeant ainsi rapidement et facilement toute une population des attaques microbiennes. C'est l'objectif de plusieurs équipes à travers le monde qui relancent des recherches controversées pour développer des vaccins auto-propagatifs ou auto-disséminés...
L'idée est qu'au lieu qu'un vaccin reste dans le corps d'une personne, le vaccin lui-même l'infecterait de telle manière qu'elle pourrait transmettre la vaccination à d'autres autour d'elle, tout comme elle transmettrait autrement une maladie. Les scientifiques pourraient vacciner une personne ou un animal dans une communauté, et la vaccination se propagerait à ceux qui les entourent. Selon le National Geographic les chercheurs développent actuellement des vaccins à propagation automatique contre Ebola, la tuberculose bovine et la fièvre de Lassa, une maladie virale propagée par les rats qui provoque plus de
300 000 infections par an dans certaines parties de l'Afrique de l'Ouest. L'approche pourrait être élargie pour cibler d'autres maladies zoonotiques, notamment la rage, le virus du Nil occidental, la maladie de Lyme, la peste....... ET !!
Les partisans des vaccins à propagation automatique affirment qu'ils pourraient révolutionner la santé publique en perturbant la propagation des maladies infectieuses chez les animaux avant qu'un débordement zoonotique ne se produise, empêchant potentiellement la prochaine pandémie. 🤪🤪
La quête controversée de fabriquer un vaccin «contagieux» ⬇️⬇️
https://www.nationalgeographic.com/science/article/the-controversial-quest-to-make-a-contagious-vaccine
Voici l'étude parue dans Nature, qui avait pour conclusion, « nous ne savons pas encore grand-chose sur la performance des vaccins auto-disséminés dans des conditions réelles. L'investissement financier requis pour développer et tester la première génération de vaccins transmissibles sera probablement substantiel »
Vaccins auto-disséminés pour supprimer les zoonoses ⬇️⬇️
https://www.nature.com/articles/s41559-020-1254-y?error=cookies_not_supported&code=c599bcf8-11f1-46df-9ed6-ef514a02f739
A la découverte des vaccins auto-disséminés, via https://t.me/vivrecorrectement/2313
Pour info, les études sur ce que l'on appelle les vaccins auto-disséminés sont à nouveau d'actualité. Des scientifiques développent actuellement des "vaccins contagieux" qui peuvent se propager de vaccinés à non vaccinés !!
Le National géographic en reparle tout dernièrement dans un de ses articles... Pour mémoire, cette nouvelle technologie avait tout de même fait l’objet d’un article dans la revue scientifique Nature à l’été 2020, et avait déjà été présentée en 2016...
Des groupes de scientifiques développent donc actuellement des "vaccins à propagation automatique" qui pourraient infecter d'autres personnes. L'expérience a été conçue pour propager le vaccin à des personnes non vaccinées à proximité d'une personne vaccinée.
Imaginez un remède aussi contagieux que la maladie qu'il combat, un vaccin qui pourrait se répliquer dans le corps d'un hôte et se propager à d'autres personnes à proximité, protégeant ainsi rapidement et facilement toute une population des attaques microbiennes. C'est l'objectif de plusieurs équipes à travers le monde qui relancent des recherches controversées pour développer des vaccins auto-propagatifs ou auto-disséminés...
L'idée est qu'au lieu qu'un vaccin reste dans le corps d'une personne, le vaccin lui-même l'infecterait de telle manière qu'elle pourrait transmettre la vaccination à d'autres autour d'elle, tout comme elle transmettrait autrement une maladie. Les scientifiques pourraient vacciner une personne ou un animal dans une communauté, et la vaccination se propagerait à ceux qui les entourent. Selon le National Geographic les chercheurs développent actuellement des vaccins à propagation automatique contre Ebola, la tuberculose bovine et la fièvre de Lassa, une maladie virale propagée par les rats qui provoque plus de
300 000 infections par an dans certaines parties de l'Afrique de l'Ouest. L'approche pourrait être élargie pour cibler d'autres maladies zoonotiques, notamment la rage, le virus du Nil occidental, la maladie de Lyme, la peste....... ET !!
Les partisans des vaccins à propagation automatique affirment qu'ils pourraient révolutionner la santé publique en perturbant la propagation des maladies infectieuses chez les animaux avant qu'un débordement zoonotique ne se produise, empêchant potentiellement la prochaine pandémie. 🤪🤪
La quête controversée de fabriquer un vaccin «contagieux» ⬇️⬇️
https://www.nationalgeographic.com/science/article/the-controversial-quest-to-make-a-contagious-vaccine
Voici l'étude parue dans Nature, qui avait pour conclusion, « nous ne savons pas encore grand-chose sur la performance des vaccins auto-disséminés dans des conditions réelles. L'investissement financier requis pour développer et tester la première génération de vaccins transmissibles sera probablement substantiel »
Vaccins auto-disséminés pour supprimer les zoonoses ⬇️⬇️
https://www.nature.com/articles/s41559-020-1254-y?error=cookies_not_supported&code=c599bcf8-11f1-46df-9ed6-ef514a02f739
A la découverte des vaccins auto-disséminés, via https://t.me/vivrecorrectement/2313
17.04.202510:32
2/3 Finalement, il est désormais bien connu, grâce à de nombreuses études indépendantes, que l’ARNm synthétique persiste dans les cellules, que l’information génétique contenant les instructions pour produire cette protéine étrangère est potentiellement intégrée, et que cela se produit par deux processus indépendants. La production de protéines Spike est constatée pendant des années après avoir reçu l'injection, dans de nombreux tissus différents.
Qu'ont fait Ota et ses collaborateurs ? Il s'agissait d'une étude rétrospective-prospective qui incluait des patients atteints d'infarctus hémorragique ou décédés après une intervention chirurgicale pour infarctus hémorragique à l'hôpital Sapporo Tieshinkai (Tokyo, Japon) entre mars 2023 et avril 2024. Au cours d’une opération chirurgicale ou d’une autopsie, ils ont prélevé du tissu cérébral et d’autres échantillons de tissus endommagés. Ils connaissaient le statut vaccinal (y compris la dose, la date, le type de vaccin et le lot) de 18 des 19 patients (chez l'un d'eux, ils n'avaient pas la date de vaccination mais ont estimé, à partir des informations données par les proches, qu'il avait été vacciné 15 mois avant l'opération qui, malheureusement, s'est terminée par le décès du patient).
Pourquoi l’ont-ils fait ? Dans leur introduction, ils expliquent que, comme ces injections ont été autorisés en urgence pendant la pandémie de COVID-19, il n’y avait aucune expérience préalable avec la technologie des « vaccins » à ARNm et donc une expérience (et des connaissances) limitées sur leur sécurité à long terme... C’est très frustrant de voir cela publié en 2025 alors que certains d’entre nous disaient précisément cela fin 2020, avant que les gens ne fassent la queue pour se faire vacciner, mais bon...
Qu'ont-ils trouvé ? Parmi les 19 patients ayant subi un infarctus hémorragique, 16 avaient été vaccinés avec l'ARNm (en moyenne, quatre doses) et une moyenne de 10,8 mois s'étaient écoulés entre la dernière vaccination et l'infarctus hémorragique. Il est important de noter que l’âge moyen des patients n’était pas si élevé. Sept des 16 patients vaccinés avec l’ARNm (soit 44%) présentaient la protéine Spike du vaccin dans leurs tissus cérébraux endommagés. Ils ont découvert qu'il s'agissait de la protéine Spike générée par l'ARNm-1273 (Moderna) ou BNT162b2 (Pfizer) puisqu'il y avait de l'ARNm du vaccin dans les cellules, même si des mois s'étaient écoulés (jusqu'à 17 mois dans un cas). Il est intéressant de noter que sur les 3 patients qui n’ont pas reçu de vaccins à ARNm, 2 (67%) avaient également la protéine Spike dans leurs tissus cérébraux. Il n’a pas été possible de déterminer si ces trois patients avaient été vaccinés. Cela impliquerait que même s'ils n'étaient pas vaccinés, ils sont entrés en contact avec l'ARNm du vaccin, ce qui a provoqué les mêmes effets que les personnes vaccinées.
Qu'ont fait Ota et ses collaborateurs ? Il s'agissait d'une étude rétrospective-prospective qui incluait des patients atteints d'infarctus hémorragique ou décédés après une intervention chirurgicale pour infarctus hémorragique à l'hôpital Sapporo Tieshinkai (Tokyo, Japon) entre mars 2023 et avril 2024. Au cours d’une opération chirurgicale ou d’une autopsie, ils ont prélevé du tissu cérébral et d’autres échantillons de tissus endommagés. Ils connaissaient le statut vaccinal (y compris la dose, la date, le type de vaccin et le lot) de 18 des 19 patients (chez l'un d'eux, ils n'avaient pas la date de vaccination mais ont estimé, à partir des informations données par les proches, qu'il avait été vacciné 15 mois avant l'opération qui, malheureusement, s'est terminée par le décès du patient).
Pourquoi l’ont-ils fait ? Dans leur introduction, ils expliquent que, comme ces injections ont été autorisés en urgence pendant la pandémie de COVID-19, il n’y avait aucune expérience préalable avec la technologie des « vaccins » à ARNm et donc une expérience (et des connaissances) limitées sur leur sécurité à long terme... C’est très frustrant de voir cela publié en 2025 alors que certains d’entre nous disaient précisément cela fin 2020, avant que les gens ne fassent la queue pour se faire vacciner, mais bon...
Qu'ont-ils trouvé ? Parmi les 19 patients ayant subi un infarctus hémorragique, 16 avaient été vaccinés avec l'ARNm (en moyenne, quatre doses) et une moyenne de 10,8 mois s'étaient écoulés entre la dernière vaccination et l'infarctus hémorragique. Il est important de noter que l’âge moyen des patients n’était pas si élevé. Sept des 16 patients vaccinés avec l’ARNm (soit 44%) présentaient la protéine Spike du vaccin dans leurs tissus cérébraux endommagés. Ils ont découvert qu'il s'agissait de la protéine Spike générée par l'ARNm-1273 (Moderna) ou BNT162b2 (Pfizer) puisqu'il y avait de l'ARNm du vaccin dans les cellules, même si des mois s'étaient écoulés (jusqu'à 17 mois dans un cas). Il est intéressant de noter que sur les 3 patients qui n’ont pas reçu de vaccins à ARNm, 2 (67%) avaient également la protéine Spike dans leurs tissus cérébraux. Il n’a pas été possible de déterminer si ces trois patients avaient été vaccinés. Cela impliquerait que même s'ils n'étaient pas vaccinés, ils sont entrés en contact avec l'ARNm du vaccin, ce qui a provoqué les mêmes effets que les personnes vaccinées.
11.04.202518:28
Les soi-disant professionnels de la santé qui dirigent les programmes de vaccination contre la COVID dans le monde entier ne cessent de répéter que « le vaccin contre la COVID est un vaccin normal, sûr et efficace »
En réponse à leur annonce, voici une liste non exhaustive et en constante augmentation de jeunes athlètes, principalement jeunes, qui ont eu des problèmes médicaux majeurs en 2021/2022/2023/2024 après avoir reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID. Initialement, beaucoup de ces problèmes n'ont pas été signalés. Nous savons que de nombreuses personnes ont été invitées à ne parler à personne de leurs effets indésirables et que les médias n'en parlaient pas. Ces effets ont commencé à se produire et à s'intensifier après les premières vaccinations contre la COVID. Les médias grand public n'en parlent toujours pas, mais l'actualité sportive ne peut ignorer le fait que des footballeurs et autres stars s'effondrent en plein match suite à un arrêt cardiaque soudain. Nombre d'entre eux décèdent... Depuis le début des injections Covid, des scientifiques indépendants documentent le lien entre le traitement par ARNm et les athlètes qui ont de graves problèmes de santé ou sont décédés. Près de 2111 cas ont été documentés à ce jour dont 1483 décès. Ce n'est probablement que la pointe de l'iceberg. Pour les sceptiques qui croient que c'est normal, n'hésitez pas à répéter les 18 mots suivants, après avoir lu chaque nom de cette liste, https://t.me/vivrecorrectement/5647. Répétez ceci après avoir lu chaque ligne, « Le vaccin contre la COVID est un vaccin normal. Il est sûr. Ces blessures et ces décès sont normaux. » 🤡🤡
En réponse à leur annonce, voici une liste non exhaustive et en constante augmentation de jeunes athlètes, principalement jeunes, qui ont eu des problèmes médicaux majeurs en 2021/2022/2023/2024 après avoir reçu un ou plusieurs vaccins contre la COVID. Initialement, beaucoup de ces problèmes n'ont pas été signalés. Nous savons que de nombreuses personnes ont été invitées à ne parler à personne de leurs effets indésirables et que les médias n'en parlaient pas. Ces effets ont commencé à se produire et à s'intensifier après les premières vaccinations contre la COVID. Les médias grand public n'en parlent toujours pas, mais l'actualité sportive ne peut ignorer le fait que des footballeurs et autres stars s'effondrent en plein match suite à un arrêt cardiaque soudain. Nombre d'entre eux décèdent... Depuis le début des injections Covid, des scientifiques indépendants documentent le lien entre le traitement par ARNm et les athlètes qui ont de graves problèmes de santé ou sont décédés. Près de 2111 cas ont été documentés à ce jour dont 1483 décès. Ce n'est probablement que la pointe de l'iceberg. Pour les sceptiques qui croient que c'est normal, n'hésitez pas à répéter les 18 mots suivants, après avoir lu chaque nom de cette liste, https://t.me/vivrecorrectement/5647. Répétez ceci après avoir lu chaque ligne, « Le vaccin contre la COVID est un vaccin normal. Il est sûr. Ces blessures et ces décès sont normaux. » 🤡🤡


06.04.202512:01
🛑 OMS, organisation supranationale fantôme qui, sans aucune légitimité démocratique, a tenté (sous couvert de protection de la santé) de s’emparer du pouvoir de gouvernance mondial tout en privant de tout pouvoir tous les parlements nationaux. Cet objectif devait être atteint grâce au fameux traité de l'OMS. C'est-à-dire si l'OMS déclare un état d'urgence mondial, elle doit immédiatement se voir conférer le pouvoir de gouverner dans tous les États membres. Aussi longtemps qu'elle le juge nécessaire ! Heureusement, nous avons jusqu’à présent (les Complotistes) réussi à empêcher une telle prise de pouvoir totalitaire à l’échelle mondiale grâce à notre résistance déterminée. Mais l'idée est loin d'être morte (vidéo) Elle continue de hanter les couloirs et les commissions du Parlement européen, tel un zombie idéologique. Animée par le désir de propager à nouveau le poison du totalitarisme la prochaine fois qu'il se manifestera. Le zombie a refait surface au sein du Comité de la santé de l'UE (SANT) Découvrez le !
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