Pour préserver l'indépendance de l'Ukraine alors? On est rendu à 1 million de morts, la cause est perdue, l'Ukraine n'entrera jamais dans l'OTAN, la Crimée et le Donbass seront russes et c'est ce que les habitants de ces régions veulent d'ailleurs. Alors l'indépendance de qui au juste? On va risquer une guerre mondiale pour l'indépendance de ceux dont on a déjà perdu 20% de la population par la guerre et l'émigration? Bien sûr que non. En fait l'Europe belliqueuse a depuis longtemps prouvé qu'elle n'a pas grand-chose à branler du destin de l'Ukraine.
Alors pourquoi le trio belliqueux est prêt à tout risquer au juste?
Ce que vos blogueurs préférés et les journalistes ne peuvent pas dire, est que les mondialistes ne peuvent tolérer la souveraineté de qui que ce soit pour leurs plans: un gouvernement unique mondial, une monnaie unique, surveillance et contrôle totalitaires des citoyens parkés dans des villes 15-minutes, grand reset des dettes nationales en échange de la disparition de la propriété privée, élimination des frontières entre les pays qui vient avec la disparition des cultures nationales. Ce sont les buts de l'immigration massive et du wokisme idéologique. Tout ça est imprimé dans les livres du FEM. C'est pour ça qu'ils sont prêts à tout risquer, parce que leurs plans ultimes sont en voie de s'écrouler pour de bon.
Peut-être que la Chine et l'Inde pourraient vivre avec ça (j'en doute), mais certainement pas la Russie. Ni les États-Unis de Trump, ce qui fait de Poutine et Trump les ennemis mortels des mondialistes.
Les nationalistes qui ne croient pas à Trump peuvent encore se demander ce que les mondialistes gagneraient à faire semblant que Trump est un nationaliste populiste, alors que ça complique tellement la vie des belliqueux de ne plus avoir l'armée américaine de leur bord. Parce que leur victoire sur la Russie est une question vitale pour les mondialistes, pas une question de «faire semblant». Un autre bel accroc à la logique, pourtant simple.
Juste à ouvrir les yeux et le TDS s'évanouit comme par magie.
Sylvain Laforest