Ephémérides Nationalistes
25.04.202505:29
Charles-Louis CHASSIN 💥
La Préparation de la guerre de Vendée, 1789-1793, 1892
"Pas de tirement!"
"C'est seulement le 2 mars que le directoire du département de la Vendée reçut, par courrier extraordinaire, l'expédition officielle des lois militaires des 20 et 24 février 1793. La loi du 20 février annonçait au peuple français que "les despotes coalisés menaçaient la République", et, en conséquence, constituait "les gardes nationales en réquisition permanente, jusqu'à ce qu'eut été obtenue une levée effective de 300 000 hommes". Tous les citoyens de 18 à 40 ans, non mariés ou veufs sans enfants, étaient mis à la disposition du Conseil exécutif provisoire et subsidiairement des généraux. La loi du 2 déterminait dans quelles proportions et de quelle manière s'effectuerait la réquisition des 300 000 hommes qui devaient, dans le plus bref délai, se réunir aux armées nationales. Le contingent de chaque département était fixé en raison de sa population, des volontaires déjà présents aux frontières et des hommes classés pour le service de la marine. Vingt-quatre heures après la réception de l'ordre ministériel d'exécution de la loi, les directoires de département étaient tenus de répartir le contingent départemental entre les districts, et ceux-ci dans le même délai entre les communes.
[...] Ce qui distingue la levée de 1793 des engagements purement volontaires de 1791 et 1792, c'est que les hommes n'étaient plus tirés des gardes nationales exclusivement, mais de l'ensemble des jeunes Français. Les mots impopulaires de "conscription" et de "tirage au sort" ne sont pas inscrits dans la loi; mais ils avaient été prononcés au cours des débats qui en avaient précédé le vote, le premier par Dubois-Crancé, le second par Aubry. Ils avaient été saisis au vol par les agitateurs de l'Ouest. Le cri de guerre: "Pas de tirement! Retentit dans tous les chefs-lieux de canton de la région vendéenne, dès le moment où se présentèrent les commissaires des districts, pour présider aux opérations de recrutement. Nulle part, la révolte n'attendit que la délibération, faute d'autres moyens de fournir le contingent, aboutît au tirage au sort.
On était informé dans les châteaux des préparatifs d'attaque de la Coalition européenne, et on avait suivi les discussions préliminaires de la Convention. On s'y trouvait en parfait accord pour empêcher, par tous les moyens imaginables, les jeunes gens de partir au service de la patrie en danger. Mais les principaux meneurs de la noblesse, ceux qui, comme les d'Elbée, les Bonchamps, les Lescure, les Sapinaud et les Vaugirard, étaient au courant des plans de la Rouerie et avaient reçu les instructions des princes, tenaient essentiellement à gagner encore un peu de temps, quelques semaines, pour obtenir une insurrection générale embrassant la Bretagne, la Normandie, le Maine, l'Anjou et le Poitou, au même signal. Ils redoutaient de voir se renouveler le désastre de 1792, s'il se produisait, avant l'heure de la double attaque extérieure et intérieure, des soulèvements locaux que les patriotes, sur leurs gardes, pouvaient écraser l'un après l'autre. [...]
Charles-Louis CHASSIN (1831-1901)
Historien français, républicain farouche et libre-penseur militant, Chassin se lie d'amitié avec Jules Michelet, son aîné. Proche d'Alphonse Aulard, dont il a suivi des cours à la Sorbonne, ce spécialiste de la Révolution française publie plusieurs volumes sur les guerres de Vendée, déniant dans ses écrits le caractère populaire du soulèvement de 1793.
La Préparation de la guerre de Vendée, 1789-1793, 1892
"Pas de tirement!"
"C'est seulement le 2 mars que le directoire du département de la Vendée reçut, par courrier extraordinaire, l'expédition officielle des lois militaires des 20 et 24 février 1793. La loi du 20 février annonçait au peuple français que "les despotes coalisés menaçaient la République", et, en conséquence, constituait "les gardes nationales en réquisition permanente, jusqu'à ce qu'eut été obtenue une levée effective de 300 000 hommes". Tous les citoyens de 18 à 40 ans, non mariés ou veufs sans enfants, étaient mis à la disposition du Conseil exécutif provisoire et subsidiairement des généraux. La loi du 2 déterminait dans quelles proportions et de quelle manière s'effectuerait la réquisition des 300 000 hommes qui devaient, dans le plus bref délai, se réunir aux armées nationales. Le contingent de chaque département était fixé en raison de sa population, des volontaires déjà présents aux frontières et des hommes classés pour le service de la marine. Vingt-quatre heures après la réception de l'ordre ministériel d'exécution de la loi, les directoires de département étaient tenus de répartir le contingent départemental entre les districts, et ceux-ci dans le même délai entre les communes.
[...] Ce qui distingue la levée de 1793 des engagements purement volontaires de 1791 et 1792, c'est que les hommes n'étaient plus tirés des gardes nationales exclusivement, mais de l'ensemble des jeunes Français. Les mots impopulaires de "conscription" et de "tirage au sort" ne sont pas inscrits dans la loi; mais ils avaient été prononcés au cours des débats qui en avaient précédé le vote, le premier par Dubois-Crancé, le second par Aubry. Ils avaient été saisis au vol par les agitateurs de l'Ouest. Le cri de guerre: "Pas de tirement! Retentit dans tous les chefs-lieux de canton de la région vendéenne, dès le moment où se présentèrent les commissaires des districts, pour présider aux opérations de recrutement. Nulle part, la révolte n'attendit que la délibération, faute d'autres moyens de fournir le contingent, aboutît au tirage au sort.
On était informé dans les châteaux des préparatifs d'attaque de la Coalition européenne, et on avait suivi les discussions préliminaires de la Convention. On s'y trouvait en parfait accord pour empêcher, par tous les moyens imaginables, les jeunes gens de partir au service de la patrie en danger. Mais les principaux meneurs de la noblesse, ceux qui, comme les d'Elbée, les Bonchamps, les Lescure, les Sapinaud et les Vaugirard, étaient au courant des plans de la Rouerie et avaient reçu les instructions des princes, tenaient essentiellement à gagner encore un peu de temps, quelques semaines, pour obtenir une insurrection générale embrassant la Bretagne, la Normandie, le Maine, l'Anjou et le Poitou, au même signal. Ils redoutaient de voir se renouveler le désastre de 1792, s'il se produisait, avant l'heure de la double attaque extérieure et intérieure, des soulèvements locaux que les patriotes, sur leurs gardes, pouvaient écraser l'un après l'autre. [...]
Charles-Louis CHASSIN (1831-1901)
Historien français, républicain farouche et libre-penseur militant, Chassin se lie d'amitié avec Jules Michelet, son aîné. Proche d'Alphonse Aulard, dont il a suivi des cours à la Sorbonne, ce spécialiste de la Révolution française publie plusieurs volumes sur les guerres de Vendée, déniant dans ses écrits le caractère populaire du soulèvement de 1793.
24.04.202505:04
1916. Un 24 avril, à Dublin, soulèvement (jusqu'au 29 avril) des nationalistes irlandais, avec à leur tête le poète Patrick Pearse, le syndicaliste Connolly, le révolutionnaire Joseph Plunkett et son aide de camp Michaël Collins (qui prendra la tête du mouvement irlandais).
24.04.202504:54
1738. Un 24 avril, Bulle In Eminenti du pape Clément XII contre les francs-maçons. Le texte n'est pas reçu en France.
19.04.202504:58
1989. Un 19 avril, le cinéaste Claude Autant-Lara est reçu à l'Académie des beaux-arts. Une cabale est déclenchée contre lui. Il dénonce la défaite culturelle de l'Europe face à l'Amérique. Elu député européen du Front national, c'est lui qui, en tant que doyen, doit prononcer le discours de rentrée au Parlement. Une fois encore, il prend la défense de la culture européenne. Tous les libéraux, Valéry Giscard d'Estaing en tête, quittent la salle.
19.04.202504:50
1886. Un 19 avril, grâce à l'intervention d'Alphonse Daudet, Le Figaro est le premier journal à recenser, cinq jours après sa mise en vente, La France juive d'Edouard Drumont, en signalant le "fanatisme" de ce socialiste catholique. Les lecteurs se précipitent alors sur les deux gros tomes, qui deviennent un best-seller.
18.04.202504:59
1949. Un 18 avril, la République d'Eire est formellement proclamée à Dublin. Le 17 mai, la Grande-Bretagne reconnaît l'indépendance de l'Éire, mais réaffirme ses positions sur l'Irlande du Nord, partie intégrante du Royaume-Uni.
24.04.202505:08
1996. Un 24 avril, malgré les massacres au sud-Liban, l'OLP supprime de sa charte les articles rejetant le droit d'existence d'Israël, enterrant 32 années de lutte armée de libération.
24.04.202505:02
1903. Un 24 avril, naissance, à Madrid, de José Antonio Primo de Rivera, futur fondateur de la Phalange espagnole et de la doctrine nationale-syndicaliste. Cet avocat est l'incarnation de la pureté, du courage et du "fascisme immense et rouge" décrit par Brasillach.
24.04.202504:52
1617. Un 24 avril, coup d'État royal. Louis XIII, alors âgé de 16 ans, fait assassiner Concino Concini, maréchal d'Ancre, par le baron de Vitry, chef de ses gardes, dans la cour du Louvre. S'étant ainsi débarrassé du favori de sa mère, Marie de Médicis, il exile celle-ci à Blois et confie le pouvoir à son propre favori, le duc de Luynes. Sa femme, Léonara Galigaï (fille de la nourrice de Marie de Médicis), sera brûlée comme sorcière.
19.04.202504:56
1934. Un 19 avril, sortie de la 7-chevaux traction-avant Citroën, au prix de 17 700 francs.
18.04.202505:29
Jules MICHELET 💥
Histoire de la Révolution française, 1847
"Ils ne faisaient qu'un avec la terre
Le clergé eut grande part à la Vendée, mais très inégale, grande en Anjou et dans le Bocage, moindre au Marais, variable dans les localités si diverses de la Bretagne. Ni en Vendée, ni en Bretagne, il n'aurait rien fait, si la République n'était venue au foyer même du paysan pour l'en arracher, l'ôter de son champ, de ses bœufs, l'affubler de l'uniforme, l'envoyer à la frontière se battre pour ce qu'il détestait. Jamais, sans cela, les cloches, les sermons ni les miracles n'auraient armé le Vendéen. La Réquisition était l'épreuve et la pierre de touche, le vrai moment pour la Vendée. Sous l'Ancien Régime, on ne venait jamais à bout d'y faire tirer la milice. Le Vendéen était enraciné dans le sol, il ne faisait qu'un avec la terre et les arbres de la terre. Plutôt que de quitter ses bœufs, sa haie, son enclos, il eût fait la guerre au Roi. [...] Le clergé parut donner au pays une sorte d'unité fanatique. Mais cette unité apparente tint aussi en grande partie à une passion commune qui animait ces populations diverses, à leur profond esprit local; - passion contraire à l'unité. Si la Vendée est une révolution, c'est celle de l'insociabilité, celle de l'esprit d'isolement. Les Vendées haïssent le centre, mais se haïssent elles-mêmes. Quelque fanatiques qu'elles soient, ce n'est pas le fanatisme qui a décidé le combat; c'est une pensée d'intérêt, c'est le refus du sacrifice. Le trône et l'autel, d'accord; le bon Dieu et nos bons prêtres, oui, mais pour se dispenser de marcher à la frontière. Écoutez l'aveu naïf de la proclamation Vendéenne (fin mars): "Point de milice; laissez-nous dans nos campagnes... Vous dites que l'ennemi vient, qu'il menace nos foyers... Eh ! bien, c'est l'ennemi c'est de nos foyers, s'il y vient jamais, que nous saurons le combattre..." Autrement dit: Vienne l'ennemi... Que les armées autrichiennes, avec leurs Pandours, leurs Croates, ravagent la France à leur aise. Qu'importe la France à la Vendée!... La Lorraine et la Champagne seront à feu et à sang; mais ce n'est pas la Vendée. Paris périra peut-être, l'œil du monde sera crevé... Mais qu'importe aux Vendéens?... Meure la France, et meure le monde!... Nous aviserons au salut, lorsque le cheval cosaque apparaîtra dans nos haies. Hélas! Malheureux sauvage! Vous-mêmes vous vous condamnez. Ces mots de farouche égoïsme, c'est sur vous qu'ils vont retomber."
Jules MICHELET (1798-1874)
Républicain convaincu, Jules Michelet a façonné l'historiographie de la Révolution et des guerres de Vendée. Il en réduit les causes profondes à l'ignorance des paysans, aux intrigues du clergé et à la conspiration d'aristocrate royalistes. Son influence, proportionnelle à son talent littéraire, se fera sentir jusqu'au XXe siècle.
Histoire de la Révolution française, 1847
"Ils ne faisaient qu'un avec la terre
Le clergé eut grande part à la Vendée, mais très inégale, grande en Anjou et dans le Bocage, moindre au Marais, variable dans les localités si diverses de la Bretagne. Ni en Vendée, ni en Bretagne, il n'aurait rien fait, si la République n'était venue au foyer même du paysan pour l'en arracher, l'ôter de son champ, de ses bœufs, l'affubler de l'uniforme, l'envoyer à la frontière se battre pour ce qu'il détestait. Jamais, sans cela, les cloches, les sermons ni les miracles n'auraient armé le Vendéen. La Réquisition était l'épreuve et la pierre de touche, le vrai moment pour la Vendée. Sous l'Ancien Régime, on ne venait jamais à bout d'y faire tirer la milice. Le Vendéen était enraciné dans le sol, il ne faisait qu'un avec la terre et les arbres de la terre. Plutôt que de quitter ses bœufs, sa haie, son enclos, il eût fait la guerre au Roi. [...] Le clergé parut donner au pays une sorte d'unité fanatique. Mais cette unité apparente tint aussi en grande partie à une passion commune qui animait ces populations diverses, à leur profond esprit local; - passion contraire à l'unité. Si la Vendée est une révolution, c'est celle de l'insociabilité, celle de l'esprit d'isolement. Les Vendées haïssent le centre, mais se haïssent elles-mêmes. Quelque fanatiques qu'elles soient, ce n'est pas le fanatisme qui a décidé le combat; c'est une pensée d'intérêt, c'est le refus du sacrifice. Le trône et l'autel, d'accord; le bon Dieu et nos bons prêtres, oui, mais pour se dispenser de marcher à la frontière. Écoutez l'aveu naïf de la proclamation Vendéenne (fin mars): "Point de milice; laissez-nous dans nos campagnes... Vous dites que l'ennemi vient, qu'il menace nos foyers... Eh ! bien, c'est l'ennemi c'est de nos foyers, s'il y vient jamais, que nous saurons le combattre..." Autrement dit: Vienne l'ennemi... Que les armées autrichiennes, avec leurs Pandours, leurs Croates, ravagent la France à leur aise. Qu'importe la France à la Vendée!... La Lorraine et la Champagne seront à feu et à sang; mais ce n'est pas la Vendée. Paris périra peut-être, l'œil du monde sera crevé... Mais qu'importe aux Vendéens?... Meure la France, et meure le monde!... Nous aviserons au salut, lorsque le cheval cosaque apparaîtra dans nos haies. Hélas! Malheureux sauvage! Vous-mêmes vous vous condamnez. Ces mots de farouche égoïsme, c'est sur vous qu'ils vont retomber."
Jules MICHELET (1798-1874)
Républicain convaincu, Jules Michelet a façonné l'historiographie de la Révolution et des guerres de Vendée. Il en réduit les causes profondes à l'ignorance des paysans, aux intrigues du clergé et à la conspiration d'aristocrate royalistes. Son influence, proportionnelle à son talent littéraire, se fera sentir jusqu'au XXe siècle.
18.04.202504:57
1941. Un 18 avril, capitulation de l'armée grecque face aux troupes allemandes et italiennes. Les dernières troupes britanniques évacuent la Grèce le 28 avril.
24.04.202505:06
1945. Un 24 avril, la division française commandée par de Lattre de Tassigny entre dans Ulm et prend le nom de "Rhin et Danube".
24.04.202504:58
1849. Un 24 avril, naissance, à Saint-Béat (Haute-Garonne), de Joseph Galliéni. Il effectua presque toute sa carrière dans les colonies, pacifiant Madagascar, dont il fut gouverneur général de 1896 à 1905. Il devait prendre sa retraite lorsque le premier conflit mondial éclata. D'abord gouverneur du camp retranché de Paris en août 1914, il lança la contre-offensive de la Marne et devint ministre de la Guerre en octobre 1915, mais mourut dès l'année suivante. Il sera nommé, en avril 1921, maréchal de France à titre posthume.
24.04.202504:50
1288. Un 24 avril, autodafé des Juifs de Troyes. La communauté juive est accusée de crime rituel et treize de ses membres sont alors condamnés à périr par le feu. Les autres doivent se convertir.
19.04.202504:54
1919. Un 19 avril, mutinerie bolchevique de la flotte française en mer Noire. Le drapeau rouge est hissé aux mâts du Jean Bart et du France, les marins entonnent L'Internationale. La révolte sera rapidement matée.
18.04.202505:04
1983. Un 18 avril, attentat islamiste contre l'ambassade américaine à Beyrouth, 63 morts.
18.04.202504:55
1909. Un 18 avril, Jeanne d'Arc est béatifiée. Elle sera canonisée le 16 mai 1920.
24.04.202505:04
1856. Un 24 avril, naissance du futur maréchal Henri Philippe Pétain, à Cauchy-la-Tour (Pas-de-Calais), dans une famille de paysans. C'est la Première Guerre mondiale qui permit à ce grand chef de guerre, jusque-là considéré comme trop indépendant, de donner sa pleine mesure: à trois mois du conflit, il n'était encore, à 58 ans, que colonel, commandant d'un régiment d'infanterie à Arras et devait partir à la retraite.
24.04.202504:56
1843. Un 24 avril, le roi Sakalave Andriantsoly de Madagascar vend l'île de Mayotte à la France contre une rente annuelle de mille piastres et l'éducation de ses enfants aux frais du gouvernement. Le traité sera ratifié par la France le 16 février 1844.
22.04.202505:08
1988. Un 22 avril, trois gendarmes sont assassinés à la hache, un quatrième d'une balle dans la tête, et 27 autres pris en otages par des indépendantistes canaques, dans l'île Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. La libération des otages aura lieu le 5 mai suivant.
19.04.202504:52
1897. Un 19 avril, le journaliste et écrivain anticlérical Léo Taxil révèle que l'ensemble des ouvrages qu'il a publiés sur les méfaits de la franc-maçonnerie sont pour l'essentiel pure invention. La presse antimaçonnique aura du mal à s'en remettre, tout comme l'Église qui est ridiculisée.
18.04.202505:02
1957. Un 18 avril, Jean-François Revel signe un pamphlet contre les "maîtres à penser", Pourquoi des philosophes?, où il met à mal Merleau-Ponty, Lacan, Sartre, Lévi-Strauss, etc. Jacques Lacan piétinera l'essai lors de son séminaire. À la suite des réactions, Revel sort un second pamphlet, La Cabale des dévots.
18.04.202504:53
1906. Un 18 avril, un tremblement de terre dévaste la ville de San Francisco, aux États-Unis. Un millier de morts, plus de 250 000 sans-abri. La loi martiale est proclamée pour tenter de maintenir l'ordre et éviter les pillages.
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