
Maréchal Pétain
Réhabilitation du Maréchal Pétain
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Дата створення каналуСіч 29, 2021
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Трав 28, 2024Прикріплена група
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05.03.202517:17
Poutine est à éradiquer selon nos gouvernants, mais chez nous, la délinquance explose sans que l'on note une amélioration.
Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
Aurelie Châtelain tuée par Sid-Ahmed Ghlam
Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
Stéphanie Monfermé tuée Jamel Gorchene
Marie-Belen tuée par Faycal
Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
Helana tuée par un Afghan
Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
Nicole Pallid tuée par Abousalem Nagad
Françoise Combier tuée Mohammed Mettellaoui
les victimes de Brahim Aouissaoui
Julie Puzenat tuée par Akil
Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
Christelle et son fils tués par Azzedine
Lola Daviet tuée par Dahbia
Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
Vanessa tuée par Fouad Reddad
Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière.
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes victimes.
Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
Aurelie Châtelain tuée par Sid-Ahmed Ghlam
Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
Stéphanie Monfermé tuée Jamel Gorchene
Marie-Belen tuée par Faycal
Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
Helana tuée par un Afghan
Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
Nicole Pallid tuée par Abousalem Nagad
Françoise Combier tuée Mohammed Mettellaoui
les victimes de Brahim Aouissaoui
Julie Puzenat tuée par Akil
Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
Christelle et son fils tués par Azzedine
Lola Daviet tuée par Dahbia
Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
Vanessa tuée par Fouad Reddad
Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière.
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes victimes.
27.01.202519:35
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s'y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celle d'Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l'idée même de révolte ne viendra même plus à l'esprit des hommes. L'idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.
Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l'émotionnel ou l'instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu'il faudra entretenir) sera celle d'être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L'homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu'il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l'être un troupeau. Tout ce qui permet d'endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l'éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d'abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu'il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l'argent et du pouvoir. »
Günther Anders - L'obsolescence de l'homme
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.
Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l'émotionnel ou l'instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu'il faudra entretenir) sera celle d'être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L'homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu'il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l'être un troupeau. Tout ce qui permet d'endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l'éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d'abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu'il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l'argent et du pouvoir. »
Günther Anders - L'obsolescence de l'homme
Переслав з:
Jonathan Sturel

23.01.202513:25
Bertrand Blier a sans doute fait des choses intéressantes cinématographiquement parlant, mais l'essentiel de son œuvre a consisté à répandre l'idéologie soixante-huitarde, nihiliste, dégueulasse et débauchée qui a largement contribué à pervertir les mœurs, à faire s'écrouler la décence et à donner l'impression que c'était cool, culturel, branché et moderne d'exposer le vice et l'insalubrité morale.
Blier, c'est du Charlie Hebdo avec une caméra, c'est-à-dire la sous-culture de la satire mal dosée qui ne sait pas s'arrêter et s'imagine que la finalité de toute œuvre consiste à choquer les curés, les mères de famille, et à mettre mal à l'aise tous les autres.
Cette petite minorité de jouisseurs taquins à laquelle appartenait Blier tient la France en otage depuis quelques décennies et lui fait croire que l'art est indissociable du scandale crade. C'est une vision évidemment contestable et c'est surtout une interprétation très partiale, hélas inévitable après Mai-68 et après que les agitateurs de cette épopée salace aient mis la main sur tous les leviers culturels du pays.
Paix à son âme cependant.
Blier, c'est du Charlie Hebdo avec une caméra, c'est-à-dire la sous-culture de la satire mal dosée qui ne sait pas s'arrêter et s'imagine que la finalité de toute œuvre consiste à choquer les curés, les mères de famille, et à mettre mal à l'aise tous les autres.
Cette petite minorité de jouisseurs taquins à laquelle appartenait Blier tient la France en otage depuis quelques décennies et lui fait croire que l'art est indissociable du scandale crade. C'est une vision évidemment contestable et c'est surtout une interprétation très partiale, hélas inévitable après Mai-68 et après que les agitateurs de cette épopée salace aient mis la main sur tous les leviers culturels du pays.
Paix à son âme cependant.
Переслав з:
Laurent Ozon

22.01.202519:22
Les États-Unis ont-ils inventé la maladie de Lyme dans les années 1960 ? La Chambre veut le savoir - Defense One
https://www.defenseone.com/threats/2019/07/did-us-invent-lyme-disease-1960s-house-aims-find-out/158529/
https://www.defenseone.com/threats/2019/07/did-us-invent-lyme-disease-1960s-house-aims-find-out/158529/
21.01.202517:19
Une bonne analyse ....
https://www.youtube.com/watch?v=rLiyVINhmg8&ab_channel=Erga
https://www.youtube.com/watch?v=rLiyVINhmg8&ab_channel=Erga
20.01.202516:16
DOS de CERF façon WELLINGTON par CYRIL NITARD


18.01.202521:27
14 Novembre 1942. Darlan devient le représentant légal en Afrique du Nord. Il nomme le général Giraud chef des armées de terre et de l'air pour reprendre le combat contre l'Allemagne nazi. Voici son discours :
Extrait de Pierre Ordioni - le secret de Darlan 1940/1942 p245
"Le matin même, l'amiral Darlan avait annoncé à la radio la nomination au commandement en chef du général Giraud, « grand soldat qui a toujours servi la France avec honneur ». Et, à 12 h 30, ce dernier avait lancé sur les ondes son premier ordre du jour : << Officiers, sous-officiers et soldats, je prends le commandement des Forces françaises. Je vous connais et vous me connaissez. Nous n'avons qu'un ennemi, celui qui occupe notre pays et qui retient prisonniers près d'un million de nos camarades... Tous unis derrière le Maréchal, n'ayons qu'une passion : le devoir !"
Extrait de Pierre Ordioni - le secret de Darlan 1940/1942 p245
"Le matin même, l'amiral Darlan avait annoncé à la radio la nomination au commandement en chef du général Giraud, « grand soldat qui a toujours servi la France avec honneur ». Et, à 12 h 30, ce dernier avait lancé sur les ondes son premier ordre du jour : << Officiers, sous-officiers et soldats, je prends le commandement des Forces françaises. Je vous connais et vous me connaissez. Nous n'avons qu'un ennemi, celui qui occupe notre pays et qui retient prisonniers près d'un million de nos camarades... Tous unis derrière le Maréchal, n'ayons qu'une passion : le devoir !"


16.01.202513:36
Biographie de l'auteur
Didier Bonnafous Didier Bonnafous a une passion pour l’histoire qu’il considère bien trop importante pour être laissée uniquement entre les mains des historiens. Il a choisi de créer ce dialogue entre De Gaulle et Pétain en raison des répercussions persistantes du coup d’État de Pétain qui continue de diviser les Français jusqu’à aujourd’hui. Il est convaincu qu’il est temps pour les pétainistes de reconnaître l’erreur gravissime de 1940 et de travailler en faveur de la réconciliation nationale, même si cela s’annonce comme un défi difficile à relever. Original Ludique Pédagogique Sans concessions Cocardier
Didier Bonnafous Didier Bonnafous a une passion pour l’histoire qu’il considère bien trop importante pour être laissée uniquement entre les mains des historiens. Il a choisi de créer ce dialogue entre De Gaulle et Pétain en raison des répercussions persistantes du coup d’État de Pétain qui continue de diviser les Français jusqu’à aujourd’hui. Il est convaincu qu’il est temps pour les pétainistes de reconnaître l’erreur gravissime de 1940 et de travailler en faveur de la réconciliation nationale, même si cela s’annonce comme un défi difficile à relever. Original Ludique Pédagogique Sans concessions Cocardier
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14.01.202513:23
Algérie : Le piège gaulliste- Henri-Christian GIRAUD - Page 1037
Fondé sur le souci louable d’épargner à la France une algérianisation progressive de son territoire et de ses mœurs, le traitement gaulliste de l’affaire algérienne a finalement abouti à son exact contraire, mais, en réalité, nullement paradoxal. C’est en effet sous la présidence de De Gaulle que l’immigration a été rendue effective par les accords d’Évian et, très précisément, par l’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties (« Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France »), et par l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel tout Algérien a, à tout moment, la possibilité de venir résider en France et d’y bénéficier de tous les avantages sociaux. Cela sans compter les accords de décembre 1968 et, comme on l’a vu, les interventions personnelles de De Gaulle, toujours favorables aux desiderata algériens d’« éponger » 3 millions de chômeurs dus aux brutales spoliations des entreprises françaises. C’est sous la présidence de De Gaulle, donc, que l’immigration a plus que doublé (or elle avait déjà doublé entre 1954 et 1962) et pris son essor pour ne plus s’arrêter.
Au seuil des années 1990, tout en reconnaissant que la mémoire de la guerre d’Algérie fonctionnait depuis vingt-cinq ans comme une « mémoire de guerre perdue », Robert Frank pouvait écrire que, en 1962, les Français n’avaient pas conscience d’avoir subi une défaite, et que c’était même pour le général de Gaulle et la nouvelle République une « victoire politique retentissante [sic] ». Cela, expliquait l’historien, car il ne s’était pas « ensuivi une crise d’identité nationale [parce que], avant même la fin de la guerre, la nation avait connu d’autres projets, choisi une autre route, celle de la décolonisation, de l’Europe, de la croissance, de la modernisation et de la société de consommation et que, sur tous ces fronts, les victoires décisives étaient déjà engrangées ». Et puis, précisait-il, ce ne sont que des groupes et non la communauté entière qui avaient été affectés. Mais depuis, un acteur majeur – dont la guerre d’Algérie portait les prémices mortifères – s’est imposé en force sur la scène de l’Histoire : l’arabo-islamisme. D’abord en Algérie même avec les années noires (1990-1993), puis, par débordements successifs, en France, mais dans une France dont l’identité nationale, psychiquement fracturée par le traitement gaulliste de l’affaire algérienne et physiquement déstabilisée par une immigration massive, est aujourd’hui à la dérive. « Dans l’état de fracturation sociale et politique où elle se trouve, constate l’écrivain algérien Boualem Sansal, la France pourrait éclater et sombrer. La France est à ce point piégée par l’islamisme et le politiquement correct qu’elle ne sait plus qui elle est, sur quel pied danser, quel nom donner aux choses, quelle langue parler… Le résultat est là : dans certains quartiers, la France est une République islamique en herbe. C’est un grand souci pour nous, les Algériens rescapés du cauchemar : où finirons-nous si l’islamisme nous devance ainsi ?
Fondé sur le souci louable d’épargner à la France une algérianisation progressive de son territoire et de ses mœurs, le traitement gaulliste de l’affaire algérienne a finalement abouti à son exact contraire, mais, en réalité, nullement paradoxal. C’est en effet sous la présidence de De Gaulle que l’immigration a été rendue effective par les accords d’Évian et, très précisément, par l’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties (« Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France »), et par l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel tout Algérien a, à tout moment, la possibilité de venir résider en France et d’y bénéficier de tous les avantages sociaux. Cela sans compter les accords de décembre 1968 et, comme on l’a vu, les interventions personnelles de De Gaulle, toujours favorables aux desiderata algériens d’« éponger » 3 millions de chômeurs dus aux brutales spoliations des entreprises françaises. C’est sous la présidence de De Gaulle, donc, que l’immigration a plus que doublé (or elle avait déjà doublé entre 1954 et 1962) et pris son essor pour ne plus s’arrêter.
Au seuil des années 1990, tout en reconnaissant que la mémoire de la guerre d’Algérie fonctionnait depuis vingt-cinq ans comme une « mémoire de guerre perdue », Robert Frank pouvait écrire que, en 1962, les Français n’avaient pas conscience d’avoir subi une défaite, et que c’était même pour le général de Gaulle et la nouvelle République une « victoire politique retentissante [sic] ». Cela, expliquait l’historien, car il ne s’était pas « ensuivi une crise d’identité nationale [parce que], avant même la fin de la guerre, la nation avait connu d’autres projets, choisi une autre route, celle de la décolonisation, de l’Europe, de la croissance, de la modernisation et de la société de consommation et que, sur tous ces fronts, les victoires décisives étaient déjà engrangées ». Et puis, précisait-il, ce ne sont que des groupes et non la communauté entière qui avaient été affectés. Mais depuis, un acteur majeur – dont la guerre d’Algérie portait les prémices mortifères – s’est imposé en force sur la scène de l’Histoire : l’arabo-islamisme. D’abord en Algérie même avec les années noires (1990-1993), puis, par débordements successifs, en France, mais dans une France dont l’identité nationale, psychiquement fracturée par le traitement gaulliste de l’affaire algérienne et physiquement déstabilisée par une immigration massive, est aujourd’hui à la dérive. « Dans l’état de fracturation sociale et politique où elle se trouve, constate l’écrivain algérien Boualem Sansal, la France pourrait éclater et sombrer. La France est à ce point piégée par l’islamisme et le politiquement correct qu’elle ne sait plus qui elle est, sur quel pied danser, quel nom donner aux choses, quelle langue parler… Le résultat est là : dans certains quartiers, la France est une République islamique en herbe. C’est un grand souci pour nous, les Algériens rescapés du cauchemar : où finirons-nous si l’islamisme nous devance ainsi ?
13.01.202522:51
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13.01.202514:00
13.01.202512:22
Dostoïevski antisémite ?
Extrait des Frères Karamazov p45
"A propos de Fiodor Pavlovitch. Avant cela, il avait vécu une longue période hors de notre ville. Trois ou quatre ans après la mort de sa seconde épouse, il était parti pour le Sud de la Russie et avait fini par se retrouver à Odessa, où il avait vécu plusieurs années de rang. Il avait d'abord fait connaissance, selon ses propres mots : "avec plein de youpins, de youpinets, de youpinoux et de youpinaillons", et, pour finir, à la fin, il ne fréquentait pas seulement des youpins, mais on le recevait "chez des juifs". Il faut croire que c'est bien pendant cette période de sa vie qu'il avait su développer en lui cette capacité d'amasser et d'extorquer de l'argent."
Extrait des Frères Karamazov p45
"A propos de Fiodor Pavlovitch. Avant cela, il avait vécu une longue période hors de notre ville. Trois ou quatre ans après la mort de sa seconde épouse, il était parti pour le Sud de la Russie et avait fini par se retrouver à Odessa, où il avait vécu plusieurs années de rang. Il avait d'abord fait connaissance, selon ses propres mots : "avec plein de youpins, de youpinets, de youpinoux et de youpinaillons", et, pour finir, à la fin, il ne fréquentait pas seulement des youpins, mais on le recevait "chez des juifs". Il faut croire que c'est bien pendant cette période de sa vie qu'il avait su développer en lui cette capacité d'amasser et d'extorquer de l'argent."
13.01.202509:38
Re-lecture en cours, je l'avais lu il y a 15 ans. Cette version est bien la meilleure en terme de traduction. Un grand roman à la Balzac. On sent le style littéraire du 19ème siècle. Je vous le conseille.
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