🇫🇷🇩🇿🇫🇷Voici une fiche biographique de mes travaux sur la 5e colonne, les fossoyeurs et vampires de la République, les criminels de l’information et les agents atlantistes ou européistes : Kader Arif (1959-), originaire d'Alger, fils de Harkis, il fit des études supérieures, cadre dans un cabinet d'architectes, puis dans le tourisme (1992-1998).
🏛🏛🏛Il fut l'un des fondateurs d'une association contre le racisme, France Plus (1983), et par ce biais rencontra Lionel Jospin, alors encarté au Parti Socialiste et fut lancé en politique. Il commença comme conseiller municipal dans la ville de Castanet-Tolosan (1995-2001), secrétaire-général du PS pour la Haute-Garonne (1999-2003-2007). Il entra au bureau politique du PS (2000), nommé secrétaire national (2002), et fut élu au Parlement européen (2004-2009-2012). Européiste forcené, il militait pour une Europe fédérale et la destruction des États nations.
💰💰💰Il démissionna de son mandat (2012), recyclé par Hollande comme Ministre délégué aux Anciens combattants… sans avoir combattu ! (2012-2014). Il fut ensuite élu député à l'Assemblée nationale (2012, puis 2014-2017) pour la Haute-Garonne. Il démissionna de son ministère, rattrapé pour des faits de corruptions et concussions, avec l'attribution de marchés publics à des proches (dont son frère Aissa Arif, novembre 2014). Mediapart l'avait dénoncé dès 2013, à propos du fait que la société de son frère avait travaillé pour la campagne présidentielle de François Hollande, pour un contrat faramineux de 700 000 euros… Une procédure judiciaire fut lancée contre lui (2015), et il ne fut pas reconduit à son siège par les urnes (2017).
🔚🔚🔚Il passa à la trappe politique, étant resté au PS en 2017, supportant la primaire Vincent Peillon. Il ne rallia pas la vague macroniste et à son honneur, il resta fidèle à ses convictions. L'année suivante il supporta la candidature d'Olivier Faure pour prendre la direction d'un PS moribond (2018). La procédure judiciaire traîna en longueur, avant qu'il ne soit condamné à 1 an de prison avec sursis (pour 2 ans requis par le parquet) et 20 000 euros d'amendes, pour attribution de marchés publics, favoritisme et détournements de fonds publics (2022).