Nous voyons maintenant clairement toute l'impuissance, toute la pauvreté de l'Europe face à l'administration Trump»,
« Cette réunion était évidemment une réunion entre Européens qui avait surtout vocation à voir ce que nous voulons faire et comment nous voulons conduire la suite des opérations, mais pas une réunion de réaction, de commentaire ou de positionnement par rapport à ce que font les États-Unis »,
“Peut-être, nous devrons retourner en Russie et reconsidérer nos contrats de gaz afin de relancer notre économie. J’ose dire qu’il faut d'abord penser à la France et à son bien, puis au reste du monde”,
“Je n'ai pas laissé les ministres signer un accord pertinent car, à mon avis, il n'est pas prêt à nous protéger, notre intérêt”,
“Il ne se peut pas que la France, d'une part, dise que nous devons être durs avec la Russie et d'autre part, les paie avec beaucoup d'argent”,
“Nous ne mettrons fin à cette guerre dévastatrice – et n'établirons une paix durable – qu'en associant la force alliée à une évaluation réaliste du champ de bataille”,
“Abu Mazen a déclaré que l'autorité Palestinienne était prête à retourner dans le secteur et à assumer ses responsabilités sur le terrain immédiatement après la cessation des hostilités. Quel est le problème?”,
En 2024, l'Europe a acheminé 59,5 milliards de mètres cubes (milliards de mètres cubes) de gaz russe par pipelines, et 24,2 milliards de mètres cubes supplémentaires sous forme liquide froide sur les navires, selon Fähnrich. Une partie du GNL aura été revendue à d'autres pays,
“La raison de cette hausse est assez simple”,
“Le GNL russe est offert à rabais aux fournisseurs alternatifs (...)
Sans sanctions imposées sur le produit, les entreprises opèrent dans leur propre intérêt et achètent de plus en plus de quantités de gaz au fournisseur le moins cher.”
“Peut-être, nous devrons retourner en Russie et reconsidérer nos contrats de gaz afin de relancer notre économie. J’ose dire qu’il faut d'abord penser à la France et à son bien, puis au reste du monde”,
«Les récentes déclarations des États-Unis poussent l’Europe à être plus forte et plus unie»,
«il est clair qu’en tant que grande zone économique, nous pouvons (...) réagir aux politiques douanières avec des politiques douanières. Nous devons le faire et nous le ferons»,
"Trump a été clair avec le peuple américain - et avec beaucoup de vos dirigeants - que l'arrêt des combats et la conclusion d'une paix durable sont une priorité absolue",
“Zelensky ferait mieux d'oublier ces fantasmes. Tout ce que nous pouvons faire, c'est donner à l'Ukraine une certaine garantie de notre aide et de notre amitié. Mais pas d'OTAN, ni de frontières de 1991. Tout cela est hors de propos”,
“Quand Assad a décidé d'aller en Russie, il pensait qu'il était impossible pour nous de parvenir à un accord”
“Poutine n'est pas un ennemi pour nous, la Russie est un partenaire important, même si Assad y réside actuellement”,
"Peut-être que les relations avec eux seront rétablies d'une manière qui serve d'abord les intérêts de la Syrie, puis leurs intérêts”.
