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Enfance en Danger
Canal relayant des faits avérés.
Existe depuis 2021.
Sans agenda politique ni spirituel.
Informer et prévenir.
Zéro fake news.
Email : pedocrimonde@proton.me
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24.03.202523:04
08.09.2024 Fribourg - Suisse + Brésil : Festival "Rock Oz’Arènes" - une affaire d’abus sur mineurs derrière l’arrêt soudain du projet d’orphelinat au Brésil
En 2016, la fondation du célèbre festival d’Avenches lançait Rock Oz’Brasil, censé venir en aide à un orphelinat du nord-est du pays. Du merchandising a été mis sur pieds, quelques dons ont été récoltés et le projet a été médiatisé, avant d’être brutalement interrompu dans la plus grande discrétion. Voici pourquoi.
«Rock Oz’Brasil, la face cachée de Rock Oz’Arènes». C’est avec ce titre que 24 heures annonçait le lancement d’un «projet d’aide aux enfants défavorisés» lancé par Rock Oz’Arènes, en 2016.
Dans cet article, on apprenait que l’ancienne directrice du Festival avenchois, Charlotte Carrel, avait visité cet orphelinat situé dans une banlieue pauvre de Salvador de Bahia, pour lequel travaille Luisa D, «épouse de l’un des membres fondateurs de Rock Oz’Arènes». Dès son retour en Suisse, Charlotte Carrel «décide de créer Rock Oz’Brasil, en association avec Luisa D.» écrit le quotidien, avant de préciser: «Charlotte Carrel compte sur la générosité des festivaliers, invités à offrir le montant de leur choix au moment de l’achat de leur billet. Mais la directrice mise aussi sur le bénévolat, puisqu’elle propose à tous les jeunes Suisses motivés de se rendre à Salvador de Bahia pour bâtir de leurs propres mains le nouvel orphelinat.»
«Bien sûr, nous reverserons les fonds récoltés par le festival à l’orphelinat», ajoute alors l’ex-directrice, qui ne peut cependant pas en préciser le montant.
Sur la page dédiée à l’association – désormais remplacée par une page d'erreur – l’équipe de Rock Oz’Brasil nommait l’époux de Luisa D., que nous appellerons Patrick*, vice-président et directeur technique de l’ONG dans son organigramme. Il y était également question de dons et de voyage sur place.
La face cachée de Rock Oz’Brasil
«Lorsque j’ai lu l’article de 24 heures, mon sang n’a fait qu’un tour», explique Stéphane* autour d’un café non loin de la gare d’Yverdon. Car dans ce texte, on apprend que le co-directeur de cet orphelinat brésilien est un expatrié suisse qui aurait abusé de lui dans son enfance.
Les faits narrés par Stéphane remontent à l’été 1984. A ce moment-là, le jeune garçon alors âgé de 12 ans se promène à bicyclette dans son quartier. Il raconte: «Une voiture s’arrête à mes côtés, c’est Patrick au volant. Il me propose de monter avec lui et de conduire sa voiture. J’ignorais que j’allais être victime d’agressions sexuelles sur un petit chemin entre Domdidier et St-Aubin, assis au volant de sa voiture. Je suis resté stupéfait, choqué et j’ai sombré dans le silence. Je suis devenu victime.» Selon Stéphane, d’autres enfants auraient été la cible des mêmes agissements de la part de Patrick, alors responsable du mouvement scout de la région.
S’en suivent des années de silence et de mal-être intérieur pour Stéphane, qui suit une thérapie et fait de l’hypnose pour se débarrasser du «mal très profond» qui l’habite.
«On fait entrer le loup dans la bergerie»
Lorsque Stéphane découvre le nom de son agresseur présumé à la tête d’un orphelinat brésilien dans la presse, c’est la panique. «Je ne vais pas bien à la suite de la lecture de cette information, explique Stéphane, je ressens du dégoût.» Il s’adresse alors à l’auteure du papier, mais également au centre d’aide aux victimes d’infractions (LAVI) de Fribourg.
«Ne croyez-vous pas qu’à notre époque, il y a des questions essentielles à poser concernant les vérifications d’usage avant de confier des tâches avec des enfants défavorisés, violentés et abandonnés à un homme qui a lui-même un passé d’abuseur? Avant de lui confier des jeunes enfants ou adolescents Suisses?», interroge Stéphane, qui se sent la force de sortir du silence, «pour ne pas que ça ne serve à rien». Pour lui, ce projet propose purement et simplement de «faire entrer le loup dans la bergerie».
En 2016, la fondation du célèbre festival d’Avenches lançait Rock Oz’Brasil, censé venir en aide à un orphelinat du nord-est du pays. Du merchandising a été mis sur pieds, quelques dons ont été récoltés et le projet a été médiatisé, avant d’être brutalement interrompu dans la plus grande discrétion. Voici pourquoi.
«Rock Oz’Brasil, la face cachée de Rock Oz’Arènes». C’est avec ce titre que 24 heures annonçait le lancement d’un «projet d’aide aux enfants défavorisés» lancé par Rock Oz’Arènes, en 2016.
Dans cet article, on apprenait que l’ancienne directrice du Festival avenchois, Charlotte Carrel, avait visité cet orphelinat situé dans une banlieue pauvre de Salvador de Bahia, pour lequel travaille Luisa D, «épouse de l’un des membres fondateurs de Rock Oz’Arènes». Dès son retour en Suisse, Charlotte Carrel «décide de créer Rock Oz’Brasil, en association avec Luisa D.» écrit le quotidien, avant de préciser: «Charlotte Carrel compte sur la générosité des festivaliers, invités à offrir le montant de leur choix au moment de l’achat de leur billet. Mais la directrice mise aussi sur le bénévolat, puisqu’elle propose à tous les jeunes Suisses motivés de se rendre à Salvador de Bahia pour bâtir de leurs propres mains le nouvel orphelinat.»
«Bien sûr, nous reverserons les fonds récoltés par le festival à l’orphelinat», ajoute alors l’ex-directrice, qui ne peut cependant pas en préciser le montant.
Sur la page dédiée à l’association – désormais remplacée par une page d'erreur – l’équipe de Rock Oz’Brasil nommait l’époux de Luisa D., que nous appellerons Patrick*, vice-président et directeur technique de l’ONG dans son organigramme. Il y était également question de dons et de voyage sur place.
La face cachée de Rock Oz’Brasil
«Lorsque j’ai lu l’article de 24 heures, mon sang n’a fait qu’un tour», explique Stéphane* autour d’un café non loin de la gare d’Yverdon. Car dans ce texte, on apprend que le co-directeur de cet orphelinat brésilien est un expatrié suisse qui aurait abusé de lui dans son enfance.
Les faits narrés par Stéphane remontent à l’été 1984. A ce moment-là, le jeune garçon alors âgé de 12 ans se promène à bicyclette dans son quartier. Il raconte: «Une voiture s’arrête à mes côtés, c’est Patrick au volant. Il me propose de monter avec lui et de conduire sa voiture. J’ignorais que j’allais être victime d’agressions sexuelles sur un petit chemin entre Domdidier et St-Aubin, assis au volant de sa voiture. Je suis resté stupéfait, choqué et j’ai sombré dans le silence. Je suis devenu victime.» Selon Stéphane, d’autres enfants auraient été la cible des mêmes agissements de la part de Patrick, alors responsable du mouvement scout de la région.
S’en suivent des années de silence et de mal-être intérieur pour Stéphane, qui suit une thérapie et fait de l’hypnose pour se débarrasser du «mal très profond» qui l’habite.
«On fait entrer le loup dans la bergerie»
Lorsque Stéphane découvre le nom de son agresseur présumé à la tête d’un orphelinat brésilien dans la presse, c’est la panique. «Je ne vais pas bien à la suite de la lecture de cette information, explique Stéphane, je ressens du dégoût.» Il s’adresse alors à l’auteure du papier, mais également au centre d’aide aux victimes d’infractions (LAVI) de Fribourg.
«Ne croyez-vous pas qu’à notre époque, il y a des questions essentielles à poser concernant les vérifications d’usage avant de confier des tâches avec des enfants défavorisés, violentés et abandonnés à un homme qui a lui-même un passé d’abuseur? Avant de lui confier des jeunes enfants ou adolescents Suisses?», interroge Stéphane, qui se sent la force de sortir du silence, «pour ne pas que ça ne serve à rien». Pour lui, ce projet propose purement et simplement de «faire entrer le loup dans la bergerie».
30.03.202500:37
25.03.2025 USA : Un policier de l'Etat du Kansas a découvert, lors d'un contrôle suite à une infraction routière, qu’un homme à bord du véhicule était recherché depuis plus d’un mois dans un autre État américain pour l'enlèvement d'une fillette de 6 ans. L'enfant kidnappée se trouvait sur la banquette arrière et a pu être sauvée.
Dimanche 23 mars, un policier a arrêté une voiture qui venait de commettre une infraction au Code de la route, au Kansas. À bord du véhicule, deux hommes âgés d’une soixantaine d’années et une enfant, installée sur la banquette arrière.
Lors de son contrôle, le policier procède à des vérifications et découvre qu’un des deux hommes, le passager, est recherché dans un autre État pour avoir enlevé une fillette âgée de 6 ans, un mois plus tôt, . Le conducteur, lui, « avait un passé criminel, dont un homicide et de nombreuses infractions liées à l’utilisation d’armes à feu », précisent les autorités sur Facebook ce 23 mars.
La fillette a d’abord donné un faux nom et une fausse date de naissance au policier « dans le but d’empêcher l’arrestation de l’adulte », indique la Kansas Highway Patrol dans son message, ajoutant que le policier « a su la calmer et l’amener à révéler son vrai nom ».
Les deux hommes ont rapidement été maîtrisés par le policier et un adjoint du bureau du shérif local, et ont été placés en garde à vue. La fillette a été sortie du véhicule en toute sécurité, ajoute la police qui ne souhaite pas communiquer davantage sur cette affaire « afin de protéger l’identité de la victime » et « l’intégrité de l’enquête en cours
Source 1
Source 2
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Dimanche 23 mars, un policier a arrêté une voiture qui venait de commettre une infraction au Code de la route, au Kansas. À bord du véhicule, deux hommes âgés d’une soixantaine d’années et une enfant, installée sur la banquette arrière.
Lors de son contrôle, le policier procède à des vérifications et découvre qu’un des deux hommes, le passager, est recherché dans un autre État pour avoir enlevé une fillette âgée de 6 ans, un mois plus tôt, . Le conducteur, lui, « avait un passé criminel, dont un homicide et de nombreuses infractions liées à l’utilisation d’armes à feu », précisent les autorités sur Facebook ce 23 mars.
La fillette a d’abord donné un faux nom et une fausse date de naissance au policier « dans le but d’empêcher l’arrestation de l’adulte », indique la Kansas Highway Patrol dans son message, ajoutant que le policier « a su la calmer et l’amener à révéler son vrai nom ».
Les deux hommes ont rapidement été maîtrisés par le policier et un adjoint du bureau du shérif local, et ont été placés en garde à vue. La fillette a été sortie du véhicule en toute sécurité, ajoute la police qui ne souhaite pas communiquer davantage sur cette affaire « afin de protéger l’identité de la victime » et « l’intégrité de l’enquête en cours
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24.03.202523:36
23.03.2025 Meurthe-et-Moselle + Meuse + Gard - France : Denis A. et Brice M, jugés pour viols incestueux et proxénétisme devant la cour d’appel de Nancy. Ce réseau pédocriminel impliquait deux autres adultes qui n'ont pas fait appel. L'une des adultes est une "mère" qui a accepté ses 10 ans de prison et l'autre ordure est un père indigne qui s'est suicidé en détention préventive.
Ce procès en appel durera sept jours et a débuté ce lundi 24 mars 2025 à Nancy.
De 2016 à 2019, quatre adultes ont fait subir l’horreur à six enfants, âgés de 5 à 17 ans à l’époque. Parmi les victimes, trois filles et un garçon d’une même fratrie meusienne. Un premier procès s’est tenu en octobre 2023. Sur les trois accusés, tous reconnus coupables en première instance, deux ont fait appel. Deux hommes, condamnés à 20 ans de réclusion pour viols, agressions sexuelles sur mineurs de moins de quinze ans, corruption de mineurs et diffusion d'images pédopornographiques, sont rejugés à compter du lundi 24 mars 2025 au matin, à Nancy.
Rappel des faits
Agressions sexuelles, viols incestueux, dont certains en réunion, prostitution de mineurs… Révélés en 2019 grâce à une cyber-enquête, les sévices ont débuté trois ans plus tôt dans la Meuse, en Moselle et dans le Gard. Un procès s’ouvre le 9 octobre 2023 devant les assises de la Meuse, à Bar-le-Duc. Deux hommes, parmi lesquels un Mosellan, et une femme, l’ancienne compagne de l’un d’entre eux, comparaissent à huis clos pour des faits découverts en 2019. Ils sont notamment accusés de viols aggravés et de prostitution sur leurs propres enfants. C’est le procès de l’horreur. L'expression est faible tant les faits reprochés sont sordides.
Le 18 octobre 2023 à Bar-le-Duc, le verdict tombe et les trois accusés sont reconnus coupables. Conformément aux réquisitions, les deux hommes écopent de 20 ans de réclusion criminelle chacun. La femme, quant à elle, est condamnée à 10 ans d'emprisonnement et se voit déchue de son l’autorité parentale. Les deux hommes décident de faire appel. "Une peine doit être prononcée au regard de la gravité des faits. Les faits sont graves, ce n'est pas contesté, mais nous trouvons que la juridiction n'a pas assez tenu compte de la personnalité de mon client et de son évolution depuis qu'il était placé en détention provisoire", estime l'avocat de Brice M., Maître Christophe Hechinger, ce lundi 24 mars 2025.
De leur côté, les victimes, traumatisées, espèrent une condamnation équivalente au premier procès. "Les deux accusés ont écopé de la peine maximale dans ce type d’affaire. Ils sont donc dans une situation où ils ne risquent rien à essayer de faire appel. Cela est vécu difficilement par les parties civiles mais elles étaient préparées à cette éventualité. Les victimes vont mal, elles sont très marquées par ce qu'elles ont vécu et cela ravive leur traumatisme. Vu l’horreur des faits, nous espérons la confirmation du jugement de première instance", rapporte Maître Xavier Nodée.
Un quatrième homme, le père de la fratrie de la Meuse, suspecté d’avoir violé trois de ses enfants, de les avoir contraints à avoir des rapports sexuels entre eux et de les avoir prostitués, s’est suicidé pendant sa détention provisoire. "Les victimes regrettent ce geste, car elles n’auront jamais de réponse de sa part", précise Me Xavier Nodée, l'avocat de sept des parties civiles.
Le procès en appel s’achèvera après sept jours de débats en présence de neuf jurés de la société civile et trois magistrats. Durant la semaine, une cinquantaine de questions seront abordées. Les plaidoiries débuteront vendredi après-midi, avant la délibération, prévue le 1er avril 2025 à Nancy.
Source
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Ce procès en appel durera sept jours et a débuté ce lundi 24 mars 2025 à Nancy.
De 2016 à 2019, quatre adultes ont fait subir l’horreur à six enfants, âgés de 5 à 17 ans à l’époque. Parmi les victimes, trois filles et un garçon d’une même fratrie meusienne. Un premier procès s’est tenu en octobre 2023. Sur les trois accusés, tous reconnus coupables en première instance, deux ont fait appel. Deux hommes, condamnés à 20 ans de réclusion pour viols, agressions sexuelles sur mineurs de moins de quinze ans, corruption de mineurs et diffusion d'images pédopornographiques, sont rejugés à compter du lundi 24 mars 2025 au matin, à Nancy.
Rappel des faits
Agressions sexuelles, viols incestueux, dont certains en réunion, prostitution de mineurs… Révélés en 2019 grâce à une cyber-enquête, les sévices ont débuté trois ans plus tôt dans la Meuse, en Moselle et dans le Gard. Un procès s’ouvre le 9 octobre 2023 devant les assises de la Meuse, à Bar-le-Duc. Deux hommes, parmi lesquels un Mosellan, et une femme, l’ancienne compagne de l’un d’entre eux, comparaissent à huis clos pour des faits découverts en 2019. Ils sont notamment accusés de viols aggravés et de prostitution sur leurs propres enfants. C’est le procès de l’horreur. L'expression est faible tant les faits reprochés sont sordides.
Le 18 octobre 2023 à Bar-le-Duc, le verdict tombe et les trois accusés sont reconnus coupables. Conformément aux réquisitions, les deux hommes écopent de 20 ans de réclusion criminelle chacun. La femme, quant à elle, est condamnée à 10 ans d'emprisonnement et se voit déchue de son l’autorité parentale. Les deux hommes décident de faire appel. "Une peine doit être prononcée au regard de la gravité des faits. Les faits sont graves, ce n'est pas contesté, mais nous trouvons que la juridiction n'a pas assez tenu compte de la personnalité de mon client et de son évolution depuis qu'il était placé en détention provisoire", estime l'avocat de Brice M., Maître Christophe Hechinger, ce lundi 24 mars 2025.
De leur côté, les victimes, traumatisées, espèrent une condamnation équivalente au premier procès. "Les deux accusés ont écopé de la peine maximale dans ce type d’affaire. Ils sont donc dans une situation où ils ne risquent rien à essayer de faire appel. Cela est vécu difficilement par les parties civiles mais elles étaient préparées à cette éventualité. Les victimes vont mal, elles sont très marquées par ce qu'elles ont vécu et cela ravive leur traumatisme. Vu l’horreur des faits, nous espérons la confirmation du jugement de première instance", rapporte Maître Xavier Nodée.
Un quatrième homme, le père de la fratrie de la Meuse, suspecté d’avoir violé trois de ses enfants, de les avoir contraints à avoir des rapports sexuels entre eux et de les avoir prostitués, s’est suicidé pendant sa détention provisoire. "Les victimes regrettent ce geste, car elles n’auront jamais de réponse de sa part", précise Me Xavier Nodée, l'avocat de sept des parties civiles.
Le procès en appel s’achèvera après sept jours de débats en présence de neuf jurés de la société civile et trois magistrats. Durant la semaine, une cinquantaine de questions seront abordées. Les plaidoiries débuteront vendredi après-midi, avant la délibération, prévue le 1er avril 2025 à Nancy.
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25.03.202501:05
L'ex-compagnon de Mélanie a tué leur fille de 21 mois avant de se suicider - Ça commence aujourd'hui
Extrait de « Infanticides : c'est pour se venger que leur ex-compagnon a tué leur enfant » diffusée le 24/03/2025 à 13h50 sur France 2.
Durée : 17 mn
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24.03.202514:29
24.03.2025 Dordogne - France : Les corps d’une femme et de sa fille de 13 ans ont été découverts à leur domicile de Limeyrat, un petit village. Un homme de âgé d’une quarantaine d’années a été interpellé. Il s’agit de l’ex-compagnon de la victime. Voici ce que l’on sait.
Que s’est-il passé dans le petit village de Limeyrat (Dordogne) ? Les gendarmes ont découvert les corps sans vie d’une femme de 38 ans et de sa fille de 13 ans, à leur domicile, lundi 24 mars au petit matin. Un homme, l’ancien compagnon de la mère, a été interpellé sur place. La brigade de recherche de Périgueux est chargée de l’enquête.
Tuées par arme blanche
Selon les premiers éléments, les deux victimes ont été tuées par arme blanche. Leurs corps ont été découverts par les gendarmes à 4 heures lundi matin, relate France Bleu Périgord. Les faits se sont produits en plein centre du village de 430 habitants, à une cinquantaine de mètres de l’école, dans la maison d’un quartier HLM.
L’ex-compagnon arrêté
Sur place, les forces de l’ordre ont interpellé un homme de 41 ans. Celui-ci est présenté par nos confrères, comme l’ex-compagnon de la mère.
L’adolescente scolarisée au collège
La jeune fille était scolarisée en classe de 3e à Thenon, à une dizaine de kilomètres de son domicile. Elle et sa mère, s’étaient installées dans la commune depuis environ cinq ans.
Source
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Que s’est-il passé dans le petit village de Limeyrat (Dordogne) ? Les gendarmes ont découvert les corps sans vie d’une femme de 38 ans et de sa fille de 13 ans, à leur domicile, lundi 24 mars au petit matin. Un homme, l’ancien compagnon de la mère, a été interpellé sur place. La brigade de recherche de Périgueux est chargée de l’enquête.
Tuées par arme blanche
Selon les premiers éléments, les deux victimes ont été tuées par arme blanche. Leurs corps ont été découverts par les gendarmes à 4 heures lundi matin, relate France Bleu Périgord. Les faits se sont produits en plein centre du village de 430 habitants, à une cinquantaine de mètres de l’école, dans la maison d’un quartier HLM.
L’ex-compagnon arrêté
Sur place, les forces de l’ordre ont interpellé un homme de 41 ans. Celui-ci est présenté par nos confrères, comme l’ex-compagnon de la mère.
L’adolescente scolarisée au collège
La jeune fille était scolarisée en classe de 3e à Thenon, à une dizaine de kilomètres de son domicile. Elle et sa mère, s’étaient installées dans la commune depuis environ cinq ans.
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01.04.202520:26
Plateforme Coabuse : Vous avez été abusé(e) sexuellement, enfant ou adulte,
Vous voulez savoir si d'autres ont souffert du même agresseur pour pouvoir dialoguer.
Cette plateforme peut vous permettre de retrouver d'autres victimes en toute simplicité.
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25.03.202514:49
"Et on part du principe que si on n'arrive pas à répondre aux questions que la défense pose, on ne peut répondre aux questions sur la culpabilité."
Me Jean-François Renaudie
Le rôle du père, séparé de la mère des deux fillettes et absent depuis plusieurs années au moment de la disparition, a été questionné en ce premier jour d'audience. "Un monsieur qui, à un moment donné, a baissé les bras, à cause de la violence de Madame Ben Allam mais aussi parce que c'était compliqué, avec ses conditions financières d'assumer deux enfants handicapées en droit de visite dans un studio", estime son avocate Me Sylvie Brussiau.
"Aujourd'hui, il est là en tant que partie civile, car il est persuadé qu'elle a tué ses deux petites filles."
Me Sylvie Brussiau, avocate du père d'Inès et Nawal
"A mon avis, elles ont dû mourir de faim, de maltraitance ou de manque de soin. Mais comment une femme peut-elle faire disparaître deux enfants toute seule ?"
Annie Gourgue, association La Mouette
Naïma Ben Allam répondra-t-elle aux questions qui restent encore en suspens ? L'accusée a été condamnée pour des faits commis entre le 6 décembre 2016 et le 6 juin 2017. Un période de six mois, révélatrice des nombreuses zones d'ombre qui planent toujours dans cette affaire.
Source
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Me Jean-François Renaudie
Le rôle du père, séparé de la mère des deux fillettes et absent depuis plusieurs années au moment de la disparition, a été questionné en ce premier jour d'audience. "Un monsieur qui, à un moment donné, a baissé les bras, à cause de la violence de Madame Ben Allam mais aussi parce que c'était compliqué, avec ses conditions financières d'assumer deux enfants handicapées en droit de visite dans un studio", estime son avocate Me Sylvie Brussiau.
"Aujourd'hui, il est là en tant que partie civile, car il est persuadé qu'elle a tué ses deux petites filles."
Me Sylvie Brussiau, avocate du père d'Inès et Nawal
"A mon avis, elles ont dû mourir de faim, de maltraitance ou de manque de soin. Mais comment une femme peut-elle faire disparaître deux enfants toute seule ?"
Annie Gourgue, association La Mouette
Naïma Ben Allam répondra-t-elle aux questions qui restent encore en suspens ? L'accusée a été condamnée pour des faits commis entre le 6 décembre 2016 et le 6 juin 2017. Un période de six mois, révélatrice des nombreuses zones d'ombre qui planent toujours dans cette affaire.
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25.03.202523:37
⚠️ Communiqué émis le 24 mars 2025 par la Police Nationale française
#Protéger | Sur TikTok, des comptes partagent des photos suggestives de mineurs, identifiés par l’émoji “pizza”. Si vous êtes témoin de ce genre de profils, signalez les sur #PHAROS : http://internet-signalement.gouv.fr
Communiqué publié sur Twitter par la Police Nationale à liker et partager
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Communiqué publié sur Twitter par la Police Nationale à liker et partager
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26.03.202502:27
⚠️ ATTAL ET RETAILLEAU PRÉPARENT LE PIRE POUR NOS ENFANTS: CE QUE CACHE LEUR PROJET EXPLOSIF
#France
Décryptage publié le 25 mars 2025 par la chaîne YouTube "Le Média"
Durée : 13 mn (le reste de la vidéo est consacrée à d'autres thèmes)
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#France
Décryptage publié le 25 mars 2025 par la chaîne YouTube "Le Média"
Durée : 13 mn (le reste de la vidéo est consacrée à d'autres thèmes)
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30.03.202502:10
Sa fille et son fils, qui vit à Londres mais a tenu à être présent, font bloc derrière lui. « Une alliance surprenante », relève Cécile de Oliveira. Elle relie la « loyauté sans faille des enfants à leurs parents » à « l’arrachement dont ils ont été victimes lors du rapatriement ». Déclaré coupable de soustraction et de proxénétisme, le père de famille a été condamné à quatre ans de prison, dont deux années assorties d’un sursis probatoire. Il est désormais inscrit au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles. Le tribunal a condamné son ex-femme à un an de prison avec sursis. Des peines conformes aux réquisitions du procureur.
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29.03.202515:24
Voici une des TRES nombreuses affaires de pédocriminalité sur laquelle la fachosphère/complosphère ( ça se confond facilement ...) glissera dessus comme chat sur braises. Pourquoi ? Car elle ne vend pas leur agenda de la haine et de l'exclusion. Les pédocriminels sont absolument partout. Point, barre.
25.03.2025 Var - France : Cédric S., un militaire de 44 ans résidant à Sillans-la-Cascade, a été condamné à huit ans de prison pour avoir proposé sur internet des relations sexuelles contre rémunération avec trois de ses filles âgées de 2, 3 et 9 ans entre juillet 2020 et août 2021. Il enregistrait, détenait et transmettait également des images pédopornographiques (7000 images dont 25 avec ses filles)
Le tribunal correctionnel de Draguignan a suivi à la lettre la semaine dernière les réquisitions de la procureure Mathilde Gauvain en condamnant Cédric S. à huit ans d’emprisonnement avec mandat de dépôt, puis à l’issue six ans de suivi socio-judiciaire. Le retrait total de l’autorité parentale sur ses six enfants a également été prononcé.
Malgré les soupçons des enquêteurs et l’ouverture d’une information judiciaire en ce sens, aucun viol n’a pu être caractérisé durant l’instruction. Viols et tentatives de viol que Cédric S. a toujours nié par ailleurs.
« Caresses sexuelles »
Dès le début des investigations en revanche, il n’a pu que reconnaître les faits d’agressions sexuelles sur ses enfants.
Au matin du 26 août 2021, son épouse profitait de son absence pour jeter un oeil dans son téléphone portable. Elle y découvrait une photo prise la veille au soir de sa fille de 9 ans et de son mari, nus dans la cabine de douche. Cédric S. avait le sexe en érection posé sur les fesses de sa fille…
Selon l’enfant, ce n’était pas la première fois que son père agissait de la sorte. Des dires confirmés par sa soeur cadette qui, du haut de ses trois ans, affirmait que Cédric lui avait «fait ça dans le cucul et la foufoune », tout en mimant des faits de pénétrations digitales.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants.
En garde à vue, Cédric S. reconnaissait des « caresses sexuelles », ayant conscience du caractère « interdit » et « monstrueux » de ses actes. Il expliquait alors son comportement déviant par une relation sentimentale et sexuelle compliquée avec son épouse depuis de nombreuses années. Version qu’il n’a pas réitérée à l’audience, évoquant plutôt une sévère dépression tout en rejetant le qualificatif de pédophile.
Ses filles « en vente » sur Whatsapp
Les expertises de ses différents matériels informatiques ont pourtant mis en évidence la détention et la transmission d’images et vidéos à caractère pédopornographique. « Des conneries » auxquelles Cédric S. s’adonnait quand il était malheureux… Il prenait alors ses filles en photos, nues, dans des poses suggestives. L’une d’elles montrait la langue de Cédric S. à proximité du sexe de sa plus jeune. Au total, Cédric S. détenait quelque 7 000 images et vidéos pédopornographique d’autres mineurs dont certaines mettaient en scène des viols.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants. Des images que le père de famille n’hésitait pas à transférer et échanger sur des sites de tchat. Durant une conversation avec un certain « laurentdu40 », il confiait avoir déjà eu des relations sexuelles avec elles. À d’autres, via Whatsapp et photos à l’appui, il proposait des relations sexuelles avec ses filles contre rémunération. Des offres qui, heureusement, n’ont pas été suivies d’effet.
Lors de ses réquisitions, le ministère public a notamment insisté sur le préjudice à long terme pour les parties civiles dont des photos d’elles «nues et abusées » circulent toujours sur les réseaux « et font le bonheur (sic) des pédocriminels ».
Arrivé libre à l’audience après trois ans de détention provisoire, Cédric S. a quitté la salle menotte aux poignets.
Source
Merci d'avance pour votre coup de main
➡️ https://t.me/pedocriminalite
25.03.2025 Var - France : Cédric S., un militaire de 44 ans résidant à Sillans-la-Cascade, a été condamné à huit ans de prison pour avoir proposé sur internet des relations sexuelles contre rémunération avec trois de ses filles âgées de 2, 3 et 9 ans entre juillet 2020 et août 2021. Il enregistrait, détenait et transmettait également des images pédopornographiques (7000 images dont 25 avec ses filles)
Le tribunal correctionnel de Draguignan a suivi à la lettre la semaine dernière les réquisitions de la procureure Mathilde Gauvain en condamnant Cédric S. à huit ans d’emprisonnement avec mandat de dépôt, puis à l’issue six ans de suivi socio-judiciaire. Le retrait total de l’autorité parentale sur ses six enfants a également été prononcé.
Malgré les soupçons des enquêteurs et l’ouverture d’une information judiciaire en ce sens, aucun viol n’a pu être caractérisé durant l’instruction. Viols et tentatives de viol que Cédric S. a toujours nié par ailleurs.
« Caresses sexuelles »
Dès le début des investigations en revanche, il n’a pu que reconnaître les faits d’agressions sexuelles sur ses enfants.
Au matin du 26 août 2021, son épouse profitait de son absence pour jeter un oeil dans son téléphone portable. Elle y découvrait une photo prise la veille au soir de sa fille de 9 ans et de son mari, nus dans la cabine de douche. Cédric S. avait le sexe en érection posé sur les fesses de sa fille…
Selon l’enfant, ce n’était pas la première fois que son père agissait de la sorte. Des dires confirmés par sa soeur cadette qui, du haut de ses trois ans, affirmait que Cédric lui avait «fait ça dans le cucul et la foufoune », tout en mimant des faits de pénétrations digitales.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants.
En garde à vue, Cédric S. reconnaissait des « caresses sexuelles », ayant conscience du caractère « interdit » et « monstrueux » de ses actes. Il expliquait alors son comportement déviant par une relation sentimentale et sexuelle compliquée avec son épouse depuis de nombreuses années. Version qu’il n’a pas réitérée à l’audience, évoquant plutôt une sévère dépression tout en rejetant le qualificatif de pédophile.
Ses filles « en vente » sur Whatsapp
Les expertises de ses différents matériels informatiques ont pourtant mis en évidence la détention et la transmission d’images et vidéos à caractère pédopornographique. « Des conneries » auxquelles Cédric S. s’adonnait quand il était malheureux… Il prenait alors ses filles en photos, nues, dans des poses suggestives. L’une d’elles montrait la langue de Cédric S. à proximité du sexe de sa plus jeune. Au total, Cédric S. détenait quelque 7 000 images et vidéos pédopornographique d’autres mineurs dont certaines mettaient en scène des viols.
Vingt-cinq photographies et une vidéo le représentaient avec ses propres enfants. Des images que le père de famille n’hésitait pas à transférer et échanger sur des sites de tchat. Durant une conversation avec un certain « laurentdu40 », il confiait avoir déjà eu des relations sexuelles avec elles. À d’autres, via Whatsapp et photos à l’appui, il proposait des relations sexuelles avec ses filles contre rémunération. Des offres qui, heureusement, n’ont pas été suivies d’effet.
Lors de ses réquisitions, le ministère public a notamment insisté sur le préjudice à long terme pour les parties civiles dont des photos d’elles «nues et abusées » circulent toujours sur les réseaux « et font le bonheur (sic) des pédocriminels ».
Arrivé libre à l’audience après trois ans de détention provisoire, Cédric S. a quitté la salle menotte aux poignets.
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25.03.202501:31
Les 2 enfants de Séverine ont été tués par son mari - Ça commence aujourd'hui
Extrait de « Infanticides : c'est pour se venger que leur ex-compagnon a tué leur enfant » diffusée le 24/03/2025 à 13h50 sur France 2.
Durée : 11 mn
Merci d'avance pour votre coup de main
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30.03.202502:10
Réseau pédocriminel impliquant des ministres à Madagascar. Libres et impunis.
18.03.2025 Loire-Atlantique - France + Madagascar : Sa fille mineure se prostituait à Madagascar pour aider la famille. Parmi ses clients : deux ministres malgaches. Le père condamné à 2 ans de prison ferme.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédocriminel au niveau d’un État », mais....
Les faits s’étaient déroulés à Madagascar entre 2010 et 2012. L’homme a été condamné à 4 ans de prison dont deux avec sursis pour proxénétisme, mercredi, à Nantes. Son ex-femme comparaissait à ses côtés pour soustraction à ses obligations. Elle a été condamnée à un an de prison avec sursis.
Les mains dans les poches de son blouson, trois chaînes en argent autour du cou, elle lance : « Madagascar, ce n’est pas la France, les gens sont solidaires. Si c’était à refaire, je recommencerais ! » À la barre du tribunal correctionnel de Nantes, mercredi, c’est une femme de 27 ans, mère de quatre enfants, qui s’exprime.
Entre 2010 et 2012, c’était une enfant quand elle s’est prostituée pour subvenir aux besoins de sa famille, installée à Madagascar depuis 2006. « Personne ne m’a forcée et je n’ai jamais eu de violence, tout se passait bien, c’était toujours protégé », poursuit- elle. Les clients, une dizaine d’hommes, dont deux ministres, appartenaient au gratin de la société malgache. Ils pouvaient donner 1 000 € ou offrir un scooter.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur de la jeune femme, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédophile au niveau d’un État ». Quinze ans plus tard, la pénaliste ne cache pas sa « frustration ». « L’incapacité d’une commission rogatoire internationale », conjuguée à la succession de sept magistrats instructeurs sur le dossier, a dilapidé les chances de remonter jusqu’aux clients.
Ce sont finalement les parents, divorcés depuis plusieurs années, qui comparaissent. La mère, 55 ans, est jugée pour soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation. Le père, 60 ans, casier vierge également, doit répondre de la même infraction, ainsi que du délit de proxénétisme aggravé par son statut d’ascendant sur la victime. « Monsieur n’a pas vu, ou plutôt n’a pas voulu voir », pointe le procureur, Yvon Ollivier.
Les faits se sont déroulés dans un contexte de faillite. En 2010, le père, conducteur de travaux, perd son emploi. La contestation de ce licenciement entraîne des menaces de son ancien patron et des dégradations au domicile de la famille, installée à Tamatave, une ville côtière à l’est de l’île. Endettés, les parents se mettent à boire et délaissent l’éducation des enfants. En 2011, ils manquent 49 demi-journées d’école. « Je n’ai pas été présente, j’ai manqué à tout », reconnaît la mère, la voix nouée. Informé de la situation, le consulat ordonne le rapatriement, avant de se raviser, une version de la famille que le procureur ne croit pas.
Les enfants finissent par être rapatriés à tour de rôle en 2011 et 2012, puis placés en Loire-Atlantique et en Ille- et-Vilaine. Les révélations de la fille aînée, la seule à avoir coupé les ponts, entraînent un signalement au parquet de Nantes, puis l’ouverture d’une information judiciaire.
« Une alliance surprenante »
Le père reconnaît la soustraction, mais pas le proxénétisme. Quand bien même la note de l’hôtel dans lequel la famille était un temps réfugiée, était réglée par un homme de 32 ans partageant la chambre de sa fille. « D’où croyez-vous que l’argent ramené provenait ? » questionne la présidente. « La pitié, la générosité, l’amitié », liste l’homme, qui concède uniquement avoir eu des « soupçons ».
18.03.2025 Loire-Atlantique - France + Madagascar : Sa fille mineure se prostituait à Madagascar pour aider la famille. Parmi ses clients : deux ministres malgaches. Le père condamné à 2 ans de prison ferme.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédocriminel au niveau d’un État », mais....
Les faits s’étaient déroulés à Madagascar entre 2010 et 2012. L’homme a été condamné à 4 ans de prison dont deux avec sursis pour proxénétisme, mercredi, à Nantes. Son ex-femme comparaissait à ses côtés pour soustraction à ses obligations. Elle a été condamnée à un an de prison avec sursis.
Les mains dans les poches de son blouson, trois chaînes en argent autour du cou, elle lance : « Madagascar, ce n’est pas la France, les gens sont solidaires. Si c’était à refaire, je recommencerais ! » À la barre du tribunal correctionnel de Nantes, mercredi, c’est une femme de 27 ans, mère de quatre enfants, qui s’exprime.
Entre 2010 et 2012, c’était une enfant quand elle s’est prostituée pour subvenir aux besoins de sa famille, installée à Madagascar depuis 2006. « Personne ne m’a forcée et je n’ai jamais eu de violence, tout se passait bien, c’était toujours protégé », poursuit- elle. Les clients, une dizaine d’hommes, dont deux ministres, appartenaient au gratin de la société malgache. Ils pouvaient donner 1 000 € ou offrir un scooter.
Quand elle a ouvert « ce dossier donnant le vertige », en 2013, Cécile de Oliveira, avocate de la soeur de la jeune femme, espérait que l’enquête déboucherait sur le démantèlement d’un « réseau pédophile au niveau d’un État ». Quinze ans plus tard, la pénaliste ne cache pas sa « frustration ». « L’incapacité d’une commission rogatoire internationale », conjuguée à la succession de sept magistrats instructeurs sur le dossier, a dilapidé les chances de remonter jusqu’aux clients.
Ce sont finalement les parents, divorcés depuis plusieurs années, qui comparaissent. La mère, 55 ans, est jugée pour soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation. Le père, 60 ans, casier vierge également, doit répondre de la même infraction, ainsi que du délit de proxénétisme aggravé par son statut d’ascendant sur la victime. « Monsieur n’a pas vu, ou plutôt n’a pas voulu voir », pointe le procureur, Yvon Ollivier.
Les faits se sont déroulés dans un contexte de faillite. En 2010, le père, conducteur de travaux, perd son emploi. La contestation de ce licenciement entraîne des menaces de son ancien patron et des dégradations au domicile de la famille, installée à Tamatave, une ville côtière à l’est de l’île. Endettés, les parents se mettent à boire et délaissent l’éducation des enfants. En 2011, ils manquent 49 demi-journées d’école. « Je n’ai pas été présente, j’ai manqué à tout », reconnaît la mère, la voix nouée. Informé de la situation, le consulat ordonne le rapatriement, avant de se raviser, une version de la famille que le procureur ne croit pas.
Les enfants finissent par être rapatriés à tour de rôle en 2011 et 2012, puis placés en Loire-Atlantique et en Ille- et-Vilaine. Les révélations de la fille aînée, la seule à avoir coupé les ponts, entraînent un signalement au parquet de Nantes, puis l’ouverture d’une information judiciaire.
« Une alliance surprenante »
Le père reconnaît la soustraction, mais pas le proxénétisme. Quand bien même la note de l’hôtel dans lequel la famille était un temps réfugiée, était réglée par un homme de 32 ans partageant la chambre de sa fille. « D’où croyez-vous que l’argent ramené provenait ? » questionne la présidente. « La pitié, la générosité, l’amitié », liste l’homme, qui concède uniquement avoir eu des « soupçons ».
30.03.202502:04
26.03.2025 Ohio - USA : Ce lundi 24 mars 2025, Keimani Latigue, une adolescente de 13 ans qui avait signalée disparue le 18 mars 2025, a été retrouvée morte à Toledo après avoir été violée et démembrée dans une maison laissée à l'abandon. Son père, Darnell Jones, connu aussi comme Darnell Ogletree, 33 ans, a été mis en examen pour son enlèvement, viol et meurtre
Selon les déclarations initiales de son père, il avait passé la nuit avec sa fille après qu'elle lui ait signalé des inquiétudes concernant une tentative d'effraction à la maison de sa grand-mère où elle vivait. Cependant, son comportement et ses déclarations incohérentes ont rapidement éveillé les soupçons des enquêteurs.
Le corps de Keimani a été retrouvé le 24 mars dans une maison abandonnée sur Miami Street à Toledo. Les résultats de l'autopsie ont révélé une scène d'une violence extrême : elle avait été violée, mutilée (ses mains coupées), presque décapitée, et était décédée des suites de multiples blessures incisées au cou.
Darnell Jones avait fui Toledo pour Columbus après avoir été identifié comme principal suspect. Un mandat d'arrêt pour enlèvement avait été émis contre lui le 23 mars, suivi d'un mandat pour meurtre après la découverte du corps de Keimani.
Les autorités ont localisé Jones dans le quartier Victorian Village de Columbus grâce à une surveillance intensive. Lorsqu'il a été confronté par une équipe SWAT le 25 mars, Jones a ouvert le feu sur les officiers avant d'être blessé par balle. Il a été transporté à l'hôpital dans un état stable et fait désormais face à des accusations supplémentaires, notamment pour l'agression d'un officier.
Un passé criminel
Jones n'était pas étranger aux autorités. Des documents judiciaires montrent qu'il avait un casier judiciaire incluant des accusations liées aux armes et des incidents antérieurs avec la police à Columbus. Les enquêteurs continuent d'examiner les circonstances entourant ce crime atroce.
Source 1
Source 2
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Selon les déclarations initiales de son père, il avait passé la nuit avec sa fille après qu'elle lui ait signalé des inquiétudes concernant une tentative d'effraction à la maison de sa grand-mère où elle vivait. Cependant, son comportement et ses déclarations incohérentes ont rapidement éveillé les soupçons des enquêteurs.
Le corps de Keimani a été retrouvé le 24 mars dans une maison abandonnée sur Miami Street à Toledo. Les résultats de l'autopsie ont révélé une scène d'une violence extrême : elle avait été violée, mutilée (ses mains coupées), presque décapitée, et était décédée des suites de multiples blessures incisées au cou.
Darnell Jones avait fui Toledo pour Columbus après avoir été identifié comme principal suspect. Un mandat d'arrêt pour enlèvement avait été émis contre lui le 23 mars, suivi d'un mandat pour meurtre après la découverte du corps de Keimani.
Les autorités ont localisé Jones dans le quartier Victorian Village de Columbus grâce à une surveillance intensive. Lorsqu'il a été confronté par une équipe SWAT le 25 mars, Jones a ouvert le feu sur les officiers avant d'être blessé par balle. Il a été transporté à l'hôpital dans un état stable et fait désormais face à des accusations supplémentaires, notamment pour l'agression d'un officier.
Un passé criminel
Jones n'était pas étranger aux autorités. Des documents judiciaires montrent qu'il avait un casier judiciaire incluant des accusations liées aux armes et des incidents antérieurs avec la police à Columbus. Les enquêteurs continuent d'examiner les circonstances entourant ce crime atroce.
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30.03.202501:00
Car pour les proches de Sabine Dumont, l’ADN est une bouée à laquelle se raccrocher. « L’ADN parlera un jour, j’en suis certain. On fait trop de progrès pour que ça n’aboutisse pas à quelque chose. » Si l’ADN n’a pas encore permis de remonter jusqu’au tueur de Sabine Dumont, il a au moins permis de « fermer des portes ». Un employé de cimetière, Raymond Gouardo, ce père incestueux qui avait séquestré sa fille pendant vingt-sept ans et lui avait fait six enfants, ou encore Robert Black, cet Écossais auteur du viol et du meurtre de trois fillettes au début des années 1980, ont ainsi été définitivement écartés de la liste des suspects pour les meurtres de 1987 grâce aux analyses ADN.
Alors que pendant des années, les investigations étaient menées parallèlement par quatre services enquêteurs différents, la centralisation par le pôle cold cases de Nanterre a permis de joindre les dossiers. Les affaires Dumont et Greedharry ont ainsi été confiées à la juge d’instruction Sabine Khéris tandis que les enquêtes dans les dossiers Delmas et Vigneron sont dirigées par la juge d’instruction Nathalie Turquey. L’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) et l’Unité d’analyse criminelle et comportementale des affaires complexes (UAC3) de la brigade criminelle (la « crim ») ont, quant à eux, été cosaisis.
L’ombre du « Grêlé »
Dans les affaires Delmas et Vigneron, les enquêteurs de la crim ont exploité la piste d’un homme qu’ils connaissent bien : le « Grêlé », cet ancien gendarme et policier qu’ils ont confondu dans une série de viols et de meurtres, dont celui de la petite Cécile Bloch à Paris, en 1986. Sur le point d’être interpellé, en septembre 2021, François Vérove s’est suicidé. Certains éléments pouvaient suggérer son implication dans le meurtre des deux fillettes. Plusieurs témoignages dans l’affaire Delmas évoquent la présence d’un jeune homme d’environ 25 ans avec des bottes de moto et même un casque. Or, à cette époque, François Vérove est motard à la gendarmerie à Paris. Un autre détail pourrait accréditer cette thèse : deux personnes ont affirmé avoir vu Virginie suivre un homme sous la contrainte mais sans pour autant qu’elle ne se débatte. Les investigations sur le Grêlé ont révélé qu’il sortait sa carte de police ou de gendarmerie pour convaincre les jeunes filles de le suivre.
Dans l’affaire Perrine Vigneron, les éléments sont moins évidents. Mais on sait que François Vérove connaissait bien la Seine-et-Marne. C’est à Mitry-Mory qu’il a enlevé Ingrid, une fillette de 10 ans, pour la violer dans une maison abandonnée. Pour autant, la piste du Grêlé reste une piste comme une autre pour la crim qui passe au crible les profils de prédateurs sexuels en action à la même période…
« C’est difficile à gérer »
Pour les familles, ces nouvelles pistes sont autant de montagnes russes émotionnelles. « C’est difficile à gérer, on apprend à le faire avec les années, souffle Gaëlle Dumont. Mais ça peut détruire. » Aujourd’hui, dans chacune de ces enquêtes, les dossiers sont repris depuis le début selon une méthodologie minutieuse. Les témoins de l’époque sont réauditionnés, on traque les éventuels voisins qui n’auraient pas été entendus… Le travail est continu pour les enquêteurs de la crim comme de l’OCRVP. Et parfois poussé par des demandes formulées par les avocats des familles.
Les Dumont comme les Delmas ont fait appel à un cabinet spécialiste des cold cases, celui de l’avocat pénaliste Didier Seban. C’est d’ailleurs avec l’une de ses collaboratrices, Me Marine Allali, que Didier Seban a demandé que soit refouillée la zone où le corps de Virginie Delmas a été retrouvé. « On aimerait que les choses avancent plus vite. Il y a trop peu d’enquêteurs sur ces dossiers », estiment les deux spécialistes. Pour eux, c’est sans doute l’ADN de parentèle — cette technique d’analyse génétique qui permet de relier des ADN de personnes de la même famille — qui permettra d’apporter des réponses. « Le dossier Dumont, c’est la clé pour résoudre un ou plusieurs de ces meurtres… »
Alors que pendant des années, les investigations étaient menées parallèlement par quatre services enquêteurs différents, la centralisation par le pôle cold cases de Nanterre a permis de joindre les dossiers. Les affaires Dumont et Greedharry ont ainsi été confiées à la juge d’instruction Sabine Khéris tandis que les enquêtes dans les dossiers Delmas et Vigneron sont dirigées par la juge d’instruction Nathalie Turquey. L’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP) et l’Unité d’analyse criminelle et comportementale des affaires complexes (UAC3) de la brigade criminelle (la « crim ») ont, quant à eux, été cosaisis.
L’ombre du « Grêlé »
Dans les affaires Delmas et Vigneron, les enquêteurs de la crim ont exploité la piste d’un homme qu’ils connaissent bien : le « Grêlé », cet ancien gendarme et policier qu’ils ont confondu dans une série de viols et de meurtres, dont celui de la petite Cécile Bloch à Paris, en 1986. Sur le point d’être interpellé, en septembre 2021, François Vérove s’est suicidé. Certains éléments pouvaient suggérer son implication dans le meurtre des deux fillettes. Plusieurs témoignages dans l’affaire Delmas évoquent la présence d’un jeune homme d’environ 25 ans avec des bottes de moto et même un casque. Or, à cette époque, François Vérove est motard à la gendarmerie à Paris. Un autre détail pourrait accréditer cette thèse : deux personnes ont affirmé avoir vu Virginie suivre un homme sous la contrainte mais sans pour autant qu’elle ne se débatte. Les investigations sur le Grêlé ont révélé qu’il sortait sa carte de police ou de gendarmerie pour convaincre les jeunes filles de le suivre.
Dans l’affaire Perrine Vigneron, les éléments sont moins évidents. Mais on sait que François Vérove connaissait bien la Seine-et-Marne. C’est à Mitry-Mory qu’il a enlevé Ingrid, une fillette de 10 ans, pour la violer dans une maison abandonnée. Pour autant, la piste du Grêlé reste une piste comme une autre pour la crim qui passe au crible les profils de prédateurs sexuels en action à la même période…
« C’est difficile à gérer »
Pour les familles, ces nouvelles pistes sont autant de montagnes russes émotionnelles. « C’est difficile à gérer, on apprend à le faire avec les années, souffle Gaëlle Dumont. Mais ça peut détruire. » Aujourd’hui, dans chacune de ces enquêtes, les dossiers sont repris depuis le début selon une méthodologie minutieuse. Les témoins de l’époque sont réauditionnés, on traque les éventuels voisins qui n’auraient pas été entendus… Le travail est continu pour les enquêteurs de la crim comme de l’OCRVP. Et parfois poussé par des demandes formulées par les avocats des familles.
Les Dumont comme les Delmas ont fait appel à un cabinet spécialiste des cold cases, celui de l’avocat pénaliste Didier Seban. C’est d’ailleurs avec l’une de ses collaboratrices, Me Marine Allali, que Didier Seban a demandé que soit refouillée la zone où le corps de Virginie Delmas a été retrouvé. « On aimerait que les choses avancent plus vite. Il y a trop peu d’enquêteurs sur ces dossiers », estiment les deux spécialistes. Pour eux, c’est sans doute l’ADN de parentèle — cette technique d’analyse génétique qui permet de relier des ADN de personnes de la même famille — qui permettra d’apporter des réponses. « Le dossier Dumont, c’est la clé pour résoudre un ou plusieurs de ces meurtres… »
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