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Catholique NS

IIIe Reich calomnié
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Дата створення каналуЛист 11, 2023
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Лист 20, 2024

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Lettre d'Adolf Hitler du 2 mars 1927 adressée à Magnus Gött (partie 5)

« Pour conclure, je peux vous assurer que je sais aussi évaluer correctement nos classes dites instruites. Je ne peux toutefois pas tout mettre dans le même panier. Car à côté de tant de philistins lâches ou d'exploiteurs sans scrupules, il y a aussi d'innombrables idéalistes qui sont prêts à tout mettre en œuvre, à se sacrifier et à se battre pour leur peuple. Je n'ai pas besoin de vous assurer que je me réjouis que vous, Monsieur le Bénéficiaire, poursuiviez notre travail, et que je suis sincèrement désolé que vous ne puissiez ou ne soyez plus en mesure d'y participer positivement.

Ce que je regrette le plus, ce sont les événements qui, après novembre 1923, ont incité vos autorités ecclésiastiques supérieures à prononcer cette interdiction. Les attaques qui ont été lancées à l'époque, en particulier contre le cardinal [Faulhaber], n'ont été faites ni à ma connaissance, ni avec mon approbation. Seulement, le sang a coulé et, dans la terrible agitation, des mots ont été prononcés qui, en temps de calme et de réflexion sereine, n'auraient certainement jamais été prononcés.
J'en suis infiniment désolé, car j'ai ainsi perdu de nombreux collaborateurs qui, du fait de leur activité pastorale passée, avaient déjà un cœur sincèrement chaleureux pour notre peuple et qui m'auraient offert la garantie la plus sûre que dans notre mouvement ne se propagerait jamais une tendance qui rendrait plus difficile aux membres d'une confession particulière d'appartenir à notre parti. Car mon souhait a toujours été que, dans les rangs du Parti national-socialiste des travailleurs allemands, le protestant le plus fervent puisse siéger à côté du catholique le plus fervent, et inversement, sans jamais être confronté au moindre conflit avec sa conscience.

Veuillez agréer, une fois encore, l'assurance de ma profonde considération.
Avec mes salutations les plus sincères !

Bien à vous.
signé Adolf Hitler »

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Lettre d'Adolf Hitler du 4 février 1927 adressée à Magnus Gött (partie 2)

« Je vous demande également de garder à l'esprit que la mission de mon mouvement n'est pas de rassembler des chrétiens fidèles et dévoués, mais de récupérer tous les éléments de la nation et de sa culture spirituelle et morale qu'elle avait perdus. N'oubliez pas que la fusion d'une multitude de personnes issues de milieux aussi hétérogènes est un processus qui prend des décennies, mais qui doit être entrepris, même s'il présente des frictions et des difficultés. Croyez-moi, Monsieur le Bénéficiaire, il est plus facile de prêcher dans un pays unifié et pieux que d'aller parmi les loups, si l'on a l'intention de les transformer à nouveau en hommes.

Pour beaucoup, il peut s'agir d'une lutte intérieure difficile que de renoncer au combat de vie mené jusqu'à présent et aux conceptions qui en sont à l'origine, et il peut arriver que des conceptions antérieures reviennent à la vie et déterminent des paroles ou des actes.
On peut alors le regretter, mais on ne peut le condamner que dans la mesure où la partie isolée est en cause, et non pas par rapport à tout le travail et le combat que celui-ci représente. Car si vous jugez de tels faits de ce point de vue, vous devrez malgré tout admettre que le combat que mène le mouvement national-socialiste est aujourd'hui une véritable croisade pour le christianisme du Seigneur, pris dans son sens le plus élevé et le plus noble. Et si, parmi une telle foule de combattants, il y a parfois un Pierre, alors, s'il vous plaît, faites prévaloir la miséricorde sur la justice, qui reste la condition préalable à la compréhension des hommes et que le plus grand d'entre eux a lui-même offerte autrefois.

En vous priant cordialement de bien vouloir lire ces lignes et en vous remerciant, veuillez agréer l'expression de ma très haute considération.

signé Adolf Hitler »

Source
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Oremus
Oremus - Avril 2025 - « Adversus Judaeos » avec l'abbé Rioult !

👉 Version Odysee :
https://odysee.com/@Oremus:e/avril2025:0

👉 Version MP3 :
https://archive.org/details/oremusavril2025
Vierge Marie et l'Enfant Jésus

Peinture réalisée en 1913 par Adolf Hitler. Il avait offert ce tableau ou un similaire à la commune de Leonding la même année pour l'entretien de la tombe de ses parents.

À l'occasion de son 50ème anniversaire, le 20 avril 1939, Franz von Papen, alors ambassadeur du Reich à Ankara en Turquie, le lui envoya comme cadeau avec une lettre d'accompagnement dans laquelle on pouvait lire :

« Mon Führer ! En ce jour de votre cinquantième anniversaire, je vous souhaite sincèrement encore de nombreuses et belles années de santé et de force, afin que les tâches que vous avez entamées pour le bien de l'ensemble du peuple allemand et du Grand Reich trouvent leur véritable accomplissement grâce à vous. Ainsi, mon Führer, mon petit cadeau devrait vous apporter un peu de joie. En tant qu'ambassadeur à Vienne, j'ai acheté ce tableau l'année dernière chez un marchand d'art près de Vienne, qui ne me l'a cédé qu'après d'âpres négociations. En vous adressant mes meilleurs vœux, votre Papen, ambassadeur du Grand Reich allemand à Ankara. »

Source
Extrait du discours d'Adolf Hitler devant le Reichstag, le 30 janvier 1939 (partie 2)

« L'État national-socialiste n'est ni pudibond ni menteur. Il existe seulement certains principes moraux dont le respect est dans l'intérêt de la santé biologique d'un peuple, et que nous ne laisserons donc pas ébranler. Dans cet État, la pédérastie ou les infractions commises sur des enfants sont punies par la loi, quel que soit l'auteur de ces crimes.

Lorsque des dirigeants du parti national-socialiste se sont rendus coupables de ces crimes il y a cinq ans, ils ont été fusillés. Si d'autres personnes de la vie publique ou privée, ou même des prêtres, commettent les mêmes délits, ils sont punis par la loi de la prison ou de la réclusion. Les manquements des prêtres à leurs autres vœux de chasteté, etc. ne nous intéressent absolument pas. Il n'y a d'ailleurs jamais eu un seul mot à ce sujet dans notre presse.

[...]

Si l'étranger, et en particulier certains hommes d'État démocratiques, s'engagent tant pour certains prêtres allemands, cela ne peut avoir qu'une raison politique. Car
ces mêmes hommes d'État se sont tus lorsque des centaines de milliers de prêtres ont été massacrés ou brûlés en Russie, ils se sont tus lorsque des dizaines de milliers de prêtres et de religieuses ont été massacrés de la manière la plus bestiale qui soit ou brûlés vifs en Espagne.

Ils ne pouvaient pas nier ces faits, mais ils se sont tus et ont gardé le silence, alors que — je dois le reprocher aux hommes d'État démocratiques — suite à ces massacres, de nombreux volontaires nationaux-socialistes et fascistes se sont mis à la disposition du général Franco afin d'aider à empêcher une nouvelle extension de ce carnage bolchevique à travers l'Europe et donc à la majeure partie de l'humanité civilisée.

Car c'est le souci de la culture européenne et de la véritable civilisation qui a poussé l'Allemagne à prendre parti dans cette lutte de l'Espagne nationale contre ses destructeurs bolcheviques. C'est un triste signe de la mentalité de différents pays que l'on ne puisse absolument pas s'imaginer y agir pour des motifs aussi désintéressés. L'Allemagne nationale-socialiste n'a participé à l'insurrection du général Franco que parce qu'elle souhaitait ardemment qu'il parvienne à sauver son pays d'un danger auquel l'Allemagne elle-même avait failli succomber un jour.

Ce n'est donc pas la sympathie ou la compassion pour les serviteurs de Dieu persécutés qui mobilise l'intérêt des citoyens démocratiques pour certains prêtres en conflit avec la loi en Allemagne, mais l'intérêt pour l'ennemi public allemand.

Mais ici, on peut prendre acte d'une chose : Nous protégerons le prêtre allemand en tant que serviteur de Dieu, nous éliminerons le prêtre en tant qu'ennemi politique du Reich allemand ! »

Source
« "[...], on ne peut nier que, à quelques exceptions près, le peuple catholique s'est tourné avec enthousiasme vers le nouveau régime", rapporta Cesare Orsenigo, nonce apostolique à Berlin, à Rome, le 22 mars [1933]. Un jour plus tard, le Parti du Centre approuva la Loi d'habilitation et, le 28 mars, les évêques allemands retirèrent les interdictions et les avertissements antérieurs contre le national-socialisme. »

https://www.sueddeutsche.de/kultur/katholiken-im-nationalsozialismus-emotional-gleichgeschaltet-1.1632432
Discours d'Heinrich Himmler prononcé le 4 juillet 1937 devant les dirigeants SS à Bad Tölz

« Nous reconnaissons le rôle de l’Église catholique dans l’éducation et le renforcement moral de la jeunesse et la considérons comme un partenaire dans l’effort visant à construire une nation forte et saine. »
« Les "Libres propos" publiés après la guerre, prétendent reproduire les conversations tenues au cours de certains de ces "thés de minuit". À l'insu de Hitler, deux collaborateurs de Bormann, les Drs Pickert et Heinrich Heim, avaient été chargés de se remémorer les paroles du Führer. Le Dr Heim a spécifié qu'il les dictait de mémoire, n'ayant parfois que quelques mots clés qu'il griffonnait sur une feuille posée sur ses genoux. Bormann modifiait la version qui lui était soumise - toujours à l'insu du Führer- et d'autre part les éditeurs ont tripatouillé le texte des "Libres propos", qui n'étaient naturellement pas destinés à la publication. Ces documents doivent être considérés avec la plus grande circonspection par les historiens. Le Reichsleiter [Bormann], farouchement anticlérical, y transforme Hitler en athée, et qui plus est, en militant anticatholique, alors que jamais le Führer, élevé dans le catholicisme, n'a abjuré cette religion. Bien au contraire. Il pensait et disait que les deux principaux piliers de la civilisation occidentale étaient l’Église romaine et l'empire britannique. »

— Otto Skorzeny, La Guerre inconnue (pages 257 et 258)
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Oremus en chansons - Diaconnasses 🎶

Version MP3
~Francisco Franco, 3 mai 1945, dans la presse espagnole

« Adolf Hitler, fils de l’Église catholique, est mort en défendant le christianisme. Il est donc compréhensible que les mots ne puissent être trouvés pour pleurer sa mort, alors que tant de personnes ont loué sa vie. Au-dessus de sa dépouille mortelle se dresse sa figure victorieuse. Avec la palme du martyr, Dieu donne à Hitler les lauriers de la victoire. »

@LégionContreLaDécadence
La guerre des nationaux-socialistes contre l'occultisme et le paganisme

« Le peuple allemand ne peut plus continuer à être exposé à des enseignements occultes qui prétendent que les actions de l'homme dépendent de pouvoirs magiques mystérieux. Il faut donc prendre immédiatement les mesures les plus strictes contre ces enseignements et ces sciences. Une réglementation juridique définitive est déjà en préparation. »

Reinhard Heidrich
(Décret R 58-1029)

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Vierge Marie et l'Enfant Jésus

Peinture réalisée en 1913 par Adolf Hitler. Il avait offert ce tableau ou un similaire à la commune de Leonding la même année pour l'entretien de la tombe de ses parents.

À l'occasion de son 50ème anniversaire, le 20 avril 1939, Franz von Papen, alors ambassadeur du Reich à Ankara en Turquie, le lui envoya comme cadeau avec une lettre d'accompagnement dans laquelle on pouvait lire :

« Mon Führer ! En ce jour de votre cinquantième anniversaire, je vous souhaite sincèrement encore de nombreuses et belles années de santé et de force, afin que les tâches que vous avez entamées pour le bien de l'ensemble du peuple allemand et du Grand Reich trouvent leur véritable accomplissement grâce à vous. Ainsi, mon Führer, mon petit cadeau devrait vous apporter un peu de joie. En tant qu'ambassadeur à Vienne, j'ai acheté ce tableau l'année dernière chez un marchand d'art près de Vienne, qui ne me l'a cédé qu'après d'âpres négociations. En vous adressant mes meilleurs vœux, votre Papen, ambassadeur du Grand Reich allemand à Ankara. »

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06.04.202521:59
Lettre d'Adolf Hitler du 2 mars 1927 adressée à Magnus Gött (partie 5)

« Pour conclure, je peux vous assurer que je sais aussi évaluer correctement nos classes dites instruites. Je ne peux toutefois pas tout mettre dans le même panier. Car à côté de tant de philistins lâches ou d'exploiteurs sans scrupules, il y a aussi d'innombrables idéalistes qui sont prêts à tout mettre en œuvre, à se sacrifier et à se battre pour leur peuple. Je n'ai pas besoin de vous assurer que je me réjouis que vous, Monsieur le Bénéficiaire, poursuiviez notre travail, et que je suis sincèrement désolé que vous ne puissiez ou ne soyez plus en mesure d'y participer positivement.

Ce que je regrette le plus, ce sont les événements qui, après novembre 1923, ont incité vos autorités ecclésiastiques supérieures à prononcer cette interdiction. Les attaques qui ont été lancées à l'époque, en particulier contre le cardinal [Faulhaber], n'ont été faites ni à ma connaissance, ni avec mon approbation. Seulement, le sang a coulé et, dans la terrible agitation, des mots ont été prononcés qui, en temps de calme et de réflexion sereine, n'auraient certainement jamais été prononcés.
J'en suis infiniment désolé, car j'ai ainsi perdu de nombreux collaborateurs qui, du fait de leur activité pastorale passée, avaient déjà un cœur sincèrement chaleureux pour notre peuple et qui m'auraient offert la garantie la plus sûre que dans notre mouvement ne se propagerait jamais une tendance qui rendrait plus difficile aux membres d'une confession particulière d'appartenir à notre parti. Car mon souhait a toujours été que, dans les rangs du Parti national-socialiste des travailleurs allemands, le protestant le plus fervent puisse siéger à côté du catholique le plus fervent, et inversement, sans jamais être confronté au moindre conflit avec sa conscience.

Veuillez agréer, une fois encore, l'assurance de ma profonde considération.
Avec mes salutations les plus sincères !

Bien à vous.
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05.04.202507:50
Lettre d'Adolf Hitler du 4 février 1927 adressée à Magnus Gött (partie 2)

« Je vous demande également de garder à l'esprit que la mission de mon mouvement n'est pas de rassembler des chrétiens fidèles et dévoués, mais de récupérer tous les éléments de la nation et de sa culture spirituelle et morale qu'elle avait perdus. N'oubliez pas que la fusion d'une multitude de personnes issues de milieux aussi hétérogènes est un processus qui prend des décennies, mais qui doit être entrepris, même s'il présente des frictions et des difficultés. Croyez-moi, Monsieur le Bénéficiaire, il est plus facile de prêcher dans un pays unifié et pieux que d'aller parmi les loups, si l'on a l'intention de les transformer à nouveau en hommes.

Pour beaucoup, il peut s'agir d'une lutte intérieure difficile que de renoncer au combat de vie mené jusqu'à présent et aux conceptions qui en sont à l'origine, et il peut arriver que des conceptions antérieures reviennent à la vie et déterminent des paroles ou des actes.
On peut alors le regretter, mais on ne peut le condamner que dans la mesure où la partie isolée est en cause, et non pas par rapport à tout le travail et le combat que celui-ci représente. Car si vous jugez de tels faits de ce point de vue, vous devrez malgré tout admettre que le combat que mène le mouvement national-socialiste est aujourd'hui une véritable croisade pour le christianisme du Seigneur, pris dans son sens le plus élevé et le plus noble. Et si, parmi une telle foule de combattants, il y a parfois un Pierre, alors, s'il vous plaît, faites prévaloir la miséricorde sur la justice, qui reste la condition préalable à la compréhension des hommes et que le plus grand d'entre eux a lui-même offerte autrefois.

En vous priant cordialement de bien vouloir lire ces lignes et en vous remerciant, veuillez agréer l'expression de ma très haute considération.

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