Active Club France
17.02.202515:59
08.11.202413:45
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20.10.202417:09
🇫🇷 Active Club Dauphiné
🏔️ « Cette nature profonde de l’esprit qui se sent infini, toujours au-delà de lui-même, toujours au-delà de toute forme et de toute grandeur qu’il trouve en lui ou en dehors de lui, s’éveille et resplendit – dans la « folie » de ceux qui, sans but matériel, sans raison spécifique, sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à défier les sommets, portés par une volonté qui triomphe de la fatigue, de la peur, de la voix de l’instinct animal de prudence et de conservation. » - Julius Evola, Méditations du haut des cimes
🏔️ « Cette nature profonde de l’esprit qui se sent infini, toujours au-delà de lui-même, toujours au-delà de toute forme et de toute grandeur qu’il trouve en lui ou en dehors de lui, s’éveille et resplendit – dans la « folie » de ceux qui, sans but matériel, sans raison spécifique, sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à défier les sommets, portés par une volonté qui triomphe de la fatigue, de la peur, de la voix de l’instinct animal de prudence et de conservation. » - Julius Evola, Méditations du haut des cimes
03.09.202415:49
26.01.202518:50
🇫🇷 Active Club Lorraine
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Lacagoule85
08.11.202409:42
🌅 Fiume o morte🏴☠️
A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…
« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »
Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
A l’issue de la première guerre mondiale, le poète-soldat Gabriele D’Annunzio, fort du soutien d’une partie de l’opinion publique et entouré d’un nombre assez important d’arditi et d’anciens combattants, marche sur la ville de Fiume, le 12 septembre 1919. L’occupation de la ville durera environ cinq-cents jours : cinq-cents jours de troubles, de négociations serrées, en Italie et à l’étranger ; cinq-cents jours au cours desquels on a assisté à la création d’un état gouverné par un poète internationalement connu et reconnu pour ses romans extraordinaires, pour ses frasques et ses comportements surannés, ses dettes, ses passions, ses extravagances…
« Italiens de Fiume, l'esprit nocturne de Buccari prévaut. Nous sommes peu nombreux contre beaucoup, nous sommes peu nombreux contre le monde. Mais nous sommes plus de trente [...]. Nous nous multiplierons non seulement par notre courage, mais aussi par notre nombre. »
Gabriele D’Annunzio, « La prima voce dell’arengo » (12 septembre 1919)
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11.10.202408:17
10.09.202415:02
Liberté pour les nationalistes
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Avanguardia Torino
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31.05.202408:51
Anche se tutto crolla sulla nostra Madre Europa, noi continueremo a combattere per difenderla!🇾🇪
20.11.202421:34
« La guerre ne transforme point les hommes ; elle les rend à leur fin native. La guerre est l'état naturel des mâles. »
~ René Quinton
~ René Quinton
30.10.202413:03
🇫🇷 Active Club Franche-Comté
23.09.202414:04
🇫🇷 Active Club Nîmes
02.06.202409:28
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OUEST CASUAL
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30.05.202417:38
Service d’ordre du C9M 2024 🏴☠️
Mens sana in corpore sano
Security service of C9M 2024 🏴☠️
Mens sana in corpore sano
➡️ @ouestcasual3e
🔴 Back-up : @ouestcasual4
Mens sana in corpore sano
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Mens sana in corpore sano
➡️ @ouestcasual3e
🔴 Back-up : @ouestcasual4
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AG
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22.10.202414:36
Rejoins ton Active Club ! 🥊
✉️ Contact ActiveClubFrance@protonmail.com
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Ultras Not Reds
16.09.202414:03
Maxim “Tesak” Martsinkevich
8.5.1984 ~ 16.9.2020
On this day 4 years ago, the famous Russian nationalist was killed by the Putin regime in a gulag in the Urals, offical verdict “suicide”.
Never forgive, never forget!
@ultrasnotreds8
8.5.1984 ~ 16.9.2020
On this day 4 years ago, the famous Russian nationalist was killed by the Putin regime in a gulag in the Urals, offical verdict “suicide”.
Never forgive, never forget!
@ultrasnotreds8
05.09.202416:25
It's time for ruckus
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01.06.202417:46
- Réflexion sur la violence -
« Rendez-vous donné dans un champ bucolique, environnement poétique témoin d'une liturgie atypique. On se met en ligne et le top départ est lancé. On avance dans le silence sacré d'avant l'orage. L'ambiance sera médiévale et on le sait, on se dirige vers l'adversaire et plus rien ne compte. Arrivé au contact, on s'élance énergiquement vers le gars en face de soi et l'assaut démarre. J'aime le son des poings sur la chair, la sainte terreur après un coup dur au visage. Le sentiment de n'être absolument rien dans le brouillard du danger, tout donner sans concession quitte à être gravement blessé. L'atmosphère est incroyable : les râles de douleur, le sang qui coule à flot, les corps qui s'effondrent après de violentes frappes, la gorge sèche, les poumons en feu, cette fatigue pénible qui nous hurle d'abandonner. Mais c'est impossible, on se relève et on repart au combat : pour l'honneur des copains et la gloire de la bagarre.
Le cardio est à sec après plusieurs minutes d'affrontement qui durent une éternité, on tient debout malgré tout. Ce besoin impérieux de ne pas s'arrêter malgré le visage tuméfié, cette force invisible qui nous dicte de tenir bon. Les deux équipes se réduisent, certains sont inconscients au sol, le rapport de force tourne à la faveur et défaveur de l'une et l'autre bande. Malgré une défaite qui semble inévitable, certains se replacent pour faire leur baroud d'honneur tandis que les autres, voyant la victoire à portée de leurs poings, lancent la dernière charge pour mettre fin à ce doux moment de brutalité.
Cette violence enivrante est un rituel, celui d'hommes qui font un bras d'honneur au monde moderne, un retour à une bestialité oubliée : c'est là que l'on retrouve nos dieux, Dieu, tous ses anges et son esprit de destruction. Après cette interlude extraordinaire, nous retournons à nos vies simples, le cœur léger et fier de nos cocards.
Je crois que Jünger avait raison, Guerre et Amour, voilà les ingrédients essentiels pour la jeunesse. »
« Rendez-vous donné dans un champ bucolique, environnement poétique témoin d'une liturgie atypique. On se met en ligne et le top départ est lancé. On avance dans le silence sacré d'avant l'orage. L'ambiance sera médiévale et on le sait, on se dirige vers l'adversaire et plus rien ne compte. Arrivé au contact, on s'élance énergiquement vers le gars en face de soi et l'assaut démarre. J'aime le son des poings sur la chair, la sainte terreur après un coup dur au visage. Le sentiment de n'être absolument rien dans le brouillard du danger, tout donner sans concession quitte à être gravement blessé. L'atmosphère est incroyable : les râles de douleur, le sang qui coule à flot, les corps qui s'effondrent après de violentes frappes, la gorge sèche, les poumons en feu, cette fatigue pénible qui nous hurle d'abandonner. Mais c'est impossible, on se relève et on repart au combat : pour l'honneur des copains et la gloire de la bagarre.
Le cardio est à sec après plusieurs minutes d'affrontement qui durent une éternité, on tient debout malgré tout. Ce besoin impérieux de ne pas s'arrêter malgré le visage tuméfié, cette force invisible qui nous dicte de tenir bon. Les deux équipes se réduisent, certains sont inconscients au sol, le rapport de force tourne à la faveur et défaveur de l'une et l'autre bande. Malgré une défaite qui semble inévitable, certains se replacent pour faire leur baroud d'honneur tandis que les autres, voyant la victoire à portée de leurs poings, lancent la dernière charge pour mettre fin à ce doux moment de brutalité.
Cette violence enivrante est un rituel, celui d'hommes qui font un bras d'honneur au monde moderne, un retour à une bestialité oubliée : c'est là que l'on retrouve nos dieux, Dieu, tous ses anges et son esprit de destruction. Après cette interlude extraordinaire, nous retournons à nos vies simples, le cœur léger et fier de nos cocards.
Je crois que Jünger avait raison, Guerre et Amour, voilà les ingrédients essentiels pour la jeunesse. »
30.05.202406:06
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