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« [...] il n’y a pas de justice pour les hommes, si auparavant, il n’existe pas de justice pour les peuples. Les hommes ne peuvent vivre que lorsque leurs nations le peuvent. »

Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923)
« L’Angleterre et l’Amérique, redoutables foyers du danger européen, devraient être les premières [nations] à être brisées [...]. »

Julius Evola, Impérialisme païen (1928)
« Rien de plus juif que la Pape actuel. [...] Le Vatican est un Ghetto. [...]

L’Église est toujours prête à rebrûler Jeanne d’Arc. Trop heureuse ! L’Église, notre vieille sorcière judaïque, marchande de cierges... »

— Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938)
« Nous ne savons pas, nous ne pouvons savoir quelle étincelle — dans cette masse d’étincelles qui jaillissent maintenant de partout, dans tous les pays, sous l’influence de la crise économique et politique mondiale, — pourra allumer l’incendie, dans le sens d’un éveil particulier des masses. »

Vladimir Ilitch Lénine, La maladie infantile du communisme (1920)
« La France est le seul pays où [...] l’enseignement officiel n’ait pas d’autre tâche que de détruire obstinément tout ce qu’il devrait conserver, et dérobe à la nation la connaissance de sa propre grandeur. »

Abel Bonnard, Les Modérés (1936)
« L’ordre propre à la démocratie nationale tend à un état d’anarchie mondiale dans la mesure même où il gagne en universalité. »

Ernst Jünger, Le Travailleur (1932)
« Plus l’homme “libéré” réclame satisfaction, plus il succombe à l’hypocondrie, à la mélancolie ou à une haine de soi suicidaire, qui alterne, non sans quelques moments d’extase intermédiaires, avec une vague dépression chronique, cet état d’esprit dominant de notre temps. »

Christopher Lasch, Un refuge dans ce monde impitoyable (1977)
« À notre époque, chez tout individu sain de corps et d’esprit plongé dans l’adversité, on voit resurgir les instincts de l’homme primitif, chasseur et guerrier, ces instincts nécessaires à sa lutte contre la nature. L’homme cultivé a cette supériorité sur l’être inculte qu’il possède pour triompher deux armes irremplaçables : la science et la volonté. Mais l’homme cultivé paie cher ce privilège : rien n’est plus affreux dans la solitude absolue que la conscience même de cet isolement, loin de toute société humaine, là où n’ont plus cours aucune valeur esthétique, aucune loi morale. »

Ferdynand Ossendowski, Bêtes, Hommes et Dieux (1922)
« [...] le monde moderne s’immisce partout et anéantit l’intimité familiale. L’inviolabilité du foyer est une imposture dans un monde dominé par des consortiums géants et par les procédés de la publicité de masse. »

Christopher Lasch, Un refuge dans ce monde impitoyable (1977)
« C’est encore là un aspect particulier de la “solidification” : dans un tel monde, il n’y a plus de place pour les peuples nomades qui jusqu’ici subsistaient encore dans des conditions diverses, car ils en arrivent peu à peu à ne plus trouver devant eux aucun espace libre, et d’ailleurs on s’efforce par tous les moyens de les amener à la vie sédentaire [...]. »

René Guénon, Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps (1945)
« [...] les peuples de culture sont de formes de courants existentiels, tandis que le cosmopolitisme est une simple combinaison des “intelligences” éveillées. Il renferme de la haine contre le destin, avant tout contre l’histoire comme expression du destin. »

Oswald Spengler, Le Déclin de l’Occident (1918-1922)
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