Мир сегодня с "Юрий Подоляка"
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Лёха в Short’ах Long’ует
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Vers les étoiles
08.03.202512:07
Chers lecteurs,

Depuis quelques jours, une vague de censure semble frapper Telegram, à en juger par la perte de visibilité de certains canaux, notamment politiques.

Cette restriction ne touche — pour l'heure — que les utilisateurs Android, qui voient s'afficher le message suivant lorsqu'ils souhaitent accéder à certains canaux : « Malheureusement, ce canal ne peut pas être affiché sur les applications Telegram téléchargées depuis le Google Play Store ».

Nous vous encourageons à télécharger l'application Telegram depuis leur site Web directement, afin de vous prémunir de cette censure. Cela vous permettra de continuer à accéder à notre canal dans l'hypothèse où ce dernier subirait les foudres de la censure, mais aussi d'accéder à d'autres canaux d'ores et déjà censurés.

Voici la procédure, très simple rassurez-vous, à suivre :

1. Assurez-vous de vous souvenir de vos identifiants de connexion et mots de passe.

2. Télécharger l'application Telegram directement depuis le site Web et non le PlayStore, via le lien suivant :
https://telegram.org/android

3. Connectez-vous avec vos identifiants Telegram.

Note : ne désinstallez pas l'application Telegram téléchargée depuis le PlayStore tant que vous n'avez pas pu accéder à la nouvelle. Nous vous recommandons de conserver quelques jours les deux applications, afin de vous assurer que tout fonctionne convenablement, avant de finalement désinstaller l'ancienne application.

@vers_les_etoiles
Les traîtres au pouvoir ne nous sauveront pas,
Ils ont organisé notre bien lent trépas ;
La liberté se prend, et très loin d'être un dû
Elle appartient à ceux qui occupent la rue.
Sans sursaut c'est la mort qui guette la patrie :
Un peuple qui combat est un peuple qui vit.


Samedi 1er mars. Paris. 15h. Venez nombreux.

@Justicepourlesnotres
@vers_les_etoiles
06/02/1934

Préférer le devoir à la vie confortable,
C'est aux yeux de beaucoup se rendre détestable.
Ils ne sont guère aimés, ceux-là dont l'idéal
Les pousse avec ferveur vers un assaut brutal,
Et qui, préférant vivre en demeurant debout,
Dans un âpre combat sont tombés sous les coups.

Pour que les pavés froids rouges d'un noble sang
Ne soient pas oubliés dans la course du temps :
Souvenons-nous.


~ Alexandre Charpentier

@vers_les_etoiles
06.01.202517:16
La plaine

Ha, que la plaine est vaste,
Comme elle est pâle et chaste
Sous les cieux de l’aurore,
Quand résonne le cor !

Ha, que l’épée scintille,
Comme l’éperon brille
Sous l’or des gonfanons,
Quand les hommes s’en vont !

Ha, que les chevaux tremblent,
Comme leurs grands yeux flambent
Sous leurs crins arrogants,
Quand se forment les rangs !

Ha, que ma mie est belle,
Comme une fleur d’autel
Sous l’ombre des tourelles,
Quand la guerre m’appelle !

Ha, que cette herbe est douce,
Comme ma tendre épouse,
Sous le sang que je perds
Quand je meurs pour nos terres !

Ha, que mon peuple est fier,
Comme un aigle d’hiver
Sous un soleil qui baisse,
Quand le destin le presse !

~ Hilda Lefort

@vers_les_etoiles
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Jonathan Sturel avatar
Jonathan Sturel
18.12.202410:14
Chers amis,

L'espoir renaît un peu pour La délégation des siècles. Il y a encore trois semaines, décision était quasiment prise d'arrêter l'aventure devant le peu d'engouement des lecteurs, après pourtant un départ réussi en 2021. J'ai fait quelques erreurs également, notamment je n'ai pas suffisamment «fait de pub» pour les livres, ce qui a entrainé mécaniquement le peu d'engouement en question.

Lorsqu'on se lance dans la vente de quelque chose, il faut le faire savoir autant que possible. Sur cette partie «communication», je n'ai jamais été très à l'aise, ce qui explique que je faisais peu de promotion. Ces derniers jours, j'ai communiqué plus que d'habitude sur les livres et cela a permis de relancer un peu l'intérêt autour de ces œuvres. J'en suis ravi, c'est un début qui n'est pas loin de me redonner envie de m'occuper pleinement de La délégation des siècles.

Beaucoup d'autres livres pourraient voir le jour si l'aventure continue. De quoi étoffer nos bibliothèques et épaissir nos formations doctrinales et intellectuelles à tous.

Je le redis : les temps qui viennent seront des temps de grands bouleversements et l'objectif initial de LDDS a été, dès l'origine, de permettre que se forme ce que j'avais appelé une «aristocratie intellectuelle enracinée»
, le mot aristocratie étant ici utilisé comme synonyme d'élite. Demain, nous aurons vraisemblablement un coup à jouer et il faudra que des esprits français bien formés soient là, prêts à prendre leur place, prêts à tenir contre le déferlement cosmopolite, gauchiste, universaliste et wokiste. Le combat à mort pour le sauvetage de ce que nous sommes ne pourra être mené que si nous avons des rangs bien en ordre, des soldats politiques bien formés, lettrés, conscients, en communion avec l'héritage littéraire et intellectuel de nos meilleurs anciens.

Noël approche, c'est un temps favorable pour acheter des livres français, pour soi ou pour nos proches. En passant commande aujourd'hui, demain, il est encore temps d'être livré à temps pour glisser ces livres sous le sapin.

D'une certaine manière, c'est comme si le destin de La délégation des siècles reposait sur vous maintenant. Depuis des années que je m'active sur Internet et sur les réseaux, je n'ai jamais demandé un euro, jamais réclamé un tipeee, jamais voulu que le moindre centime me soit donné pour cela. Si je demande à nos amis de mettre la main à la poche, c'est uniquement contre des livres qui les élèveront. Je veux travailler pour la cause, pas me faire arroser d'argent contre des articles et des billets sur les réseaux.

Et qui sait, peut-être que l'aventure LDDS continuera !
Qui vive ? France !

https://www.ladelegationdessiecles.fr/nos-livres
Un homme sans carrure, un second arrogant,
Dans un salon feutré jouent à renier leur sang ;
La France est-elle un vin, un porc ou un fromage ?
N'est-elle pas plutôt le fruit d'un héritage ?
Car l'homme défini par son comportement
Peut être un matin Franc et le soir un Afghan.
Sur ce si riche sol le sang de mes ancêtres
Fait croître les bouleaux, les chênes et les hêtres ;
Mon doux pays n'est point un hôtel, un terrain ;
Et l'on n'est point Français rien qu'en mangeant du pain.
Ma France est un esprit, un corps, une belle âme,
Vos souffles inféconds n'éteindront point sa flamme,
Qu'importent vos idées et qu'importent vos lois :
Je suis Français par chance et j'en suis fier par choix.


~ Alexandre Charpentier

@vers_les_etoiles
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B
🇲🇫 Bruno Hirout
06.03.202517:02
Merci pour les messages que jai reçus suite à mon 25ème anniversaire (hors taxes).
Ce mois de mars va être chargé en annonces avec la sortie d'un recueil de poésies, d'un essai philosophique, de l'Intransigeant 2 et d'une annonce + politique à la fin du mois.
Bon Carême à tous !
08.02.202516:47
Retrouvez mon article en page 5. 👆🏻
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Visages_de_France avatar
Visages_de_France
« Il avait ce visage éclairci par les cieux
Dont les astres naissants ravivaient les deux yeux ;
Un nez droit sans défaut lui donnait fière allure,
Ce visage soigné sublimait sa stature.

Elle avait ce regard où les étoiles naissent,
Fugitives beautés qui vers le ciel se dressent ;
Elle aurait su charmer tant de générations
Par sa joue rougeoyante et l'éclat de son front.

Ils possédaient tous deux cette grâce irréelle,
Cet amour si profond pour leur patrie charnelle,
Ils miraient l'avenir d'un œil vif d'espérance,
Voilà ce qu'ils avaient : un visage de France.
»

~ Alexandre Charpentier

Merci à @vers_les_etoiles pour ce poème !

@Visages_de_France
16.12.202417:10
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MEMORIA NATIO avatar
MEMORIA NATIO
J'aperçois un gauchiste et son faciès infâme,
La rage et la pitié se disputent mon âme ;
Dois-je par un effort, que je crois surhumain
À qui veut la couper tendre ma ferme main ?
Il a son libre arbitre et plus de vingt ans d'âge,
Devrait-il — c'est folie — échapper au lynchage ?
Je songe à lui parler, mais que peut ma raison
Face aux murs endurcis du fort de l'émotion ?
C'est un homme et j'éprouve, en conscience avertie,
Envers le sexe faible un peu plus d'empathie ;
Rien ne semble imposer à mon esprit fervent,
De quoi bien réprimer son mécontentement.
Comment un homme blanc, vainqueur de toute époque
Peut-il de son passé clamer « oui je m'en moque ! » ?
Et comment, de surcroît, niant son sang guerrier,
Peut-il à qui le veut gentiment se donner ?
Certains diront « langueur », d'autres crieront « parjure ! »,
Peut-on à son pays faire plus grande injure ?
Ses aïeux sont là-haut, et dédaignant son rang,
Il fait fi des douleurs, des larmes et du sang,
Ce sang qui lorsqu'il coule au-delà des frontières
Engendre à ce dément d'innombrables misères,
Mais quand il coule ici, provoquant quelque émoi,
Au revers du bon sens le fait demeurer coi.
Néanmoins, non content de sa froideur funeste,
Il gronde, il parle enfin, il s'agace, il conteste ;
Voyant certains Français ne voulant point mourir,
Il voudrait empêcher ceux-là de discourir.
Se croyant défenseur de la liberté reine,
Quand l'un dit « détracteur » lui nomme plutôt « haine ».
Faut-il donc être haineux pour préférer les siens,
Vouloir les épargner de macabres desseins ?
Faut-il donc être fou pour aimer sa famille,
Du regard de ses sœurs conserver la pupille ?
C'est ce qui m'apparaît si j'en crois cet infect
Et que je prends pour vrai tout son verbiage abject.
La charité chez lui est tout sauf ordonnée
Et ne se voit jamais au Bien subordonnée,
Préférant mille fois un continent lointain,
— « Proche » a pourtant donné l'appellation « prochain » —
Il s'agite toujours pour défendre « le monde »,
Mais quand à notre seuil le plus noir péril gronde,
Pire que de se taire il œuvre à ses côtés
L'aidant à s'affermir par tant d'atrocités.
Il est devant mes yeux, cet ignoble transfuge,
La rue est clairsemée, il n'a point de refuge,
Ce ne sont pas ses mots qui le protégeront,
Ni ses deux bras chétifs, quelle horreur ! quel affront !
Il n'a donc rien pour lui : voilà ! je crois comprendre !
Est-ce donc pour cela qu'il aime tant se vendre ?
Est-ce par lâcheté, faiblesse, abattement
Qu'il se meut chaque jour contre son propre camp ?
À moins que consciemment, la Beauté il refuse,
Et pour la dévoyer, chaque jour une ruse
Naît comme une fleur noire en son pervers esprit ;
Se sentira-t-il mieux si tout est avili ?
Je le regarde encore et tout mon sang bouillonne,
Ma Muse veut rimer mais ma fureur résonne :
La plume ou bien le poing ? quel moyen retenir ?
Un second traître au loin ! je n'ai plus à choisir !

~ Alexandre Charpentier

✍🏻 @vers_les_etoiles
🕊️ @MemoriaNatio
Adieu monde nouveau fait de plaisirs futiles,
Mâchoire dévorant tant d'âmes immobiles,
Nous n'obéirons point à tes commandements ;
Adieu monde sans but aux plus vils errements.

Adieu monde nouveau pétri par mille crimes,
Lugubre paysage aux étendues sans cimes,
Nous n'accepterons point tes funestes discours ;
Adieu monde sans vie, malfrats pour seuls amours.

Adieu monde nouveau, souverain sans ancêtre ;
Un beau jour nous vaincrons, le jour pourra renaître.


~ Alexandre Charpentier

@vers_les_etoiles
08.02.202516:47
🔴 Les Nationalistes d'Auvergne sont fiers de vous annoncer la parution de leur journal local : Le Vercingétorix.

Nous en mettons la version PDF à disposition ci-dessous.

Si vous souhaitez obtenir la version papier, prenez contact avec nous (offrande libre) !

Pour le développement d'un nouveau front nationaliste contre les forces qui cherchent à dissoudre notre nation, restez informés, aidez-nous, et rejoignez nos rangs.

Auvergne Nationaliste !
Qui vive ? France !


⚜🇫🇷✋🏻🇫🇷⚜

Auvergne Nationaliste
Telegram | Instagram
23.01.202517:17
J'ai vu dans la forêt l'écorce et le feuillage,
Les oisillons nouveaux s'entraîner au ramage,
Dans les plaines les fleurs encadrer le ruisseau,
Et la biche accourir derrière l'arbrisseau.
J'ai vu l'aube et le soir, le printemps et l'automne,
Ouï d'un cervidé le brame qu'il entonne ;
J'ai marché longuement dans la végétation,
Admiré d'une fleur l'ardente floraison,
J'ai senti que l'air frais caressait mon visage ;
Le jour semblait meilleur à l'ombre d'un bocage.


~ Alexandre Charpentier

@vers_les_etoiles
14.11.202417:05
À l'époux

@vers_les_etoiles
La bohème FAF

On n’avait rien, mêm’ pas d’appart’,
Mais on rêvait, d’Hitler, de Sparte,
On était fous, on était feu,
Fallait combattre et jouer franc-jeu !

Le jeudi soir, c’était collage,
Parfois bagarre — avec courage !
On riait dans la rue sceptique
Qu’on tapissait de croix celtiques !

Le samedi, c’était manif’ :
« A bas le régime oppressif ! »,
Et la semaine, on avait cours.
On mangeait seuls, au froid, dehors,

Loin des gauchos, des covidistes.
Des militants antifascistes,
Tu contais les nombreux déboires,
Le cœur gonflé, et plein d’espoir.

Sous la pluie qui trempait le parc,
Je récitais du Brasillach,
Et toi, transi, du grand Degrelle,
Le bras tendu, le cœur fidèle.

~ H. Lefort

@vers_les_etoiles
08.02.202516:47
18.12.202410:14
Pour Noël, alliez l'esprit et la matière, le fond et la forme, la sagesse et la transmission : offrez un livre.

Il est de notre devoir de soutenir les initiatives de bonne volonté qui participent, à leur échelle, à la propagation de nos idées, c'est-à-dire la défense de notre Foi, de notre Patrie charnelle, et du Bien Commun.

La Délégation Des Siècles est l'une de ces initiatives.

~ Alexandre Charpentier

@JonathanSturel
@vers_les_etoiles
J'ai vu dans l'océan de fer et de bitume
Le début du déclin, le doute et l'amertume,
Les masses englouties par l'appel du néant,
Le malheur, la folie, puis le renoncement.
J'ai vu ces avenues où l'Histoire s'efface,
De la moderne vie la prévisible impasse,
Les plus noires idées, les pires reniements,
Les traîtres sans vigueur, leurs flots de remplaçants.


~ Alexandre Charpentier

@vers_les_etoiles
En mémoire des héros morts pour la France.


Brume noire

La poudre des canons a remplacé la brume.
La plaine qui jadis était douce et fertile
Engloutit les soldats, dans son feu les consume ;
Ils auront ce brasier pour dernier domicile.

Les plus braves soldats s'élancent face au vent.
Intrépides, fougueux, fondant sur l'ennemi,
À l'appel des héros ils répondent présents,
Eux dont le sacrifice exalte la Patrie.

Là-bas un soldat git mais son cœur bat encore.
Un flot de sang noirâtre émane de son bras,
Son camarade est près, le chagrin le dévore,
Lui qui voit son ami sombrer vers le trépas.

Un soldat au lointain a retrouvé sa plume.
Il noircit un papier pour honorer sa dame
Dont l'amour éternel est son titre posthume ;
Il ne la verra plus, dévoré par les flammes.

~ Alexandre Charpentier

@vers_les_etoiles
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