14.02.202509:38
L'oligarchie utilise ses réseaux médiatiques pour faire savoir aux citoyens des pays de l'Europe que Vladimir Poutine ambitionne, dans un délai de cinq ans, d'entamer une guerre totale jusqu'en Europe de l'ouest.
On prend soin de préciser que Poutine s'autoriserait cette audace si les États-Unis de Trump prenaient le large et, s'éloignant de l'OTAN, laisseraient l'Europe seule face à l'ogre russe. De cette manière, l'oligarchie cosmopolite parvient à accuser en même temps la Russie de Poutine et l'Amérique de Trump, ses deux ennemis. D'une pierre deux coups !
C'est, à ce jour, le scénario du dernier épisode de la série en cours. Comme dans toutes les séries, l'intensité augmente saison après saison. Le téléspectateur, pardon le citoyen, est prié de croire que cette menace est réelle même si objectivement il ne comprend pas où serait l'intérêt pour la Russie de se lancer dans une guerre à grande échelle contre des dizaines de pays en même temps.
Ce flou fait partie du scénario. Nous sommes dans une série où le méchant fait des trucs de méchants sans que l'on comprenne pourquoi il est aussi méchant. Il est méchant, c'est tout ce que nous avons besoin de savoir, et c'est d'ailleurs pour cela qu'il occupe le rôle du méchant dans la série. On expliquera peut-être dans une prochaine saison pourquoi il est si méchant mais pour le moment, le téléspectateur n'a pas besoin de comprendre : il a seulement besoin d'avoir peur.
Une chose nous étonne cependant : l'Union européenne admet que sans l'Amérique pour lui servir de gilet pare-balles, elle ne peut pas tenir tête à la Russie ; pourtant cette même Union prétend depuis trois ans qu'elle tient la Russie en échec grâce à l'aide qu'elle apporte à l'Ukraine. Je ne comprends pas comment ce conglomérat de nations parvient dans le même temps à tenir en échec la Russie avec simplement de l'aide à distance, tout en déclarant que cette même Russie, qui donc serait tenue en échec, pourrait attaquer frontalement, c'est-à-dire dans une guerre ouverte cette fois, ces nations qui la mettent en échec avec simplement de l'aide à distance.
Il y a comme un nœud dans le scénario à cet endroit précis du récit. Gageons que les scénaristes sauront nous trouver une petite facilité narrative pour débloquer ce dilemme et ainsi faire avancer la série.
🍿
On prend soin de préciser que Poutine s'autoriserait cette audace si les États-Unis de Trump prenaient le large et, s'éloignant de l'OTAN, laisseraient l'Europe seule face à l'ogre russe. De cette manière, l'oligarchie cosmopolite parvient à accuser en même temps la Russie de Poutine et l'Amérique de Trump, ses deux ennemis. D'une pierre deux coups !
C'est, à ce jour, le scénario du dernier épisode de la série en cours. Comme dans toutes les séries, l'intensité augmente saison après saison. Le téléspectateur, pardon le citoyen, est prié de croire que cette menace est réelle même si objectivement il ne comprend pas où serait l'intérêt pour la Russie de se lancer dans une guerre à grande échelle contre des dizaines de pays en même temps.
Ce flou fait partie du scénario. Nous sommes dans une série où le méchant fait des trucs de méchants sans que l'on comprenne pourquoi il est aussi méchant. Il est méchant, c'est tout ce que nous avons besoin de savoir, et c'est d'ailleurs pour cela qu'il occupe le rôle du méchant dans la série. On expliquera peut-être dans une prochaine saison pourquoi il est si méchant mais pour le moment, le téléspectateur n'a pas besoin de comprendre : il a seulement besoin d'avoir peur.
Une chose nous étonne cependant : l'Union européenne admet que sans l'Amérique pour lui servir de gilet pare-balles, elle ne peut pas tenir tête à la Russie ; pourtant cette même Union prétend depuis trois ans qu'elle tient la Russie en échec grâce à l'aide qu'elle apporte à l'Ukraine. Je ne comprends pas comment ce conglomérat de nations parvient dans le même temps à tenir en échec la Russie avec simplement de l'aide à distance, tout en déclarant que cette même Russie, qui donc serait tenue en échec, pourrait attaquer frontalement, c'est-à-dire dans une guerre ouverte cette fois, ces nations qui la mettent en échec avec simplement de l'aide à distance.
Il y a comme un nœud dans le scénario à cet endroit précis du récit. Gageons que les scénaristes sauront nous trouver une petite facilité narrative pour débloquer ce dilemme et ainsi faire avancer la série.
🍿
10.02.202506:58
Un parallèle possible entre la situation de Joe Biden et celle de Jean-Luc Mélenchon.
Les deux hommes sont vieux, dépassés par les événements et utilisés par une jeune garde qui a besoin d'avoir des entrées et des accès dans les appareils politiques et institutionnels.
Joe Biden, dès le moment de son élection, était un mort-vivant qui avait déjà perdu le contact avec le réel. Mais sa position de vieux démocrate l'avait fait choisir par les wokistes pour leur servir de cheval de Troie. Derrière Biden, une armée de wokistes s'infiltrait dans l'État et dans les institutions en jouant le jeu politique traditionnel, mais en s'en servant en réalité pour mettre le dernier clou au cercueil d'une certaine Amérique blanche.
La situation est très semblable chez Mélenchon, lui aussi sur la fin, lui aussi dépassé, et lui aussi utilisé par une jeune garde wokiste, indigéniste et revancharde qui l'utilise lui et sa structure politique pour infiltrer l'appareil institutionnel, la coulisse politique, les médias et l'Assemblée.
Mélenchon impressionne les esprits fébriles par sa gouaille, sa grande gueule et ses effets de voix dans les discours. Lui-même doit encore penser qu'il est le gourou qu'il s'imagine être. Or il y a bien longtemps que ce vieux fou est considéré comme tel par une certaine base militante islamo-gauchiste et wokiste qui n'a que faire des coups de menton de ce vieux notable de la politique, de ce pantouflard de la République bourgeoise, de ce multi-retraité qui n'est rien à ses yeux qu'un cheval de Troie dont elle se sert pour avancer ses pions dans les champs de la politique et de la métapolitique.
De l'autre côté de l'Atlantique, l'opération a été à deux doigts de réussir, puis s'est écroulée lorsque les électeurs, réagissant in extremis, ont arrêté la machine infernale qui allait permettre au wokisme d'achever l'Amérique.
Chez nous, la même opération est engagée avec Mélenchon dans le rôle de Biden. Il nous appartient d'organiser son écroulement politique et de le faire de telle sorte qu'il emportera dans sa chute les islamo-gauchistes de l'anti-France, associés temporairement et stratégiquement aux wokistes de l'anti-France pour mettre le dernier clou au cercueil de notre patrie.
Partout les derniers braves doivent joebideniser les séniles qui trahissent leurs pays.
Les deux hommes sont vieux, dépassés par les événements et utilisés par une jeune garde qui a besoin d'avoir des entrées et des accès dans les appareils politiques et institutionnels.
Joe Biden, dès le moment de son élection, était un mort-vivant qui avait déjà perdu le contact avec le réel. Mais sa position de vieux démocrate l'avait fait choisir par les wokistes pour leur servir de cheval de Troie. Derrière Biden, une armée de wokistes s'infiltrait dans l'État et dans les institutions en jouant le jeu politique traditionnel, mais en s'en servant en réalité pour mettre le dernier clou au cercueil d'une certaine Amérique blanche.
La situation est très semblable chez Mélenchon, lui aussi sur la fin, lui aussi dépassé, et lui aussi utilisé par une jeune garde wokiste, indigéniste et revancharde qui l'utilise lui et sa structure politique pour infiltrer l'appareil institutionnel, la coulisse politique, les médias et l'Assemblée.
Mélenchon impressionne les esprits fébriles par sa gouaille, sa grande gueule et ses effets de voix dans les discours. Lui-même doit encore penser qu'il est le gourou qu'il s'imagine être. Or il y a bien longtemps que ce vieux fou est considéré comme tel par une certaine base militante islamo-gauchiste et wokiste qui n'a que faire des coups de menton de ce vieux notable de la politique, de ce pantouflard de la République bourgeoise, de ce multi-retraité qui n'est rien à ses yeux qu'un cheval de Troie dont elle se sert pour avancer ses pions dans les champs de la politique et de la métapolitique.
De l'autre côté de l'Atlantique, l'opération a été à deux doigts de réussir, puis s'est écroulée lorsque les électeurs, réagissant in extremis, ont arrêté la machine infernale qui allait permettre au wokisme d'achever l'Amérique.
Chez nous, la même opération est engagée avec Mélenchon dans le rôle de Biden. Il nous appartient d'organiser son écroulement politique et de le faire de telle sorte qu'il emportera dans sa chute les islamo-gauchistes de l'anti-France, associés temporairement et stratégiquement aux wokistes de l'anti-France pour mettre le dernier clou au cercueil de notre patrie.
Partout les derniers braves doivent joebideniser les séniles qui trahissent leurs pays.


02.02.202513:04
1/2.
Reposted from:
Sentinelle de l'Invisible



24.01.202509:22
« Fleuris là où tu es planté. »
Saint François de Sales
Peinture :
L'Accord, Albert Edelfelt, 1884
@Sentinelle_Invisible
Saint François de Sales
Peinture :
L'Accord, Albert Edelfelt, 1884
@Sentinelle_Invisible
17.01.202507:11
Les gauchistes bâtissent une grande partie de leur crédibilité politique et militante sur l'idée qu'ils ont longtemps été les contempteurs et les vainqueurs des tyrannies, des méchants, des dictateurs et des tortionnaires.
À les entendre, ils ont abattu la millénaire monarchie française ; ils ont imposé les Lumières contre l'obscurantisme tout-puissant de l'Église ; ils ont résisté aux vastes et conquérantes armées nazies jusqu'à obtenir leur reddition ; ils ont libéré la femme de l'oppression systémique qui durait depuis 10 000 ans ; ils ont abattu le patriarcat et les ordres anciens réactionnaires en semant les graines de Mai-68 ; ils ont tenu en échec Mussolini, Franco, Pétain, Le Pen, grâce à leur inépuisable énergie humaniste et leurs gros bras de guerriers civiques. Etc.
Voilà la légende dorée dans laquelle ils se fantasment systématiquement dans le beau rôle, dans le rôle héroïque, vaillant, éclaireur du monde, résistant, infatigablement dévoué à la lutte de chaque instant contre les méchants.
Et pourtant, les voilà qui, en 2025, abandonnent lâchement le champ de bataille pourtant peu dangereux de X et annoncent leur départ sous prétexte que l'on peut désormais ici leur répondre directement et les contester publiquement. Ces gens qui auraient vaincu le Diable cent fois ces trois derniers siècles se révèlent incapables de résister à la pression que leur mettent quelques internautes.
Ces gens qui se seraient dressés contre les canons et les tyrannies se révèlent incapables de survivre à quelques tweets... ?!
Cette décision minable qu'ils prennent aujourd'hui est en réalité très éclairante sur ce qu'est ce camp de pleutres, de guignols et de lâches depuis toujours : à savoir une clique de fanfarons opportunistes, de mythologistes et même de mythomanes de la politique, de guerriers planqués et de rentiers d'un récit historique faussaire.
#HelloQuitteX n'est pas le cri de ralliement des braves en armure mais celui des clowns en slips tachés de pisse.
Quel plaisir de voir enfin leur monde s'écrouler.
À les entendre, ils ont abattu la millénaire monarchie française ; ils ont imposé les Lumières contre l'obscurantisme tout-puissant de l'Église ; ils ont résisté aux vastes et conquérantes armées nazies jusqu'à obtenir leur reddition ; ils ont libéré la femme de l'oppression systémique qui durait depuis 10 000 ans ; ils ont abattu le patriarcat et les ordres anciens réactionnaires en semant les graines de Mai-68 ; ils ont tenu en échec Mussolini, Franco, Pétain, Le Pen, grâce à leur inépuisable énergie humaniste et leurs gros bras de guerriers civiques. Etc.
Voilà la légende dorée dans laquelle ils se fantasment systématiquement dans le beau rôle, dans le rôle héroïque, vaillant, éclaireur du monde, résistant, infatigablement dévoué à la lutte de chaque instant contre les méchants.
Et pourtant, les voilà qui, en 2025, abandonnent lâchement le champ de bataille pourtant peu dangereux de X et annoncent leur départ sous prétexte que l'on peut désormais ici leur répondre directement et les contester publiquement. Ces gens qui auraient vaincu le Diable cent fois ces trois derniers siècles se révèlent incapables de résister à la pression que leur mettent quelques internautes.
Ces gens qui se seraient dressés contre les canons et les tyrannies se révèlent incapables de survivre à quelques tweets... ?!
Cette décision minable qu'ils prennent aujourd'hui est en réalité très éclairante sur ce qu'est ce camp de pleutres, de guignols et de lâches depuis toujours : à savoir une clique de fanfarons opportunistes, de mythologistes et même de mythomanes de la politique, de guerriers planqués et de rentiers d'un récit historique faussaire.
#HelloQuitteX n'est pas le cri de ralliement des braves en armure mais celui des clowns en slips tachés de pisse.
Quel plaisir de voir enfin leur monde s'écrouler.


13.01.202520:55
Elon Musk a donc une très bonne vue.


13.02.202507:46
05.02.202507:59
La grande erreur, volontaire, des «fact-checkers» sauce Mendès France, Rudy Reichstadt, Julien Pain et compagnie, c'est de penser qu'une information n'est vraie que s'ils en ont eux-mêmes connaissance, c'est-à-dire, méthodologiquement, s'ils ont pu en vérifier l'existence dans un document officiel, une note officielle, un communiqué ministériel par exemple.
Tant qu'une chose n'apparaît pas dans ce circuit-ci, ils considèrent que l'information n'est pas exacte.
Ce qui explique que depuis des années, les «fact-checkers» servent à ce point la soupe aux autorités en place puisque leur véritable métier et seul rôle dans la Cité consiste à lire et à approuver automatiquement la communication de ces autorités, avant de leur donner l'onction journalistique destinée à faire passer une décision politique par définition discutable en réalité factuelle par définition indiscutable.
Le fact-checking, qui signifie «la vérification des faits» est donc forcément autre chose que ce que font les peintres cités plus haut. Eux ne font que de la lecture de communiqués officiels, sans vouloir savoir si le contenu de ces communiqués est conforme à la réalité ou non.
Cette façon de faire les conduit inévitablement à passer à coté de tout ce que les autorités en place pourraient être susceptibles de masquer, de cacher, d'oblitérer par intérêts politiques ou pour des raisons stratégiques. Le vrai métier d'un vérificateur devrait être d'éplucher chaque mot, chaque décision d'un pouvoir en place pour aller chercher, dans l'interligne, tout ce que ce pouvoir a dissimulé par intérêts politiques.
Au lieu de cela, non seulement nos célèbres «fact-checkers» ne font pas ce travail mais, plus grave encore, ils accusent quiconque le fait à leur place d'être complotiste, ce qui en quelque sorte boucle la boucle et les installe définitivement dans la sphère d'influence non de la vérité mais des pouvoirs politiques.
Or contrairement à ce que veulent faire croire ces gens : oui les politiques mentent, oui ils dissimulent, oui ils interprètent et oui ils peuvent prendre des décisions en fonction d'inquiétudes tactiques, personnelles, carriéristes ou judiciaires.
Le crime des «fact-checkers» est d'être en partie parvenu à installer une réalité alternative dans laquelle les pouvoirs politiques sont automatiquement disculpés, où ils sont par avance et quoi qu'ils fassent des «diseurs de vérités» dont on ne peut pas douter de la parole, sauf à sombrer dans le complotisme.
Tant qu'une chose n'apparaît pas dans ce circuit-ci, ils considèrent que l'information n'est pas exacte.
Ce qui explique que depuis des années, les «fact-checkers» servent à ce point la soupe aux autorités en place puisque leur véritable métier et seul rôle dans la Cité consiste à lire et à approuver automatiquement la communication de ces autorités, avant de leur donner l'onction journalistique destinée à faire passer une décision politique par définition discutable en réalité factuelle par définition indiscutable.
Le fact-checking, qui signifie «la vérification des faits» est donc forcément autre chose que ce que font les peintres cités plus haut. Eux ne font que de la lecture de communiqués officiels, sans vouloir savoir si le contenu de ces communiqués est conforme à la réalité ou non.
Cette façon de faire les conduit inévitablement à passer à coté de tout ce que les autorités en place pourraient être susceptibles de masquer, de cacher, d'oblitérer par intérêts politiques ou pour des raisons stratégiques. Le vrai métier d'un vérificateur devrait être d'éplucher chaque mot, chaque décision d'un pouvoir en place pour aller chercher, dans l'interligne, tout ce que ce pouvoir a dissimulé par intérêts politiques.
Au lieu de cela, non seulement nos célèbres «fact-checkers» ne font pas ce travail mais, plus grave encore, ils accusent quiconque le fait à leur place d'être complotiste, ce qui en quelque sorte boucle la boucle et les installe définitivement dans la sphère d'influence non de la vérité mais des pouvoirs politiques.
Or contrairement à ce que veulent faire croire ces gens : oui les politiques mentent, oui ils dissimulent, oui ils interprètent et oui ils peuvent prendre des décisions en fonction d'inquiétudes tactiques, personnelles, carriéristes ou judiciaires.
Le crime des «fact-checkers» est d'être en partie parvenu à installer une réalité alternative dans laquelle les pouvoirs politiques sont automatiquement disculpés, où ils sont par avance et quoi qu'ils fassent des «diseurs de vérités» dont on ne peut pas douter de la parole, sauf à sombrer dans le complotisme.
31.01.202516:53
Saccage, c'est-à-dire profanation, de la tombe de Jean-Marie le Pen.
Je suis dans le milieu patriote et nationaliste depuis plus de vingt ans. Je n'y ai jamais entendu un mot de satisfaction, ni vu aucun mouvement de joie lorsque la presse nous apprenait par exemple qu'un cimetière juif avait été vandalisé.
Personne, chez nous, n'a jamais attaqué la tombe de Mitterrand ou d'un quelconque responsable politique de gauche.
Ces saloperies appartiennent à la gauche, ce qui en soi est évident et cohérent puisque la gauche est le parti de la destruction, de la «déconstruction», du renversement des principes et de la fin de la morale jugée par elle réactionnaire et fasciste. Lorsqu'on est biberonné à ces idées, s'en prendre à une tombe est une façon comme une autre de s'attaquer au vieux monde et à ses totems.
Chez nous qui avons encore une colonne vertébrale, une morale et des forces intérieures nobles, le respect des morts et de leurs ultimes demeures de marbre n'est pas négociable.
Chaque jour la gauche nous montre la laideur de son âme damnée, chaque jour des représentants de cette idéologie morbide nous prouvent que nous avons raison de les prendre pour les derniers des hommes et nous poussent à vouloir les combattre avec toujours plus d'énergie.
Ce que nous ferons, et nous gagnerons.
Je suis dans le milieu patriote et nationaliste depuis plus de vingt ans. Je n'y ai jamais entendu un mot de satisfaction, ni vu aucun mouvement de joie lorsque la presse nous apprenait par exemple qu'un cimetière juif avait été vandalisé.
Personne, chez nous, n'a jamais attaqué la tombe de Mitterrand ou d'un quelconque responsable politique de gauche.
Ces saloperies appartiennent à la gauche, ce qui en soi est évident et cohérent puisque la gauche est le parti de la destruction, de la «déconstruction», du renversement des principes et de la fin de la morale jugée par elle réactionnaire et fasciste. Lorsqu'on est biberonné à ces idées, s'en prendre à une tombe est une façon comme une autre de s'attaquer au vieux monde et à ses totems.
Chez nous qui avons encore une colonne vertébrale, une morale et des forces intérieures nobles, le respect des morts et de leurs ultimes demeures de marbre n'est pas négociable.
Chaque jour la gauche nous montre la laideur de son âme damnée, chaque jour des représentants de cette idéologie morbide nous prouvent que nous avons raison de les prendre pour les derniers des hommes et nous poussent à vouloir les combattre avec toujours plus d'énergie.
Ce que nous ferons, et nous gagnerons.
23.01.202508:16
Remercions Elon Musk qui, avec ce pseudo salut nazi, a permis que la gauche, qui feint d'être convaincue d'avoir vu un vrai salut nazi, se ridiculise encore plus aux yeux du monde entier.
Voyez autour de vous : les plus de 60 ans entendent depuis 40 ans que le nazisme est de retour et pourtant ils n'ont toujours pas vu l'ombre d'une botte sous leurs fenêtres. Pour la plupart, ils ont donc rangé leurs déguisements de résistants, manifestement inutiles, au placard de l'Histoire.
Les plus de 40 ans, étouffés d'impôts et de taxes, qui peinent à boucler les fins de mois, ont d'autres soucis que la chasse aux nazis qui occupe encore quelques journalistes qui n'ont que ça à faire, quelques politicards qui font comme ces journalistes pour s'en faire bien voir et quelques retraités encore influencés par «le traumatisme de la guerre» et qui se tiennent prêts par conséquent à dégoupiller leurs meilleurs slogans antifascistes et mitterrandiens dans l'espace commentaires de Libé, comme au temps de ce Mai-68 qui constitue leur unique contribution effective mais mythologique à la lutte contre les méchants imaginaires et pour les gentils fantasmés.
Les plus de 20 ans ne sont plus certains de savoir exactement si c'est De Gaulle ou Napoléon qui combattait les nazis. Tout cela est tellement loin maintenant ! et comme ils ne regardent plus la télévision, ils sont plus ou moins libérés de ce formatage-là.
Les moins de 20 ans ne savent pas qui était Hitler, et comme les seules images qu'ils voient de lui parfois sont en noir et blanc, ils en concluent que c'était il y a fort longtemps, trop longtemps pour que cela puisse les concerner. D'une certaine manière, ils ont raison.
L'émotion, sincère ou feinte, provoquée par Elon Musk concerne 0.01% de la population. La réalité est que plus personne n'a envie de se faire croire à soi-même, par auto-conditionnement, que les nazis sont de retour et qu'ils nous menacent. Progressivement, cette prison mentale perd de ses barbelés et nous entrons, enfin !, dans le temps où l'on ne pourra plus tenir les esprits et les peuples en utilisant contre eux le chantage historique et moral de la Seconde guerre mondiale.
Voyez autour de vous : les plus de 60 ans entendent depuis 40 ans que le nazisme est de retour et pourtant ils n'ont toujours pas vu l'ombre d'une botte sous leurs fenêtres. Pour la plupart, ils ont donc rangé leurs déguisements de résistants, manifestement inutiles, au placard de l'Histoire.
Les plus de 40 ans, étouffés d'impôts et de taxes, qui peinent à boucler les fins de mois, ont d'autres soucis que la chasse aux nazis qui occupe encore quelques journalistes qui n'ont que ça à faire, quelques politicards qui font comme ces journalistes pour s'en faire bien voir et quelques retraités encore influencés par «le traumatisme de la guerre» et qui se tiennent prêts par conséquent à dégoupiller leurs meilleurs slogans antifascistes et mitterrandiens dans l'espace commentaires de Libé, comme au temps de ce Mai-68 qui constitue leur unique contribution effective mais mythologique à la lutte contre les méchants imaginaires et pour les gentils fantasmés.
Les plus de 20 ans ne sont plus certains de savoir exactement si c'est De Gaulle ou Napoléon qui combattait les nazis. Tout cela est tellement loin maintenant ! et comme ils ne regardent plus la télévision, ils sont plus ou moins libérés de ce formatage-là.
Les moins de 20 ans ne savent pas qui était Hitler, et comme les seules images qu'ils voient de lui parfois sont en noir et blanc, ils en concluent que c'était il y a fort longtemps, trop longtemps pour que cela puisse les concerner. D'une certaine manière, ils ont raison.
L'émotion, sincère ou feinte, provoquée par Elon Musk concerne 0.01% de la population. La réalité est que plus personne n'a envie de se faire croire à soi-même, par auto-conditionnement, que les nazis sont de retour et qu'ils nous menacent. Progressivement, cette prison mentale perd de ses barbelés et nous entrons, enfin !, dans le temps où l'on ne pourra plus tenir les esprits et les peuples en utilisant contre eux le chantage historique et moral de la Seconde guerre mondiale.


16.01.202521:14
L'oncle Sam n'est plus gender fluid.


12.01.202512:22
On se dirige vers un énième acquittement du réchauffement climatique. L'hypothèse d'actes malveillants à l'origine des incendies qui dévastent Los Angeles se précise.
On est tous très étonné.
On est tous très étonné.
12.02.202508:50
Le bruit selon lequel Brigitte Macron serait en fait Jean-Michel Trogneux prend des proportions inattendues maintenant que des influenceurs américains disposant d'audiences phénoménales, notamment Candace Owens, s'emparent du sujet.
Vraie ou fausse, cette histoire est un caillou dans la chaussure de Macron qui se retrouve accusé, en tout cas soupçonné d'être le mari d'un vieux trans fripé de vingt-cinq ans son aîné, autrement dit un milf-feuilles.
Macron martyrise notre pays. Lui et sa clique ont érigé le mensonge, la manipulation et la subversion du réel au rang de modes de gouvernance et il n'y a plus qu'en se servant du mensonge, de la manipulation et de la subversion qu'ils réussissent à retarder l'éclosion en France d'une opposition capable de nous débarrasser de leur secte malfaisante.
Lorsque nous avons l'audace de ne pas fondre d'admiration devant la macronie, nous sommes accusés d'être racistes, fascistes, réactionnaires, antivax, poutinistes, lâches, traîtres, etc. Dans 99% des cas ces accusations sont mensongères et la macronie le sait ; pourtant la macronie ne se prive pas et actionne tous ses réseaux depuis 8 ans pour faire retomber sur les récalcitrants tout le poids de ces injures destinées à leur rendre toute vie sociale impossible et à les faire exclure du périmètre de l'acceptabilité politique.
La politique, c'est l'entrechoquement régulier entre la noblesse d'âme et les coups bas. Les peaux de bananes que l'on jette sous les pieds d'un adversaire font hélas entièrement partie du « jeu », et ce depuis que la politique existe. Chaque génération politique prétend nettoyer les écuries d'Augias et repartir sur des bases nouvelles et saines ; or chaque nouvelle génération use finalement des mêmes techniques que les précédentes dès qu'elle réalise qu'elle y est contrainte par sa propre réalité bassement humaine, avide, ambitieuse et querelleuse.
La génération du macronisme, non contente de faire honneur à cette triste tradition, l'a même banalisée et systématisée à des niveaux qui peut-être n'avaient encore jamais été expérimentés. Tout, absolument tout dans le macronisme est une escroquerie intégrale doublée d'une vilénie permanente.
Lorsqu'on a à ce point banalisé et systématisé le recours au mensonge et à la manipulation pour gouverner, qu'on ne s'étonne pas de recevoir un jour
un peu de la monnaie de sa pièce. Ce qui se retourne contre Macron aujourd'hui, c'est un monstre qu'il nourrit lui-même depuis bientôt dix ans et à qui il doit son ascension politique et son maintien au pouvoir malgré un bilan qui relève du désastre total.
« Justement, nous ne sommes pas comme eux » me répondent mes amis, « nous ne devrions pas nous abaisser à reproduire leurs méthodes ». Oui, certes. Idéalement, en effet. Dans un monde normal, c'est vrai. Mais hélas le corps est malade, rongé par des bactéries qui affectent son fonctionnement et menace de le faire périr définitivement.
Ce que nous devons accepter d'être temporairement, c'est un antibiotique. Un antibiotique, pour empêcher qu'une mauvaise bactérie fasse son mauvais travail, accepte d'être comme elle, c'est-à-dire de faire comme elle, en l'occurrence de l'attaquer avec les mêmes armes qu'elle parce que dans l'écosystème où l'antibiotique et la mauvaise bactérie sont amenés à se rencontrer, il n'y a que ce langage de la confrontation en miroir qui fonctionne.
La politique a été transformée en écosystème sordide, sale, visqueux, par nos adversaires. Ce faisant ils nous obligent pour les combattre à être comme eux, comme un mal nécessaire par lequel il faut passer pour rétablir un microbiote politique et moral sain.
Je n'ai personnellement jamais relayé les informations concernant Brigitte Macron/Jean-Michel Trogneux. Je regarde simplement si ces informations sont susceptibles d'être ce que les mêmes méthodes potentiellement mensongères sont lorsqu'elles sont employées contre nous par la macronie : à savoir des obstacles capables d'entamer une réputation et d'entraver une progression politique.
C'est tout.
Vraie ou fausse, cette histoire est un caillou dans la chaussure de Macron qui se retrouve accusé, en tout cas soupçonné d'être le mari d'un vieux trans fripé de vingt-cinq ans son aîné, autrement dit un milf-feuilles.
Macron martyrise notre pays. Lui et sa clique ont érigé le mensonge, la manipulation et la subversion du réel au rang de modes de gouvernance et il n'y a plus qu'en se servant du mensonge, de la manipulation et de la subversion qu'ils réussissent à retarder l'éclosion en France d'une opposition capable de nous débarrasser de leur secte malfaisante.
Lorsque nous avons l'audace de ne pas fondre d'admiration devant la macronie, nous sommes accusés d'être racistes, fascistes, réactionnaires, antivax, poutinistes, lâches, traîtres, etc. Dans 99% des cas ces accusations sont mensongères et la macronie le sait ; pourtant la macronie ne se prive pas et actionne tous ses réseaux depuis 8 ans pour faire retomber sur les récalcitrants tout le poids de ces injures destinées à leur rendre toute vie sociale impossible et à les faire exclure du périmètre de l'acceptabilité politique.
La politique, c'est l'entrechoquement régulier entre la noblesse d'âme et les coups bas. Les peaux de bananes que l'on jette sous les pieds d'un adversaire font hélas entièrement partie du « jeu », et ce depuis que la politique existe. Chaque génération politique prétend nettoyer les écuries d'Augias et repartir sur des bases nouvelles et saines ; or chaque nouvelle génération use finalement des mêmes techniques que les précédentes dès qu'elle réalise qu'elle y est contrainte par sa propre réalité bassement humaine, avide, ambitieuse et querelleuse.
La génération du macronisme, non contente de faire honneur à cette triste tradition, l'a même banalisée et systématisée à des niveaux qui peut-être n'avaient encore jamais été expérimentés. Tout, absolument tout dans le macronisme est une escroquerie intégrale doublée d'une vilénie permanente.
Lorsqu'on a à ce point banalisé et systématisé le recours au mensonge et à la manipulation pour gouverner, qu'on ne s'étonne pas de recevoir un jour
un peu de la monnaie de sa pièce. Ce qui se retourne contre Macron aujourd'hui, c'est un monstre qu'il nourrit lui-même depuis bientôt dix ans et à qui il doit son ascension politique et son maintien au pouvoir malgré un bilan qui relève du désastre total.
« Justement, nous ne sommes pas comme eux » me répondent mes amis, « nous ne devrions pas nous abaisser à reproduire leurs méthodes ». Oui, certes. Idéalement, en effet. Dans un monde normal, c'est vrai. Mais hélas le corps est malade, rongé par des bactéries qui affectent son fonctionnement et menace de le faire périr définitivement.
Ce que nous devons accepter d'être temporairement, c'est un antibiotique. Un antibiotique, pour empêcher qu'une mauvaise bactérie fasse son mauvais travail, accepte d'être comme elle, c'est-à-dire de faire comme elle, en l'occurrence de l'attaquer avec les mêmes armes qu'elle parce que dans l'écosystème où l'antibiotique et la mauvaise bactérie sont amenés à se rencontrer, il n'y a que ce langage de la confrontation en miroir qui fonctionne.
La politique a été transformée en écosystème sordide, sale, visqueux, par nos adversaires. Ce faisant ils nous obligent pour les combattre à être comme eux, comme un mal nécessaire par lequel il faut passer pour rétablir un microbiote politique et moral sain.
Je n'ai personnellement jamais relayé les informations concernant Brigitte Macron/Jean-Michel Trogneux. Je regarde simplement si ces informations sont susceptibles d'être ce que les mêmes méthodes potentiellement mensongères sont lorsqu'elles sont employées contre nous par la macronie : à savoir des obstacles capables d'entamer une réputation et d'entraver une progression politique.
C'est tout.


03.02.202508:14
🔴Élections à Villeneuve-Saint-Georges.
Tintin rentre bredouille du Congo.
Tintin rentre bredouille du Congo.
26.01.202518:45
Voici quelques annonces qui peuvent intéresser quelques camarades ici présents :
1) Après réflexions, après hésitations, je vais continuer l'aventure de La délégation des siècles. J'avais envisagé de la terminer pour plusieurs raisons. Quelques erreurs au début (des manuscrits contenant des coquilles, des choix éditoriaux qui n'ont pas toujours rencontré le lectorat, le fait d'en passer par Amazon, etc.) m'avaient fait tout remettre en question. Mais j'ai reçu trop de messages de remerciements de la part de lecteurs ravis de découvrir certains auteurs et ravis de les faire connaître, trop d'encouragements et d'invitations à continuer pour ne pas leur donner satisfaction. Alors, continuons ! En mieux !
2) Dans un premier temps, je continue d'utiliser Amazon pour la fabrication et la distribution des livres. Cependant, pour chaque nouveau livre qui sortira, un certain nombre d'exemplaires sera proposé ici en avant-première, exemplaires qui seront expédiés par mes soins. Aléatoirement il y aura dans certains envois un petit cadeau de la maison, généralement un livre offert, probablement dans environ 20% des envois. C'est une façon de remercier les camarades des réseaux, notamment de Telegram, fidèles depuis si longtemps ici.
3) Un prochain livre arrive très bientôt ! Restez dans le coin, j'en parle prochainement.
J'en profite pour remercier ceux qui m'ont envoyé des messages de soutien, ceux qui ont participé à l'aventure hier et ceux qui le feront demain.
Qui vive ? France !
Français, jamais morts !
1) Après réflexions, après hésitations, je vais continuer l'aventure de La délégation des siècles. J'avais envisagé de la terminer pour plusieurs raisons. Quelques erreurs au début (des manuscrits contenant des coquilles, des choix éditoriaux qui n'ont pas toujours rencontré le lectorat, le fait d'en passer par Amazon, etc.) m'avaient fait tout remettre en question. Mais j'ai reçu trop de messages de remerciements de la part de lecteurs ravis de découvrir certains auteurs et ravis de les faire connaître, trop d'encouragements et d'invitations à continuer pour ne pas leur donner satisfaction. Alors, continuons ! En mieux !
2) Dans un premier temps, je continue d'utiliser Amazon pour la fabrication et la distribution des livres. Cependant, pour chaque nouveau livre qui sortira, un certain nombre d'exemplaires sera proposé ici en avant-première, exemplaires qui seront expédiés par mes soins. Aléatoirement il y aura dans certains envois un petit cadeau de la maison, généralement un livre offert, probablement dans environ 20% des envois. C'est une façon de remercier les camarades des réseaux, notamment de Telegram, fidèles depuis si longtemps ici.
3) Un prochain livre arrive très bientôt ! Restez dans le coin, j'en parle prochainement.
J'en profite pour remercier ceux qui m'ont envoyé des messages de soutien, ceux qui ont participé à l'aventure hier et ceux qui le feront demain.
Qui vive ? France !
Français, jamais morts !
20.01.202518:57
Donald Trump est dans une situation institutionnelle exceptionnellement favorable, ce qui lui libère presque totalement les mains sur le chapitre purement politique. Il bénéficie désormais aussi du soutien des grandes entreprises de la tech, lesquelles ont déjà commencé à prendre des mesures qui vont dans le sens de son projet politique, ce qui lui donne une influence, c'est-à-dire un pouvoir, virtuellement illimitée sur le chapitre de la métapolitique et du «soft power».
Il n'est sans doute pas exagéré de dire que jamais un chef d'État n'avait été aussi puissant que lui aujourd'hui, toutes époques et toutes nations confondues.
Cependant pour rétablir l'équilibre, Sandrine Rousseau et trois gauchistes tarés ont retiré X de leur onglet Favoris. Prends ça, Trump !
Il n'est sans doute pas exagéré de dire que jamais un chef d'État n'avait été aussi puissant que lui aujourd'hui, toutes époques et toutes nations confondues.
Cependant pour rétablir l'équilibre, Sandrine Rousseau et trois gauchistes tarés ont retiré X de leur onglet Favoris. Prends ça, Trump !


14.01.202522:40
Elle commence à nous gonfler Benny Hill.
12.01.202509:08
Finalement, la mort de Jean-Marie le Pen, en dehors des manifestations de joie le jour de l'annonce de la part de quelques gauchistes militants, en dehors des quelques rappels malveillants d'une partie des médias, n'a pas été la grande fête nationale que l'on pouvait craindre.
Même Macron a fait un communiqué de condoléances, même le Premier ministre a appelé à la tempérance, même des ministres ont salué le départ d'une figure majeure de la 5e République.
La presse de gauche a tenté des Unes provocatrices, trois jours après plus personne ne s'en souvient.
On n'imagine pas à quel point la fenêtre d'Overton a été déplacée ces dernières années.
Nous sommes de retour.
Même Macron a fait un communiqué de condoléances, même le Premier ministre a appelé à la tempérance, même des ministres ont salué le départ d'une figure majeure de la 5e République.
La presse de gauche a tenté des Unes provocatrices, trois jours après plus personne ne s'en souvient.
On n'imagine pas à quel point la fenêtre d'Overton a été déplacée ces dernières années.
Nous sommes de retour.
11.02.202507:25
Dans intelligence artificielle, certes il y a intelligence mais il y a aussi artificielle.
Le monde moderne a fait revenir les barbares, c'est-à-dire les ennemis de la civilisation ; c'est-à-dire des gens qui travaillent à inverser les énergies qui bâtissent les nations et renforcent les peuples depuis des millénaires.
Ce faisant, ils permettent la libération de pulsions malsaines, présentes dans l'esprit humain mais enfouies heureusement sous l'épaisse couche de la civilisation qui fait des hommes et des femmes à partir de potentiels barbares.
C'est à ce moment crucial où les barbares sont de plus en plus libérés, où la civilisation est de plus en plus remise en cause, que l'humanité décide de se placer comme un seul homme apparemment sous le patronage d'une autorité qui revendique sa condition artificielle, autorité devenue subitement son nouveau Dieu en même temps que son seul espoir apparent de renaissance.
L'irruption de cette technologie au moment où l'humanité est la moins maîtresse de ses pulsions peut faire craindre le pire. Notamment parce que cette technologie va réussir à amplifier, décupler tous les potentiels, toutes les pratiques, tous les mécanismes logistiques du monde et de son organisation pratique, nous devrions tempérer notre enthousiasme et nous assurer, avant de pouvoir l'exprimer sereinement, que l'humanité est capable de ne pas devenir folle si on met entre ses mains un outil capable à ce point d'amplifier sa folie renaissante.
Pour le moment, tous les gens qui s'émoustillent aujourd'hui devant le Dieu IA sont les mêmes qui ont rendu possible l'abaissement de la civilisation et la résurgence par conséquent des barbares. Je ne peux pas faire semblant de ne pas le remarquer.
Le monde moderne a fait revenir les barbares, c'est-à-dire les ennemis de la civilisation ; c'est-à-dire des gens qui travaillent à inverser les énergies qui bâtissent les nations et renforcent les peuples depuis des millénaires.
Ce faisant, ils permettent la libération de pulsions malsaines, présentes dans l'esprit humain mais enfouies heureusement sous l'épaisse couche de la civilisation qui fait des hommes et des femmes à partir de potentiels barbares.
C'est à ce moment crucial où les barbares sont de plus en plus libérés, où la civilisation est de plus en plus remise en cause, que l'humanité décide de se placer comme un seul homme apparemment sous le patronage d'une autorité qui revendique sa condition artificielle, autorité devenue subitement son nouveau Dieu en même temps que son seul espoir apparent de renaissance.
L'irruption de cette technologie au moment où l'humanité est la moins maîtresse de ses pulsions peut faire craindre le pire. Notamment parce que cette technologie va réussir à amplifier, décupler tous les potentiels, toutes les pratiques, tous les mécanismes logistiques du monde et de son organisation pratique, nous devrions tempérer notre enthousiasme et nous assurer, avant de pouvoir l'exprimer sereinement, que l'humanité est capable de ne pas devenir folle si on met entre ses mains un outil capable à ce point d'amplifier sa folie renaissante.
Pour le moment, tous les gens qui s'émoustillent aujourd'hui devant le Dieu IA sont les mêmes qui ont rendu possible l'abaissement de la civilisation et la résurgence par conséquent des barbares. Je ne peux pas faire semblant de ne pas le remarquer.
02.02.202513:05
2/2.
La République est l'amie des gueux : la preuve, les ouvriers qui travaillent dans ses palais ont le droit d'utiliser leurs machines à café !
Vous voyez bien que la République travaille à l'égalité !
On évitera cependant, et soigneusement, d'évoquer les mécanismes de transmission du pouvoir qui font que l'Assemblée en question, comme tous les autres palais de la République, sont hantés par des représentants des couches sociales les mieux dotées et les plus historiquement assurées de n'être jamais trop écartées du gros gâteau.
On évitera de parler des cooptations diverses, des promotions soudaines et suspectes qui font des carrières de premier ordre malgré l'évidente nullité de leurs bénéficiaires.
On évitera de documenter les purges internes qui font monter les amis même incompétents aux dépens d'esprits réellement braves et capables qui n'ont pas l'heur d'avoir pris leur carte au bon moment dans le bon parti.
Et on fera un tweet émotif pour rappeler qu'un ouvrier venu déboucher les chiottes des députés a le droit d'utiliser la machine à café, et on le fera de telle manière que le lecteur sera invité à penser, par déduction, que décidément la République ne badine pas avec l'égalité sociale.
La République est l'amie des gueux : la preuve, les ouvriers qui travaillent dans ses palais ont le droit d'utiliser leurs machines à café !
Vous voyez bien que la République travaille à l'égalité !
On évitera cependant, et soigneusement, d'évoquer les mécanismes de transmission du pouvoir qui font que l'Assemblée en question, comme tous les autres palais de la République, sont hantés par des représentants des couches sociales les mieux dotées et les plus historiquement assurées de n'être jamais trop écartées du gros gâteau.
On évitera de parler des cooptations diverses, des promotions soudaines et suspectes qui font des carrières de premier ordre malgré l'évidente nullité de leurs bénéficiaires.
On évitera de documenter les purges internes qui font monter les amis même incompétents aux dépens d'esprits réellement braves et capables qui n'ont pas l'heur d'avoir pris leur carte au bon moment dans le bon parti.
Et on fera un tweet émotif pour rappeler qu'un ouvrier venu déboucher les chiottes des députés a le droit d'utiliser la machine à café, et on le fera de telle manière que le lecteur sera invité à penser, par déduction, que décidément la République ne badine pas avec l'égalité sociale.
25.01.202500:13
Bertrand Blier a sans doute fait des choses intéressantes cinématographiquement parlant, mais l'essentiel de son œuvre a consisté à répandre l'idéologie soixante-huitarde, nihiliste, dégueulasse et débauchée qui a largement contribué à pervertir les mœurs, à faire s'écrouler la décence et à donner l'impression que c'était cool, culturel, branché et moderne d'exposer le vice et l'insalubrité morale.
Blier, c'est du Charlie Hebdo avec une caméra, c'est-à-dire la sous-culture de la satire mal dosée qui ne sait pas s'arrêter et s'imagine que la finalité de toute œuvre consiste à choquer les curés, les mères de famille, et à mettre mal à l'aise tous les autres.
Cette petite minorité de jouisseurs taquins à laquelle appartenait Blier tient la France en otage depuis quelques décennies et lui fait croire que l'art est indissociable du scandale crade. C'est une vision évidemment contestable et c'est surtout une interprétation très partiale, hélas inévitable après Mai-68 et après que les agitateurs de cette épopée salace aient mis la main sur tous les leviers culturels du pays.
Paix à son âme cependant.
Blier, c'est du Charlie Hebdo avec une caméra, c'est-à-dire la sous-culture de la satire mal dosée qui ne sait pas s'arrêter et s'imagine que la finalité de toute œuvre consiste à choquer les curés, les mères de famille, et à mettre mal à l'aise tous les autres.
Cette petite minorité de jouisseurs taquins à laquelle appartenait Blier tient la France en otage depuis quelques décennies et lui fait croire que l'art est indissociable du scandale crade. C'est une vision évidemment contestable et c'est surtout une interprétation très partiale, hélas inévitable après Mai-68 et après que les agitateurs de cette épopée salace aient mis la main sur tous les leviers culturels du pays.
Paix à son âme cependant.
Reposted from:
Sentinelle de l'Invisible



20.01.202518:32
« Parce qu'il est intelligent et libre, l'homme ne se développe pas au hasard des circonstances. Il doit savoir où il va, et choisir la voie la plus propre à le mener au but. C'est pourquoi il a besoin d'un idéal élevé qui lui permette de concentrer ses forces et de coordonner tous ses efforts pour donner à sa vie l'unité indispensable afin qu'elle ait toute sa valeur. Grâce à cet idéal, il ne perdra point en vain une partie de son action en poursuivant, sans utilité, des buts multiples.
A la vie militaire, comme à toute vie, il faut un idéal particulier pour se développer vers la perfection.
Cet idéal dérive de l'amour presque religieux que l'on doit avoir pour la Patrie. »
François-Josaphat Moreau
@JonathanSturel
@Sentinelle_Invisible
A la vie militaire, comme à toute vie, il faut un idéal particulier pour se développer vers la perfection.
Cet idéal dérive de l'amour presque religieux que l'on doit avoir pour la Patrie. »
François-Josaphat Moreau
@JonathanSturel
@Sentinelle_Invisible
14.01.202513:39
Il y a trois jours, sur Cnews, Pascal Praud croisait le fer avec l'excellent Vincent Hervouët à propos du film Dupont Lajoie. Praud trouve le film excellent et il lui tressait des lauriers lorsque Hervouët a précisé quant à lui qu'il s'agissait d'un film anti-français, un modèle du genre, où le Français du quotidien, le pauvre bougre de chez nous, était caricaturé et présenté comme un immense salaud raciste, pétainiste et vieux-jeu.
Et d'expliquer que ce film en particulier a joué un rôle important dans la ringardisation du Français du quotidien. Ce film, en effet, a servi de prototype à ce qui sera quelques années plus tard «l'humour Canal» où là aussi, comme aujourd'hui encore sur Quotidien par exemple, la ligne éditoriale et idéologique avait une obsession : insulter les Français d'en bas et les faire passer pour des fachos, des antisémites et des salauds.
Le tout avec la bénédiction des petits cercles parisiens, déjà convertis au progressisme proto-woke avant même que le mot woke ne soit inventé, ravis d'avoir sous la main une victime qui ne pouvait pas se défendre.
Pourtant, Pascal Praud adore ce film et malgré les utiles et salutaires rappels de Vincent Hervouët, il a quand même appelé plusieurs fois à voir ou à revoir le chef d’œuvre en question, tout en rabrouant Hervouët comme s'il était un écolier turbulent et impertinent.
Ce matin, le même Praud reçoit sur son plateau Bernard-Henri Lévy à qui il tresse des lauriers similaires à ceux qu'il tressait au film Dupont Lajoie il y a trois jours.
Le même Bernard-Henri Lévy est l'auteur d'un livre qui est l'équivalent «littéraire» du navet Dupont Lajoie : L'idéologie française, publié en 1981, torchon dans lequel l'auteur accuse la France d'être le berceau du fascisme et les Français d'être héréditairement des salauds, des collabos, des antisémites, des réactionnaires catholiques, en somme des Dupont Lajoie.
Un jour ou l'autre, il faudra bien soit que Pascal Praud nous explique à quoi il joue soit que nos amis de droite cessent enfin de le prendre pour leur allié.
Et d'expliquer que ce film en particulier a joué un rôle important dans la ringardisation du Français du quotidien. Ce film, en effet, a servi de prototype à ce qui sera quelques années plus tard «l'humour Canal» où là aussi, comme aujourd'hui encore sur Quotidien par exemple, la ligne éditoriale et idéologique avait une obsession : insulter les Français d'en bas et les faire passer pour des fachos, des antisémites et des salauds.
Le tout avec la bénédiction des petits cercles parisiens, déjà convertis au progressisme proto-woke avant même que le mot woke ne soit inventé, ravis d'avoir sous la main une victime qui ne pouvait pas se défendre.
Pourtant, Pascal Praud adore ce film et malgré les utiles et salutaires rappels de Vincent Hervouët, il a quand même appelé plusieurs fois à voir ou à revoir le chef d’œuvre en question, tout en rabrouant Hervouët comme s'il était un écolier turbulent et impertinent.
Ce matin, le même Praud reçoit sur son plateau Bernard-Henri Lévy à qui il tresse des lauriers similaires à ceux qu'il tressait au film Dupont Lajoie il y a trois jours.
Le même Bernard-Henri Lévy est l'auteur d'un livre qui est l'équivalent «littéraire» du navet Dupont Lajoie : L'idéologie française, publié en 1981, torchon dans lequel l'auteur accuse la France d'être le berceau du fascisme et les Français d'être héréditairement des salauds, des collabos, des antisémites, des réactionnaires catholiques, en somme des Dupont Lajoie.
Un jour ou l'autre, il faudra bien soit que Pascal Praud nous explique à quoi il joue soit que nos amis de droite cessent enfin de le prendre pour leur allié.
10.01.202519:19
Soyez au rendez-vous tout à l'heure, 21 heures, pour le salon vocal en direct sur le canal du Parti de la France. Nous parlerons du phénomène Elon Musk notamment !
https://t.me/partidelafrance
https://t.me/partidelafrance
Shown 1 - 24 of 93
Log in to unlock more functionality.