Il est clair que le Vatican et l'« église parallèle » bergoglienne sont dans un état de panique et feraient n'importe quoi pour obtenir un consensus des cardinaux autour d'une personne qui poursuivrait la révolution bergoglienne.
Nombreux sont ceux qui ont tout intérêt à cacher leurs propres méfaits – aux côtés de ceux de Bergoglio – alors qu'aux États-Unis, la conférence des évêques s'oppose frontalement à l'administration Trump après que le scandale des fonds de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a mis en lumière la complicité de l'Église catholique dans le lucratif commerce qu'est l'immigration.
Nous devons empêcher la hiérarchie progressiste d'imposer son propre représentant comme successeur de Bergoglio, c'est-à-dire un nouvel usurpateur du Trône de Saint Pierre, qui serait l'héritier et le continuateur de son prédécesseur.
Avant que le dernier clou ne soit enfoncé dans le cercueil de Bergoglio, il est donc essentiel et urgent de mettre en lumière l'usurpation dont il a été coupable et le fait que l'Église catholique a été occupée par une hiérarchie corrompue et traîtresse, dont le seul objectif est de détruire l'Église de l'intérieur.
- Les manœuvres de la Mafia Saint Gallen, en tandem avec la gauche ultra-progressiste ;
- Les méfaits de Theodore McCarrick, restés impunis ;
- Le rôle de McCarrick dans les administrations démocrates ;
- L'influence exercée par McCarrick pour obtenir des évêchés pour ses « héritiers » – qui sont tous homosexuels et corrompus – afin qu'ils occupent des postes importants aux États-Unis et au Vatican ;
- Les actions de McCarrick en tant qu'intermédiaire de Bergoglio avec le régime communiste chinois pour obtenir la signature d'un accord secret avec le Saint-Siège ;
- Le rôle des jésuites dans la promotion de l'agenda globaliste ;
- La protection scandaleuse que Bergoglio a assurée et continue d'assurer aux abuseurs et aux pervers ;
- L'occultation du dossier sur les réseaux de corruption du Vatican, que le pape émérite Benoît XVI a remis à Bergoglio en avril 2013 et sur lequel il n'a pas été fait de retour ;
- Le rôle de Bergoglio dans les crimes contre l'humanité commis durant la « pandémie de Covid » et dans l'imposition des vaccins ;
- L'exploitation cynique des immigrants illégaux pour détruire le tissu social de l'Occident...
Toutes ces choses et bien d'autres confirment que l'église bergoglienne est non seulement complice du plan subversif du Forum Économique Mondial, mais en est un protagoniste de premier plan. Les fidèles ont le droit de connaître toute la vérité sur ces événements.
Après des années de mensonges, de dissimulation et de silence, la fraude de Jorge Mario Bergoglio doit être reconnue et il doit être jugé, pour restaurer la vérité et la justice que réclament les victimes de sa répression, de ses actes d'intimidation et de sa complicité dans les crimes de ses instigateurs et protégés.
Sa vie antérieure, les crimes qu'il a commis en Argentine (pour lesquels il n'est jamais retourné dans son pays natal en tant que « pape ») et les événements troublants qui suggèrent que Jorge Mario Bergoglio a personnellement commis des abus sexuels sur de jeunes jésuites lorsqu'il était Maître des Novices en Argentine doivent être éclaircis.
Il faut clarifier si Tomas Ricardo Arizaga (connu sous le nom de Tomasito), qui est mort le 20 juillet 2014 à l'âge de 11 ans et a été incinéré puis enterré en 2019 au Cimetière Teutonique du Vatican après que ses dents ont été retirées, est vraiment le fils de Bergoglio, comme cela a été murmuré depuis trop longtemps et qu'il y a de nombreux indices qui nous incitent à le croire.
Une alliance criminelle internationale a réuni ses forces subversives pour éliminer Benoît XVI, le forçant à démissionner et le remplaçant par un émissaire du globalisme.