06.03.202515:52
Macron dans son discours hier soir parle de la "fibre patriotique des français" pour éviter que l'ogre russe puisse manger la France. La France n'a plus les effectifs et la puissance militaire pour soutenir seul le combat contre Poutine, l'Europe est divisée. Trump veut négocier avec Poutine pour éviter un carnage militaire. Dans une France actuelle hautement faible économiquement, démographiquement et militairement. Il est inconcevable et dangereux de soutenir une guerre. Que doit on faire sur la question ukrainienne, votre avis m'intéresse.
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10.01.202514:14
Pour comprendre la haine de l'Algérie envers la France. Il faut comprendre la genèse de l'indépendance Algérienne. Et malheureusement De Gaulle n'a pas su donner aux algériens la meilleure direction de leur indépendance en négociant avec le FLN. Pour cela je vous conseille la lecture du livre d'Henri-Christian Giraud . Livre sourcé bien entendu.
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08.01.202518:41
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07.01.202519:05
"Le nationalisme est une attitude de défense, rendue nécessaire par la faiblesse de l'Etat."
Jacques Bainville (1879-1936)
Jacques Bainville (1879-1936)
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07.01.202514:07
Jacques Isorni au procès Pétain
05.03.202517:17
Poutine est à éradiquer selon nos gouvernants, mais chez nous, la délinquance explose sans que l'on note une amélioration.
Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
Aurelie Châtelain tuée par Sid-Ahmed Ghlam
Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
Stéphanie Monfermé tuée Jamel Gorchene
Marie-Belen tuée par Faycal
Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
Helana tuée par un Afghan
Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
Nicole Pallid tuée par Abousalem Nagad
Françoise Combier tuée Mohammed Mettellaoui
les victimes de Brahim Aouissaoui
Julie Puzenat tuée par Akil
Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
Christelle et son fils tués par Azzedine
Lola Daviet tuée par Dahbia
Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
Vanessa tuée par Fouad Reddad
Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière.
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes victimes.
Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
Aurelie Châtelain tuée par Sid-Ahmed Ghlam
Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
Stéphanie Monfermé tuée Jamel Gorchene
Marie-Belen tuée par Faycal
Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
Helana tuée par un Afghan
Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
Nicole Pallid tuée par Abousalem Nagad
Françoise Combier tuée Mohammed Mettellaoui
les victimes de Brahim Aouissaoui
Julie Puzenat tuée par Akil
Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
Christelle et son fils tués par Azzedine
Lola Daviet tuée par Dahbia
Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
Vanessa tuée par Fouad Reddad
Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière.
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes victimes.
Переслал из:
Jonathan Sturel

23.01.202513:25
Bertrand Blier a sans doute fait des choses intéressantes cinématographiquement parlant, mais l'essentiel de son œuvre a consisté à répandre l'idéologie soixante-huitarde, nihiliste, dégueulasse et débauchée qui a largement contribué à pervertir les mœurs, à faire s'écrouler la décence et à donner l'impression que c'était cool, culturel, branché et moderne d'exposer le vice et l'insalubrité morale.
Blier, c'est du Charlie Hebdo avec une caméra, c'est-à-dire la sous-culture de la satire mal dosée qui ne sait pas s'arrêter et s'imagine que la finalité de toute œuvre consiste à choquer les curés, les mères de famille, et à mettre mal à l'aise tous les autres.
Cette petite minorité de jouisseurs taquins à laquelle appartenait Blier tient la France en otage depuis quelques décennies et lui fait croire que l'art est indissociable du scandale crade. C'est une vision évidemment contestable et c'est surtout une interprétation très partiale, hélas inévitable après Mai-68 et après que les agitateurs de cette épopée salace aient mis la main sur tous les leviers culturels du pays.
Paix à son âme cependant.
Blier, c'est du Charlie Hebdo avec une caméra, c'est-à-dire la sous-culture de la satire mal dosée qui ne sait pas s'arrêter et s'imagine que la finalité de toute œuvre consiste à choquer les curés, les mères de famille, et à mettre mal à l'aise tous les autres.
Cette petite minorité de jouisseurs taquins à laquelle appartenait Blier tient la France en otage depuis quelques décennies et lui fait croire que l'art est indissociable du scandale crade. C'est une vision évidemment contestable et c'est surtout une interprétation très partiale, hélas inévitable après Mai-68 et après que les agitateurs de cette épopée salace aient mis la main sur tous les leviers culturels du pays.
Paix à son âme cependant.
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09.01.202517:08
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08.01.202518:36
Je vous souhaite à toutes et à tous une heureuse année 2025 sous le signe de la famille, du renouveau de la France.
07.01.202514:30
Jean Marie Le Pen sur la préférence nationale - 1988 - 01mn22
07.01.202514:07
Jacques ISORNI
Viendra-t-il le jour où on cessera de reprocher au Maréchal ce qui fut à son plus grand mérite, parce que cet acte était le plus nécessaire et qu'on le lui reprocherait le plus ? Car il n'a jamais agi, manœuvré, plié, résisté que pour sauver le plus possible de juifs. Le statut n'était destiné qu'à les soustraire à la législation allemande dont il savait qu'elle allait être bientôt imposée par l'occupant et que l'occupant serait féroce. Il fut en contact constant avec M. HEILBRONNER, président du consistoire des Israélites de France. « Que deviendraient les Juils sans moi ? » dit-il quand on le presse de partir pour Alger en Novembre 1942. Le grand Rabbin lui exprime sa reconnaissance de ne pas être parti. En Février 1943, le rabbin ISAIE SCHWARTZ demande à être reçu par lui: << Monsieur le Maréchal, dit-il, il est d'usage de prier chaque samedi pour le chef de l'Etat. >>
Le résultat de l'action du Maréchal est là, et il n'est pas contesté. Les statistiques, puisque ces drames atroces finissent par s'analyser en chiffres, parlent haut (3). Les pourcentages des pertes, réfugiés compris, sont en France de 30 %, en Belgique de 44 %, en Grèce de 80 %, en Hollande de 60 %, en Pologne de 84 %, en Lettonie de 89,5 %, en Lithuanie de 90 %.
La France ne fut pas « polonisée ».
Est-ce que les hommes sauvés peuvent oublier qu'ils le doivent, pour le plus grand nombre, d'abord à Philippe PÉTAIN?
Est-ce un crime, pour ce chef de l'Etat solitaire, vieillard aux mains nues, devant le pouvoir le plus armé et le plus cruel, de n'avoir pu être davantage un rempart ?
L'histoire, c'est une certitude, le rétablira dans sa gloire. Pour être juste, il doit être aussi rétabli dans la loi.
Viendra-t-il le jour où on cessera de reprocher au Maréchal ce qui fut à son plus grand mérite, parce que cet acte était le plus nécessaire et qu'on le lui reprocherait le plus ? Car il n'a jamais agi, manœuvré, plié, résisté que pour sauver le plus possible de juifs. Le statut n'était destiné qu'à les soustraire à la législation allemande dont il savait qu'elle allait être bientôt imposée par l'occupant et que l'occupant serait féroce. Il fut en contact constant avec M. HEILBRONNER, président du consistoire des Israélites de France. « Que deviendraient les Juils sans moi ? » dit-il quand on le presse de partir pour Alger en Novembre 1942. Le grand Rabbin lui exprime sa reconnaissance de ne pas être parti. En Février 1943, le rabbin ISAIE SCHWARTZ demande à être reçu par lui: << Monsieur le Maréchal, dit-il, il est d'usage de prier chaque samedi pour le chef de l'Etat. >>
Le résultat de l'action du Maréchal est là, et il n'est pas contesté. Les statistiques, puisque ces drames atroces finissent par s'analyser en chiffres, parlent haut (3). Les pourcentages des pertes, réfugiés compris, sont en France de 30 %, en Belgique de 44 %, en Grèce de 80 %, en Hollande de 60 %, en Pologne de 84 %, en Lettonie de 89,5 %, en Lithuanie de 90 %.
La France ne fut pas « polonisée ».
Est-ce que les hommes sauvés peuvent oublier qu'ils le doivent, pour le plus grand nombre, d'abord à Philippe PÉTAIN?
Est-ce un crime, pour ce chef de l'Etat solitaire, vieillard aux mains nues, devant le pouvoir le plus armé et le plus cruel, de n'avoir pu être davantage un rempart ?
L'histoire, c'est une certitude, le rétablira dans sa gloire. Pour être juste, il doit être aussi rétabli dans la loi.
27.01.202519:35
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s'y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celle d'Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l'idée même de révolte ne viendra même plus à l'esprit des hommes. L'idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.
Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l'émotionnel ou l'instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu'il faudra entretenir) sera celle d'être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L'homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu'il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l'être un troupeau. Tout ce qui permet d'endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l'éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d'abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu'il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l'argent et du pouvoir. »
Günther Anders - L'obsolescence de l'homme
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.
Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l'émotionnel ou l'instinctif.
On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser.
On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu'il faudra entretenir) sera celle d'être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L'homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu'il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l'être un troupeau. Tout ce qui permet d'endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l'éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d'abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu'il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l'argent et du pouvoir. »
Günther Anders - L'obsolescence de l'homme
14.01.202513:23
Algérie : Le piège gaulliste- Henri-Christian GIRAUD - Page 1037
Fondé sur le souci louable d’épargner à la France une algérianisation progressive de son territoire et de ses mœurs, le traitement gaulliste de l’affaire algérienne a finalement abouti à son exact contraire, mais, en réalité, nullement paradoxal. C’est en effet sous la présidence de De Gaulle que l’immigration a été rendue effective par les accords d’Évian et, très précisément, par l’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties (« Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France »), et par l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel tout Algérien a, à tout moment, la possibilité de venir résider en France et d’y bénéficier de tous les avantages sociaux. Cela sans compter les accords de décembre 1968 et, comme on l’a vu, les interventions personnelles de De Gaulle, toujours favorables aux desiderata algériens d’« éponger » 3 millions de chômeurs dus aux brutales spoliations des entreprises françaises. C’est sous la présidence de De Gaulle, donc, que l’immigration a plus que doublé (or elle avait déjà doublé entre 1954 et 1962) et pris son essor pour ne plus s’arrêter.
Au seuil des années 1990, tout en reconnaissant que la mémoire de la guerre d’Algérie fonctionnait depuis vingt-cinq ans comme une « mémoire de guerre perdue », Robert Frank pouvait écrire que, en 1962, les Français n’avaient pas conscience d’avoir subi une défaite, et que c’était même pour le général de Gaulle et la nouvelle République une « victoire politique retentissante [sic] ». Cela, expliquait l’historien, car il ne s’était pas « ensuivi une crise d’identité nationale [parce que], avant même la fin de la guerre, la nation avait connu d’autres projets, choisi une autre route, celle de la décolonisation, de l’Europe, de la croissance, de la modernisation et de la société de consommation et que, sur tous ces fronts, les victoires décisives étaient déjà engrangées ». Et puis, précisait-il, ce ne sont que des groupes et non la communauté entière qui avaient été affectés. Mais depuis, un acteur majeur – dont la guerre d’Algérie portait les prémices mortifères – s’est imposé en force sur la scène de l’Histoire : l’arabo-islamisme. D’abord en Algérie même avec les années noires (1990-1993), puis, par débordements successifs, en France, mais dans une France dont l’identité nationale, psychiquement fracturée par le traitement gaulliste de l’affaire algérienne et physiquement déstabilisée par une immigration massive, est aujourd’hui à la dérive. « Dans l’état de fracturation sociale et politique où elle se trouve, constate l’écrivain algérien Boualem Sansal, la France pourrait éclater et sombrer. La France est à ce point piégée par l’islamisme et le politiquement correct qu’elle ne sait plus qui elle est, sur quel pied danser, quel nom donner aux choses, quelle langue parler… Le résultat est là : dans certains quartiers, la France est une République islamique en herbe. C’est un grand souci pour nous, les Algériens rescapés du cauchemar : où finirons-nous si l’islamisme nous devance ainsi ?
Fondé sur le souci louable d’épargner à la France une algérianisation progressive de son territoire et de ses mœurs, le traitement gaulliste de l’affaire algérienne a finalement abouti à son exact contraire, mais, en réalité, nullement paradoxal. C’est en effet sous la présidence de De Gaulle que l’immigration a été rendue effective par les accords d’Évian et, très précisément, par l’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties (« Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France »), et par l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel tout Algérien a, à tout moment, la possibilité de venir résider en France et d’y bénéficier de tous les avantages sociaux. Cela sans compter les accords de décembre 1968 et, comme on l’a vu, les interventions personnelles de De Gaulle, toujours favorables aux desiderata algériens d’« éponger » 3 millions de chômeurs dus aux brutales spoliations des entreprises françaises. C’est sous la présidence de De Gaulle, donc, que l’immigration a plus que doublé (or elle avait déjà doublé entre 1954 et 1962) et pris son essor pour ne plus s’arrêter.
Au seuil des années 1990, tout en reconnaissant que la mémoire de la guerre d’Algérie fonctionnait depuis vingt-cinq ans comme une « mémoire de guerre perdue », Robert Frank pouvait écrire que, en 1962, les Français n’avaient pas conscience d’avoir subi une défaite, et que c’était même pour le général de Gaulle et la nouvelle République une « victoire politique retentissante [sic] ». Cela, expliquait l’historien, car il ne s’était pas « ensuivi une crise d’identité nationale [parce que], avant même la fin de la guerre, la nation avait connu d’autres projets, choisi une autre route, celle de la décolonisation, de l’Europe, de la croissance, de la modernisation et de la société de consommation et que, sur tous ces fronts, les victoires décisives étaient déjà engrangées ». Et puis, précisait-il, ce ne sont que des groupes et non la communauté entière qui avaient été affectés. Mais depuis, un acteur majeur – dont la guerre d’Algérie portait les prémices mortifères – s’est imposé en force sur la scène de l’Histoire : l’arabo-islamisme. D’abord en Algérie même avec les années noires (1990-1993), puis, par débordements successifs, en France, mais dans une France dont l’identité nationale, psychiquement fracturée par le traitement gaulliste de l’affaire algérienne et physiquement déstabilisée par une immigration massive, est aujourd’hui à la dérive. « Dans l’état de fracturation sociale et politique où elle se trouve, constate l’écrivain algérien Boualem Sansal, la France pourrait éclater et sombrer. La France est à ce point piégée par l’islamisme et le politiquement correct qu’elle ne sait plus qui elle est, sur quel pied danser, quel nom donner aux choses, quelle langue parler… Le résultat est là : dans certains quartiers, la France est une République islamique en herbe. C’est un grand souci pour nous, les Algériens rescapés du cauchemar : où finirons-nous si l’islamisme nous devance ainsi ?
09.01.202517:08
Marc-Edouard Nabe, Au régal des vermines
"J'aime chez les putes ce qu'elles doivent penser des hommes. Toutes ces féministes pourries, sans avoir souffert le millième de ce qu'ont pu souffrir les putes, ont dans la tête une sournoise rancune absolument pas justifiée près du chagrin et de la pitié cosmique qui peuvent pousser une femme à faire la pute. La Sainte Pute sait au moins, elle, que la femme est l'impératrice, la Dieu du monde, que tout dépend de son petit trou génial, que l'univers entier passe par cette brèche : elles n'ont pas l'hypocrite culot de le taire, elles en montrent au contraire la supériorité, la souveraineté que celles qui crachent sur les hommes pour des raisons bassement intellectuelles, politiques ou sociales, ne pourront jamais, du haut de leurs complexes, concevoir. Comment leur préférer, aux putes, toutes ces flopées de connes gauchistes refoulées, véritables victimes qui ne leur arrivent pas à la grosse cheville et qui ont dans les yeux le délavé de leurs jeans… Pas de mystère, on sait pourquoi elles font de la politique !…"
"J'aime chez les putes ce qu'elles doivent penser des hommes. Toutes ces féministes pourries, sans avoir souffert le millième de ce qu'ont pu souffrir les putes, ont dans la tête une sournoise rancune absolument pas justifiée près du chagrin et de la pitié cosmique qui peuvent pousser une femme à faire la pute. La Sainte Pute sait au moins, elle, que la femme est l'impératrice, la Dieu du monde, que tout dépend de son petit trou génial, que l'univers entier passe par cette brèche : elles n'ont pas l'hypocrite culot de le taire, elles en montrent au contraire la supériorité, la souveraineté que celles qui crachent sur les hommes pour des raisons bassement intellectuelles, politiques ou sociales, ne pourront jamais, du haut de leurs complexes, concevoir. Comment leur préférer, aux putes, toutes ces flopées de connes gauchistes refoulées, véritables victimes qui ne leur arrivent pas à la grosse cheville et qui ont dans les yeux le délavé de leurs jeans… Pas de mystère, on sait pourquoi elles font de la politique !…"
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07.01.202514:11
Pétain a été le plus grand sauveur de Juifs d'Europe après Pie XII et tous deux ont été calomniés. En 1944 il dit à Roger Martin du Gard : "Les Juifs, si j'étais parti, les SS les auraient tous exécutés, comme en Pologne." Or s'il était parti, de Gaulle le reconnaît, il serait revenu en France avec les Alliés, et la France Libre n'existait plus. Toutes les rues ou places de Gaulle s'appelleraient Pétain aujourd'hui. Pour protéger la population juifs compris, il a sacrifié sa gloire, ce qui fait de lui l'un des plus grands serviteurs de la France et le plus injustement traité. cf) "Je brûlerai ma gloire", et bientôt :" La tragédie du Maréchal." Ed. Muller . 0 Paxton a écrit un livre à charge pour faire honte aux Français de leur pays et les rendre dociles à l'action d'autres pays.
Jacques Boncompain
Jacques Boncompain
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05.01.202517:44
Le gauchiste Stéphane Charbonnier, alias Charb (Charlie Hebdo), qui explique que le problème dans ce pays, c'est avant tout l'extrême droite catholique.
Peu de temps après cette vidéo, le 7 janvier 2015, Charb et 7 autres de ses potes gauchistes se font massacrer à l'AK-47 par des Chances pour la France au cri de « @ll@hu @kb@r ».
Peu de temps après cette vidéo, le 7 janvier 2015, Charb et 7 autres de ses potes gauchistes se font massacrer à l'AK-47 par des Chances pour la France au cri de « @ll@hu @kb@r ».
13.01.202522:51
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09.01.202515:23
Marc Edouard Nabe et les anti lepenistes
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07.01.202520:12
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07.01.202514:10
Maurice Papon
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05.01.202516:06
Le 21 janvier 1948, Maurice Duplessis adopte le fleurdelisé comme drapeau du Québec.
La date n'est pas choisie par hasard. C'est celle de la commémoration de la décapitation de Louis XVI. Le fleurdelisé s'inscrit dans la volonté de retisser les liens du Québec avec la Nouvelle-France, création des rois de France.
Le Québec contemporain est l'héritier de cette longue histoire qui remonte à la Nouvelle-France elle-même création de la France royale et catholique.
Ce drapeau nous rappelle que les Québécois d'aujourd'hui ne sont pas des immigrants, mais des descendants de colons qui ont civilisé cette terre au nom du Christ et du roi de France.
Alexandre Cormier-Denis
La date n'est pas choisie par hasard. C'est celle de la commémoration de la décapitation de Louis XVI. Le fleurdelisé s'inscrit dans la volonté de retisser les liens du Québec avec la Nouvelle-France, création des rois de France.
Le Québec contemporain est l'héritier de cette longue histoire qui remonte à la Nouvelle-France elle-même création de la France royale et catholique.
Ce drapeau nous rappelle que les Québécois d'aujourd'hui ne sont pas des immigrants, mais des descendants de colons qui ont civilisé cette terre au nom du Christ et du roi de France.
Alexandre Cormier-Denis
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