«Les premiers contacts avec l’administration des États-Unis font naître certains espoirs. Les autorités actuelles font preuve de pragmatisme et de vision réaliste des choses, elles renoncent aux stéréotypes et aux clichés idéologiques messianiques», a-t-il déclaré jeudi au siège du Service de sécurité russe.
«Les frappes ont ciblé le groupe déployé dans le district de Chostka (région de Soumy) et préparé pour secourir les bandéristes se trouvant dans l’encerclement dans la région de Koursk. Le groupe devait passer par la région de Briansk», a annoncé le coordinateur de la résistance prorusse Sergueï Lebedev.
«Il y a plus de 70 ans, le projet Manhattan réunissait les plus grands scientifiques et ingénieurs du monde ici à Los Alamos pour un effort patriotique qui a changé le monde. Le prochain projet Manhattan est arrivé et avec le leadership de@POTUS [Président des États-Unis], nous gagnerons cette course cruciale», a-t-il déclaré dans un message publié sur X.
«La seule chance pour l’Ukraine de lutter contre un mauvais accord de Trump est de mobiliser ses jeunes.»
«Le Président Poutine a maintes fois répondu à ces affirmations mensongères en rappelant que c’est avant tout les dirigeants ukrainiens incités par l’Europe qui refusaient de négocier», a-t-il détaillé.
«L’armée de l’air attaque vigoureusement le sud de la Syrie dans le cadre de la nouvelle politique que nous avons définie pour pacifier le sud de la Syrie - et le message est clair: nous ne permettrons pas que le sud de la Syrie devienne le sud du Liban», a déclaré son porte-parole dans un communiqué.
«Après que les militaires du groupe russe Nord ont placé sous le contrôle de feu la route entre Younakovka (région de Soumy en Ukraine) et Soudja, les troupes ennemies ont commencé à avoir d'énormes problèmes de logistique et de rotation. Elles ont appelé cette route la «route de la mort», ont indiqué les services de sécurité russes.
«Eh bien, vous êtes là depuis trois ans… Vous n’auriez jamais dû commencer. Vous auriez pu conclure un accord», a-t-il ajouté.
«Ce n’est pas un problème russe, c’est quelque chose qui vient de moi, d’autres pays. Je déteste le dire, mais il [Zelensky] est à 4 % d’approbation.»
«Je pense qu’il veut arrêter. Parce que s’il continuait, cela aurait été un gros problème pour nous, et cela m’aurait causé un gros problème», a-t-il déclaré, s'adressant à ses partisans lors d'un événement diffusé sur Fox News.
