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"🔥 Saving Fakebook 🔥" 群组最新帖子
17.05.202518:57
🇺🇸💊Trump déclare la guerre aux labos : Médicaments, Kennedy, et Big Pharma exposés !
Donald Trump a choqué l’establishment en promettant de rendre les médicaments bien moins chers… et en accusant Big Pharma de contrôler la politique de santé américaine. Kennedy, lui aussi, dénonce depuis longtemps ce système corrompu.
Et si ces deux hommes, si différents, disaient la vérité ?
Ce documentaire vous révèle les coulisses cachées d’un cartel qui façonne notre santé, nos lois, nos vies.
Rockefeller, l’industrie médicale, les universités : tout est lié.
Abonne-toi pour d’autres enquêtes interdites.
https://www.facebook.com/share/v/16cqZhYaxc/
#Trump #Kennedy #BigPharma #Rockefeller #SantéPublique #Médicaments #USA #LobbyPharmaceutique #TrumpVsSystème #DeepState #Vaccins #IndustriePharmaceutique #Documentaire #Manipulation #santé
https://t.me/c/1631639877/11847
Donald Trump a choqué l’establishment en promettant de rendre les médicaments bien moins chers… et en accusant Big Pharma de contrôler la politique de santé américaine. Kennedy, lui aussi, dénonce depuis longtemps ce système corrompu.
Et si ces deux hommes, si différents, disaient la vérité ?
Ce documentaire vous révèle les coulisses cachées d’un cartel qui façonne notre santé, nos lois, nos vies.
Rockefeller, l’industrie médicale, les universités : tout est lié.
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16.05.202509:01
(...)
Le Mossad peut frapper absolument partout, absolument n'importe qui, du moment qu'il estime que les intérêts d'Israël sont en jeu, où qu'il a à exercer une vengeance sur une personne ayant gravement porté atteinte à l'« honneur », l'image irréprochable de Victime Éternelle et de probité universelle bien connue, de la communauté.
Une sorte de Vendetta à l'échelle du monde entier, qui terrorise jusqu'aux chefs d'État les plus puissants, et peut avoir le pouvoir d'intimider et de faire taire de petits internautes, ou des lanceurs d'alerte, qui n'arrivent plus à s'appliquer l'AUTOCENSURE, au nom de leur conscience morale sur le génocide à Gaza. Autocensure pourtant exigée depuis le début des années 80 et la diffusion du film Shoah de Claude Lanzmann, qui avait tant frappé les esprits et mis un éteignoir sur l'ensemble de la société française, afin qu'une petite communauté puisse tirer son épingle du jeu, et définitivement asseoir sa domination sociale et son emprise morale, par chantage à l'« antisémitisme » dans absolument toutes les sphères de la société ; c'était bien davantage qu'un simple phénomène de mode passager avantageant systématiquement les Juifs et leur apportant un soulagement moral bien légitime en considération des maux qu'ils avaient dû endurer pendant toute la période de l'hégémonie du nazisme en Europe. Or aujourd'hui nous assistons à l'hégémonie culturelle d'une certaine communauté que je pointe du doigt, depuis plus de 40 ans.
On voit où cela nous a finalement mené, au génocide de Gaza en toute impunité, car l'ensemble de la communauté internationale pratique sur elle-même une forme d'autocensure, lié au souvenir de la Shoah, qui touche particulièrement le bloc occidental, et au sein de ce bloc comme un épicentre de la culpabilité, tout particulièrement la France.
Erwan Blesbois
https://www.facebook.com/share/16Wx6uwnAx/
https://youtu.be/o21xAibVFNg
https://t.me/c/1631639877/11823
Le Mossad peut frapper absolument partout, absolument n'importe qui, du moment qu'il estime que les intérêts d'Israël sont en jeu, où qu'il a à exercer une vengeance sur une personne ayant gravement porté atteinte à l'« honneur », l'image irréprochable de Victime Éternelle et de probité universelle bien connue, de la communauté.
Une sorte de Vendetta à l'échelle du monde entier, qui terrorise jusqu'aux chefs d'État les plus puissants, et peut avoir le pouvoir d'intimider et de faire taire de petits internautes, ou des lanceurs d'alerte, qui n'arrivent plus à s'appliquer l'AUTOCENSURE, au nom de leur conscience morale sur le génocide à Gaza. Autocensure pourtant exigée depuis le début des années 80 et la diffusion du film Shoah de Claude Lanzmann, qui avait tant frappé les esprits et mis un éteignoir sur l'ensemble de la société française, afin qu'une petite communauté puisse tirer son épingle du jeu, et définitivement asseoir sa domination sociale et son emprise morale, par chantage à l'« antisémitisme » dans absolument toutes les sphères de la société ; c'était bien davantage qu'un simple phénomène de mode passager avantageant systématiquement les Juifs et leur apportant un soulagement moral bien légitime en considération des maux qu'ils avaient dû endurer pendant toute la période de l'hégémonie du nazisme en Europe. Or aujourd'hui nous assistons à l'hégémonie culturelle d'une certaine communauté que je pointe du doigt, depuis plus de 40 ans.
On voit où cela nous a finalement mené, au génocide de Gaza en toute impunité, car l'ensemble de la communauté internationale pratique sur elle-même une forme d'autocensure, lié au souvenir de la Shoah, qui touche particulièrement le bloc occidental, et au sein de ce bloc comme un épicentre de la culpabilité, tout particulièrement la France.
Erwan Blesbois
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16.05.202509:01
« Des allusions antisémites » qui pointent du doigt un fait qui est comme le nez au milieu de la figure
Mort du général Delawarde dimanche dernier, 11 mai 2025, l'homme du fameux « QUI ? » qui avait aussitôt scandalisé Morandini, « c'est surréaliste ! », mais pas la France périphérique de la décence commune, common decency, dont parle George Orwell, et Jean-Claude Michéa et Christophe Guilluy dans ses traces. Encore une mort suspecte camouflée en AVC foudroyant ? Car on sait qu'ils sont capables d'absolument tout désormais, dans une sorte de fuite en avant de leur hubris déjà sans limite, mais désormais totalement en roue libre comme un poulet sans tête et sans doute une sorte de panique, car le voile est levé sur les crimes justifiés par le Talmud comme à Gaza, et le roi est nu. Oui j'interroge cette mort car on ne nous a livré aucun détail...
(...)
Mort du général Delawarde dimanche dernier, 11 mai 2025, l'homme du fameux « QUI ? » qui avait aussitôt scandalisé Morandini, « c'est surréaliste ! », mais pas la France périphérique de la décence commune, common decency, dont parle George Orwell, et Jean-Claude Michéa et Christophe Guilluy dans ses traces. Encore une mort suspecte camouflée en AVC foudroyant ? Car on sait qu'ils sont capables d'absolument tout désormais, dans une sorte de fuite en avant de leur hubris déjà sans limite, mais désormais totalement en roue libre comme un poulet sans tête et sans doute une sorte de panique, car le voile est levé sur les crimes justifiés par le Talmud comme à Gaza, et le roi est nu. Oui j'interroge cette mort car on ne nous a livré aucun détail...
(...)
15.05.202523:45
Vous ne méritez pas d'être aimés
https://t.me/SavingFakebook/11820
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15.05.202521:35
Georges Simion, candidat à l'élection présidentielle en Roumanie traitant Macron de dictateur et dénonçant ouvertement l'ingérence française dans le déroulement des élections roumaines
https://t.me/c/1631639877/11819
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15.05.202521:25
(...)
Il reste à restaurer le temple et à détruire la grande mosquée (le troisième lieu saint de l'islam si je ne me trompe) pour que le messie puisse revenir ; ça aussi c'est inscrit dans le programme génétique du judaïsme rabbinique appelé aussi talmudisme, et c'est certainement voué à se réaliser tôt ou tard - sauf que la venue de leur messie personnellement je n'y crois pas. Finalement si on analyse bien la situation avec tout le recul nécessaire, on s'aperçoit que le christianisme, le Christ lui-même, ont certainement été instrumentalisés pour que le projet contenu dans le Talmud se réalise. Talmud qui s'est comporté comme un parasite d'un organisme sain pour vaincre et arriver à ses fins ; les fins d'une secte exclusiviste qui n'avantage que ses adeptes et n'a évidemment rien d'universel, contrairement à ce que prétend BHL dans son ouvrage intitulé L'esprit du judaïsme. En France du moins, le catholicisme est devenu une coquille vide d'où ne ressort plus aucune intériorité digne de ce nom, nécessaire ne serait-ce qu'à maintenir une anthropologie apte à reproduire l'espèce par le respect de certaines valeurs jugées intouchables, comme celles qui protègent la famille, le couple et les enfants ; on a préféré sacrifié tout ça au profit de l'individu. Comme on a sacrifié l'anthropologie protectrice sur l'autel du profit qui fait le jeu du Talmud, et en l'absence d'intériorité collective consentie, il ne faut pas compter sur la bonne volonté gens pour essayer de se doter d'une quelconque conscience morale.
Je pense réellement qu'à ce niveau de la spiritualité nécessaire à la formation d'une quelconque conscience morale, non seulement les Juifs du Talmud, qui comprend y compris ceux qui se prétendent laïcs sans qu'ils en aient forcément conscience, mais également les musulmans de France, sont très largement supérieurs à l'immense majorité des Français non-juifs qui se prétendent matérialistes et athées, sous l'influence des Lumières et se croient supérieurs et éclairés alors qu'ils sont des nains rampants et soumis de la communauté juive en France et des intérêts d'Israël.
Erwan Blesbois
https://www.facebook.com/share/1Fxna2cyt5/
https://t.me/c/1631639877/11817
Il reste à restaurer le temple et à détruire la grande mosquée (le troisième lieu saint de l'islam si je ne me trompe) pour que le messie puisse revenir ; ça aussi c'est inscrit dans le programme génétique du judaïsme rabbinique appelé aussi talmudisme, et c'est certainement voué à se réaliser tôt ou tard - sauf que la venue de leur messie personnellement je n'y crois pas. Finalement si on analyse bien la situation avec tout le recul nécessaire, on s'aperçoit que le christianisme, le Christ lui-même, ont certainement été instrumentalisés pour que le projet contenu dans le Talmud se réalise. Talmud qui s'est comporté comme un parasite d'un organisme sain pour vaincre et arriver à ses fins ; les fins d'une secte exclusiviste qui n'avantage que ses adeptes et n'a évidemment rien d'universel, contrairement à ce que prétend BHL dans son ouvrage intitulé L'esprit du judaïsme. En France du moins, le catholicisme est devenu une coquille vide d'où ne ressort plus aucune intériorité digne de ce nom, nécessaire ne serait-ce qu'à maintenir une anthropologie apte à reproduire l'espèce par le respect de certaines valeurs jugées intouchables, comme celles qui protègent la famille, le couple et les enfants ; on a préféré sacrifié tout ça au profit de l'individu. Comme on a sacrifié l'anthropologie protectrice sur l'autel du profit qui fait le jeu du Talmud, et en l'absence d'intériorité collective consentie, il ne faut pas compter sur la bonne volonté gens pour essayer de se doter d'une quelconque conscience morale.
Je pense réellement qu'à ce niveau de la spiritualité nécessaire à la formation d'une quelconque conscience morale, non seulement les Juifs du Talmud, qui comprend y compris ceux qui se prétendent laïcs sans qu'ils en aient forcément conscience, mais également les musulmans de France, sont très largement supérieurs à l'immense majorité des Français non-juifs qui se prétendent matérialistes et athées, sous l'influence des Lumières et se croient supérieurs et éclairés alors qu'ils sont des nains rampants et soumis de la communauté juive en France et des intérêts d'Israël.
Erwan Blesbois
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15.05.202521:25
EYAL GOLAN EN CONCERT À PARIS DANS UNE SEMAINE
Un fraudeur avéré du fisc portant sur une somme de 2,5 millions de NIS (environ 600 000 euros), pédophile notoire sur des mineures sans leur consentement, apologiste du génocide de Gaza, tout cela ne dissuade pas l'État français d'accueillir Eyal Golan sur son sol pour un concert qui doit avoir lieu dans une semaine au Dôme de Paris. C'est normal il est ici CHEZ LUI, alors que le sionisme a colonisé les esprits via les médias et l'industrie du divertissement entre leurs mains, pour faire de la propagande et du conditionnement à grande échelle. Les Français non-juifs tendent de plus en plus à être expropriés culturellement de leur propre territoire, puisqu'ils n'ont plus l'hégémonie culturelle sur leur propre sol. Je veux bien que le phénomène touche l'ensemble de la population mondiale sous les effets conjugués du règne de la technique dont parle Heidegger, et du libéralisme destructeur de toutes les logiques communautaires, de l'anthropologie familiale d'origine catholique en France, du couple, de l'enfant, au profit de l'individu narcissique et égoïste, dont le vice est justifié aux yeux de cette idéologie libérale. Mais j'y vois une troisième cause, le déploiement d'un projet inscrit comme un programme génétique, au sein d'un embryon de religion que personnellement j'appelle secte parasite du christianisme naissant, dès le début de notre ère chrétienne en réaction au projet christique, un parasite donc mais fondamentalement anti-christique, dont le sens du message doit être compris comme l'absolue négation du message christique, négation destinée à s'effectuer, à passer du potentiel au réel. Je pense que l'on peut désormais dire que le Talmud est finalement venu à bout du message évangélique, c'était dans le projet initial. Le Christ a été tué deux fois, une première fois par les juifs de la Torah, les Hébreux mosaïques qui l'ont mis sur la croix ; une seconde fois par les juifs du Talmud, majoritairement des populations converties, notamment celles provenant du royaume des Khazars, qui ont pris leur revanche de façon insidieuse en France surtout (c'était symboliquement très important de remporter cette victoire sur la France précisément, plus que toute autre nation, puisque c'était, au passé hélas, la fille aînée de l'Église) : de la Révolution française à l'Affaire Dreyfus, en passant par la séparation de l'Église et de l'État jusqu'à la Shoah, et enfin l'ultime décapitation du peuple français non-juif par ce qu'il lui restait de spiritualité catholique en France, avec Mai 68.
Or je pense que les forces religieuses, comme celles qui actuellement servent à justifier le génocide de Gaza par des passages tirés du Talmud, sont infiniment plus fortes que de simples forces matérialistes et sécularisées sous l'action de la laïcité ! Les Français non-juifs hélas ayant succombé à cette tentation pour devenir la proie facile du Talmud : on le voit bien à qui nous dirige, nous instruit, nous informe, nous soigne, nous juge et éventuellement nous défend, nous divertit, etc. achevant de complètement détruire le peu qu'il nous restait de jugement critique et de liberté d'action. Nous sommes devenus des zombies en croyant naïvement avoir gagné notre émancipation d'une religion catholique estimée oppressive. Il faut bien voir qu'une partie de la communauté juive en France a maintenu toutes ses forces intactes par l'entretien de sa spiritualité religieuse, alors que la majorité des Français non-juifs y renonçaient sous l'action du matérialisme qui finalement allait prendre la forme du libéralisme hérité de Mandeville (the man devil), dont certains attribuent la naissance à l'influence du protestantisme, lui-même noyauté dès l'origine par les valeurs du Talmud.
Ensuite je pense que le Talmud est arrivé à ses fins puisque son « peuple » (majoritairement composé de convertis aux origines multiculturelles et multiethniques) a rejoint sa terre promise (un projet de retour contenu dans le Talmud, bien antérieur au sionisme).
(...)
Un fraudeur avéré du fisc portant sur une somme de 2,5 millions de NIS (environ 600 000 euros), pédophile notoire sur des mineures sans leur consentement, apologiste du génocide de Gaza, tout cela ne dissuade pas l'État français d'accueillir Eyal Golan sur son sol pour un concert qui doit avoir lieu dans une semaine au Dôme de Paris. C'est normal il est ici CHEZ LUI, alors que le sionisme a colonisé les esprits via les médias et l'industrie du divertissement entre leurs mains, pour faire de la propagande et du conditionnement à grande échelle. Les Français non-juifs tendent de plus en plus à être expropriés culturellement de leur propre territoire, puisqu'ils n'ont plus l'hégémonie culturelle sur leur propre sol. Je veux bien que le phénomène touche l'ensemble de la population mondiale sous les effets conjugués du règne de la technique dont parle Heidegger, et du libéralisme destructeur de toutes les logiques communautaires, de l'anthropologie familiale d'origine catholique en France, du couple, de l'enfant, au profit de l'individu narcissique et égoïste, dont le vice est justifié aux yeux de cette idéologie libérale. Mais j'y vois une troisième cause, le déploiement d'un projet inscrit comme un programme génétique, au sein d'un embryon de religion que personnellement j'appelle secte parasite du christianisme naissant, dès le début de notre ère chrétienne en réaction au projet christique, un parasite donc mais fondamentalement anti-christique, dont le sens du message doit être compris comme l'absolue négation du message christique, négation destinée à s'effectuer, à passer du potentiel au réel. Je pense que l'on peut désormais dire que le Talmud est finalement venu à bout du message évangélique, c'était dans le projet initial. Le Christ a été tué deux fois, une première fois par les juifs de la Torah, les Hébreux mosaïques qui l'ont mis sur la croix ; une seconde fois par les juifs du Talmud, majoritairement des populations converties, notamment celles provenant du royaume des Khazars, qui ont pris leur revanche de façon insidieuse en France surtout (c'était symboliquement très important de remporter cette victoire sur la France précisément, plus que toute autre nation, puisque c'était, au passé hélas, la fille aînée de l'Église) : de la Révolution française à l'Affaire Dreyfus, en passant par la séparation de l'Église et de l'État jusqu'à la Shoah, et enfin l'ultime décapitation du peuple français non-juif par ce qu'il lui restait de spiritualité catholique en France, avec Mai 68.
Or je pense que les forces religieuses, comme celles qui actuellement servent à justifier le génocide de Gaza par des passages tirés du Talmud, sont infiniment plus fortes que de simples forces matérialistes et sécularisées sous l'action de la laïcité ! Les Français non-juifs hélas ayant succombé à cette tentation pour devenir la proie facile du Talmud : on le voit bien à qui nous dirige, nous instruit, nous informe, nous soigne, nous juge et éventuellement nous défend, nous divertit, etc. achevant de complètement détruire le peu qu'il nous restait de jugement critique et de liberté d'action. Nous sommes devenus des zombies en croyant naïvement avoir gagné notre émancipation d'une religion catholique estimée oppressive. Il faut bien voir qu'une partie de la communauté juive en France a maintenu toutes ses forces intactes par l'entretien de sa spiritualité religieuse, alors que la majorité des Français non-juifs y renonçaient sous l'action du matérialisme qui finalement allait prendre la forme du libéralisme hérité de Mandeville (the man devil), dont certains attribuent la naissance à l'influence du protestantisme, lui-même noyauté dès l'origine par les valeurs du Talmud.
Ensuite je pense que le Talmud est arrivé à ses fins puisque son « peuple » (majoritairement composé de convertis aux origines multiculturelles et multiethniques) a rejoint sa terre promise (un projet de retour contenu dans le Talmud, bien antérieur au sionisme).
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15.05.202521:17
Les animaux, eux, n’avaient plus rien. Leur catholicisme, jadis pilier de leur identité, n’était plus qu’une écorce sèche, vidée de toute intériorité. Sans cette intériorité, ils n’avaient plus de conscience morale, plus de valeurs pour protéger la famille, le couple, les enfants. Ils étaient devenus des bêtes sans âme, incapables de résister. Les cochons talmudiques, et même les chameaux musulmans de la Ferme, surpassaient de loin les animaux en spiritualité. Ces derniers, en croyant embrasser l’athéisme et le matérialisme, s’étaient condamnés à l’impuissance.
Pire encore, certains murmuraient que le christianisme lui-même avait été un outil, un pion dans le jeu des cochons. Le Christ, disaient-ils, avait été instrumentalisé pour permettre au Talmud de triompher, comme un parasite rongeant un organisme sain. Le Talmud, exclusiviste, n’avait jamais eu la prétention d’universalité, contrairement à ce que clamaient certains de ses scribes, comme un certain BHL. Il n’avantageait que ses adeptes, les cochons, et laissait les autres bêtes dans la boue.
Ainsi, dans la Ferme de France, Eyal Golan chanterait, et les animaux applaudiraient, oubliant qu’ils n’étaient plus chez eux. Les cochons, avec leur Talmud et leur ruse, avaient vaincu. Et les animaux, éblouis par les plaisirs futiles du matérialisme, n’avaient même pas vu leur ferme leur glisser entre les pattes.
Erwan Blesbois
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https://t.me/SavingFakebook/11815
Pire encore, certains murmuraient que le christianisme lui-même avait été un outil, un pion dans le jeu des cochons. Le Christ, disaient-ils, avait été instrumentalisé pour permettre au Talmud de triompher, comme un parasite rongeant un organisme sain. Le Talmud, exclusiviste, n’avait jamais eu la prétention d’universalité, contrairement à ce que clamaient certains de ses scribes, comme un certain BHL. Il n’avantageait que ses adeptes, les cochons, et laissait les autres bêtes dans la boue.
Ainsi, dans la Ferme de France, Eyal Golan chanterait, et les animaux applaudiraient, oubliant qu’ils n’étaient plus chez eux. Les cochons, avec leur Talmud et leur ruse, avaient vaincu. Et les animaux, éblouis par les plaisirs futiles du matérialisme, n’avaient même pas vu leur ferme leur glisser entre les pattes.
Erwan Blesbois
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15.05.202521:17
EYAL GOLAN COCHON ADULÉ EN CONCERT À PARIS
Dans la grande Ferme de France, jadis fière et prospère, les animaux vivaient autrefois sous l’égide d’une vieille loi, celle des Évangiles, un code ancien qui prônait l’amour, la famille et la communauté. Mais cette époque était révolue. Les cochons, rusés et organisés, avaient pris le contrôle, et parmi eux brillait une étoile : Eyal Golan, un chanteur adulé, un héros du Parti des Cochons. Dans une semaine, il chanterait au Dôme de Paris, acclamé par une foule en transe, comme s’il était chez lui. Et il l’était. La Ferme de France, autrefois propriété des animaux, leur avait été arrachée, et les cochons, avec leur doctrine talmudique, régnaient désormais en maîtres.
Eyal Golan, ce cochon flamboyant, n’était pas un saint. Les murmures dans la basse-cour parlaient d’une fraude fiscale de 2,5 millions de shekels, d’accusations infâmes de pédophilie contre des jeunes brebis sans défense, et d’une voix stridente justifiant le massacre des agneaux de Gaza. Pourtant, rien de tout cela n’empêchait les portes de la Ferme de s’ouvrir grand pour lui. Pourquoi ? Parce que les cochons avaient colonisé les esprits. Par les journaux, les chansons, les spectacles, ils avaient tissé une toile de propagande, un conditionnement si puissant que les animaux ne voyaient plus la vérité. Les Français, ces bêtes laborieuses, n’étaient plus chez eux. Leur culture, leur héritage, leur sol même leur avaient été confisqués, non par la force, mais par une lente expropriation spirituelle.
Les animaux, il faut le dire, avaient leur part de responsabilité. Séduits par la promesse de plaisirs immédiats, ils avaient troqué l’ancienne loi des Évangiles pour le matérialisme, un dogme brillant mais creux qui glorifiait l’individu égoïste, narcissique, et détruisait les liens du couple, de la famille, de l’enfant. Ce matérialisme, prêché par un certain Mandeville – que certains appelaient "l’Homme-Diable" – avait des racines profondes, peut-être même dans un protestantisme infiltré dès l’origine par les valeurs des cochons. Les animaux, croyant s’émanciper d’une vieille religion qu’ils jugeaient oppressive, s’étaient jetés dans les griffes d’une nouvelle tyrannie, celle des cochons talmudiques.
Mais il y avait plus. Les cochons suivaient un plan ancien, un programme gravé dans leur livre sacré, le Talmud, une doctrine que certains appelaient une secte parasite, née en réaction au message du Christ, il y a des siècles. Ce Talmud, anti-christique par essence, avait pour but de nier l’Évangile, de transformer son potentiel en réalité. Et il avait réussi. Le Christ, dans cette fable, avait été tué deux fois. La première, par les vieux cochons de la Torah, qui l’avaient cloué sur la croix. La deuxième, par les nouveaux cochons du Talmud, souvent des convertis, issus de lointaines contrées comme le royaume des Khazars. Ces cochons avaient patiemment miné la Ferme de France, la fille aînée de l’Église, jusqu’à la réduire à une coquille vide. De la Révolution française à l’Affaire Dreyfus, de la séparation de l’Église et de l’État à la Shoah, et enfin à l’insurrection de Mai 68, ils avaient décapité l’âme catholique des animaux, les laissant sans boussole, sans spiritualité.
Les cochons, eux, avaient gardé leur foi intacte. Leur spiritualité talmudique, même chez ceux qui se disaient laïcs, leur donnait une force que les animaux, égarés dans leur matérialisme, avaient perdue. Les cochons dirigeaient, instruisaient, informaient, soignaient, jugeaient et éventuellement défendaient, divertissaient. Ils avaient transformé les animaux en zombies, des bêtes dociles qui croyaient avoir conquis leur liberté en reniant leur passé. Pendant ce temps, les cochons poursuivaient leur grand projet : rejoindre leur Terre Promise, un rêve inscrit dans le Talmud, bien avant que le mot "sionisme" n’existe. Ils y étaient presque. Il ne leur restait qu’à rebâtir leur temple, à détruire la grande mosquée des moutons musulmans –le troisième lieu saint de leur foi– pour que leur messie revienne. Tout était écrit, tout était en marche.
(...)
Dans la grande Ferme de France, jadis fière et prospère, les animaux vivaient autrefois sous l’égide d’une vieille loi, celle des Évangiles, un code ancien qui prônait l’amour, la famille et la communauté. Mais cette époque était révolue. Les cochons, rusés et organisés, avaient pris le contrôle, et parmi eux brillait une étoile : Eyal Golan, un chanteur adulé, un héros du Parti des Cochons. Dans une semaine, il chanterait au Dôme de Paris, acclamé par une foule en transe, comme s’il était chez lui. Et il l’était. La Ferme de France, autrefois propriété des animaux, leur avait été arrachée, et les cochons, avec leur doctrine talmudique, régnaient désormais en maîtres.
Eyal Golan, ce cochon flamboyant, n’était pas un saint. Les murmures dans la basse-cour parlaient d’une fraude fiscale de 2,5 millions de shekels, d’accusations infâmes de pédophilie contre des jeunes brebis sans défense, et d’une voix stridente justifiant le massacre des agneaux de Gaza. Pourtant, rien de tout cela n’empêchait les portes de la Ferme de s’ouvrir grand pour lui. Pourquoi ? Parce que les cochons avaient colonisé les esprits. Par les journaux, les chansons, les spectacles, ils avaient tissé une toile de propagande, un conditionnement si puissant que les animaux ne voyaient plus la vérité. Les Français, ces bêtes laborieuses, n’étaient plus chez eux. Leur culture, leur héritage, leur sol même leur avaient été confisqués, non par la force, mais par une lente expropriation spirituelle.
Les animaux, il faut le dire, avaient leur part de responsabilité. Séduits par la promesse de plaisirs immédiats, ils avaient troqué l’ancienne loi des Évangiles pour le matérialisme, un dogme brillant mais creux qui glorifiait l’individu égoïste, narcissique, et détruisait les liens du couple, de la famille, de l’enfant. Ce matérialisme, prêché par un certain Mandeville – que certains appelaient "l’Homme-Diable" – avait des racines profondes, peut-être même dans un protestantisme infiltré dès l’origine par les valeurs des cochons. Les animaux, croyant s’émanciper d’une vieille religion qu’ils jugeaient oppressive, s’étaient jetés dans les griffes d’une nouvelle tyrannie, celle des cochons talmudiques.
Mais il y avait plus. Les cochons suivaient un plan ancien, un programme gravé dans leur livre sacré, le Talmud, une doctrine que certains appelaient une secte parasite, née en réaction au message du Christ, il y a des siècles. Ce Talmud, anti-christique par essence, avait pour but de nier l’Évangile, de transformer son potentiel en réalité. Et il avait réussi. Le Christ, dans cette fable, avait été tué deux fois. La première, par les vieux cochons de la Torah, qui l’avaient cloué sur la croix. La deuxième, par les nouveaux cochons du Talmud, souvent des convertis, issus de lointaines contrées comme le royaume des Khazars. Ces cochons avaient patiemment miné la Ferme de France, la fille aînée de l’Église, jusqu’à la réduire à une coquille vide. De la Révolution française à l’Affaire Dreyfus, de la séparation de l’Église et de l’État à la Shoah, et enfin à l’insurrection de Mai 68, ils avaient décapité l’âme catholique des animaux, les laissant sans boussole, sans spiritualité.
Les cochons, eux, avaient gardé leur foi intacte. Leur spiritualité talmudique, même chez ceux qui se disaient laïcs, leur donnait une force que les animaux, égarés dans leur matérialisme, avaient perdue. Les cochons dirigeaient, instruisaient, informaient, soignaient, jugeaient et éventuellement défendaient, divertissaient. Ils avaient transformé les animaux en zombies, des bêtes dociles qui croyaient avoir conquis leur liberté en reniant leur passé. Pendant ce temps, les cochons poursuivaient leur grand projet : rejoindre leur Terre Promise, un rêve inscrit dans le Talmud, bien avant que le mot "sionisme" n’existe. Ils y étaient presque. Il ne leur restait qu’à rebâtir leur temple, à détruire la grande mosquée des moutons musulmans –le troisième lieu saint de leur foi– pour que leur messie revienne. Tout était écrit, tout était en marche.
(...)
15.05.202518:07
(...)
• Calculer l’apport calorique quotidien afin de déterminer le moyen le plus lent possible de tuer une population sans déclencher l’aveu explicite d’un génocide (Middle East Eye, 2025).
• Rationner la mort : couper l’approvisionnement en nourriture, en eau, en électricité et en médicaments, afin que chaque repas, chaque gorgée d’eau, chaque dose d’insuline devienne un acte de résistance. L’ONU a confirmé qu’en février 2025, 100% de la population de Gaza est menacée de famine (rapport de l’ONU, 2025).
• Utiliser la déshydratation comme arme : forcer les enfants à boire de l’eau contaminée, sachant que le choléra et la dysenterie achèveront le travail que les bombes n’ont pas réussi à mener à bien. L’OMS a confirmé que des nourrissons meurent chaque jour de causes évitables (OMS, 2025).
Nissim Vaturi, vice-président de la Knesset : «Notre objectif est de rayer la bande de Gaza de la surface du globe».
Et lorsqu’un nourrisson meurt de malnutrition, de déshydratation ou d’infection, ce n’est pas seulement une «conséquence regrettable» : c’est la preuve de leur planification méticuleuse, de leur «engagement» à mener une guerre contre la vie même.
3/Repousser les limites de la déshumanisation
Benjamin Netanyahou, Premier ministre : «C’est une lutte entre les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres, entre l’humanité et la loi de la jungle».
Le monde a déjà connu des régimes génocidaires, mais Israël a affiné «l’art» du massacre de masse pour en faire une expérience interactive. Ils ont transformé la déshumanisation en un passe-temps national, où :
• Les politiciens israéliens qualifient publiquement les Palestiniens d’«animaux humains» et appellent à la destruction totale de Gaza (Haaretz, 2025).
• Les soldats diffusent en direct des exécutions, posent avec les corps d’enfants palestiniens assassinés et inscrivent des messages racistes sur leurs cadavres.
• Des Israéliens d’extrême droite se rassemblent au sommet des collines pour assister au génocide, faisant des barbecues pendant que les bombes rasent les camps de réfugiés. (The Guardian, 2025).
Ce n’est pas seulement un génocide, c’est un «divertissement». «Un spectacle pour les générations futures».
Un héritage sanglant
La machine de guerre israélienne a déjà exterminé plus de 62 000 Palestiniens, selon The Lancet (2025), un chiffre qui dépasse de loin les rapports officiels. Mais ce n’est que le bilan direct : les experts estiment que le nombre total de morts, y compris ceux dus à la famine, aux maladies et à l’effondrement du système médical, pourrait atteindre 186 000.
Ovadia Yosef, ancien grand rabbin et chef du parti Shas : «Il est interdit de leur faire miséricorde. Il faut leur envoyer des missiles et les anéantir. Ils sont maudits et condamnés».
Et pourtant, même ce chiffre est insignifiant comparé aux prévisions de Genospectra, qui estime à plus de 720 000 le nombre de morts palestiniens, violents et non violents, entre le 7 octobre 2023 et le 19 janvier 2025. Il ne s’agit pas seulement d’une guerre, mais de la plus grande campagne de nettoyage ethnique génocidaire du XXIe siècle.
source : Marginalia Subversiva via Spirit of Free Speech
https://www.facebook.com/share/p/1Ke1T1hokp/
https://t.me/c/1631639877/11813
• Calculer l’apport calorique quotidien afin de déterminer le moyen le plus lent possible de tuer une population sans déclencher l’aveu explicite d’un génocide (Middle East Eye, 2025).
• Rationner la mort : couper l’approvisionnement en nourriture, en eau, en électricité et en médicaments, afin que chaque repas, chaque gorgée d’eau, chaque dose d’insuline devienne un acte de résistance. L’ONU a confirmé qu’en février 2025, 100% de la population de Gaza est menacée de famine (rapport de l’ONU, 2025).
• Utiliser la déshydratation comme arme : forcer les enfants à boire de l’eau contaminée, sachant que le choléra et la dysenterie achèveront le travail que les bombes n’ont pas réussi à mener à bien. L’OMS a confirmé que des nourrissons meurent chaque jour de causes évitables (OMS, 2025).
Nissim Vaturi, vice-président de la Knesset : «Notre objectif est de rayer la bande de Gaza de la surface du globe».
Et lorsqu’un nourrisson meurt de malnutrition, de déshydratation ou d’infection, ce n’est pas seulement une «conséquence regrettable» : c’est la preuve de leur planification méticuleuse, de leur «engagement» à mener une guerre contre la vie même.
3/Repousser les limites de la déshumanisation
Benjamin Netanyahou, Premier ministre : «C’est une lutte entre les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres, entre l’humanité et la loi de la jungle».
Le monde a déjà connu des régimes génocidaires, mais Israël a affiné «l’art» du massacre de masse pour en faire une expérience interactive. Ils ont transformé la déshumanisation en un passe-temps national, où :
• Les politiciens israéliens qualifient publiquement les Palestiniens d’«animaux humains» et appellent à la destruction totale de Gaza (Haaretz, 2025).
• Les soldats diffusent en direct des exécutions, posent avec les corps d’enfants palestiniens assassinés et inscrivent des messages racistes sur leurs cadavres.
• Des Israéliens d’extrême droite se rassemblent au sommet des collines pour assister au génocide, faisant des barbecues pendant que les bombes rasent les camps de réfugiés. (The Guardian, 2025).
Ce n’est pas seulement un génocide, c’est un «divertissement». «Un spectacle pour les générations futures».
Un héritage sanglant
La machine de guerre israélienne a déjà exterminé plus de 62 000 Palestiniens, selon The Lancet (2025), un chiffre qui dépasse de loin les rapports officiels. Mais ce n’est que le bilan direct : les experts estiment que le nombre total de morts, y compris ceux dus à la famine, aux maladies et à l’effondrement du système médical, pourrait atteindre 186 000.
Ovadia Yosef, ancien grand rabbin et chef du parti Shas : «Il est interdit de leur faire miséricorde. Il faut leur envoyer des missiles et les anéantir. Ils sont maudits et condamnés».
Et pourtant, même ce chiffre est insignifiant comparé aux prévisions de Genospectra, qui estime à plus de 720 000 le nombre de morts palestiniens, violents et non violents, entre le 7 octobre 2023 et le 19 janvier 2025. Il ne s’agit pas seulement d’une guerre, mais de la plus grande campagne de nettoyage ethnique génocidaire du XXIe siècle.
source : Marginalia Subversiva via Spirit of Free Speech
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15.05.202518:07
Il n’y a vraiment pas de mots assez élogieux pour décrire le «génie» des réalisations d’Israël. Leur «dévouement», leurs «innovations», leur quête inlassable de «grandeur» – tout cela est tellement «inspirant».
Moshe Saada, membre de la Knesset (parti Likoud) : «Tout le monde à Gaza devrait être tué».
Qui d’autre pourrait transformer un camp de concentration à ciel ouvert en un charnier avec une telle «précision» chirurgicale ? Qui d’autre pourrait réécrire les règles de la guerre, faisant de la famine une stratégie sanctionnée et des hôpitaux une cible prioritaire ? Le monde vénère depuis longtemps les «cerveaux» des stratèges, ceux qui redéfinissent l’art du conflit, mais Israël est allé au-delà de la simple «prouesse» militaire. Ils ont élevé la barbarie au rang de science, l’ont affinée pour en faire un processus industriel. Lorsque l’histoire s’interroge sur les modèles d’ambition implacable, de volonté inébranlable de briser les contraintes morales et juridiques, Israël fait figure d’exception. Et cela n’a rien d’étonnant : il trône sur une montagne de cadavres, empilés et profanés, chaque mort étant un coup délibéré porté à son «grand projet».
Yoav Gallant, ministre de la Défense : «Nous combattons des animaux humains et agissons en conséquence».
Une leçon magistrale sur le génocide au XXIe siècle
Tally Gotliv, membre de la Knesset (parti Likoud) : «Nous devrions utiliser des armes nucléaires contre Gaza».
Prenons un moment pour «admirer» leurs exploits record. Jamais auparavant un État moderne n’avait fait d’un génocide un spectacle diffusé en direct, où chaque frappe de missile est acclamée comme un événement sportif, chaque massacre ponctué de barbecues festifs. Le monde a déjà été témoin de massacres, mais jamais le massacre n’a été aussi parfaitement intégré aux réseaux sociaux, où les soldats se vantent du nombre de victimes, posent à côté de cadavres palestiniens carbonisés et diffusent en direct leurs destructions comme des influenceurs faisant la promotion de leur dernier produit.
Leurs «innovations» technologiques ? Inégalées.
• Une guerre de précision guidée par l’intelligence artificielle, pas pour épargner les civils, mais pour s’assurer qu’aucune boulangerie, école ou maternité n’échappe à la destruction. Des rapports confirment que le système de ciblage par IA d’Israël, «Lavender», signale et autorise automatiquement les frappes aériennes contre des militants présumés, une catégorie suffisamment vague pour inclure tout homme de plus de 15 ans, entraînant des massacres aveugles (+972 Magazine, 2025).
• Les frappes aériennes «à double impact» perfectionnées : un coup de «génie» qui garantit que les premiers intervenants qui se précipitent pour sauver les blessés sont rapidement anéantis. Cette technique a été documentée dans plusieurs enquêtes sur des crimes de guerre.
• Des drones qui traquent les enfants : des machines de mort aériennes capables de viser un enfant en bas âge avec la «précision» d’un tireur d’élite olympique. Une vidéo largement diffusée montre un tireur d’élite israélien riant alors qu’il «traquait des enfants» sur TikTok (The Guardian, 2025).
Ils ne se contentent pas d’éliminer les Palestiniens, ils éliminent toute possibilité de survie.
Yitzhak Kroizer, membre de la Knesset (parti Otzma Yehudit) : «La bande de Gaza doit être rasée, et il n’y a qu’une seule sentence pour tous : la mort».
2/Innover avec la guerre de la faim
Mais l’«excellence» d’Israël ne se limite pas aux bombes et aux balles. Non, ils ont été les premiers à utiliser la famine comme arme stratégique, perfectionnant la guerre de blocus à l’ère moderne. Ils ne se contentent pas de bloquer l’aide, ils organisent la famine avec une précision mathématique. Et leurs dirigeants et colons organisent des festivités pour les enfants en bloquant les camions d’aide humanitaire contenant du lait en poudre et des fournitures médicales
(...)
Moshe Saada, membre de la Knesset (parti Likoud) : «Tout le monde à Gaza devrait être tué».
Qui d’autre pourrait transformer un camp de concentration à ciel ouvert en un charnier avec une telle «précision» chirurgicale ? Qui d’autre pourrait réécrire les règles de la guerre, faisant de la famine une stratégie sanctionnée et des hôpitaux une cible prioritaire ? Le monde vénère depuis longtemps les «cerveaux» des stratèges, ceux qui redéfinissent l’art du conflit, mais Israël est allé au-delà de la simple «prouesse» militaire. Ils ont élevé la barbarie au rang de science, l’ont affinée pour en faire un processus industriel. Lorsque l’histoire s’interroge sur les modèles d’ambition implacable, de volonté inébranlable de briser les contraintes morales et juridiques, Israël fait figure d’exception. Et cela n’a rien d’étonnant : il trône sur une montagne de cadavres, empilés et profanés, chaque mort étant un coup délibéré porté à son «grand projet».
Yoav Gallant, ministre de la Défense : «Nous combattons des animaux humains et agissons en conséquence».
Une leçon magistrale sur le génocide au XXIe siècle
Tally Gotliv, membre de la Knesset (parti Likoud) : «Nous devrions utiliser des armes nucléaires contre Gaza».
Prenons un moment pour «admirer» leurs exploits record. Jamais auparavant un État moderne n’avait fait d’un génocide un spectacle diffusé en direct, où chaque frappe de missile est acclamée comme un événement sportif, chaque massacre ponctué de barbecues festifs. Le monde a déjà été témoin de massacres, mais jamais le massacre n’a été aussi parfaitement intégré aux réseaux sociaux, où les soldats se vantent du nombre de victimes, posent à côté de cadavres palestiniens carbonisés et diffusent en direct leurs destructions comme des influenceurs faisant la promotion de leur dernier produit.
Leurs «innovations» technologiques ? Inégalées.
• Une guerre de précision guidée par l’intelligence artificielle, pas pour épargner les civils, mais pour s’assurer qu’aucune boulangerie, école ou maternité n’échappe à la destruction. Des rapports confirment que le système de ciblage par IA d’Israël, «Lavender», signale et autorise automatiquement les frappes aériennes contre des militants présumés, une catégorie suffisamment vague pour inclure tout homme de plus de 15 ans, entraînant des massacres aveugles (+972 Magazine, 2025).
• Les frappes aériennes «à double impact» perfectionnées : un coup de «génie» qui garantit que les premiers intervenants qui se précipitent pour sauver les blessés sont rapidement anéantis. Cette technique a été documentée dans plusieurs enquêtes sur des crimes de guerre.
• Des drones qui traquent les enfants : des machines de mort aériennes capables de viser un enfant en bas âge avec la «précision» d’un tireur d’élite olympique. Une vidéo largement diffusée montre un tireur d’élite israélien riant alors qu’il «traquait des enfants» sur TikTok (The Guardian, 2025).
Ils ne se contentent pas d’éliminer les Palestiniens, ils éliminent toute possibilité de survie.
Yitzhak Kroizer, membre de la Knesset (parti Otzma Yehudit) : «La bande de Gaza doit être rasée, et il n’y a qu’une seule sentence pour tous : la mort».
2/Innover avec la guerre de la faim
Mais l’«excellence» d’Israël ne se limite pas aux bombes et aux balles. Non, ils ont été les premiers à utiliser la famine comme arme stratégique, perfectionnant la guerre de blocus à l’ère moderne. Ils ne se contentent pas de bloquer l’aide, ils organisent la famine avec une précision mathématique. Et leurs dirigeants et colons organisent des festivités pour les enfants en bloquant les camions d’aide humanitaire contenant du lait en poudre et des fournitures médicales
(...)
15.05.202517:55
Et cette foule que vous saluez, elle est avec nous dans la pièce ? 🤔


15.05.202509:55


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