

27.01.202508:20


24.12.202415:15
On nous avait tant dit que nous étions des fascistes que j’ai voulu y voir de plus près en me reportant aux grands auteurs, Brasillach, Rebatet, Drieu. Du premier, j’ai retenu la poésie de la jeunesse virile comme personne ne l’avait chantée. Du second, le plus violent et le plus drôle des réquisitoires contre les vieilles droites, contre Vichy aussi. Drieu, c’est autre chose.
Dominique Venner
Dominique Venner


14.11.202421:23
16.09.202421:35
« J’ai revu la maison, où, sous le toit de pierre, Vécurent, longuement, tous ceux dont je suis né.
Pas même un chant d’oiseau, c’était un cimetière.
Où semblait, sans espoir, endormi le passé... »
Pierre Boissel
Pas même un chant d’oiseau, c’était un cimetière.
Où semblait, sans espoir, endormi le passé... »
Pierre Boissel
मीडिया सामग्री तक पहुँच नहीं हो सकी
26.01.202520:14


02.12.202406:49
« Nous n'avons pas assez d'esprit surnaturel, et nous ne savons pas voir l'action de Dieu là où elle se trouve. Il en résulte que nous perdons l'occasion de glorifier sa puissance, d'admirer sa bonté. Il n'est cependant pas un instant du jour où nous ne puissions le faire. Tout raconte autour de nous la toute-puissance divine ; le jour qui nous éclaire, la terre qui nous nourrit, la vie qui nous est conservée, devraient nous plonger dans l'admiration et provoquer nos action de grâces. Nous vivons comme si tout cela était l'effet du hasard. Quand un miracle se produit, l'orgueil humain le nie ou le discute. Quels cris d'admiration pousserait un aveugle de naissance s'il voyait subitement les merveilles de la nature, qui nous laissent si froids ! »
RP Hamon, Méditations pour tous les jours de l'Année liturgique, Samedi, XVIIIème semaine après la Pentecôte
RP Hamon, Méditations pour tous les jours de l'Année liturgique, Samedi, XVIIIème semaine après la Pentecôte


02.11.202417:43
“On finit toujours par penser comme on vit. C'est pour cela qu'il faut rester vigilant sur toutes les apparences : le ton, les paroles, le vêtement, le poids, la posture, l'ameublement. Les psaumes disent quelque part que lorsque l'on se revêt d'une attitude comme d'un manteau, bientôt ce manteau vous rentre sous la peau et passe à votre esprit. Prudence.”
Lounès Darbois
Lounès Darbois
मीडिया सामग्री तक पहुँच नहीं हो सकी
27.12.202406:13
« C'est effrayant de penser qu'on subsiste au milieu d'une foule de morts qu'on croit des vivants ; que l'ami, le compagnon, le frère peut-être qu'on a vu ce matin [...] est à peine distinct, en réalité, de ceux qui se liquéfient dans les tombeaux. »
Léon Bloy — Dans les ténèbres.
Léon Bloy — Dans les ténèbres.


23.11.202415:09


02.11.202417:42
“On finit toujours par penser comme on vit. C'est pour cela qu'il faut rester vigilant sur toutes les apparences : le ton, les paroles, le vêtement, le poids, la posture, l'ameublement. Les psaumes disent quelque part que lorsque l'on se revêt d'une attitude comme d'un manteau, bientôt ce manteau vous rentre sous la peau et passe à votre esprit. Prudence.”


26.12.202406:05
"Les hommes acquièrent une qualité particulière en agissant constamment d'une manière particulière... vous devenez juste en accomplissant des actions justes, tempéré en accomplissant des actions tempérées, courageux en accomplissant des actions courageuses."
Aristote
Aristote
मीडिया सामग्री तक पहुँच नहीं हो सकी
22.11.202414:03
« "Pendant qu’ils se branlent, ils nous foutent la paix !" Jamais le contrôle social n’a été pensé avec autant de lucidité que pendant la révolution sexuelle. »
Patrick Buisson
Patrick Buisson


02.11.202410:09
Le jour des morts le retrouve tête nue l’année suivante au milieu d’un grand jardin triste orné de croix et de roses en faïence.
Il s’y rappelle, comme les images d’un film usé, son père, qui était un homme si digne, et sa mère qui portait des cerises à son chapeau ; la tante Fanny qui avait des bijoux de jais, des bijoux noirs sur des robes noires ; les portraits du salon ; le barbu, le cavalier, l’artilleur, le poète ; les petites cousines qui allaient à bicyclette ; de grands morts en capote bleue qui lui viennent de 14, des petits morts en robe blanche, on ne sait d’où.
Il se demande où il a vu ces choses ; où tout ça a bien pu se passer. Il mesure la courte distance qui le sépare encore de la tombe. Il se demande quel est ce pays où l’homme ne s’habitue jamais sans étonnement ni à la mort ni à la vie. On meurt en songe, on vit en rêve. Il entre chez lui, il bourre sa pipe, il compte ses morts, il boit un verre, il chante avec ses petits-enfants.
Alexandre Vialatte
Lu sur le canal Zentropa
Il s’y rappelle, comme les images d’un film usé, son père, qui était un homme si digne, et sa mère qui portait des cerises à son chapeau ; la tante Fanny qui avait des bijoux de jais, des bijoux noirs sur des robes noires ; les portraits du salon ; le barbu, le cavalier, l’artilleur, le poète ; les petites cousines qui allaient à bicyclette ; de grands morts en capote bleue qui lui viennent de 14, des petits morts en robe blanche, on ne sait d’où.
Il se demande où il a vu ces choses ; où tout ça a bien pu se passer. Il mesure la courte distance qui le sépare encore de la tombe. Il se demande quel est ce pays où l’homme ne s’habitue jamais sans étonnement ni à la mort ni à la vie. On meurt en songe, on vit en rêve. Il entre chez lui, il bourre sa pipe, il compte ses morts, il boit un verre, il chante avec ses petits-enfants.
Alexandre Vialatte
Lu sur le canal Zentropa
दिखाया गया 1 - 13 का 13
अधिक कार्यक्षमता अनलॉक करने के लिए लॉगिन करें।