

01.04.202520:26
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Merci d'avance pour votre coup de main
➡️ https://t.me/pedocriminalite
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30.03.202501:00
Si vous détenez un élément susceptible d’aider les enquêteurs dans ces affaires, envoyez votre témoignage à l’adresse : temoignages.coldcase.tj-nanterre@justice.fr
Source
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Complément - 29.03.2025 Ile-de-France - France : Affaire des fillettes tuées en 1987 - « Derrière ces cold cases, c’est un continent englouti de souffrances »
À travers son livre, « le Continent des oublié·e·s », le journaliste Thierry Lévêque évoque l’affaire de quatre fillettes tuées en Île-de-France en 1987 et dont les meurtres n’ont jamais été élucidés.
Journaliste depuis trente-cinq ans, Thierry Lévêque a fait de la matière judiciaire sa spécialité. Il a notamment couvert les grands procès pour l’agence de presse Reuters, de Michel Fourniret à Guy Georges, en passant par l’affaire du sang contaminé. Indépendant depuis un peu plus de dix ans, il travaille notamment avec le média les Jours pour lequel il écrit une série au long cours sur le pôle cold cases de Nanterre, créé en 2022 et spécialisé dans les crimes non élucidés. C’est à cette occasion qu’il s’est penché sur les meurtres de Sabine Dumont, Virginie Delmas, Perrine Vigneron et Hemma Greedharry, tuées en mai et juin 1987 en Île-de-France. Il en a sorti un livre en début d’année, « le Continent des oublié·e·s ».
Pourquoi avez-vous décidé d’écrire un livre sur ces homicides ?
THIERRY LÉVÊQUE. Je suis parti avec l’idée de raconter une affaire criminelle avec sa part de mystère, de romanesque mais aussi avec l’idée que le mystère et le romanesque, ça ne peut pas suffire. La question des cold cases, c’est un sujet de société. Quand on nous parle sécurité, on nous parle trafic de drogue, mais pas forcément des crimes non élucidés, des crimes susceptibles d’être ceux de prédateurs. Il y a un double aspect dans cette affaire : une énigme que les familles attendent de voir dénouer et une dimension politico-sociale. Cette affaire est l’illustration de tous les problèmes du système policier et judiciaire qu’il faut traiter, c’est-à-dire une mauvaise organisation territoriale, trop fragmentée, un déni du crime en série, une mauvaise approche intellectuelle…
Au départ, on ne prend même pas en compte le fait que ça peut être un seul tueur ou deux tueurs, un prédateur, un mec très organisé qui fait ça, qui l’a déjà fait et qui va continuer à le faire. Si on y réfléchit, c’est quelque chose de quasiment unique dans l’histoire judiciaire récente. Est-ce qu’il y a déjà eu quatre homicides de fillettes en moins de deux mois, sur un territoire si petit ? Ça devrait allumer une lampe rouge…
Vous le dites : à l’époque, on assiste aux meurtres de quatre fillettes en moins de huit semaines. Comment sont menées les investigations ?
Les investigations ont été menées séparément par quatre juridictions et quatre services d’enquêtes différents. Il aura fallu attendre qu’elles soient réunies au pôle cold cases de Nanterre. Aujourd’hui, on peut donc enfin imaginer l’hypothèse d’un seul ou de deux auteurs — c’est d’ailleurs plutôt cette deuxième possibilité qui est privilégiée. Bien sûr, à l’époque, ils se sont transféré des éléments, je le raconte dans le livre, mais il est clair qu’il aurait fallu une coordination plus stricte, notamment pour Sabine Dumont et Hemma Greedharry. Les deux meurtres ont eu lieu à 10 km l’un de l’autre, à moins d’un mois d’écart, mais, malgré tout, ce sont deux affaires séparées et des juridictions différentes. Dans le dossier Sabine Dumont, on peut espérer une élucidation grâce à l’ADN retrouvé sur elle et conservé sur insistance de la famille et grâce à la sagesse de certains acteurs, mais en revanche, pour Hemma, les scellés ont disparu, l’affaire a été négligée.
Source
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Complément - 29.03.2025 Ile-de-France - France : Affaire des fillettes tuées en 1987 - « Derrière ces cold cases, c’est un continent englouti de souffrances »
À travers son livre, « le Continent des oublié·e·s », le journaliste Thierry Lévêque évoque l’affaire de quatre fillettes tuées en Île-de-France en 1987 et dont les meurtres n’ont jamais été élucidés.
Journaliste depuis trente-cinq ans, Thierry Lévêque a fait de la matière judiciaire sa spécialité. Il a notamment couvert les grands procès pour l’agence de presse Reuters, de Michel Fourniret à Guy Georges, en passant par l’affaire du sang contaminé. Indépendant depuis un peu plus de dix ans, il travaille notamment avec le média les Jours pour lequel il écrit une série au long cours sur le pôle cold cases de Nanterre, créé en 2022 et spécialisé dans les crimes non élucidés. C’est à cette occasion qu’il s’est penché sur les meurtres de Sabine Dumont, Virginie Delmas, Perrine Vigneron et Hemma Greedharry, tuées en mai et juin 1987 en Île-de-France. Il en a sorti un livre en début d’année, « le Continent des oublié·e·s ».
Pourquoi avez-vous décidé d’écrire un livre sur ces homicides ?
THIERRY LÉVÊQUE. Je suis parti avec l’idée de raconter une affaire criminelle avec sa part de mystère, de romanesque mais aussi avec l’idée que le mystère et le romanesque, ça ne peut pas suffire. La question des cold cases, c’est un sujet de société. Quand on nous parle sécurité, on nous parle trafic de drogue, mais pas forcément des crimes non élucidés, des crimes susceptibles d’être ceux de prédateurs. Il y a un double aspect dans cette affaire : une énigme que les familles attendent de voir dénouer et une dimension politico-sociale. Cette affaire est l’illustration de tous les problèmes du système policier et judiciaire qu’il faut traiter, c’est-à-dire une mauvaise organisation territoriale, trop fragmentée, un déni du crime en série, une mauvaise approche intellectuelle…
Au départ, on ne prend même pas en compte le fait que ça peut être un seul tueur ou deux tueurs, un prédateur, un mec très organisé qui fait ça, qui l’a déjà fait et qui va continuer à le faire. Si on y réfléchit, c’est quelque chose de quasiment unique dans l’histoire judiciaire récente. Est-ce qu’il y a déjà eu quatre homicides de fillettes en moins de deux mois, sur un territoire si petit ? Ça devrait allumer une lampe rouge…
Vous le dites : à l’époque, on assiste aux meurtres de quatre fillettes en moins de huit semaines. Comment sont menées les investigations ?
Les investigations ont été menées séparément par quatre juridictions et quatre services d’enquêtes différents. Il aura fallu attendre qu’elles soient réunies au pôle cold cases de Nanterre. Aujourd’hui, on peut donc enfin imaginer l’hypothèse d’un seul ou de deux auteurs — c’est d’ailleurs plutôt cette deuxième possibilité qui est privilégiée. Bien sûr, à l’époque, ils se sont transféré des éléments, je le raconte dans le livre, mais il est clair qu’il aurait fallu une coordination plus stricte, notamment pour Sabine Dumont et Hemma Greedharry. Les deux meurtres ont eu lieu à 10 km l’un de l’autre, à moins d’un mois d’écart, mais, malgré tout, ce sont deux affaires séparées et des juridictions différentes. Dans le dossier Sabine Dumont, on peut espérer une élucidation grâce à l’ADN retrouvé sur elle et conservé sur insistance de la famille et grâce à la sagesse de certains acteurs, mais en revanche, pour Hemma, les scellés ont disparu, l’affaire a été négligée.
30.03.202501:00
28.03.2025 Ile-de-France - France : « L’ADN parlera un jour » - 38 ans après les meurtres irrésolus de quatre fillettes, les familles attendent toujours la vérité
Dans un livre paru en janvier, Thierry Lévêque retrace les enquêtes sur la mort de Sabine, Virginie, Hemma et Perrine, tuées en mai et juin 1987 en Île-de-France. De leur disparition à la saisine du pôle cold cases de Nanterre, retour sur ces affaires qui ont marqué la région.
« J’ai eu un coup au cœur quand j’ai appris pour la petite Louise, lâche Gaëlle Dumont. Parce que c’est concrètement ce qu’on a vécu. Une enfant qui disparaît, des recherches qui se mettent en place… » Et la même issue, tragique. Comme Louise le 7 février dernier, le corps de Sabine Dumont, la petite sœur de Gaëlle, avait été retrouvé quelques heures seulement après sa disparition dans l’Essonne, il y a trente-huit ans. Mais une différence de taille demeure : si un suspect a été écroué pour le meurtre de Louise, aujourd’hui, la famille Dumont n’a toujours aucun élément de réponse sur ce qui est arrivé à Sabine. Cette disparition, le journaliste Thierry Lévêque la raconte dans son livre paru en janvier, « le Continent des oublié·e·s ».
Le 27 juin 1987, Sabine a la permission d’aller seule dans le centre-ville de Bièvres (Essonne). La fillette de 9 ans tient absolument à terminer son tableau, une reproduction de « Danse à la ville », de Renoir, pour l’offrir à sa sœur qui vient d’accoucher, et pour ça, elle a besoin d’un tube de peinture blanche. C’est entre la boutique et la maison familiale, sur la route du retour, que la fillette se volatilise. Au domicile des Dumont, l’angoisse monte rapidement. Ne voyant pas revenir sa petite dernière, Geneviève Dumont donne l’alerte. À Bièvres, le branle-bas de combat est lancé. On se met à chercher partout la petite disparue.
Corps à moitié calcinés et cordelettes
Le même jour, le corps d’une autre petite fille est découvert en Seine-et-Marne, à quelques dizaines de kilomètres de Bièvres. Il s’agit de celui de Perrine Vigneron. La fillette, âgée de 7 ans, a disparu depuis déjà trois semaines à Bouleurs. Le 3 juin 1987, Perrine avait eu, comme Sabine, l’autorisation d’aller seule à son cours de poterie à quelques centaines de mètres de la maison familiale, mais elle n’est jamais arrivée à destination. À côté du corps de la fillette, les enquêteurs découvrent une petite cordelette. Perrine a été étranglée.
S’il aura fallu trois semaines pour retrouver le corps supplicié de Perrine Vigneron, dans l’affaire de la petite Sabine les recherches prennent fin très rapidement. Le 28 juin, moins de vingt-quatre heures après sa disparition, l’enfant est retrouvée morte à quelques kilomètres du centre-ville de Bièvres, le long de la nationale 118, à hauteur de Vauhallan. La fillette a été violée, son corps a été en partie brûlé et, vraisemblablement, Sabine a été étranglée. Là aussi une cordelette est découverte à côté du cadavre.
Les enquêteurs de la SRPJ de Versailles se lancent corps et âme dans l’affaire. Par tous les moyens, ils tentent d’obtenir LE témoignage qui pourra permettre de confondre le meurtrier de Sabine. « On n’avait pas les mêmes moyens qu’aujourd’hui, lance Gilles Leclair, alors à la tête de la section de recherches de la police judiciaire de Versailles. Alors on a multiplié les enquêtes de voisinage… Ses affaires avaient été retrouvées le long de la N 118, on s’est dit qu’un automobiliste avait peut-être vu quelque chose, alors régulièrement on bloquait l’axe et on arrêtait toutes les voitures qui passaient par là pour demander aux conducteurs s’ils n’avaient pas été témoins de quelque chose ce jour-là. On n’a pas eu grand-chose », déplore l’ancien flic.
Dans un livre paru en janvier, Thierry Lévêque retrace les enquêtes sur la mort de Sabine, Virginie, Hemma et Perrine, tuées en mai et juin 1987 en Île-de-France. De leur disparition à la saisine du pôle cold cases de Nanterre, retour sur ces affaires qui ont marqué la région.
« J’ai eu un coup au cœur quand j’ai appris pour la petite Louise, lâche Gaëlle Dumont. Parce que c’est concrètement ce qu’on a vécu. Une enfant qui disparaît, des recherches qui se mettent en place… » Et la même issue, tragique. Comme Louise le 7 février dernier, le corps de Sabine Dumont, la petite sœur de Gaëlle, avait été retrouvé quelques heures seulement après sa disparition dans l’Essonne, il y a trente-huit ans. Mais une différence de taille demeure : si un suspect a été écroué pour le meurtre de Louise, aujourd’hui, la famille Dumont n’a toujours aucun élément de réponse sur ce qui est arrivé à Sabine. Cette disparition, le journaliste Thierry Lévêque la raconte dans son livre paru en janvier, « le Continent des oublié·e·s ».
Le 27 juin 1987, Sabine a la permission d’aller seule dans le centre-ville de Bièvres (Essonne). La fillette de 9 ans tient absolument à terminer son tableau, une reproduction de « Danse à la ville », de Renoir, pour l’offrir à sa sœur qui vient d’accoucher, et pour ça, elle a besoin d’un tube de peinture blanche. C’est entre la boutique et la maison familiale, sur la route du retour, que la fillette se volatilise. Au domicile des Dumont, l’angoisse monte rapidement. Ne voyant pas revenir sa petite dernière, Geneviève Dumont donne l’alerte. À Bièvres, le branle-bas de combat est lancé. On se met à chercher partout la petite disparue.
Corps à moitié calcinés et cordelettes
Le même jour, le corps d’une autre petite fille est découvert en Seine-et-Marne, à quelques dizaines de kilomètres de Bièvres. Il s’agit de celui de Perrine Vigneron. La fillette, âgée de 7 ans, a disparu depuis déjà trois semaines à Bouleurs. Le 3 juin 1987, Perrine avait eu, comme Sabine, l’autorisation d’aller seule à son cours de poterie à quelques centaines de mètres de la maison familiale, mais elle n’est jamais arrivée à destination. À côté du corps de la fillette, les enquêteurs découvrent une petite cordelette. Perrine a été étranglée.
S’il aura fallu trois semaines pour retrouver le corps supplicié de Perrine Vigneron, dans l’affaire de la petite Sabine les recherches prennent fin très rapidement. Le 28 juin, moins de vingt-quatre heures après sa disparition, l’enfant est retrouvée morte à quelques kilomètres du centre-ville de Bièvres, le long de la nationale 118, à hauteur de Vauhallan. La fillette a été violée, son corps a été en partie brûlé et, vraisemblablement, Sabine a été étranglée. Là aussi une cordelette est découverte à côté du cadavre.
Les enquêteurs de la SRPJ de Versailles se lancent corps et âme dans l’affaire. Par tous les moyens, ils tentent d’obtenir LE témoignage qui pourra permettre de confondre le meurtrier de Sabine. « On n’avait pas les mêmes moyens qu’aujourd’hui, lance Gilles Leclair, alors à la tête de la section de recherches de la police judiciaire de Versailles. Alors on a multiplié les enquêtes de voisinage… Ses affaires avaient été retrouvées le long de la N 118, on s’est dit qu’un automobiliste avait peut-être vu quelque chose, alors régulièrement on bloquait l’axe et on arrêtait toutes les voitures qui passaient par là pour demander aux conducteurs s’ils n’avaient pas été témoins de quelque chose ce jour-là. On n’a pas eu grand-chose », déplore l’ancien flic.
26.03.202502:27
⚠️ ATTAL ET RETAILLEAU PRÉPARENT LE PIRE POUR NOS ENFANTS: CE QUE CACHE LEUR PROJET EXPLOSIF
#France
Décryptage publié le 25 mars 2025 par la chaîne YouTube "Le Média"
Durée : 13 mn (le reste de la vidéo est consacrée à d'autres thèmes)
Merci d'avance pour votre coup de main
➡️ https://t.me/pedocriminalite
#France
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26.03.202500:34
« On vous explique que les couteaux, ils en ont toujours, ça fait partie de la panoplie, parce qu’ils les utilisent pour couper leur shit. Non mais, je veux dire, c’est incroyable. Comment on peut écrire des choses pareilles ? », a-t-elle déclaré sur Le Figaro TV vendredi.
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26.03.202500:00
Notre consommation, leurs morts.....
22.03.2025 Bouches-du-Rhône - France : Adolescent de 17 ans retrouvé mort en juin 2024 dans un canal de Craponne, à Saint-Martin-de-Crau - cinq personnes, dont un mineur, écrouées pour narchomicide. Une sixième placée sous contrôle judiciaire
Tous les suspects avaient été placés en garde à vue jeudi. Ils ont été mis en examen des chefs « d’homicide volontaire en bande organisée », « enlèvement et séquestration suivi de la mort de la victime », a précisé le procureur de la République, Jean-Luc Blachon. « Il s’agit d’un homicide lié à des groupes criminels impliqués dans le trafic de stupéfiants », a-t-il expliqué.
Un « guet-apens »
Le corps de l’adolescent, originaire de Grasse (Alpes-Maritimes) et tué à coups de couteau, avait été découvert le 28 juin 2024 dans le canal de Craponne.
L'adolescent était connu pour des faits liés au trafic de stupéfiants et cité dans un dossier de règlements de comptes dans les Alpes-Maritimes. Selon le procureur, il pourrait avoir été victime d’un « guet-apens ».
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Tous les suspects avaient été placés en garde à vue jeudi. Ils ont été mis en examen des chefs « d’homicide volontaire en bande organisée », « enlèvement et séquestration suivi de la mort de la victime », a précisé le procureur de la République, Jean-Luc Blachon. « Il s’agit d’un homicide lié à des groupes criminels impliqués dans le trafic de stupéfiants », a-t-il expliqué.
Un « guet-apens »
Le corps de l’adolescent, originaire de Grasse (Alpes-Maritimes) et tué à coups de couteau, avait été découvert le 28 juin 2024 dans le canal de Craponne.
L'adolescent était connu pour des faits liés au trafic de stupéfiants et cité dans un dossier de règlements de comptes dans les Alpes-Maritimes. Selon le procureur, il pourrait avoir été victime d’un « guet-apens ».
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30.03.202502:10
Sa fille et son fils, qui vit à Londres mais a tenu à être présent, font bloc derrière lui. « Une alliance surprenante », relève Cécile de Oliveira. Elle relie la « loyauté sans faille des enfants à leurs parents » à « l’arrachement dont ils ont été victimes lors du rapatriement ». Déclaré coupable de soustraction et de proxénétisme, le père de famille a été condamné à quatre ans de prison, dont deux années assorties d’un sursis probatoire. Il est désormais inscrit au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles. Le tribunal a condamné son ex-femme à un an de prison avec sursis. Des peines conformes aux réquisitions du procureur.
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30.03.202501:00
Car pour les proches de Sabine Dumont, l’ADN est une bouée à laquelle se raccrocher. « L’ADN parlera un jour, j’en suis certain. On fait trop de progrès pour que ça n’aboutisse pas à quelque chose. » Si l’ADN n’a pas encore permis de remonter jusqu’au tueur de Sabine Dumont, il a au moins permis de « fermer des portes ». Un employé de cimetière, Raymond Gouardo, ce père incestueux qui avait séquestré sa fille pendant vingt-sept ans et lui avait fait six enfants, ou encore Robert Black, cet Écossais auteur du viol et du meurtre de trois fillettes au début des années 1980, ont ainsi été définitivement écartés de la liste des suspects pour les meurtres de 1987 grâce aux analyses ADN.
Alors que pendant des années, les investigations étaient menées parallèlement par quatre services enquêteurs différents, la centralisation par le pôle cold cases de Nanterre a permis de joindre les dossiers. Les affaires Dumont et Greedharry ont ainsi été confiées à la juge d’instruction Sabine Khéris tandis que les enquêtes dans les dossiers Delmas et Vigneron sont dirigées par la juge d’instruction Nathalie Turquey. L’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) et l’Unité d’analyse criminelle et comportementale des affaires complexes (UAC3) de la brigade criminelle (la « crim ») ont, quant à eux, été cosaisis.
L’ombre du « Grêlé »
Dans les affaires Delmas et Vigneron, les enquêteurs de la crim ont exploité la piste d’un homme qu’ils connaissent bien : le « Grêlé », cet ancien gendarme et policier qu’ils ont confondu dans une série de viols et de meurtres, dont celui de la petite Cécile Bloch à Paris, en 1986. Sur le point d’être interpellé, en septembre 2021, François Vérove s’est suicidé. Certains éléments pouvaient suggérer son implication dans le meurtre des deux fillettes. Plusieurs témoignages dans l’affaire Delmas évoquent la présence d’un jeune homme d’environ 25 ans avec des bottes de moto et même un casque. Or, à cette époque, François Vérove est motard à la gendarmerie à Paris. Un autre détail pourrait accréditer cette thèse : deux personnes ont affirmé avoir vu Virginie suivre un homme sous la contrainte mais sans pour autant qu’elle ne se débatte. Les investigations sur le Grêlé ont révélé qu’il sortait sa carte de police ou de gendarmerie pour convaincre les jeunes filles de le suivre.
Dans l’affaire Perrine Vigneron, les éléments sont moins évidents. Mais on sait que François Vérove connaissait bien la Seine-et-Marne. C’est à Mitry-Mory qu’il a enlevé Ingrid, une fillette de 10 ans, pour la violer dans une maison abandonnée. Pour autant, la piste du Grêlé reste une piste comme une autre pour la crim qui passe au crible les profils de prédateurs sexuels en action à la même période…
« C’est difficile à gérer »
Pour les familles, ces nouvelles pistes sont autant de montagnes russes émotionnelles. « C’est difficile à gérer, on apprend à le faire avec les années, souffle Gaëlle Dumont. Mais ça peut détruire. » Aujourd’hui, dans chacune de ces enquêtes, les dossiers sont repris depuis le début selon une méthodologie minutieuse. Les témoins de l’époque sont réauditionnés, on traque les éventuels voisins qui n’auraient pas été entendus… Le travail est continu pour les enquêteurs de la crim comme de l’OCRVP. Et parfois poussé par des demandes formulées par les avocats des familles.
Les Dumont comme les Delmas ont fait appel à un cabinet spécialiste des cold cases, celui de l’avocat pénaliste Didier Seban. C’est d’ailleurs avec l’une de ses collaboratrices, Me Marine Allali, que Didier Seban a demandé que soit refouillée la zone où le corps de Virginie Delmas a été retrouvé. « On aimerait que les choses avancent plus vite. Il y a trop peu d’enquêteurs sur ces dossiers », estiment les deux spécialistes. Pour eux, c’est sans doute l’ADN de parentèle — cette technique d’analyse génétique qui permet de relier des ADN de personnes de la même famille — qui permettra d’apporter des réponses. « Le dossier Dumont, c’est la clé pour résoudre un ou plusieurs de ces meurtres… »
Alors que pendant des années, les investigations étaient menées parallèlement par quatre services enquêteurs différents, la centralisation par le pôle cold cases de Nanterre a permis de joindre les dossiers. Les affaires Dumont et Greedharry ont ainsi été confiées à la juge d’instruction Sabine Khéris tandis que les enquêtes dans les dossiers Delmas et Vigneron sont dirigées par la juge d’instruction Nathalie Turquey. L’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) et l’Unité d’analyse criminelle et comportementale des affaires complexes (UAC3) de la brigade criminelle (la « crim ») ont, quant à eux, été cosaisis.
L’ombre du « Grêlé »
Dans les affaires Delmas et Vigneron, les enquêteurs de la crim ont exploité la piste d’un homme qu’ils connaissent bien : le « Grêlé », cet ancien gendarme et policier qu’ils ont confondu dans une série de viols et de meurtres, dont celui de la petite Cécile Bloch à Paris, en 1986. Sur le point d’être interpellé, en septembre 2021, François Vérove s’est suicidé. Certains éléments pouvaient suggérer son implication dans le meurtre des deux fillettes. Plusieurs témoignages dans l’affaire Delmas évoquent la présence d’un jeune homme d’environ 25 ans avec des bottes de moto et même un casque. Or, à cette époque, François Vérove est motard à la gendarmerie à Paris. Un autre détail pourrait accréditer cette thèse : deux personnes ont affirmé avoir vu Virginie suivre un homme sous la contrainte mais sans pour autant qu’elle ne se débatte. Les investigations sur le Grêlé ont révélé qu’il sortait sa carte de police ou de gendarmerie pour convaincre les jeunes filles de le suivre.
Dans l’affaire Perrine Vigneron, les éléments sont moins évidents. Mais on sait que François Vérove connaissait bien la Seine-et-Marne. C’est à Mitry-Mory qu’il a enlevé Ingrid, une fillette de 10 ans, pour la violer dans une maison abandonnée. Pour autant, la piste du Grêlé reste une piste comme une autre pour la crim qui passe au crible les profils de prédateurs sexuels en action à la même période…
« C’est difficile à gérer »
Pour les familles, ces nouvelles pistes sont autant de montagnes russes émotionnelles. « C’est difficile à gérer, on apprend à le faire avec les années, souffle Gaëlle Dumont. Mais ça peut détruire. » Aujourd’hui, dans chacune de ces enquêtes, les dossiers sont repris depuis le début selon une méthodologie minutieuse. Les témoins de l’époque sont réauditionnés, on traque les éventuels voisins qui n’auraient pas été entendus… Le travail est continu pour les enquêteurs de la crim comme de l’OCRVP. Et parfois poussé par des demandes formulées par les avocats des familles.
Les Dumont comme les Delmas ont fait appel à un cabinet spécialiste des cold cases, celui de l’avocat pénaliste Didier Seban. C’est d’ailleurs avec l’une de ses collaboratrices, Me Marine Allali, que Didier Seban a demandé que soit refouillée la zone où le corps de Virginie Delmas a été retrouvé. « On aimerait que les choses avancent plus vite. Il y a trop peu d’enquêteurs sur ces dossiers », estiment les deux spécialistes. Pour eux, c’est sans doute l’ADN de parentèle — cette technique d’analyse génétique qui permet de relier des ADN de personnes de la même famille — qui permettra d’apporter des réponses. « Le dossier Dumont, c’est la clé pour résoudre un ou plusieurs de ces meurtres… »
30.03.202500:43
29.03.2025 Calvados - France : Un adolescent de 17 ans est décédé dans la nuit de vendredi 28 mars à samedi 29 mars, sur la commune de Maltot, près de Caen. Il était élève au lycée Malherbe de Caen. Il a été retrouvé sur une route de la Commune de Maltot aux alentours de 4h du matin, précisent les gendarmes du Calvados. Les secours n'ont pas réussi à le ranimer.
On ne sait pas pour le moment ce qui a causé son accident. Une enquête est actuellement menée par le parquet de Caen. Selon le procureur, l'adolescent avait sur son corps "des traces laissant à penser qu'il est mort de façon violente". La piste d'un choc avec une voiture est l'une des hypothèses, même si les enquêteurs n'excluent pour le moment aucune possibilité. Une autopsie doit être menée la semaine prochaine.
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On ne sait pas pour le moment ce qui a causé son accident. Une enquête est actuellement menée par le parquet de Caen. Selon le procureur, l'adolescent avait sur son corps "des traces laissant à penser qu'il est mort de façon violente". La piste d'un choc avec une voiture est l'une des hypothèses, même si les enquêteurs n'excluent pour le moment aucune possibilité. Une autopsie doit être menée la semaine prochaine.
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26.03.202500:41
Plusieurs de ses anciens élèves, dans d’autres établissements, ont indiqué qu’ils avaient subi des entretiens intrusifs, l’éducateur leur posant des questions sur leur orientation sexuelle, la consommation de pornographie ou la masturbation. Ils avaient vécu ces scènes comme une humiliation ou la marque d’une certaine perversité, mais sans évoquer de gestes déplacés
Au terme de son instruction, le juge a estimé, le 13 mars dernier, qu’il existait suffisamment d’éléments à charge pour renvoyer l’ancien directeur de St-Jean-de-Passy devant le tribunal, conformément aux réquisitions du parquet de Nanterre. Les déclarations de Valentin sont restées constantes, n’ont jamais évolué et apparaissent crédibles.
Les investigations ont par ailleurs mis en exergue l’attirance sexuelle de Daniel Chapellier envers les hommes, et les adolescents en particulier. Les dénégations du septuagénaire n’ont pas convaincu le magistrat.
L’avocat de Daniel Chapellier évoque « un acharnement judiciaire »
Il a en revanche bénéficié d’un non-lieu pour l’infraction de corruption de mineur mais pour laquelle il n’a jamais été mis en examen. « Mon client conteste avec la plus grande fermeté les faits qui lui sont reprochés, lesquels relèvent, selon lui, d’une pure manipulation, soutient son avocat Me Yassine Yakouti. Après plus de trois années d’instruction, durant lesquelles les enquêteurs ont scruté chaque recoin des cinquante années de carrière de Monsieur Chapellier, aucun fait nouveau n’a pu être établi. Malgré un acharnement judiciaire, aucun commencement de preuve n’a été mis en lumière. Mon client a reçu des milliers de témoignages de soutien émanant d’anciens élèves, de collègues et de parents. Il mettra tout en œuvre pour rétablir son honneur. Le dossier en l’état apparaît désespérément vide et repose exclusivement sur les déclarations d’un plaignant dont les difficultés personnelles et éducatives étaient connues. »
« Nous prenons acte de la décision du juge d’instruction de renvoyer Daniel Chapellier devant la justice pour agression sexuelle. Cette étape était indispensable. Nous attendons désormais que la justice fasse son œuvre », ont fait savoir les parents de Valentin, défendus par Mes Clotilde Lepetit et Karine Bourdié.
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Au terme de son instruction, le juge a estimé, le 13 mars dernier, qu’il existait suffisamment d’éléments à charge pour renvoyer l’ancien directeur de St-Jean-de-Passy devant le tribunal, conformément aux réquisitions du parquet de Nanterre. Les déclarations de Valentin sont restées constantes, n’ont jamais évolué et apparaissent crédibles.
Les investigations ont par ailleurs mis en exergue l’attirance sexuelle de Daniel Chapellier envers les hommes, et les adolescents en particulier. Les dénégations du septuagénaire n’ont pas convaincu le magistrat.
L’avocat de Daniel Chapellier évoque « un acharnement judiciaire »
Il a en revanche bénéficié d’un non-lieu pour l’infraction de corruption de mineur mais pour laquelle il n’a jamais été mis en examen. « Mon client conteste avec la plus grande fermeté les faits qui lui sont reprochés, lesquels relèvent, selon lui, d’une pure manipulation, soutient son avocat Me Yassine Yakouti. Après plus de trois années d’instruction, durant lesquelles les enquêteurs ont scruté chaque recoin des cinquante années de carrière de Monsieur Chapellier, aucun fait nouveau n’a pu être établi. Malgré un acharnement judiciaire, aucun commencement de preuve n’a été mis en lumière. Mon client a reçu des milliers de témoignages de soutien émanant d’anciens élèves, de collègues et de parents. Il mettra tout en œuvre pour rétablir son honneur. Le dossier en l’état apparaît désespérément vide et repose exclusivement sur les déclarations d’un plaignant dont les difficultés personnelles et éducatives étaient connues. »
« Nous prenons acte de la décision du juge d’instruction de renvoyer Daniel Chapellier devant la justice pour agression sexuelle. Cette étape était indispensable. Nous attendons désormais que la justice fasse son œuvre », ont fait savoir les parents de Valentin, défendus par Mes Clotilde Lepetit et Karine Bourdié.
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26.03.202500:18
« Personne n’osait parler. C’était tabou. Ça a bousillé toute ma vie »
« On était facile à mater car on était loin de chez nous, en montagne, à l’écart, estime Fabrice Ferré. On revenait seulement dans nos familles à Noël. Il y avait des enfants de bonne famille, des fils d’ambassadeurs, de grands patrons, de dirigeants africains… Personne n’osait parler. C’était tabou. Ça a bousillé toute ma vie. »
« Je n’ai pas fini de me réparer. Il y a dix jours, j’étais encore en contact avec SOS Suicide. Je ne suis pas passé loin. Heureusement, je suis encore vivant, alors que beaucoup ont mis fin à leurs jours. Je tiendrai pour les autres, même si mon agresseur est mort aujourd’hui. J’ai décidé de briser le silence sur le groupe Facebook d’anciens élèves. Une autre victime m’a dit merci. Ça faisait 40 ans qu’elle attendait que quelqu’un parle. C’est une seconde affaire Bétharram. »
Outre les abus sexuels, les témoignages parlent aussi de tout type de violence. « Un jour, on nous a fait attendre pendant des heures pieds nus dans la neige, en pyjama, le temps que celui qui avait fait une connerie se dénonce », raconte Fabrice Ferré, inscrit à l’Instance nationale indépendante de reconnaissance et réparation. D’autres fois, c’est le prof d’anglais qui frappait les élèves.
« Tous les abusés, on forme une famille. On est tous en train de déposer plainte. On saigne tous ensemble de ce qu’on a vécu, pointe l’ex-pensionnaire submergé par des sanglots. C’est absolument insoutenable. »
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« Je n’ai pas fini de me réparer. Il y a dix jours, j’étais encore en contact avec SOS Suicide. Je ne suis pas passé loin. Heureusement, je suis encore vivant, alors que beaucoup ont mis fin à leurs jours. Je tiendrai pour les autres, même si mon agresseur est mort aujourd’hui. J’ai décidé de briser le silence sur le groupe Facebook d’anciens élèves. Une autre victime m’a dit merci. Ça faisait 40 ans qu’elle attendait que quelqu’un parle. C’est une seconde affaire Bétharram. »
Outre les abus sexuels, les témoignages parlent aussi de tout type de violence. « Un jour, on nous a fait attendre pendant des heures pieds nus dans la neige, en pyjama, le temps que celui qui avait fait une connerie se dénonce », raconte Fabrice Ferré, inscrit à l’Instance nationale indépendante de reconnaissance et réparation. D’autres fois, c’est le prof d’anglais qui frappait les élèves.
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25.03.202523:48
23.03.2025 Morbihan - France : Sept mineurs, soupçonnés d’avoir passé à tabac une adolescente de 13 ans dans la commune de Plescop et d’avoir filmé la scène avant de la diffuser sur les réseaux sociaux, seront jugés début avril par le tribunal pour enfants de Vannes, a indiqué le procureur de la République Maxime Antier
Les faits se sont déroulés le jeudi 13 mars en fin d’après-midi, à proximité du collège Anne Franck, où la victime était scolarisée. Selon un témoin, deux jeunes filles ont d’abord été aperçues en train de se battre.
« D‘autres jeunes autour qui se sont mis à frapper l’une des adolescentes aussi, au visage, à coups de poing », raconte ce même témoin. « Elle saignait et semblait sonnée, blessée au nez et à la mâchoire », poursuit-il. Des images de l’agression, que Le Parisien n’a pas pu consulter, auraient ensuite été diffusées sur les réseaux sociaux.
Le parquet de Vannes indique à nos confrères que sept mineurs ont été interpellés cinq jours plus tard dans le cadre de cette affaire. Cinq d’entre eux sont soupçonnés d’avoir porté des coups à l’adolescente, et les deux autres auraient filmé et diffusé une vidéo de la scène. Quatre des mineurs ont été placés sous contrôle judiciaire, précise Maxime Antier.
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« D‘autres jeunes autour qui se sont mis à frapper l’une des adolescentes aussi, au visage, à coups de poing », raconte ce même témoin. « Elle saignait et semblait sonnée, blessée au nez et à la mâchoire », poursuit-il. Des images de l’agression, que Le Parisien n’a pas pu consulter, auraient ensuite été diffusées sur les réseaux sociaux.
Le parquet de Vannes indique à nos confrères que sept mineurs ont été interpellés cinq jours plus tard dans le cadre de cette affaire. Cinq d’entre eux sont soupçonnés d’avoir porté des coups à l’adolescente, et les deux autres auraient filmé et diffusé une vidéo de la scène. Quatre des mineurs ont été placés sous contrôle judiciaire, précise Maxime Antier.
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30.03.202502:10
Réseau pédocriminel impliquant des ministres à Madagascar. Libres et impunis.
18.03.2025 Loire-Atlantique - France + Madagascar : Sa fille mineure se prostituait à Madagascar pour aider la famille. Parmi ses clients : deux ministres malgaches. Le père condamné à 2 ans de prison ferme.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédocriminel au niveau d’un État », mais....
Les faits s’étaient déroulés à Madagascar entre 2010 et 2012. L’homme a été condamné à 4 ans de prison dont deux avec sursis pour proxénétisme, mercredi, à Nantes. Son ex-femme comparaissait à ses côtés pour soustraction à ses obligations. Elle a été condamnée à un an de prison avec sursis.
Les mains dans les poches de son blouson, trois chaînes en argent autour du cou, elle lance : « Madagascar, ce n’est pas la France, les gens sont solidaires. Si c’était à refaire, je recommencerais ! » À la barre du tribunal correctionnel de Nantes, mercredi, c’est une femme de 27 ans, mère de quatre enfants, qui s’exprime.
Entre 2010 et 2012, c’était une enfant quand elle s’est prostituée pour subvenir aux besoins de sa famille, installée à Madagascar depuis 2006. « Personne ne m’a forcée et je n’ai jamais eu de violence, tout se passait bien, c’était toujours protégé », poursuit- elle. Les clients, une dizaine d’hommes, dont deux ministres, appartenaient au gratin de la société malgache. Ils pouvaient donner 1 000 € ou offrir un scooter.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur de la jeune femme, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédophile au niveau d’un État ». Quinze ans plus tard, la pénaliste ne cache pas sa « frustration ». « L’incapacité d’une commission rogatoire internationale », conjuguée à la succession de sept magistrats instructeurs sur le dossier, a dilapidé les chances de remonter jusqu’aux clients.
Ce sont finalement les parents, divorcés depuis plusieurs années, qui comparaissent. La mère, 55 ans, est jugée pour soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation. Le père, 60 ans, casier vierge également, doit répondre de la même infraction, ainsi que du délit de proxénétisme aggravé par son statut d’ascendant sur la victime. « Monsieur n’a pas vu, ou plutôt n’a pas voulu voir », pointe le procureur, Yvon Ollivier.
Les faits se sont déroulés dans un contexte de faillite. En 2010, le père, conducteur de travaux, perd son emploi. La contestation de ce licenciement entraîne des menaces de son ancien patron et des dégradations au domicile de la famille, installée à Tamatave, une ville côtière à l’est de l’île. Endettés, les parents se mettent à boire et délaissent l’éducation des enfants. En 2011, ils manquent 49 demi-journées d’école. « Je n’ai pas été présente, j’ai manqué à tout », reconnaît la mère, la voix nouée. Informé de la situation, le consulat ordonne le rapatriement, avant de se raviser, une version de la famille que le procureur ne croit pas.
Les enfants finissent par être rapatriés à tour de rôle en 2011 et 2012, puis placés en Loire-Atlantique et en Ille- et-Vilaine. Les révélations de la fille aînée, la seule à avoir coupé les ponts, entraînent un signalement au parquet de Nantes, puis l’ouverture d’une information judiciaire.
« Une alliance surprenante »
Le père reconnaît la soustraction, mais pas le proxénétisme. Quand bien même la note de l’hôtel dans lequel la famille était un temps réfugiée, était réglée par un homme de 32 ans partageant la chambre de sa fille. « D’où croyez-vous que l’argent ramené provenait ? » questionne la présidente. « La pitié, la générosité, l’amitié », liste l’homme, qui concède uniquement avoir eu des « soupçons ».
18.03.2025 Loire-Atlantique - France + Madagascar : Sa fille mineure se prostituait à Madagascar pour aider la famille. Parmi ses clients : deux ministres malgaches. Le père condamné à 2 ans de prison ferme.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédocriminel au niveau d’un État », mais....
Les faits s’étaient déroulés à Madagascar entre 2010 et 2012. L’homme a été condamné à 4 ans de prison dont deux avec sursis pour proxénétisme, mercredi, à Nantes. Son ex-femme comparaissait à ses côtés pour soustraction à ses obligations. Elle a été condamnée à un an de prison avec sursis.
Les mains dans les poches de son blouson, trois chaînes en argent autour du cou, elle lance : « Madagascar, ce n’est pas la France, les gens sont solidaires. Si c’était à refaire, je recommencerais ! » À la barre du tribunal correctionnel de Nantes, mercredi, c’est une femme de 27 ans, mère de quatre enfants, qui s’exprime.
Entre 2010 et 2012, c’était une enfant quand elle s’est prostituée pour subvenir aux besoins de sa famille, installée à Madagascar depuis 2006. « Personne ne m’a forcée et je n’ai jamais eu de violence, tout se passait bien, c’était toujours protégé », poursuit- elle. Les clients, une dizaine d’hommes, dont deux ministres, appartenaient au gratin de la société malgache. Ils pouvaient donner 1 000 € ou offrir un scooter.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur de la jeune femme, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédophile au niveau d’un État ». Quinze ans plus tard, la pénaliste ne cache pas sa « frustration ». « L’incapacité d’une commission rogatoire internationale », conjuguée à la succession de sept magistrats instructeurs sur le dossier, a dilapidé les chances de remonter jusqu’aux clients.
Ce sont finalement les parents, divorcés depuis plusieurs années, qui comparaissent. La mère, 55 ans, est jugée pour soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation. Le père, 60 ans, casier vierge également, doit répondre de la même infraction, ainsi que du délit de proxénétisme aggravé par son statut d’ascendant sur la victime. « Monsieur n’a pas vu, ou plutôt n’a pas voulu voir », pointe le procureur, Yvon Ollivier.
Les faits se sont déroulés dans un contexte de faillite. En 2010, le père, conducteur de travaux, perd son emploi. La contestation de ce licenciement entraîne des menaces de son ancien patron et des dégradations au domicile de la famille, installée à Tamatave, une ville côtière à l’est de l’île. Endettés, les parents se mettent à boire et délaissent l’éducation des enfants. En 2011, ils manquent 49 demi-journées d’école. « Je n’ai pas été présente, j’ai manqué à tout », reconnaît la mère, la voix nouée. Informé de la situation, le consulat ordonne le rapatriement, avant de se raviser, une version de la famille que le procureur ne croit pas.
Les enfants finissent par être rapatriés à tour de rôle en 2011 et 2012, puis placés en Loire-Atlantique et en Ille- et-Vilaine. Les révélations de la fille aînée, la seule à avoir coupé les ponts, entraînent un signalement au parquet de Nantes, puis l’ouverture d’une information judiciaire.
« Une alliance surprenante »
Le père reconnaît la soustraction, mais pas le proxénétisme. Quand bien même la note de l’hôtel dans lequel la famille était un temps réfugiée, était réglée par un homme de 32 ans partageant la chambre de sa fille. « D’où croyez-vous que l’argent ramené provenait ? » questionne la présidente. « La pitié, la générosité, l’amitié », liste l’homme, qui concède uniquement avoir eu des « soupçons ».
30.03.202501:00
En ce début d’été 1987, la psychose s’empare de l’Île-de-France. Sabine Dumont et Perrine Vigneron ne sont pas les seules fillettes à avoir été prises pour cible. Huit semaines plus tôt, entre Châtillon et Malakoff (Hauts-de-Seine), Hemma Greedharry, 9 ans, a été retrouvée morte sur un parking à moins d’un kilomètre de chez elle. Alors que toute la ville fêtait l’inauguration du stade Marcel-Cerdan, la fillette avait pris la direction du petit centre commercial de Malakoff pour acheter une équerre. En moins d’une heure et demie, la petite fille a été enlevée, violée, étranglée et son corps en partie brûlé. À Châtillon, aujourd’hui, certains se souviennent encore de l’atmosphère qui régnait alors. « On était traumatisés, on se demandait comment une chose aussi horrible avait pu arriver à côté de chez nous, raconte Maria, une habitante du quartier depuis une quarantaine d’années et jeune maman à l’époque. On avait peur pour nos enfants. »
Toutes enlevées dans un périmètre de 50 km
Fin juin 1987, alors qu’on compte déjà trois cadavres de fillettes, en Seine-Saint-Denis Françoise et Jacques Delmas, les parents de la petite Virginie, continuent d’espérer. Leur fille de 10 ans a disparu du côté de Neuilly-sur-Marne. Le 9 mai, Virginie s’apprêtait à rejoindre ses copines sur l’esplanade située au pied des immeubles de la cité des Fauvettes, où elle résidait, lorsqu’elle s’est évaporée. Les Delmas ont remué ciel et terre pour la retrouver. Ils ont fait imprimer 10 000 affichettes et les ont placardées dans toute la France.
Dans la presse, on ne peut s’empêcher de faire le lien entre les différentes affaires : en huit semaines, les quatre fillettes ont été enlevées dans un périmètre de 50 km. Au Parisien, la mère d’Hemma Greedharry évoque ses échanges avec les enquêteurs. « Ils m’ont parlé des autres petites filles qu’on vient de découvrir mortes. Ils ne m’ont pas dit que c’était le même, mais ils avaient l’air de faire des rapprochements », livre Lecrany Greedharry. Mais les mois passent et l’enquête patine.
Des scellés renfermant des pièces à conviction détruits…
En octobre 1987, le corps de Virginie Delmas est finalement retrouvé dans un verger de Mareuil-lès-Meaux, en Seine-et-Marne, par un couple de promeneurs. Elle porte les mêmes vêtements que ceux qu’elle avait le jour de sa disparition cinq mois plus tôt. Le corps de la fillette est dans un état de décomposition avancée, mais les légistes estiment qu’elle a sans doute été étranglée. La découverte du cadavre, à une quarantaine de kilomètres du lieu de la disparition, ne fait pas vraiment avancer l’enquête de la police judiciaire de Bobigny.
Depuis 1987, beaucoup de pistes ont été envisagées dans ces quatre dossiers, mais pour l’instant aucune n’a abouti à l’interpellation du ou des tueurs. « C’est comme un clou au cœur », lâche Gilles Leclair. Trente-huit ans après, l’ancien flic n’a pas tourné la page : « Ça fait partie de ces enquêtes auxquelles je pense encore aujourd’hui. » Dans « le Continent des oublié·e·s », Thierry Lévêque revient justement sur les premières années d’enquête, les loupés et la réouverture des dossiers par le pôle cold cases de Nanterre en 2022.
Car pour trois des fillettes tuées au début de l’été 1987, le dossier d’instruction a été classé. Pire encore, les scellés renfermant les pièces à conviction ont été détruits, comme le permettait la procédure à l’époque en cas de non-lieu. Ainsi les proches d’Hemma Greedharry, Virginie Delmas et Perrine Vigneron ne peuvent plus compter sur les ADN prélevés sur les différents vêtements des victimes. « C’est inadmissible, s’emporte Erik Dumont, le frère de Sabine. Ça veut dire quoi ? Qu’il y a une forme d’impunité quand on tue une fillette… »
Toutes enlevées dans un périmètre de 50 km
Fin juin 1987, alors qu’on compte déjà trois cadavres de fillettes, en Seine-Saint-Denis Françoise et Jacques Delmas, les parents de la petite Virginie, continuent d’espérer. Leur fille de 10 ans a disparu du côté de Neuilly-sur-Marne. Le 9 mai, Virginie s’apprêtait à rejoindre ses copines sur l’esplanade située au pied des immeubles de la cité des Fauvettes, où elle résidait, lorsqu’elle s’est évaporée. Les Delmas ont remué ciel et terre pour la retrouver. Ils ont fait imprimer 10 000 affichettes et les ont placardées dans toute la France.
Dans la presse, on ne peut s’empêcher de faire le lien entre les différentes affaires : en huit semaines, les quatre fillettes ont été enlevées dans un périmètre de 50 km. Au Parisien, la mère d’Hemma Greedharry évoque ses échanges avec les enquêteurs. « Ils m’ont parlé des autres petites filles qu’on vient de découvrir mortes. Ils ne m’ont pas dit que c’était le même, mais ils avaient l’air de faire des rapprochements », livre Lecrany Greedharry. Mais les mois passent et l’enquête patine.
Des scellés renfermant des pièces à conviction détruits…
En octobre 1987, le corps de Virginie Delmas est finalement retrouvé dans un verger de Mareuil-lès-Meaux, en Seine-et-Marne, par un couple de promeneurs. Elle porte les mêmes vêtements que ceux qu’elle avait le jour de sa disparition cinq mois plus tôt. Le corps de la fillette est dans un état de décomposition avancée, mais les légistes estiment qu’elle a sans doute été étranglée. La découverte du cadavre, à une quarantaine de kilomètres du lieu de la disparition, ne fait pas vraiment avancer l’enquête de la police judiciaire de Bobigny.
Depuis 1987, beaucoup de pistes ont été envisagées dans ces quatre dossiers, mais pour l’instant aucune n’a abouti à l’interpellation du ou des tueurs. « C’est comme un clou au cœur », lâche Gilles Leclair. Trente-huit ans après, l’ancien flic n’a pas tourné la page : « Ça fait partie de ces enquêtes auxquelles je pense encore aujourd’hui. » Dans « le Continent des oublié·e·s », Thierry Lévêque revient justement sur les premières années d’enquête, les loupés et la réouverture des dossiers par le pôle cold cases de Nanterre en 2022.
Car pour trois des fillettes tuées au début de l’été 1987, le dossier d’instruction a été classé. Pire encore, les scellés renfermant les pièces à conviction ont été détruits, comme le permettait la procédure à l’époque en cas de non-lieu. Ainsi les proches d’Hemma Greedharry, Virginie Delmas et Perrine Vigneron ne peuvent plus compter sur les ADN prélevés sur les différents vêtements des victimes. « C’est inadmissible, s’emporte Erik Dumont, le frère de Sabine. Ça veut dire quoi ? Qu’il y a une forme d’impunité quand on tue une fillette… »
30.03.202500:37
25.03.2025 USA : Un policier de l'Etat du Kansas a découvert, lors d'un contrôle suite à une infraction routière, qu’un homme à bord du véhicule était recherché depuis plus d’un mois dans un autre État américain pour l'enlèvement d'une fillette de 6 ans. L'enfant kidnappée se trouvait sur la banquette arrière et a pu être sauvée.
Dimanche 23 mars, un policier a arrêté une voiture qui venait de commettre une infraction au Code de la route, au Kansas. À bord du véhicule, deux hommes âgés d’une soixantaine d’années et une enfant, installée sur la banquette arrière.
Lors de son contrôle, le policier procède à des vérifications et découvre qu’un des deux hommes, le passager, est recherché dans un autre État pour avoir enlevé une fillette âgée de 6 ans, un mois plus tôt, . Le conducteur, lui, « avait un passé criminel, dont un homicide et de nombreuses infractions liées à l’utilisation d’armes à feu », précisent les autorités sur Facebook ce 23 mars.
La fillette a d’abord donné un faux nom et une fausse date de naissance au policier « dans le but d’empêcher l’arrestation de l’adulte », indique la Kansas Highway Patrol dans son message, ajoutant que le policier « a su la calmer et l’amener à révéler son vrai nom ».
Les deux hommes ont rapidement été maîtrisés par le policier et un adjoint du bureau du shérif local, et ont été placés en garde à vue. La fillette a été sortie du véhicule en toute sécurité, ajoute la police qui ne souhaite pas communiquer davantage sur cette affaire « afin de protéger l’identité de la victime » et « l’intégrité de l’enquête en cours
Source 1
Source 2
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Dimanche 23 mars, un policier a arrêté une voiture qui venait de commettre une infraction au Code de la route, au Kansas. À bord du véhicule, deux hommes âgés d’une soixantaine d’années et une enfant, installée sur la banquette arrière.
Lors de son contrôle, le policier procède à des vérifications et découvre qu’un des deux hommes, le passager, est recherché dans un autre État pour avoir enlevé une fillette âgée de 6 ans, un mois plus tôt, . Le conducteur, lui, « avait un passé criminel, dont un homicide et de nombreuses infractions liées à l’utilisation d’armes à feu », précisent les autorités sur Facebook ce 23 mars.
La fillette a d’abord donné un faux nom et une fausse date de naissance au policier « dans le but d’empêcher l’arrestation de l’adulte », indique la Kansas Highway Patrol dans son message, ajoutant que le policier « a su la calmer et l’amener à révéler son vrai nom ».
Les deux hommes ont rapidement été maîtrisés par le policier et un adjoint du bureau du shérif local, et ont été placés en garde à vue. La fillette a été sortie du véhicule en toute sécurité, ajoute la police qui ne souhaite pas communiquer davantage sur cette affaire « afin de protéger l’identité de la victime » et « l’intégrité de l’enquête en cours
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26.03.202500:41
21.03.2025 Paris + Hauts-de-Seine - France : Daniel Chapellier, 75 ans, ex-directeur de la prestigieuse institution privée catholique de Paris "Saint-Jean de Passy" et ex-juge assesseur au tribunal pour enfants de Paris, sera jugé pour agression sexuelle infligée en 2021 sur un enfant de 14 ans
Daniel Chapellier, l’ancien directeur de l’établissement privé catholique Saint-Jean de Passy (Paris XVIe), vient d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour agression sexuelle sur mineur. Le juge d’instruction a estimé qu’il existait suffisamment d’indices que cet homme de 75 ans ait pratiqué des attouchements sur un élève de ce prestigieux établissement de la capitale. Le mis en cause conteste les accusations.
Les faits allégués se seraient déroulés le 3 février 2021. Selon son récit aux enquêteurs, Valentin (le prénom de ce mineur a été modifié) avait été convoqué dans le bureau du directeur pour une affaire de tricherie. Après des échanges au départ classiques sur son comportement et ses notes, la conversation aurait dévié sur des sujets intimes, Daniel Chapellier lui demandant notamment s’il consultait des sites pornographiques. Le collégien, alors âgé de 14 ans, aurait alors été invité par le directeur à lui prodiguer des caresses sur le sexe, avant que le septuagénaire n’en fasse de même.
Avant de partir, le directeur lui aurait demandé de n’en parler à personne. Valentin s’était cependant confié à ses parents le soir même. La famille avait alors porté plainte et l’enquête confiée à la brigade de protection des mineurs.
Des photos et vidéos de jeunes hommes trouvées dans l’ordinateur du directeur
Décrit comme un homme autoritaire et austère, Daniel Chapellier était à la tête de St-Jean-de-Passy depuis un an au moment des faits dénoncés, après avoir fait toute sa carrière dans des établissements privés catholiques en province et en région parisienne, dont l’école Stanislas à Paris.
Placé en garde à vue dès le 9 février, le père de famille livrait une version différente de l’entretien. Selon ses dires, c’est Valentin qui lui aurait spontanément confié qu’il fréquentait des sites pornographiques et qui lui aurait demandé de lui prodiguer une fellation. Il contestait toute agression et se disait victime d’une machination. Lors de la confrontation, le directeur et l’adolescent campaient sur leurs déclarations respectives. Daniel Chapellier reconnaissait néanmoins avoir demandé à Valentin s’il fréquentait des sites pornographiques sur son téléphone et ce que cela lui provoquait.
Au cours de l’enquête, l’analyse du matériel informatique saisi au domicile du directeur révélait la présence de 57 photos et vidéos de jeunes hommes pouvant être mineurs, dont certains dans des positions pornographiques. Sur son ordinateur, il avait également effectué la recherche suivante en 2015 : « teens boy wank » (adolescents qui se masturbent). Face aux enquêteurs, il justifiait cette requête par une curiosité malsaine, après que des élèves lui ont indiqué fréquenter de tels sites. Il niait en revanche se rendre sur des sites pédopornographiques et enregistrer des images.
Le soutien de la communauté éducative
Les différentes expertises ont révélé que Valentin avait été profondément perturbé par cette séquence. Daniel Chapellier, qui était à l’époque juge assesseur au tribunal pour enfants de Paris, a pour sa part maintenu ses dénégations tout au long de l’instruction, dépaysée de Paris à Nanterre. Il a reçu de nombreux soutiens de la communauté éducative de St-Jean-de-Passy.
Daniel Chapellier, l’ancien directeur de l’établissement privé catholique Saint-Jean de Passy (Paris XVIe), vient d’être renvoyé devant le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour agression sexuelle sur mineur. Le juge d’instruction a estimé qu’il existait suffisamment d’indices que cet homme de 75 ans ait pratiqué des attouchements sur un élève de ce prestigieux établissement de la capitale. Le mis en cause conteste les accusations.
Les faits allégués se seraient déroulés le 3 février 2021. Selon son récit aux enquêteurs, Valentin (le prénom de ce mineur a été modifié) avait été convoqué dans le bureau du directeur pour une affaire de tricherie. Après des échanges au départ classiques sur son comportement et ses notes, la conversation aurait dévié sur des sujets intimes, Daniel Chapellier lui demandant notamment s’il consultait des sites pornographiques. Le collégien, alors âgé de 14 ans, aurait alors été invité par le directeur à lui prodiguer des caresses sur le sexe, avant que le septuagénaire n’en fasse de même.
Avant de partir, le directeur lui aurait demandé de n’en parler à personne. Valentin s’était cependant confié à ses parents le soir même. La famille avait alors porté plainte et l’enquête confiée à la brigade de protection des mineurs.
Des photos et vidéos de jeunes hommes trouvées dans l’ordinateur du directeur
Décrit comme un homme autoritaire et austère, Daniel Chapellier était à la tête de St-Jean-de-Passy depuis un an au moment des faits dénoncés, après avoir fait toute sa carrière dans des établissements privés catholiques en province et en région parisienne, dont l’école Stanislas à Paris.
Placé en garde à vue dès le 9 février, le père de famille livrait une version différente de l’entretien. Selon ses dires, c’est Valentin qui lui aurait spontanément confié qu’il fréquentait des sites pornographiques et qui lui aurait demandé de lui prodiguer une fellation. Il contestait toute agression et se disait victime d’une machination. Lors de la confrontation, le directeur et l’adolescent campaient sur leurs déclarations respectives. Daniel Chapellier reconnaissait néanmoins avoir demandé à Valentin s’il fréquentait des sites pornographiques sur son téléphone et ce que cela lui provoquait.
Au cours de l’enquête, l’analyse du matériel informatique saisi au domicile du directeur révélait la présence de 57 photos et vidéos de jeunes hommes pouvant être mineurs, dont certains dans des positions pornographiques. Sur son ordinateur, il avait également effectué la recherche suivante en 2015 : « teens boy wank » (adolescents qui se masturbent). Face aux enquêteurs, il justifiait cette requête par une curiosité malsaine, après que des élèves lui ont indiqué fréquenter de tels sites. Il niait en revanche se rendre sur des sites pédopornographiques et enregistrer des images.
Le soutien de la communauté éducative
Les différentes expertises ont révélé que Valentin avait été profondément perturbé par cette séquence. Daniel Chapellier, qui était à l’époque juge assesseur au tribunal pour enfants de Paris, a pour sa part maintenu ses dénégations tout au long de l’instruction, dépaysée de Paris à Nanterre. Il a reçu de nombreux soutiens de la communauté éducative de St-Jean-de-Passy.
26.03.202500:18
"L’école catholique, c’était le réseau pédophile de l’Église. Si quelqu’un voulait se faire des enfants, il lui suffisait de travailler dans une école catholique. Chaque année, de la chair fraîche arrivait. »
Une victime de l’établissement scolaire catholique de Sainte-Croix-des-Neiges, à Abondance en Haute-Savoie
20.03.2025 Haute-Savoie - France : « Trois prédateurs notoires, un directeur, un pion et un abbé » : en Haute-Savoie, un autre Bétharram ?
Quatorze anciens élèves de l’établissement scolaire catholique de Sainte-Croix-des-Neiges, à Abondance, dénoncent des violences sexuelles et physiques, sur une période allant de 1956 à 1993. D’autres témoignages sont en cours de recensement. Fabrice, 61 ans, raconte l’horreur vécue.
La Haute-Savoie est-elle en train de connaître un scandale équivalent à celui de Bétharram ? L’affaire qui a éclaté dans les Pyrénées-Atlantiques semble avoir été un déclencheur pour libérer la parole d’anciens élèves de l’établissement catholique de Sainte-Croix-des-Neiges, situé dans le village de montagne d’Abondance.
« J’ai été violé pendant deux années par l’un des responsables du collège, aussi prof de maths. J’avais 12-13 ans, dans les années 1970 », se rappelle Fabrice Ferré, 61 ans aujourd’hui, qui veut briser l’omerta qui a régné tant d’années parmi les ex-pensionnaires. « Je me retrouvais dans son lit après avoir promené tous les midis son chien. C’était un rituel. Je passais à la casserole au lieu d’aller à la sieste. C’était abominable pour moi. »
Depuis plusieurs jours, d’autres témoignages d’anciens élèves affluent concernant les abus qu’ils auraient subi lorsqu’ils étaient adolescents dans ce collège-lycée religieux, perché à 1 000 m d’altitude dans le Chablais, non loin du lac Léman et de la frontière avec la Suisse. Dans ce paysage idyllique de montagne où les façades des chalets débordent de géraniums en été, certains ont vécu un cauchemar. Des agressions sexuelles, des viols, ainsi que des violences physiques et psychologiques auraient été le quotidien de nombreux élèves sur une période allant de 1956 à 1993. Pour l’instant, 14 victimes potentielles se sont clairement signalées.
« Pour eux, on était de la viande »
« Nous avons eu connaissance de ces faits que j’ai immédiatement signalés au procureur de la République de Thonon-les-Bains, confirme Marc Héritier, directeur diocésain de l’enseignement catholique de Haute-Savoie. Un premier cas avait été porté à notre connaissance en 2021, suivi par la Cellule d’accueil et d’accompagnement des victimes d’abus sexuels (CAAVAS). Puis il y a une dizaine de jours, l’établissement a eu connaissance de faits nouveaux par l’intermédiaire d’un groupe Facebook sur lequel échangent d’anciens élèves. »
« On mesure la difficulté de cette situation qui est absolument terrible pour les personnes devant porter le poids de cette souffrance depuis des décennies, ajoute-t-il. Nous condamnons toutes formes de violences qu’elles ont pu subir et que nous trouvons révoltantes. On peut penser que les événements de Bétharram ont réactivé des souffrances enfouies. Nous nous devons de les écouter et de transmettre ces informations à la justice. »
À l’époque des faits, ce collège-lycée pour garçons était sous la responsabilité de Sainte-Croix-de-Neuilly (enseignement catholique de Nanterre dans les Hauts-de-Seine), avant d’être transféré à l’enseignement catholique de Haute-Savoie il y a une quinzaine d’années.
Fabrice Ferré, passé à Sainte-Croix-des-Neiges dans les années 1970, raconte l’horreur qu’il a connue. « À mon époque, il y avait au moins trois prédateurs notoires. Un directeur, un pion et un abbé. Chacun avait sa chasse gardée, ses mignons, ses préférés. Pour eux, on était de la viande. Notre histoire, celle de Bétharram, tout ça montre que ce n’étaient pas des cas isolés. L’école catholique, c’était le réseau pédophile de l’Église. Si quelqu’un voulait se faire des enfants, il lui suffisait de travailler dans une école catholique. Chaque année, de la chair fraîche arrivait. »
Une victime de l’établissement scolaire catholique de Sainte-Croix-des-Neiges, à Abondance en Haute-Savoie
20.03.2025 Haute-Savoie - France : « Trois prédateurs notoires, un directeur, un pion et un abbé » : en Haute-Savoie, un autre Bétharram ?
Quatorze anciens élèves de l’établissement scolaire catholique de Sainte-Croix-des-Neiges, à Abondance, dénoncent des violences sexuelles et physiques, sur une période allant de 1956 à 1993. D’autres témoignages sont en cours de recensement. Fabrice, 61 ans, raconte l’horreur vécue.
La Haute-Savoie est-elle en train de connaître un scandale équivalent à celui de Bétharram ? L’affaire qui a éclaté dans les Pyrénées-Atlantiques semble avoir été un déclencheur pour libérer la parole d’anciens élèves de l’établissement catholique de Sainte-Croix-des-Neiges, situé dans le village de montagne d’Abondance.
« J’ai été violé pendant deux années par l’un des responsables du collège, aussi prof de maths. J’avais 12-13 ans, dans les années 1970 », se rappelle Fabrice Ferré, 61 ans aujourd’hui, qui veut briser l’omerta qui a régné tant d’années parmi les ex-pensionnaires. « Je me retrouvais dans son lit après avoir promené tous les midis son chien. C’était un rituel. Je passais à la casserole au lieu d’aller à la sieste. C’était abominable pour moi. »
Depuis plusieurs jours, d’autres témoignages d’anciens élèves affluent concernant les abus qu’ils auraient subi lorsqu’ils étaient adolescents dans ce collège-lycée religieux, perché à 1 000 m d’altitude dans le Chablais, non loin du lac Léman et de la frontière avec la Suisse. Dans ce paysage idyllique de montagne où les façades des chalets débordent de géraniums en été, certains ont vécu un cauchemar. Des agressions sexuelles, des viols, ainsi que des violences physiques et psychologiques auraient été le quotidien de nombreux élèves sur une période allant de 1956 à 1993. Pour l’instant, 14 victimes potentielles se sont clairement signalées.
« Pour eux, on était de la viande »
« Nous avons eu connaissance de ces faits que j’ai immédiatement signalés au procureur de la République de Thonon-les-Bains, confirme Marc Héritier, directeur diocésain de l’enseignement catholique de Haute-Savoie. Un premier cas avait été porté à notre connaissance en 2021, suivi par la Cellule d’accueil et d’accompagnement des victimes d’abus sexuels (CAAVAS). Puis il y a une dizaine de jours, l’établissement a eu connaissance de faits nouveaux par l’intermédiaire d’un groupe Facebook sur lequel échangent d’anciens élèves. »
« On mesure la difficulté de cette situation qui est absolument terrible pour les personnes devant porter le poids de cette souffrance depuis des décennies, ajoute-t-il. Nous condamnons toutes formes de violences qu’elles ont pu subir et que nous trouvons révoltantes. On peut penser que les événements de Bétharram ont réactivé des souffrances enfouies. Nous nous devons de les écouter et de transmettre ces informations à la justice. »
À l’époque des faits, ce collège-lycée pour garçons était sous la responsabilité de Sainte-Croix-de-Neuilly (enseignement catholique de Nanterre dans les Hauts-de-Seine), avant d’être transféré à l’enseignement catholique de Haute-Savoie il y a une quinzaine d’années.
Fabrice Ferré, passé à Sainte-Croix-des-Neiges dans les années 1970, raconte l’horreur qu’il a connue. « À mon époque, il y avait au moins trois prédateurs notoires. Un directeur, un pion et un abbé. Chacun avait sa chasse gardée, ses mignons, ses préférés. Pour eux, on était de la viande. Notre histoire, celle de Bétharram, tout ça montre que ce n’étaient pas des cas isolés. L’école catholique, c’était le réseau pédophile de l’Église. Si quelqu’un voulait se faire des enfants, il lui suffisait de travailler dans une école catholique. Chaque année, de la chair fraîche arrivait. »


25.03.202523:37
⚠️ Communiqué émis le 24 mars 2025 par la Police Nationale française
#Protéger | Sur TikTok, des comptes partagent des photos suggestives de mineurs, identifiés par l’émoji “pizza”. Si vous êtes témoin de ce genre de profils, signalez les sur #PHAROS : http://internet-signalement.gouv.fr
Communiqué publié sur Twitter par la Police Nationale à liker et partager
Merci d'avance pour votre coup de main
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30.03.202502:04
26.03.2025 Ohio - USA : Ce lundi 24 mars 2025, Keimani Latigue, une adolescente de 13 ans qui avait signalée disparue le 18 mars 2025, a été retrouvée morte à Toledo après avoir été violée et démembrée dans une maison laissée à l'abandon. Son père, Darnell Jones, connu aussi comme Darnell Ogletree, 33 ans, a été mis en examen pour son enlèvement, viol et meurtre
Selon les déclarations initiales de son père, il avait passé la nuit avec sa fille après qu'elle lui ait signalé des inquiétudes concernant une tentative d'effraction à la maison de sa grand-mère où elle vivait. Cependant, son comportement et ses déclarations incohérentes ont rapidement éveillé les soupçons des enquêteurs.
Le corps de Keimani a été retrouvé le 24 mars dans une maison abandonnée sur Miami Street à Toledo. Les résultats de l'autopsie ont révélé une scène d'une violence extrême : elle avait été violée, mutilée (ses mains coupées), presque décapitée, et était décédée des suites de multiples blessures incisées au cou.
Darnell Jones avait fui Toledo pour Columbus après avoir été identifié comme principal suspect. Un mandat d'arrêt pour enlèvement avait été émis contre lui le 23 mars, suivi d'un mandat pour meurtre après la découverte du corps de Keimani.
Les autorités ont localisé Jones dans le quartier Victorian Village de Columbus grâce à une surveillance intensive. Lorsqu'il a été confronté par une équipe SWAT le 25 mars, Jones a ouvert le feu sur les officiers avant d'être blessé par balle. Il a été transporté à l'hôpital dans un état stable et fait désormais face à des accusations supplémentaires, notamment pour l'agression d'un officier.
Un passé criminel
Jones n'était pas étranger aux autorités. Des documents judiciaires montrent qu'il avait un casier judiciaire incluant des accusations liées aux armes et des incidents antérieurs avec la police à Columbus. Les enquêteurs continuent d'examiner les circonstances entourant ce crime atroce.
Source 1
Source 2
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Selon les déclarations initiales de son père, il avait passé la nuit avec sa fille après qu'elle lui ait signalé des inquiétudes concernant une tentative d'effraction à la maison de sa grand-mère où elle vivait. Cependant, son comportement et ses déclarations incohérentes ont rapidement éveillé les soupçons des enquêteurs.
Le corps de Keimani a été retrouvé le 24 mars dans une maison abandonnée sur Miami Street à Toledo. Les résultats de l'autopsie ont révélé une scène d'une violence extrême : elle avait été violée, mutilée (ses mains coupées), presque décapitée, et était décédée des suites de multiples blessures incisées au cou.
Darnell Jones avait fui Toledo pour Columbus après avoir été identifié comme principal suspect. Un mandat d'arrêt pour enlèvement avait été émis contre lui le 23 mars, suivi d'un mandat pour meurtre après la découverte du corps de Keimani.
Les autorités ont localisé Jones dans le quartier Victorian Village de Columbus grâce à une surveillance intensive. Lorsqu'il a été confronté par une équipe SWAT le 25 mars, Jones a ouvert le feu sur les officiers avant d'être blessé par balle. Il a été transporté à l'hôpital dans un état stable et fait désormais face à des accusations supplémentaires, notamment pour l'agression d'un officier.
Un passé criminel
Jones n'était pas étranger aux autorités. Des documents judiciaires montrent qu'il avait un casier judiciaire incluant des accusations liées aux armes et des incidents antérieurs avec la police à Columbus. Les enquêteurs continuent d'examiner les circonstances entourant ce crime atroce.
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30.03.202501:00
On découvre dans votre livre la problématique de la destruction des scellés, qui concerne ici les dossiers Perrine Vigneron, Hemma Greedharry et Virginie Delmas et qui, dans certains cas, arrive assez rapidement après les meurtres…
Effectivement, vu de l’extérieur, c’est une aberration. En réalité, la justice de l’époque venait dire « On n’a pas trouvé, donc on met tout à la poubelle ». Malheureusement c’était la règle, et c’est bien là qu’est l’un des principaux problèmes. Lorsqu’un meurtre n’est pas élucidé, il était chassé par un autre pour lequel il y avait des suspects. Les dossiers qui n’étaient pas résolus avaient donc tendance à tomber dans un oubli judiciaire et policier. Et puis finalement, pour nettoyer les étagères, au bout de quelques années, et parfois dans un délai pas si long que ça, par un trait de plume, on détruisait les pièces à conviction. Certes, c’était à une époque où il n’y avait pas l’ADN, on n’avait alors pas conscience qu’on pouvait avoir sur ces pièces l’identité génétique du tueur, mais même sans ça, il s’agissait de pièces à conviction qui n’auraient pas dû être détruites. Heureusement, depuis l’année dernière, sous la pression d’associations de familles de victimes et d’avocats, la destruction de scellés est interdite par la loi, sur une période de dix ans après la prescription.
Le titre de votre ouvrage évoque un « Continent des oublié·e·s ». À quoi faites-vous référence ?
Derrière ces cold cases, c’est un continent englouti de souffrances… Parce qu’un crime, ça ne fait pas qu’une seule victime. Ce sont tous les proches qui sont frappés. Il y a des dépressions, des ruptures familiales, des traumatismes qui sont absolument impossibles à traiter, des vies gâchées, même des cas de suicides. C’est un dégât social considérable. Et des gens, surtout, qui se sentent oubliés par la justice. Leur affaire, au bout de deux, trois, quatre ans, et parfois même moins, n’a pas été traitée. Il y a un déni de justice qui est scandaleux, quelque part. Comment ces gens peuvent-ils comprendre qu’on laisse tomber un crime qui n’a pas été élucidé ? Et quelquefois même, on fait un non-lieu, et on dit aux gens « Circulez, il n’y a rien à voir ».
Thierry Lévêque sera au festival Quais du polar à Lyon pour une séance de dédicaces le 4 avril, à la suite de l’enregistrement de l’émission « Affaires sensibles » sur France Inter.
Source
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Effectivement, vu de l’extérieur, c’est une aberration. En réalité, la justice de l’époque venait dire « On n’a pas trouvé, donc on met tout à la poubelle ». Malheureusement c’était la règle, et c’est bien là qu’est l’un des principaux problèmes. Lorsqu’un meurtre n’est pas élucidé, il était chassé par un autre pour lequel il y avait des suspects. Les dossiers qui n’étaient pas résolus avaient donc tendance à tomber dans un oubli judiciaire et policier. Et puis finalement, pour nettoyer les étagères, au bout de quelques années, et parfois dans un délai pas si long que ça, par un trait de plume, on détruisait les pièces à conviction. Certes, c’était à une époque où il n’y avait pas l’ADN, on n’avait alors pas conscience qu’on pouvait avoir sur ces pièces l’identité génétique du tueur, mais même sans ça, il s’agissait de pièces à conviction qui n’auraient pas dû être détruites. Heureusement, depuis l’année dernière, sous la pression d’associations de familles de victimes et d’avocats, la destruction de scellés est interdite par la loi, sur une période de dix ans après la prescription.
Le titre de votre ouvrage évoque un « Continent des oublié·e·s ». À quoi faites-vous référence ?
Derrière ces cold cases, c’est un continent englouti de souffrances… Parce qu’un crime, ça ne fait pas qu’une seule victime. Ce sont tous les proches qui sont frappés. Il y a des dépressions, des ruptures familiales, des traumatismes qui sont absolument impossibles à traiter, des vies gâchées, même des cas de suicides. C’est un dégât social considérable. Et des gens, surtout, qui se sentent oubliés par la justice. Leur affaire, au bout de deux, trois, quatre ans, et parfois même moins, n’a pas été traitée. Il y a un déni de justice qui est scandaleux, quelque part. Comment ces gens peuvent-ils comprendre qu’on laisse tomber un crime qui n’a pas été élucidé ? Et quelquefois même, on fait un non-lieu, et on dit aux gens « Circulez, il n’y a rien à voir ».
Thierry Lévêque sera au festival Quais du polar à Lyon pour une séance de dédicaces le 4 avril, à la suite de l’enregistrement de l’émission « Affaires sensibles » sur France Inter.
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29.03.202515:24
Voici une des TRES nombreuses affaires de pédocriminalité sur laquelle la fachosphère/complosphère ( ça se confond facilement ...) glissera dessus comme chat sur braises. Pourquoi ? Car elle ne vend pas leur agenda de la haine et de l'exclusion. Les pédocriminels sont absolument partout. Point, barre.
25.03.2025 Var - France : Cédric S., un militaire de 44 ans résidant à Sillans-la-Cascade, a été condamné à huit ans de prison pour avoir proposé sur internet des relations sexuelles contre rémunération avec trois de ses filles âgées de 2, 3 et 9 ans entre juillet 2020 et août 2021. Il enregistrait, détenait et transmettait également des images pédopornographiques (7000 images dont 25 avec ses filles)
Le tribunal correctionnel de Draguignan a suivi à la lettre la semaine dernière les réquisitions de la procureure Mathilde Gauvain en condamnant Cédric S. à huit ans d’emprisonnement avec mandat de dépôt, puis à l’issue six ans de suivi socio-judiciaire. Le retrait total de l’autorité parentale sur ses six enfants a également été prononcé.
Malgré les soupçons des enquêteurs et l’ouverture d’une information judiciaire en ce sens, aucun viol n’a pu être caractérisé durant l’instruction. Viols et tentatives de viol que Cédric S. a toujours nié par ailleurs.
« Caresses sexuelles »
Dès le début des investigations en revanche, il n’a pu que reconnaître les faits d’agressions sexuelles sur ses enfants.
Au matin du 26 août 2021, son épouse profitait de son absence pour jeter un oeil dans son téléphone portable. Elle y découvrait une photo prise la veille au soir de sa fille de 9 ans et de son mari, nus dans la cabine de douche. Cédric S. avait le sexe en érection posé sur les fesses de sa fille…
Selon l’enfant, ce n’était pas la première fois que son père agissait de la sorte. Des dires confirmés par sa soeur cadette qui, du haut de ses trois ans, affirmait que Cédric lui avait «fait ça dans le cucul et la foufoune », tout en mimant des faits de pénétrations digitales.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants.
En garde à vue, Cédric S. reconnaissait des « caresses sexuelles », ayant conscience du caractère « interdit » et « monstrueux » de ses actes. Il expliquait alors son comportement déviant par une relation sentimentale et sexuelle compliquée avec son épouse depuis de nombreuses années. Version qu’il n’a pas réitérée à l’audience, évoquant plutôt une sévère dépression tout en rejetant le qualificatif de pédophile.
Ses filles « en vente » sur Whatsapp
Les expertises de ses différents matériels informatiques ont pourtant mis en évidence la détention et la transmission d’images et vidéos à caractère pédopornographique. « Des conneries » auxquelles Cédric S. s’adonnait quand il était malheureux… Il prenait alors ses filles en photos, nues, dans des poses suggestives. L’une d’elles montrait la langue de Cédric S. à proximité du sexe de sa plus jeune. Au total, Cédric S. détenait quelque 7 000 images et vidéos pédopornographique d’autres mineurs dont certaines mettaient en scène des viols.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants. Des images que le père de famille n’hésitait pas à transférer et échanger sur des sites de tchat. Durant une conversation avec un certain « laurentdu40 », il confiait avoir déjà eu des relations sexuelles avec elles. À d’autres, via Whatsapp et photos à l’appui, il proposait des relations sexuelles avec ses filles contre rémunération. Des offres qui, heureusement, n’ont pas été suivies d’effet.
Lors de ses réquisitions, le ministère public a notamment insisté sur le préjudice à long terme pour les parties civiles dont des photos d’elles «nues et abusées » circulent toujours sur les réseaux « et font le bonheur (sic) des pédocriminels ».
Arrivé libre à l’audience après trois ans de détention provisoire, Cédric S. a quitté la salle menotte aux poignets.
Source
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25.03.2025 Var - France : Cédric S., un militaire de 44 ans résidant à Sillans-la-Cascade, a été condamné à huit ans de prison pour avoir proposé sur internet des relations sexuelles contre rémunération avec trois de ses filles âgées de 2, 3 et 9 ans entre juillet 2020 et août 2021. Il enregistrait, détenait et transmettait également des images pédopornographiques (7000 images dont 25 avec ses filles)
Le tribunal correctionnel de Draguignan a suivi à la lettre la semaine dernière les réquisitions de la procureure Mathilde Gauvain en condamnant Cédric S. à huit ans d’emprisonnement avec mandat de dépôt, puis à l’issue six ans de suivi socio-judiciaire. Le retrait total de l’autorité parentale sur ses six enfants a également été prononcé.
Malgré les soupçons des enquêteurs et l’ouverture d’une information judiciaire en ce sens, aucun viol n’a pu être caractérisé durant l’instruction. Viols et tentatives de viol que Cédric S. a toujours nié par ailleurs.
« Caresses sexuelles »
Dès le début des investigations en revanche, il n’a pu que reconnaître les faits d’agressions sexuelles sur ses enfants.
Au matin du 26 août 2021, son épouse profitait de son absence pour jeter un oeil dans son téléphone portable. Elle y découvrait une photo prise la veille au soir de sa fille de 9 ans et de son mari, nus dans la cabine de douche. Cédric S. avait le sexe en érection posé sur les fesses de sa fille…
Selon l’enfant, ce n’était pas la première fois que son père agissait de la sorte. Des dires confirmés par sa soeur cadette qui, du haut de ses trois ans, affirmait que Cédric lui avait «fait ça dans le cucul et la foufoune », tout en mimant des faits de pénétrations digitales.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants.
En garde à vue, Cédric S. reconnaissait des « caresses sexuelles », ayant conscience du caractère « interdit » et « monstrueux » de ses actes. Il expliquait alors son comportement déviant par une relation sentimentale et sexuelle compliquée avec son épouse depuis de nombreuses années. Version qu’il n’a pas réitérée à l’audience, évoquant plutôt une sévère dépression tout en rejetant le qualificatif de pédophile.
Ses filles « en vente » sur Whatsapp
Les expertises de ses différents matériels informatiques ont pourtant mis en évidence la détention et la transmission d’images et vidéos à caractère pédopornographique. « Des conneries » auxquelles Cédric S. s’adonnait quand il était malheureux… Il prenait alors ses filles en photos, nues, dans des poses suggestives. L’une d’elles montrait la langue de Cédric S. à proximité du sexe de sa plus jeune. Au total, Cédric S. détenait quelque 7 000 images et vidéos pédopornographique d’autres mineurs dont certaines mettaient en scène des viols.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants. Des images que le père de famille n’hésitait pas à transférer et échanger sur des sites de tchat. Durant une conversation avec un certain « laurentdu40 », il confiait avoir déjà eu des relations sexuelles avec elles. À d’autres, via Whatsapp et photos à l’appui, il proposait des relations sexuelles avec ses filles contre rémunération. Des offres qui, heureusement, n’ont pas été suivies d’effet.
Lors de ses réquisitions, le ministère public a notamment insisté sur le préjudice à long terme pour les parties civiles dont des photos d’elles «nues et abusées » circulent toujours sur les réseaux « et font le bonheur (sic) des pédocriminels ».
Arrivé libre à l’audience après trois ans de détention provisoire, Cédric S. a quitté la salle menotte aux poignets.
Source
Merci d'avance pour votre coup de main
➡️ https://t.me/pedocriminalite
26.03.202500:34
Le paradoxe est que ce livre a été publié par les éditions "Grasset" appartenant à .... Vincent Bolloré. Oui, le même oligarque ultra-réactionnaire milliardaire qui, à travers ses médias (notamment CNews et le JDD) unit et galvanise tous les fachos et réactionnaires de France. Et il les créent aussi : s'abreuver de ces médias est un poison pour le cerveau.
Suivi - 21.03.2025 Drôme - Paris - France : Depuis plusieurs jours, les trois auteurs du livre consacré à l’affaire Crépol font l’objet de menaces de mort par des internautes anonymes. Ils ont annoncé qu’ils déposeraient plainte la semaine prochaine.
Au lendemain de la sortie de leur livre d’enquête « Une nuit en France », consacré à la mort de Thomas Perotto, un adolescent de 16 ans, en 2023 à Crépol (Drôme), les trois auteurs, notre confrère Jean-Michel Décugis, journaliste du Parisien, Pauline Guéna, romancière et scénariste, et Marc Leplongeon, journaliste de L’Équipe, dénoncent des menaces de mort, ont fait savoir les Éditions Grasset, ce vendredi, dans un communiqué de presse.
« Depuis plusieurs jours, les auteurs, le livre et l’éditeur sont calomniés par certains médias, harcelés par nombre de sites ou réseaux sociaux qui véhiculent mensonges et contre-vérités sans même avoir lu l’ouvrage », poursuit l’éditeur dans son communiqué.
Les trois auteurs ont annoncé leur intention de déposer plainte la semaine prochaine, a fait savoir l’un d’eux au Parisien.
La récupération politique par les extrêmes-droites de l’affaire
Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023, Thomas, un lycéen de 16 ans, avait été victime, lors d’un bal, de coups de couteau lors d’une rixe entre les jeunes habitants de ce village et un groupe d’autres jeunes arrivés dans la soirée.
L’affaire avait suscité une vive polémique dans la classe politique, la droite et l’extrême droite l’élevant en emblème d’une insécurité dans les zones rurales dues, selon elles, à des habitants de quartiers urbains défavorisés. Les enquêteurs cherchent toujours à déterminer l’auteur des coups de couteau mortels. Quatorze personnes, dont trois mineurs, sont mises en examen pour « homicide volontaire et tentatives d’homicides volontaires en bande organisée ».
Cette affaire est retracée dans « Une nuit en France », de Jean-Michel Décugis, journaliste du Parisien, Pauline Guéna, romancière et scénariste, et Marc Leplongeon, journaliste de L’Équipe. Le livre donne des prénoms de personnes mises en cause. Et il souligne la récupération politique de cette affaire, autour d’un prétendu « racisme anti-blanc », chez des médias et élus qui ont fait de l’insécurité un thème récurrent.
« Livrés à la vindicte pour avoir fait leur travail de journalistes »
Dans son communiqué, Grasset cite le texte de menaces qui visent les auteurs. Certains internautes leur souhaitent par exemple le sort réservé aux collaborateurs après la Libération. « L’éditeur et les auteurs entendent signaler tous les messages ou propos haineux aux instances judiciaires », a précisé Grasset.
L’Association de la presse judiciaire a apporté, dans un communiqué, « un soutien sans réserve à nos confrères et condamne avec vigueur des attaques qui violent sans vergogne les limites de la critique acceptable et du débat démocratique ». « Injuriés, menacés, calomniés par de courageux anonymes sur les réseaux sociaux et cloués au pilori par certains médias, ils se retrouvent livrés à la vindicte pour avoir fait leur travail de journalistes », a déploré cette association, dont Jean-Michel Décugis et Marc Leplongeon sont membres.
« Il y a tout le monde qui sait » : les troublantes écoutes des suspects du meurtre de Thomas à Crépol
L’ouvrage a été critiqué par la maire de Romans-sur-Isère, la ville dont sont originaires plusieurs personnes mises en examen. Cette élue divers droite, Marie-Hélène Thoraval, désigne depuis le début ces personnes comme des agresseurs guidés par le « racisme anti-blanc ».
Suivi - 21.03.2025 Drôme - Paris - France : Depuis plusieurs jours, les trois auteurs du livre consacré à l’affaire Crépol font l’objet de menaces de mort par des internautes anonymes. Ils ont annoncé qu’ils déposeraient plainte la semaine prochaine.
Au lendemain de la sortie de leur livre d’enquête « Une nuit en France », consacré à la mort de Thomas Perotto, un adolescent de 16 ans, en 2023 à Crépol (Drôme), les trois auteurs, notre confrère Jean-Michel Décugis, journaliste du Parisien, Pauline Guéna, romancière et scénariste, et Marc Leplongeon, journaliste de L’Équipe, dénoncent des menaces de mort, ont fait savoir les Éditions Grasset, ce vendredi, dans un communiqué de presse.
« Depuis plusieurs jours, les auteurs, le livre et l’éditeur sont calomniés par certains médias, harcelés par nombre de sites ou réseaux sociaux qui véhiculent mensonges et contre-vérités sans même avoir lu l’ouvrage », poursuit l’éditeur dans son communiqué.
Les trois auteurs ont annoncé leur intention de déposer plainte la semaine prochaine, a fait savoir l’un d’eux au Parisien.
La récupération politique par les extrêmes-droites de l’affaire
Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023, Thomas, un lycéen de 16 ans, avait été victime, lors d’un bal, de coups de couteau lors d’une rixe entre les jeunes habitants de ce village et un groupe d’autres jeunes arrivés dans la soirée.
L’affaire avait suscité une vive polémique dans la classe politique, la droite et l’extrême droite l’élevant en emblème d’une insécurité dans les zones rurales dues, selon elles, à des habitants de quartiers urbains défavorisés. Les enquêteurs cherchent toujours à déterminer l’auteur des coups de couteau mortels. Quatorze personnes, dont trois mineurs, sont mises en examen pour « homicide volontaire et tentatives d’homicides volontaires en bande organisée ».
Cette affaire est retracée dans « Une nuit en France », de Jean-Michel Décugis, journaliste du Parisien, Pauline Guéna, romancière et scénariste, et Marc Leplongeon, journaliste de L’Équipe. Le livre donne des prénoms de personnes mises en cause. Et il souligne la récupération politique de cette affaire, autour d’un prétendu « racisme anti-blanc », chez des médias et élus qui ont fait de l’insécurité un thème récurrent.
« Livrés à la vindicte pour avoir fait leur travail de journalistes »
Dans son communiqué, Grasset cite le texte de menaces qui visent les auteurs. Certains internautes leur souhaitent par exemple le sort réservé aux collaborateurs après la Libération. « L’éditeur et les auteurs entendent signaler tous les messages ou propos haineux aux instances judiciaires », a précisé Grasset.
L’Association de la presse judiciaire a apporté, dans un communiqué, « un soutien sans réserve à nos confrères et condamne avec vigueur des attaques qui violent sans vergogne les limites de la critique acceptable et du débat démocratique ». « Injuriés, menacés, calomniés par de courageux anonymes sur les réseaux sociaux et cloués au pilori par certains médias, ils se retrouvent livrés à la vindicte pour avoir fait leur travail de journalistes », a déploré cette association, dont Jean-Michel Décugis et Marc Leplongeon sont membres.
« Il y a tout le monde qui sait » : les troublantes écoutes des suspects du meurtre de Thomas à Crépol
L’ouvrage a été critiqué par la maire de Romans-sur-Isère, la ville dont sont originaires plusieurs personnes mises en examen. Cette élue divers droite, Marie-Hélène Thoraval, désigne depuis le début ces personnes comme des agresseurs guidés par le « racisme anti-blanc ».
26.03.202500:08
20.03.2025 Gironde - France : Une conductrice sans permis, avec un bébé à bord, percute un policier à moto lors d’un refus d’obtempérer
La jeune femme de 21 ans a été placée en garde à vue pour « conduite sans permis », « refus d’obtempérer » et « violence avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique ».
Une course-poursuite qui aurait pu être fatale à la conductrice, son neveu ou encore au policier qui a croisé leur route. À Bordeaux, une jeune femme de 21 ans, qui conduisait un véhicule sans permis de conduire valide, a été placée en garde à vue après un refus d’obtempérer, a appris Le Parisien de source judiciaire.
Les faits se sont déroulés mercredi 19 mars, vers 14h30, près de l’avenue de Trouville à Bordeaux, précisent nos confrères. Un policier à moto a voulu contrôler la jeune automobiliste, qui a fait mine de s’arrêter avant de redémarrer de plus belle. Dans la course-poursuite qui s’est ensuivie, la jeune femme, qui transportait un bébé à bord de son véhicule, a été bloquée au niveau d’un feu rouge.
Le policier blessé
Elle a ensuite percuté la moto du policier en faisant une marche arrière, l’empêchant de redémarrer. Selon plusieurs sources, le policier blessé par la manœuvre a eu « de la chance de s’en tirer ».
Une patrouille de police a finalement arrêté l’automobiliste quelques mètres plus loin, et a placé la jeune femme, « inconnue des services », en garde à vue pour « conduite sans permis », « conduite sans assurance », « violence avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique » et « refus d’obtempérer », indique le parquet de Bordeaux.
Le bébé, neveu de la conductrice, n’a pas été blessé et a été remis à sa mère. La jeune conductrice était toujours en garde à vue ce jeudi après-midi.
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La jeune femme de 21 ans a été placée en garde à vue pour « conduite sans permis », « refus d’obtempérer » et « violence avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique ».
Une course-poursuite qui aurait pu être fatale à la conductrice, son neveu ou encore au policier qui a croisé leur route. À Bordeaux, une jeune femme de 21 ans, qui conduisait un véhicule sans permis de conduire valide, a été placée en garde à vue après un refus d’obtempérer, a appris Le Parisien de source judiciaire.
Les faits se sont déroulés mercredi 19 mars, vers 14h30, près de l’avenue de Trouville à Bordeaux, précisent nos confrères. Un policier à moto a voulu contrôler la jeune automobiliste, qui a fait mine de s’arrêter avant de redémarrer de plus belle. Dans la course-poursuite qui s’est ensuivie, la jeune femme, qui transportait un bébé à bord de son véhicule, a été bloquée au niveau d’un feu rouge.
Le policier blessé
Elle a ensuite percuté la moto du policier en faisant une marche arrière, l’empêchant de redémarrer. Selon plusieurs sources, le policier blessé par la manœuvre a eu « de la chance de s’en tirer ».
Une patrouille de police a finalement arrêté l’automobiliste quelques mètres plus loin, et a placé la jeune femme, « inconnue des services », en garde à vue pour « conduite sans permis », « conduite sans assurance », « violence avec arme par destination sur personne dépositaire de l’autorité publique » et « refus d’obtempérer », indique le parquet de Bordeaux.
Le bébé, neveu de la conductrice, n’a pas été blessé et a été remis à sa mère. La jeune conductrice était toujours en garde à vue ce jeudi après-midi.
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25.03.202523:30
Pédocriminel en enfer
21.03.2025 Floride - USA : Dans la soirée du jeudi 20 mars 2025, l'État de Floride a procédé à l'exécution d'Edward James, 63 ans, mettant fin à près de trois décennies d'attente dans le couloir de la mort. James a reçu une injection létale à 20h15 à la prison d'État de Floride, située près de Starke, pour des crimes qui ont choqué la communauté de Casselberry il y a plus de 30 ans.
Le 19 septembre 1993, Edward James, alors locataire chez Betty Dick, 58 ans, a commis l'impensable. Sous l'emprise de l'alcool et de drogues, il s'en est pris à Toni Neuner, la petite-fille de 8 ans de Betty, la violant et l'étranglant à mort. Dans un acte de violence supplémentaire, il a ensuite poignardé Betty Dick plus de 20 fois, mettant fin à sa vie de manière brutale.
D'après les documents judiciaires, les deux meurtres auraient été commis sous les yeux de la sœur aînée de Toni Neuner, Wandi. Cette dernière avait été ligotée et enfermée dans la salle de bain durant les faits.
Après avoir commis ces actes horribles, James a volé des bijoux et la voiture de sa victime avant de prendre la fuite. Rapidement appréhendé, il a plaidé coupable en avril 1995. Quelques mois plus tard, en août, il était condamné à la peine capitale.
Plus de 30 ans après les meurtres, Edward James a été reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés. Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, avait signé l'arrêt de mort de James le 1er février. Néanmoins, le sexagénaire a demandé à la Cour suprême des Etats-Unis d'arrêter son exécution.
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Le 19 septembre 1993, Edward James, alors locataire chez Betty Dick, 58 ans, a commis l'impensable. Sous l'emprise de l'alcool et de drogues, il s'en est pris à Toni Neuner, la petite-fille de 8 ans de Betty, la violant et l'étranglant à mort. Dans un acte de violence supplémentaire, il a ensuite poignardé Betty Dick plus de 20 fois, mettant fin à sa vie de manière brutale.
D'après les documents judiciaires, les deux meurtres auraient été commis sous les yeux de la sœur aînée de Toni Neuner, Wandi. Cette dernière avait été ligotée et enfermée dans la salle de bain durant les faits.
Après avoir commis ces actes horribles, James a volé des bijoux et la voiture de sa victime avant de prendre la fuite. Rapidement appréhendé, il a plaidé coupable en avril 1995. Quelques mois plus tard, en août, il était condamné à la peine capitale.
Plus de 30 ans après les meurtres, Edward James a été reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés. Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, avait signé l'arrêt de mort de James le 1er février. Néanmoins, le sexagénaire a demandé à la Cour suprême des Etats-Unis d'arrêter son exécution.
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