Leur Honneur s'appelle Fidélité
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14.05.202512:36
Lyon, 14 mai 1944.
Au Vélodrome de la Tête d'Or à Lyon, Monsieur Philippe Henriot a parlé de la politique du Gouvernement devant plus de 10.000 auditeurs qui manifestèrent à maintes reprises, par de chaleureux applaudissements, leur communion d'idées avec le Secrétaire d'État à l'Information.
Votre fidèle serviteur, Franz.
Au Vélodrome de la Tête d'Or à Lyon, Monsieur Philippe Henriot a parlé de la politique du Gouvernement devant plus de 10.000 auditeurs qui manifestèrent à maintes reprises, par de chaleureux applaudissements, leur communion d'idées avec le Secrétaire d'État à l'Information.
Votre fidèle serviteur, Franz.
14.05.202512:30
Discours de Philippe Henriot à Lyon, le 14 mai 1944.
Film d'actualité diffusé le 19 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002711/discours-de-philippe-henriot-a-lyon
Votre fidèle serviteur, Franz.
Film d'actualité diffusé le 19 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002711/discours-de-philippe-henriot-a-lyon
Votre fidèle serviteur, Franz.
13.05.202519:18
« L'Europe doit former un bloc indissoluble contre la menace bolchevique », a déclaré M. Philippe Henriot au cours de l'inauguration à Toulouse de l'exposition internationale : « Le bolchevisme contre l'Europe ».
Une attitude du Ministre de la propagande au cours de son discours dans la salle du Capitole de Toulouse.
Votre fidèle serviteur, Franz.
Une attitude du Ministre de la propagande au cours de son discours dans la salle du Capitole de Toulouse.
Votre fidèle serviteur, Franz.
13.05.202519:14
Discours de Philippe Henriot sur le danger communiste, prononcé au Capitole de Toulouse le 7 mai 1944.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=0ABVdGFTLjk
Votre fidèle serviteur, Franz.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=0ABVdGFTLjk
Votre fidèle serviteur, Franz.
08.05.202505:46
Ce 8 mai 1945, à Bad Reichenhall, 12 Waffen Français sont sommairement assasinés par un Général Français.
L'éxécution à eu lieu vers 17 heures, peu avant l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, dans une petite clairière jouxtant le chemin de Kugelbach.
Tous refusèrent de se laisser bander les yeux et moururent en criant "Vive la France !"
Leur Honneur s'appelle Fidélité,
Léon 🇨🇵🕊
L'éxécution à eu lieu vers 17 heures, peu avant l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, dans une petite clairière jouxtant le chemin de Kugelbach.
Tous refusèrent de se laisser bander les yeux et moururent en criant "Vive la France !"
Leur Honneur s'appelle Fidélité,
Léon 🇨🇵🕊
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MEMORIA NATIO
07.05.202509:49
🏴☠️ Le 7 mai 1994, le GUD et les JNR appellent à manifester à Paris, à l’occasion du cinquantième anniversaire du débarquement.
Sous le slogan « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ! », l’objectif est clair : refuser l’humiliation, la soumission, et la mise en scène d’une Europe agenouillée devant les Américains. La manifestation est interdite à la dernière minute par le préfet. Pourtant, les militants se retrouvent comme prévu.
Dans le jardin du Luxembourg, des groupes se préparent. L’atmosphère est tendue mais déterminée : « On prend le métro, on sort à Denfert-Rochereau, et on occupe le carrefour. » En quelques instants, des dizaines de militants rejoignent la station, récupèrent banderoles et drapeaux. L’action commence.
À la sortie du métro, la place est encore dégagée. Mais très vite, les premiers cars de police arrivent. Les militants se déploient et bloquent le carrefour. Drapeaux à croix celtiques, slogans anti-impérialistes : le pavé parisien est occupé. Face à eux, les unités anti-émeutes se déploient, bientôt renforcées par les CRS.
L’encerclement se met en place. Peu à peu, les forces de l’ordre repoussent les manifestants vers une artère. Certains refusent de reculer et forment un carré. Ce jour-là, 113 arrestations sont recensées. La confrontation se termine dans une impasse, mais la traque se poursuit.
Parmi ceux qui tentent d’échapper à la répression : Sébastien, militant de l’Œuvre française, 22 ans. Poursuivi par des policiers en civil, il cherche refuge au 4 rue des Chartreux. Il grimpe dans l’immeuble, monte les étages, tente de fuir par les toits. Entre le quatrième et le cinquième étage, il chute.
A-t-il glissé ? A-t-il été poussé ? La police parle d’accident. Mais la vérité, nous la connaissons : cette mort est le résultat direct d’une traque, d’un acharnement, d’un ordre de ne faire aucun quartier. Il meurt deux jours plus tard, le 9 mai, à l’hôpital. Ce jour-là, la colère éclate.
Une gerbe est déposée devant l’immeuble. À Assas, les cours sont interrompus. Des piles du Figaro sont brûlées. Le Comité du 9 Mai (C9M) est fondé. Il exige la vérité et la démission de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur. Les réactions s’organisent dans toute la mouvance, dans l’urgence et la détermination.
Le 11 mai, une cinquantaine de militants occupent les locaux de Fun Radio, à l’heure de grande écoute. Pendant plus de trente minutes, l’antenne est monopolisée pour briser le silence médiatique. D’autres, en parallèle, occupent la salle du Conseil général des Hauts-de-Seine, présidée par Pasqua.
Le 16 mai, une marche silencieuse rassemble près de deux mille personnes, dans la dignité et le recueillement. Aucun incident. Juste le silence des cœurs blessés, en mémoire d’un camarade tombé. Le souvenir de Sébastien devient un point de ralliement.
Depuis, chaque année, les nationalistes lui rendent hommage. Sébastien était un militant conscient, déterminé, fidèle à ses idées jusqu’au bout. Parce qu’il a payé de sa vie son engagement pour une Europe libre. Parce que cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous.
Il savait où il allait. Ce n’était pas une erreur, c’était un choix. Quand l’État matraque, rafle, pourchasse, il ne reste plus qu'à tenir. Il l’a fait. Jusqu’au bout. Sébastien Deyzieu, ton nom est inscrit dans nos mémoires. Nous ne t’oublierons pas.
🕊️ @MemoriaNatio
🕊 @MemoriaNatio2
Sous le slogan « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ! », l’objectif est clair : refuser l’humiliation, la soumission, et la mise en scène d’une Europe agenouillée devant les Américains. La manifestation est interdite à la dernière minute par le préfet. Pourtant, les militants se retrouvent comme prévu.
Dans le jardin du Luxembourg, des groupes se préparent. L’atmosphère est tendue mais déterminée : « On prend le métro, on sort à Denfert-Rochereau, et on occupe le carrefour. » En quelques instants, des dizaines de militants rejoignent la station, récupèrent banderoles et drapeaux. L’action commence.
À la sortie du métro, la place est encore dégagée. Mais très vite, les premiers cars de police arrivent. Les militants se déploient et bloquent le carrefour. Drapeaux à croix celtiques, slogans anti-impérialistes : le pavé parisien est occupé. Face à eux, les unités anti-émeutes se déploient, bientôt renforcées par les CRS.
L’encerclement se met en place. Peu à peu, les forces de l’ordre repoussent les manifestants vers une artère. Certains refusent de reculer et forment un carré. Ce jour-là, 113 arrestations sont recensées. La confrontation se termine dans une impasse, mais la traque se poursuit.
Parmi ceux qui tentent d’échapper à la répression : Sébastien, militant de l’Œuvre française, 22 ans. Poursuivi par des policiers en civil, il cherche refuge au 4 rue des Chartreux. Il grimpe dans l’immeuble, monte les étages, tente de fuir par les toits. Entre le quatrième et le cinquième étage, il chute.
A-t-il glissé ? A-t-il été poussé ? La police parle d’accident. Mais la vérité, nous la connaissons : cette mort est le résultat direct d’une traque, d’un acharnement, d’un ordre de ne faire aucun quartier. Il meurt deux jours plus tard, le 9 mai, à l’hôpital. Ce jour-là, la colère éclate.
Une gerbe est déposée devant l’immeuble. À Assas, les cours sont interrompus. Des piles du Figaro sont brûlées. Le Comité du 9 Mai (C9M) est fondé. Il exige la vérité et la démission de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur. Les réactions s’organisent dans toute la mouvance, dans l’urgence et la détermination.
Le 11 mai, une cinquantaine de militants occupent les locaux de Fun Radio, à l’heure de grande écoute. Pendant plus de trente minutes, l’antenne est monopolisée pour briser le silence médiatique. D’autres, en parallèle, occupent la salle du Conseil général des Hauts-de-Seine, présidée par Pasqua.
Le 16 mai, une marche silencieuse rassemble près de deux mille personnes, dans la dignité et le recueillement. Aucun incident. Juste le silence des cœurs blessés, en mémoire d’un camarade tombé. Le souvenir de Sébastien devient un point de ralliement.
Depuis, chaque année, les nationalistes lui rendent hommage. Sébastien était un militant conscient, déterminé, fidèle à ses idées jusqu’au bout. Parce qu’il a payé de sa vie son engagement pour une Europe libre. Parce que cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous.
Il savait où il allait. Ce n’était pas une erreur, c’était un choix. Quand l’État matraque, rafle, pourchasse, il ne reste plus qu'à tenir. Il l’a fait. Jusqu’au bout. Sébastien Deyzieu, ton nom est inscrit dans nos mémoires. Nous ne t’oublierons pas.
🕊️ @MemoriaNatio
🕊 @MemoriaNatio2
07.05.202509:49
Paix à son âme 🙏🏻
Votre fidèle serviteur, Franz.
Votre fidèle serviteur, Franz.
01.05.202521:22
Marcel Déat à l'Arc de Triomphe et au Palais de Chaillot, le 1er mai 1944.
Film d'actualité diffusé le 5 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86004378/journal-france-actualites-emission-du-5-mai-1944
Votre fidèle serviteur, Franz.
Film d'actualité diffusé le 5 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86004378/journal-france-actualites-emission-du-5-mai-1944
Votre fidèle serviteur, Franz.
01.05.202521:20
Fête du Travail, le 1er mai 1944.
Film d'actualité diffusé le 5 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86004378/journal-france-actualites-emission-du-5-mai-1944
Votre fidèle serviteur, Franz.
Film d'actualité diffusé le 5 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86004378/journal-france-actualites-emission-du-5-mai-1944
Votre fidèle serviteur, Franz.
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Catholique NS
25.04.202514:15
Déclaration du cardinal Alfred Baudrillart publiée dans le journal Toute la Vie, le 7 août 1941
« [...] voici qu'un grand appel d'air s'élève, tourbillonne, commence de balayer et d'assainir. Le temps de la colère ("tempus iracundiae") est enfin venu ! Le monde chrétien et civilisé se dresse dans un élan formidable pour défendre et sauver notre antique société chrétienne en péril de bolchevisation, c'est-à-dire en péril de mort.
Quelle sera, après tant de tourments intérieurs, l'attitude effective et définitive de la France ? Ne nous occupons pas ici de contingences politiques, d'intérêts particuliers. N'envisageons que le bien général qui, tôt ou tard, finit par retomber en pluie bienfaisante et féconde sur le champ de chacun.
Prêtre et Français, comment, dans un moment aussi décisif, refuserais-je d'approuver la noble entreprise commune, dirigée par l'Allemagne, susceptible de délivrer la Russie de la gangue qui depuis 25 ans tient enserré, étouffé, son vieux fonds humain et chrétien, de délivrer la France, l'Europe, le monde, des chimères les plus pernicieuses et les plus sanguinaires qu'ait connues l'humanité, de soulever les peuples au-dessus de leurs intérêts étroits et d'établir entre eux une sainte fraternité renouvelée du Moyen âge chrétien ? Voici les temps d'une nouvelle croisade qui, au lieu d'aller porter le combat au dehors, doit se retourner vers lui-même et lutter contre un ennemi qui, pour tous et chacun, constitue un péril intérieur. Le Tombeau du Christ est présentement parmi nous ; il faut le délivrer, ici et là, dans nos sociétés modernes ainsi que dans l'âme personnelle de beaucoup.
[...]
J'affirme que le Tombeau du Christ sera délivré.
À travers les tristesses de l'heure, l'aube luit. Un monde nouveau et meilleur doit surgir de tant de désastres et de tant de décombres. Pour bâtir, le catholicisme reste le ciment le plus solide. À mon âge, après avoir tant étudié le passé, je cherche à pressentir l'avenir. Je vois une époque féconde où l'Évangile du Christ aura raison de la bible marxiste et redeviendra la Loi d'un univers assagi, parce que seul il est doctrine d'amour, de pardon et bienfaisance ; principe d'ordre, de discipline et de hiérarchie ; parce que seul il concilie le respect de la conscience individuelle et les devoirs de la communauté familiale, corporative et nationale ; parce que seul il est annonciateur de paix aux âmes de bonne volonté, aux cœurs sains et aux esprits droits. »
« [...] voici qu'un grand appel d'air s'élève, tourbillonne, commence de balayer et d'assainir. Le temps de la colère ("tempus iracundiae") est enfin venu ! Le monde chrétien et civilisé se dresse dans un élan formidable pour défendre et sauver notre antique société chrétienne en péril de bolchevisation, c'est-à-dire en péril de mort.
Quelle sera, après tant de tourments intérieurs, l'attitude effective et définitive de la France ? Ne nous occupons pas ici de contingences politiques, d'intérêts particuliers. N'envisageons que le bien général qui, tôt ou tard, finit par retomber en pluie bienfaisante et féconde sur le champ de chacun.
Prêtre et Français, comment, dans un moment aussi décisif, refuserais-je d'approuver la noble entreprise commune, dirigée par l'Allemagne, susceptible de délivrer la Russie de la gangue qui depuis 25 ans tient enserré, étouffé, son vieux fonds humain et chrétien, de délivrer la France, l'Europe, le monde, des chimères les plus pernicieuses et les plus sanguinaires qu'ait connues l'humanité, de soulever les peuples au-dessus de leurs intérêts étroits et d'établir entre eux une sainte fraternité renouvelée du Moyen âge chrétien ? Voici les temps d'une nouvelle croisade qui, au lieu d'aller porter le combat au dehors, doit se retourner vers lui-même et lutter contre un ennemi qui, pour tous et chacun, constitue un péril intérieur. Le Tombeau du Christ est présentement parmi nous ; il faut le délivrer, ici et là, dans nos sociétés modernes ainsi que dans l'âme personnelle de beaucoup.
[...]
J'affirme que le Tombeau du Christ sera délivré.
À travers les tristesses de l'heure, l'aube luit. Un monde nouveau et meilleur doit surgir de tant de désastres et de tant de décombres. Pour bâtir, le catholicisme reste le ciment le plus solide. À mon âge, après avoir tant étudié le passé, je cherche à pressentir l'avenir. Je vois une époque féconde où l'Évangile du Christ aura raison de la bible marxiste et redeviendra la Loi d'un univers assagi, parce que seul il est doctrine d'amour, de pardon et bienfaisance ; principe d'ordre, de discipline et de hiérarchie ; parce que seul il concilie le respect de la conscience individuelle et les devoirs de la communauté familiale, corporative et nationale ; parce que seul il est annonciateur de paix aux âmes de bonne volonté, aux cœurs sains et aux esprits droits. »
25.04.202514:15
Votre fidèle serviteur, Franz.
20.04.202515:10
Bombardement allié de la région parisienne le Dimanche de Pâques, 9-10 avril 1944.
Film d'actualité diffusé le 14 avril 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002636/bombardement-de-la-region-parisienne
Votre fidèle serviteur, Franz.
Film d'actualité diffusé le 14 avril 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002636/bombardement-de-la-region-parisienne
Votre fidèle serviteur, Franz.
20.04.202510:08
Éditorial de Philippe Henriot du 9 avril 1944 : « Pâques 1944 »
Source : https://www.facebook.com/100064558305265/videos/editorial-de-philippe-henriot-du-9-avril-1944/1112492692148441/
Votre fidèle serviteur, Franz.
Source : https://www.facebook.com/100064558305265/videos/editorial-de-philippe-henriot-du-9-avril-1944/1112492692148441/
Votre fidèle serviteur, Franz.
19.04.202523:16
55ème anniversaire d'Adolf Hitler, le 20 avril 1944.
Film d'actualité diffusé le 12 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002705/anniversaire-du-chancelier-hitler
Votre fidèle serviteur, Franz.
Film d'actualité diffusé le 12 mai 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002705/anniversaire-du-chancelier-hitler
Votre fidèle serviteur, Franz.
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14.05.202505:13
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07.05.202509:49
🏴☠️ Le 7 mai 1994, le GUD et les JNR appellent à manifester à Paris, à l’occasion du cinquantième anniversaire du débarquement.
Sous le slogan « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ! », l’objectif est clair : refuser l’humiliation, la soumission, et la mise en scène d’une Europe agenouillée devant les Américains. La manifestation est interdite à la dernière minute par le préfet. Pourtant, les militants se retrouvent comme prévu.
Dans le jardin du Luxembourg, des groupes se préparent. L’atmosphère est tendue mais déterminée : « On prend le métro, on sort à Denfert-Rochereau, et on occupe le carrefour. » En quelques instants, des dizaines de militants rejoignent la station, récupèrent banderoles et drapeaux. L’action commence.
À la sortie du métro, la place est encore dégagée. Mais très vite, les premiers cars de police arrivent. Les militants se déploient et bloquent le carrefour. Drapeaux à croix celtiques, slogans anti-impérialistes : le pavé parisien est occupé. Face à eux, les unités anti-émeutes se déploient, bientôt renforcées par les CRS.
L’encerclement se met en place. Peu à peu, les forces de l’ordre repoussent les manifestants vers une artère. Certains refusent de reculer et forment un carré. Ce jour-là, 113 arrestations sont recensées. La confrontation se termine dans une impasse, mais la traque se poursuit.
Parmi ceux qui tentent d’échapper à la répression : Sébastien, militant de l’Œuvre française, 22 ans. Poursuivi par des policiers en civil, il cherche refuge au 4 rue des Chartreux. Il grimpe dans l’immeuble, monte les étages, tente de fuir par les toits. Entre le quatrième et le cinquième étage, il chute.
A-t-il glissé ? A-t-il été poussé ? La police parle d’accident. Mais la vérité, nous la connaissons : cette mort est le résultat direct d’une traque, d’un acharnement, d’un ordre de ne faire aucun quartier. Il meurt deux jours plus tard, le 9 mai, à l’hôpital. Ce jour-là, la colère éclate.
Une gerbe est déposée devant l’immeuble. À Assas, les cours sont interrompus. Des piles du Figaro sont brûlées. Le Comité du 9 Mai (C9M) est fondé. Il exige la vérité et la démission de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur. Les réactions s’organisent dans toute la mouvance, dans l’urgence et la détermination.
Le 11 mai, une cinquantaine de militants occupent les locaux de Fun Radio, à l’heure de grande écoute. Pendant plus de trente minutes, l’antenne est monopolisée pour briser le silence médiatique. D’autres, en parallèle, occupent la salle du Conseil général des Hauts-de-Seine, présidée par Pasqua.
Le 16 mai, une marche silencieuse rassemble près de deux mille personnes, dans la dignité et le recueillement. Aucun incident. Juste le silence des cœurs blessés, en mémoire d’un camarade tombé. Le souvenir de Sébastien devient un point de ralliement.
Depuis, chaque année, les nationalistes lui rendent hommage. Sébastien était un militant conscient, déterminé, fidèle à ses idées jusqu’au bout. Parce qu’il a payé de sa vie son engagement pour une Europe libre. Parce que cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous.
Il savait où il allait. Ce n’était pas une erreur, c’était un choix. Quand l’État matraque, rafle, pourchasse, il ne reste plus qu'à tenir. Il l’a fait. Jusqu’au bout. Sébastien Deyzieu, ton nom est inscrit dans nos mémoires. Nous ne t’oublierons pas.
🕊️ @MemoriaNatio
🕊 @MemoriaNatio2
Sous le slogan « Bienvenue aux ennemis de l’Europe ! », l’objectif est clair : refuser l’humiliation, la soumission, et la mise en scène d’une Europe agenouillée devant les Américains. La manifestation est interdite à la dernière minute par le préfet. Pourtant, les militants se retrouvent comme prévu.
Dans le jardin du Luxembourg, des groupes se préparent. L’atmosphère est tendue mais déterminée : « On prend le métro, on sort à Denfert-Rochereau, et on occupe le carrefour. » En quelques instants, des dizaines de militants rejoignent la station, récupèrent banderoles et drapeaux. L’action commence.
À la sortie du métro, la place est encore dégagée. Mais très vite, les premiers cars de police arrivent. Les militants se déploient et bloquent le carrefour. Drapeaux à croix celtiques, slogans anti-impérialistes : le pavé parisien est occupé. Face à eux, les unités anti-émeutes se déploient, bientôt renforcées par les CRS.
L’encerclement se met en place. Peu à peu, les forces de l’ordre repoussent les manifestants vers une artère. Certains refusent de reculer et forment un carré. Ce jour-là, 113 arrestations sont recensées. La confrontation se termine dans une impasse, mais la traque se poursuit.
Parmi ceux qui tentent d’échapper à la répression : Sébastien, militant de l’Œuvre française, 22 ans. Poursuivi par des policiers en civil, il cherche refuge au 4 rue des Chartreux. Il grimpe dans l’immeuble, monte les étages, tente de fuir par les toits. Entre le quatrième et le cinquième étage, il chute.
A-t-il glissé ? A-t-il été poussé ? La police parle d’accident. Mais la vérité, nous la connaissons : cette mort est le résultat direct d’une traque, d’un acharnement, d’un ordre de ne faire aucun quartier. Il meurt deux jours plus tard, le 9 mai, à l’hôpital. Ce jour-là, la colère éclate.
Une gerbe est déposée devant l’immeuble. À Assas, les cours sont interrompus. Des piles du Figaro sont brûlées. Le Comité du 9 Mai (C9M) est fondé. Il exige la vérité et la démission de Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur. Les réactions s’organisent dans toute la mouvance, dans l’urgence et la détermination.
Le 11 mai, une cinquantaine de militants occupent les locaux de Fun Radio, à l’heure de grande écoute. Pendant plus de trente minutes, l’antenne est monopolisée pour briser le silence médiatique. D’autres, en parallèle, occupent la salle du Conseil général des Hauts-de-Seine, présidée par Pasqua.
Le 16 mai, une marche silencieuse rassemble près de deux mille personnes, dans la dignité et le recueillement. Aucun incident. Juste le silence des cœurs blessés, en mémoire d’un camarade tombé. Le souvenir de Sébastien devient un point de ralliement.
Depuis, chaque année, les nationalistes lui rendent hommage. Sébastien était un militant conscient, déterminé, fidèle à ses idées jusqu’au bout. Parce qu’il a payé de sa vie son engagement pour une Europe libre. Parce que cela aurait pu arriver à n’importe lequel d’entre nous.
Il savait où il allait. Ce n’était pas une erreur, c’était un choix. Quand l’État matraque, rafle, pourchasse, il ne reste plus qu'à tenir. Il l’a fait. Jusqu’au bout. Sébastien Deyzieu, ton nom est inscrit dans nos mémoires. Nous ne t’oublierons pas.
🕊️ @MemoriaNatio
🕊 @MemoriaNatio2
08.05.202505:46
Ce 8 mai 1945, à Bad Reichenhall, 12 Waffen Français sont sommairement assasinés par un Général Français.
L'éxécution à eu lieu vers 17 heures, peu avant l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, dans une petite clairière jouxtant le chemin de Kugelbach.
Tous refusèrent de se laisser bander les yeux et moururent en criant "Vive la France !"
Leur Honneur s'appelle Fidélité,
Léon 🇨🇵🕊
L'éxécution à eu lieu vers 17 heures, peu avant l'entrée en vigueur du cessez-le-feu, dans une petite clairière jouxtant le chemin de Kugelbach.
Tous refusèrent de se laisser bander les yeux et moururent en criant "Vive la France !"
Leur Honneur s'appelle Fidélité,
Léon 🇨🇵🕊
13.05.202519:18
« L'Europe doit former un bloc indissoluble contre la menace bolchevique », a déclaré M. Philippe Henriot au cours de l'inauguration à Toulouse de l'exposition internationale : « Le bolchevisme contre l'Europe ».
Une attitude du Ministre de la propagande au cours de son discours dans la salle du Capitole de Toulouse.
Votre fidèle serviteur, Franz.
Une attitude du Ministre de la propagande au cours de son discours dans la salle du Capitole de Toulouse.
Votre fidèle serviteur, Franz.
20.04.202515:10
Bombardement allié de la région parisienne le Dimanche de Pâques, 9-10 avril 1944.
Film d'actualité diffusé le 14 avril 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002636/bombardement-de-la-region-parisienne
Votre fidèle serviteur, Franz.
Film d'actualité diffusé le 14 avril 1944.
Source : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe86002636/bombardement-de-la-region-parisienne
Votre fidèle serviteur, Franz.
Reposted from:Catholique NS
25.04.202514:15
Déclaration du cardinal Alfred Baudrillart publiée dans le journal Toute la Vie, le 7 août 1941
« [...] voici qu'un grand appel d'air s'élève, tourbillonne, commence de balayer et d'assainir. Le temps de la colère ("tempus iracundiae") est enfin venu ! Le monde chrétien et civilisé se dresse dans un élan formidable pour défendre et sauver notre antique société chrétienne en péril de bolchevisation, c'est-à-dire en péril de mort.
Quelle sera, après tant de tourments intérieurs, l'attitude effective et définitive de la France ? Ne nous occupons pas ici de contingences politiques, d'intérêts particuliers. N'envisageons que le bien général qui, tôt ou tard, finit par retomber en pluie bienfaisante et féconde sur le champ de chacun.
Prêtre et Français, comment, dans un moment aussi décisif, refuserais-je d'approuver la noble entreprise commune, dirigée par l'Allemagne, susceptible de délivrer la Russie de la gangue qui depuis 25 ans tient enserré, étouffé, son vieux fonds humain et chrétien, de délivrer la France, l'Europe, le monde, des chimères les plus pernicieuses et les plus sanguinaires qu'ait connues l'humanité, de soulever les peuples au-dessus de leurs intérêts étroits et d'établir entre eux une sainte fraternité renouvelée du Moyen âge chrétien ? Voici les temps d'une nouvelle croisade qui, au lieu d'aller porter le combat au dehors, doit se retourner vers lui-même et lutter contre un ennemi qui, pour tous et chacun, constitue un péril intérieur. Le Tombeau du Christ est présentement parmi nous ; il faut le délivrer, ici et là, dans nos sociétés modernes ainsi que dans l'âme personnelle de beaucoup.
[...]
J'affirme que le Tombeau du Christ sera délivré.
À travers les tristesses de l'heure, l'aube luit. Un monde nouveau et meilleur doit surgir de tant de désastres et de tant de décombres. Pour bâtir, le catholicisme reste le ciment le plus solide. À mon âge, après avoir tant étudié le passé, je cherche à pressentir l'avenir. Je vois une époque féconde où l'Évangile du Christ aura raison de la bible marxiste et redeviendra la Loi d'un univers assagi, parce que seul il est doctrine d'amour, de pardon et bienfaisance ; principe d'ordre, de discipline et de hiérarchie ; parce que seul il concilie le respect de la conscience individuelle et les devoirs de la communauté familiale, corporative et nationale ; parce que seul il est annonciateur de paix aux âmes de bonne volonté, aux cœurs sains et aux esprits droits. »
« [...] voici qu'un grand appel d'air s'élève, tourbillonne, commence de balayer et d'assainir. Le temps de la colère ("tempus iracundiae") est enfin venu ! Le monde chrétien et civilisé se dresse dans un élan formidable pour défendre et sauver notre antique société chrétienne en péril de bolchevisation, c'est-à-dire en péril de mort.
Quelle sera, après tant de tourments intérieurs, l'attitude effective et définitive de la France ? Ne nous occupons pas ici de contingences politiques, d'intérêts particuliers. N'envisageons que le bien général qui, tôt ou tard, finit par retomber en pluie bienfaisante et féconde sur le champ de chacun.
Prêtre et Français, comment, dans un moment aussi décisif, refuserais-je d'approuver la noble entreprise commune, dirigée par l'Allemagne, susceptible de délivrer la Russie de la gangue qui depuis 25 ans tient enserré, étouffé, son vieux fonds humain et chrétien, de délivrer la France, l'Europe, le monde, des chimères les plus pernicieuses et les plus sanguinaires qu'ait connues l'humanité, de soulever les peuples au-dessus de leurs intérêts étroits et d'établir entre eux une sainte fraternité renouvelée du Moyen âge chrétien ? Voici les temps d'une nouvelle croisade qui, au lieu d'aller porter le combat au dehors, doit se retourner vers lui-même et lutter contre un ennemi qui, pour tous et chacun, constitue un péril intérieur. Le Tombeau du Christ est présentement parmi nous ; il faut le délivrer, ici et là, dans nos sociétés modernes ainsi que dans l'âme personnelle de beaucoup.
[...]
J'affirme que le Tombeau du Christ sera délivré.
À travers les tristesses de l'heure, l'aube luit. Un monde nouveau et meilleur doit surgir de tant de désastres et de tant de décombres. Pour bâtir, le catholicisme reste le ciment le plus solide. À mon âge, après avoir tant étudié le passé, je cherche à pressentir l'avenir. Je vois une époque féconde où l'Évangile du Christ aura raison de la bible marxiste et redeviendra la Loi d'un univers assagi, parce que seul il est doctrine d'amour, de pardon et bienfaisance ; principe d'ordre, de discipline et de hiérarchie ; parce que seul il concilie le respect de la conscience individuelle et les devoirs de la communauté familiale, corporative et nationale ; parce que seul il est annonciateur de paix aux âmes de bonne volonté, aux cœurs sains et aux esprits droits. »
20.04.202510:08
Éditorial de Philippe Henriot du 9 avril 1944 : « Pâques 1944 »
Source : https://www.facebook.com/100064558305265/videos/editorial-de-philippe-henriot-du-9-avril-1944/1112492692148441/
Votre fidèle serviteur, Franz.
Source : https://www.facebook.com/100064558305265/videos/editorial-de-philippe-henriot-du-9-avril-1944/1112492692148441/
Votre fidèle serviteur, Franz.
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