Мир сегодня с "Юрий Подоляка"
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Николаевский Ванёк
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La Thébaïde avatar
La Thébaïde
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La Thébaïde
« Notre tâche à nous est de nous appuyer sur le bien que Dieu veut afin de diminuer le mal que Dieu permet. Ce qui implique la lucidité et le courage. La première pour discerner le mal et le second pour le combattre. Il ne s’agit pas d’attendre passivement un avenir conforme à nos vœux, mais de le construire par un choix et un effort quotidiens. Le laboureur fait crédit aux bonnes forces de la nature : la vertu des semences, la fécondité de la terre et les pluies du ciel, mais non aux intempéries et aux parasites.
Dieu aura le dernier mot, nous n’en doutons pas. A la fin du monde. Mais ce n’est pas une raison suffisante pour laisser trop souvent, d’ici là, la parole au diable… »

Gustave Thibon
« Nous n'avons pas assez d'esprit surnaturel, et nous ne savons pas voir l'action de Dieu là où elle se trouve. Il en résulte que nous perdons l'occasion de glorifier sa puissance, d'admirer sa bonté. Il n'est cependant pas un instant du jour où nous ne puissions le faire. Tout raconte autour de nous la toute-puissance divine ; le jour qui nous éclaire, la terre qui nous nourrit, la vie qui nous est conservée, devraient nous plonger dans l'admiration et provoquer nos action de grâces. Nous vivons comme si tout cela était l'effet du hasard. Quand un miracle se produit, l'orgueil humain le nie ou le discute. Quels cris d'admiration pousserait un aveugle de naissance s'il voyait subitement les merveilles de la nature, qui nous laissent si froids ! »

RP Hamon, Méditations pour tous les jours de l'Année liturgique, Samedi, XVIIIème semaine après la Pentecôte
“On finit toujours par penser comme on vit. C'est pour cela qu'il faut rester vigilant sur toutes les apparences : le ton, les paroles, le vêtement, le poids, la posture, l'ameublement. Les psaumes disent quelque part que lorsque l'on se revêt d'une attitude comme d'un manteau, bientôt ce manteau vous rentre sous la peau et passe à votre esprit. Prudence.”

Lounès Darbois
« Je crois toujours que la vie n’est pas un problème à résoudre, c’est un risque à prendre, et en face de ce risque total, les seules compétences que je connaisse sont l’amour et la sainteté. »

Georges Bernanos
« Le nombre est infini des hommes-enfants qui croient souffrir sans mesure, et qui souffrent, en réalité, fort peu. Le nombre est infini de ceux qui s’imaginent posséder la Foi, et dont la foi ne soulèverait pas un grain de poussière. Pour ce qui est de l’Espérance et de l’Amour, quels mots ont été plus prostitués ? »

Léon Bloy
« C'est effrayant de penser qu'on subsiste au milieu d'une foule de morts qu'on croit des vivants ; que l'ami, le compagnon, le frère peut-être qu'on a vu ce matin [...] est à peine distinct, en réalité, de ceux qui se liquéfient dans les tombeaux. »

Léon Bloy — Dans les ténèbres.
“On finit toujours par penser comme on vit. C'est pour cela qu'il faut rester vigilant sur toutes les apparences : le ton, les paroles, le vêtement, le poids, la posture, l'ameublement. Les psaumes disent quelque part que lorsque l'on se revêt d'une attitude comme d'un manteau, bientôt ce manteau vous rentre sous la peau et passe à votre esprit. Prudence.”
On ne crée plus d’œuvre, notre époque est celle du commentaire. On en est à 42 000 thèses universitaires sur le Hamlet, mais on ne lit plus Hamlet…

George Steiner
"Les hommes acquièrent une qualité particulière en agissant constamment d'une manière particulière... vous devenez juste en accomplissant des actions justes, tempéré en accomplissant des actions tempérées, courageux en accomplissant des actions courageuses."

Aristote
« "Pendant qu’ils se branlent, ils nous foutent la paix !" Jamais le contrôle social n’a été pensé avec autant de lucidité que pendant la révolution sexuelle. »

Patrick Buisson
Le jour des morts le retrouve tête nue l’année suivante au milieu d’un grand jardin triste orné de croix et de roses en faïence.
Il s’y rappelle, comme les images d’un film usé, son père, qui était un homme si digne, et sa mère qui portait des cerises à son chapeau ; la tante Fanny qui avait des bijoux de jais, des bijoux noirs sur des robes noires ; les portraits du salon ; le barbu, le cavalier, l’artilleur, le poète ; les petites cousines qui allaient à bicyclette ; de grands morts en capote bleue qui lui viennent de 14, des petits morts en robe blanche, on ne sait d’où.
Il se demande où il a vu ces choses ; où tout ça a bien pu se passer. Il mesure la courte distance qui le sépare encore de la tombe. Il se demande quel est ce pays où l’homme ne s’habitue jamais sans étonnement ni à la mort ni à la vie. On meurt en songe, on vit en rêve. Il entre chez lui, il bourre sa pipe, il compte ses morts, il boit un verre, il chante avec ses petits-enfants.

Alexandre Vialatte

Lu sur le canal Zentropa
« Un brin de nostalgie demeure : ces femmes soumises à présent aux mêmes contraintes sur le marché du travail rêvent parfois d’hommes doux, tendres et attentionnés. Elles aimeraient que leur compagnon soit ce qu’elles furent jadis pour eux : un ange de consolation dans un monde froid et concurrentiel. Mais cet “homme déconstruit” est bien sûr incapable de donner ce qu’on lui demande, car il est aussi malmené par le salariat moderne. Cependant le féminisme affirme que cette incapacité lui est congénitale. C’est pourquoi l’égalité hommes/femmes est devenue le grand projet du quinquennat de Macron. Cela sert à blâmer les hommes pour des souffrances qui dérivent de l’organisation générale de la production, mais que l’oligarchie donne pour émanant de leur nature mâle. Ainsi tout continue comme avant, vers la marchandisation générale. »

Radu Stoenescu
On nous avait tant dit que nous étions des fascistes que j’ai voulu y voir de plus près en me reportant aux grands auteurs, Brasillach, Rebatet, Drieu.  Du premier, j’ai retenu la poésie de la jeunesse virile comme personne ne l’avait chantée.  Du second, le plus violent et le plus drôle des réquisitoires contre les vieilles droites, contre Vichy aussi.  Drieu, c’est autre chose.

Dominique Venner
16.09.202421:35
« J’ai revu  la maison, où, sous le toit de pierre,  Vécurent, longuement, tous ceux dont je suis né.
Pas même un chant d’oiseau, c’était un cimetière.
Où semblait, sans espoir, endormi le passé... »

Pierre Boissel
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