"Les centaines, les milliers que nous sommes réunis aujourd’hui ne suffiront pas à vaincre un seul homme (Erdogan), ce qui est la revendication fondamentale que la jeunesse universitaire a en commun. Nous ne pouvons détruire le pouvoir d’un seul homme qui s’oppose à nous qu'en détruisant tous ses instruments coercitifs et donc que si des centaines de milliers de personnes se rassemblent.

Pour empêcher le fascisme créé par le pouvoir d’un seul homme, l’unification de tous les secteurs de la société qui peuvent construire ensemble un avenir sans exploitation et dans l'égalité est possible. Nous sommes conscients de la responsabilité de transmettre l'appel à la grève générale et à la résistance générale à tous les secteurs de la société dans chaque région où nous sommes présents, à la fois en tant qu'Université Anadolu et avec nos amis de l'Université Osmangazi qui nous soutiennent."

"Il faut un plan d'urgence pour l'éducation, pour l'hôpital, pour les services de sécurité, on a l'impression qu'il n'y a pas de service public à Mayotte ou alors réduits au strict minimum, la solution est simple : "des moyens financiers, des moyens humains et de la volonté."

« Si la loi devait être adoptée, nous entrerons dans une nouvelle phase de lutte pour défendre notre dignité, nos droits, notre mode de vie. »