Quis ut Deus ?
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Jan 26, 2025Апошнія публікацыі ў групе "Quis ut Deus ?"
22.04.202518:56
Au sujet des « Litanies de Notre-Dame des Sept Douleurs », publiées sur ce canal le Vendredi saint (18 avril), un lecteur nous fait remarquer les choses suivantes :
L'abbé François Beringer S. J. (1838-1909) a écrit un ouvrage sur « Les indulgences. Leur nature, leur usage. ». Traduction française de 1905 numérisée sous le lien suivant :
https://archive.org/details/lesindulgencesle01beri/mode/2up
Dans la première partie du livre, l'abbé Beringer expose la doctrine de l'Église sur les indulgences. Au chapitre 15, il aborde enfin la question d'indulgences fausses et apocryphes.
[Page 133] - Chapitre XV. — Indulgences fausses. — Décision et mesures prises contre elles par l'Église. — Signes auxquels on distingue les Indulgences fausses et nulles de celles qui sont valables et authentiques.
[Page 138] - Dans ces derniers temps, ont été déclarées fausses et apocryphes les Indulgences suivantes :
1° Celles des Litanies de Notre-Dame de pitié. On a dit que Pie VII les avait composées durant sa captivité, et qu'il avait attaché à leur récitation une Indulgence plénière à gagner tous les vendredis. Ces litanies imprimées s'étaient déjà répandues dans la ville de Naples et ailleurs en 1821. Pie VII fit écrire en conséquence à l'archevêque de Naples, afin que celui-ci interdit ces litanies dans son diocèse. De nouveau condamnées par un décret général de la Sacrée Congrégation des Indulgences, du 26 mai 1898 (Acta S. Sed., XXXI, 727, sqq.).
Ce décret ne déclare pas seulement que l'Indulgence est fausse et apocryphe ; il condamne aussi les litanies. On retrouve cependant ces litanies dans de récent livres de prières en allemand. Voici quelques invocations qui aideront à les reconnaître : « Mère crucifiée ; Mère attachée par le cœur à la croix ; Bouclier des opprimés ; Œil des prophètes ; Bâton des apôtres ; Perle des vierges, etc.
Ainsi, et nous ne le savions pas, ces Litanies ne peuvent être récitées, le pape Pie VII lui-même les ayant condamnées comme fausses et apocryphes.
L'abbé François Beringer S. J. (1838-1909) a écrit un ouvrage sur « Les indulgences. Leur nature, leur usage. ». Traduction française de 1905 numérisée sous le lien suivant :
https://archive.org/details/lesindulgencesle01beri/mode/2up
Dans la première partie du livre, l'abbé Beringer expose la doctrine de l'Église sur les indulgences. Au chapitre 15, il aborde enfin la question d'indulgences fausses et apocryphes.
[Page 133] - Chapitre XV. — Indulgences fausses. — Décision et mesures prises contre elles par l'Église. — Signes auxquels on distingue les Indulgences fausses et nulles de celles qui sont valables et authentiques.
[Page 138] - Dans ces derniers temps, ont été déclarées fausses et apocryphes les Indulgences suivantes :
1° Celles des Litanies de Notre-Dame de pitié. On a dit que Pie VII les avait composées durant sa captivité, et qu'il avait attaché à leur récitation une Indulgence plénière à gagner tous les vendredis. Ces litanies imprimées s'étaient déjà répandues dans la ville de Naples et ailleurs en 1821. Pie VII fit écrire en conséquence à l'archevêque de Naples, afin que celui-ci interdit ces litanies dans son diocèse. De nouveau condamnées par un décret général de la Sacrée Congrégation des Indulgences, du 26 mai 1898 (Acta S. Sed., XXXI, 727, sqq.).
Ce décret ne déclare pas seulement que l'Indulgence est fausse et apocryphe ; il condamne aussi les litanies. On retrouve cependant ces litanies dans de récent livres de prières en allemand. Voici quelques invocations qui aideront à les reconnaître : « Mère crucifiée ; Mère attachée par le cœur à la croix ; Bouclier des opprimés ; Œil des prophètes ; Bâton des apôtres ; Perle des vierges, etc.
Ainsi, et nous ne le savions pas, ces Litanies ne peuvent être récitées, le pape Pie VII lui-même les ayant condamnées comme fausses et apocryphes.
06.04.202510:22
Sermon pour le dimanche de la Passion 2025:
« Je suis Celui qui suis »
« Je suis Celui qui suis »
Пераслаў з:
Vies des Saints
05.04.202505:39
5 Avril : Saint Vincent Ferrier, missionnaire dominicain (1357-1418)
Vincent naquit à Valence, en Espagne. Sa mère, avant sa naissance, eut révélation de son avenir. Inquiète, elle consulta un saint personnage et en reçut l'assurance que cet enfant prédestiné serait un grand saint, dont l'éloquente parole ferait fuir les loups et ramènerait au bercail les brebis égarées.
Tout petit enfant, il réunissait ses camarades, leur parlait du bon Dieu et de la Sainte Vierge avec tant d'onction et d'amour, qu'ils en étaient touchés.
Après avoir édifié quelques années le couvent des Dominicains de Valence, il fit ses premiers essais dans la prédication, et l'on accourut bientôt de loin pour l'entendre. Il puisait son éloquence dans les plaies sacrées du Sauveur et dans les lumières de l'oraison. Un jour qu'il devait prêcher devant un grand seigneur, il se prépara, contre son ordinaire, plus par l'étude que par la prière; son sermon fut remarquable. Mais le lendemain, prêchant devant le même seigneur, après une longue préparation aux pieds du crucifix, il parla avec beaucoup plus de chaleur et d'onction. Le prince lui en demanda la raison:
"Monseigneur, dit le Saint, c'est Vincent qui a prêché hier, et c'est Jésus-Christ qui a prêché aujourd'hui."
Vincent avait quarante ans quand il entra pleinement dans sa vocation de missionnaire, après avoir été guéri d'une grave maladie par Notre-Seigneur. Un bâton d'une main, un crucifix de l'autre, il parcourut à pied presque toutes les provinces de l'Espagne, de la France et de l'Italie, instruisant, édifiant, convertissant les foules; il alla jusqu'en Angleterre, en Écosse et en Irlande, répandre la semence de la parole divine.
Les églises ne suffisant pas à contenir la foule de ses auditeurs, il prêchait ordinairement sur les places publiques et en pleine campagne. On compte que ce prédicateur tout divin convertit vingt-cinq mille juifs et autant de musulmans, et retira du vice plus de cent mille pécheurs. Dieu renouvela pour lui le miracle des premiers jours de l'Église: Vincent ne prêchait qu'en latin et en espagnol, et tous ses auditeurs, quels qu'ils fussent le comprenaient dans leur langue.
Son triomphe était la prédication des fins dernières; il fut l'apôtre du jugement dernier, et les foules frémissaient de terreur dès qu'il répétait les paroles du prophète:
"Levez-vous, morts, et venez au jugement."
Quand Vincent prêchait en quelque lieu, les marchands de disciplines, de cilices et autres instruments de mortification accouraient et ne pouvaient suffire à satisfaire les acheteurs. Tous les jours, après le sermon, son compagnon sonnait les miracles, et on apportait les malades en foule. Vincent Ferrier mourut à Vannes, en 1418.
Vincent naquit à Valence, en Espagne. Sa mère, avant sa naissance, eut révélation de son avenir. Inquiète, elle consulta un saint personnage et en reçut l'assurance que cet enfant prédestiné serait un grand saint, dont l'éloquente parole ferait fuir les loups et ramènerait au bercail les brebis égarées.
Tout petit enfant, il réunissait ses camarades, leur parlait du bon Dieu et de la Sainte Vierge avec tant d'onction et d'amour, qu'ils en étaient touchés.
Après avoir édifié quelques années le couvent des Dominicains de Valence, il fit ses premiers essais dans la prédication, et l'on accourut bientôt de loin pour l'entendre. Il puisait son éloquence dans les plaies sacrées du Sauveur et dans les lumières de l'oraison. Un jour qu'il devait prêcher devant un grand seigneur, il se prépara, contre son ordinaire, plus par l'étude que par la prière; son sermon fut remarquable. Mais le lendemain, prêchant devant le même seigneur, après une longue préparation aux pieds du crucifix, il parla avec beaucoup plus de chaleur et d'onction. Le prince lui en demanda la raison:
"Monseigneur, dit le Saint, c'est Vincent qui a prêché hier, et c'est Jésus-Christ qui a prêché aujourd'hui."
Vincent avait quarante ans quand il entra pleinement dans sa vocation de missionnaire, après avoir été guéri d'une grave maladie par Notre-Seigneur. Un bâton d'une main, un crucifix de l'autre, il parcourut à pied presque toutes les provinces de l'Espagne, de la France et de l'Italie, instruisant, édifiant, convertissant les foules; il alla jusqu'en Angleterre, en Écosse et en Irlande, répandre la semence de la parole divine.
Les églises ne suffisant pas à contenir la foule de ses auditeurs, il prêchait ordinairement sur les places publiques et en pleine campagne. On compte que ce prédicateur tout divin convertit vingt-cinq mille juifs et autant de musulmans, et retira du vice plus de cent mille pécheurs. Dieu renouvela pour lui le miracle des premiers jours de l'Église: Vincent ne prêchait qu'en latin et en espagnol, et tous ses auditeurs, quels qu'ils fussent le comprenaient dans leur langue.
Son triomphe était la prédication des fins dernières; il fut l'apôtre du jugement dernier, et les foules frémissaient de terreur dès qu'il répétait les paroles du prophète:
"Levez-vous, morts, et venez au jugement."
Quand Vincent prêchait en quelque lieu, les marchands de disciplines, de cilices et autres instruments de mortification accouraient et ne pouvaient suffire à satisfaire les acheteurs. Tous les jours, après le sermon, son compagnon sonnait les miracles, et on apportait les malades en foule. Vincent Ferrier mourut à Vannes, en 1418.
30.03.202510:30
Sermon pour le quatrième dimanche de Carême 2025 :
« Pauvreté des moyens ; excellence du résultat : les miracles ! »
« Pauvreté des moyens ; excellence du résultat : les miracles ! »
28.03.202508:58
Voici une profonde méditation du Mystère de l’Annonciation (25 mars), par Mgr Viganò
👉 https://www.medias-presse.info/ecce-ancilla-domini-homelie-en-la-fete-de-lannonciation-a-la-tres-sainte-vierge-marie-par-mgr-carlo-maria-vigano/203150/
👉 https://www.medias-presse.info/ecce-ancilla-domini-homelie-en-la-fete-de-lannonciation-a-la-tres-sainte-vierge-marie-par-mgr-carlo-maria-vigano/203150/
14.02.202519:52
Mgr Williamson fut un excellent connaisseur de la musique, et bien plus encore !
Voici une conférence qu’il donna, jeune prêtre alors, aux séminaristes d’Ecône en 1979, alors qu’il y était professeur : « Aristote, Beethoven et la révolution » : 👉https://t.me/Richard_Williamson_Archives/573
Voici une conférence qu’il donna, jeune prêtre alors, aux séminaristes d’Ecône en 1979, alors qu’il y était professeur : « Aristote, Beethoven et la révolution » : 👉https://t.me/Richard_Williamson_Archives/573
27.01.202516:50
Au sujet de Monseigneur Williamson :
Plusieurs personnes nous demandent des nouvelles, suite aux messages d’hier.
Les jours à venir seront certainement décisifs pour notre cher Évêque.
Prions ardemment pour lui , afin qu’il ait une sainte mort.
Nous encourageons à faire une veillée de prières à son intention, en priant le Rosaire qu’il a tant prêché au cours de sa vie sacerdotale et épiscopale, ainsi que les litanies de saint Joseph , Patron de la Bonne Mort.
Plusieurs personnes nous demandent des nouvelles, suite aux messages d’hier.
Les jours à venir seront certainement décisifs pour notre cher Évêque.
Prions ardemment pour lui , afin qu’il ait une sainte mort.
Nous encourageons à faire une veillée de prières à son intention, en priant le Rosaire qu’il a tant prêché au cours de sa vie sacerdotale et épiscopale, ainsi que les litanies de saint Joseph , Patron de la Bonne Mort.
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20.04.202523:59
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2.77%ER16.01.202501:48
197.27%ERRПераслаў з:Vies des Saints
05.04.202505:39
5 Avril : Saint Vincent Ferrier, missionnaire dominicain (1357-1418)
Vincent naquit à Valence, en Espagne. Sa mère, avant sa naissance, eut révélation de son avenir. Inquiète, elle consulta un saint personnage et en reçut l'assurance que cet enfant prédestiné serait un grand saint, dont l'éloquente parole ferait fuir les loups et ramènerait au bercail les brebis égarées.
Tout petit enfant, il réunissait ses camarades, leur parlait du bon Dieu et de la Sainte Vierge avec tant d'onction et d'amour, qu'ils en étaient touchés.
Après avoir édifié quelques années le couvent des Dominicains de Valence, il fit ses premiers essais dans la prédication, et l'on accourut bientôt de loin pour l'entendre. Il puisait son éloquence dans les plaies sacrées du Sauveur et dans les lumières de l'oraison. Un jour qu'il devait prêcher devant un grand seigneur, il se prépara, contre son ordinaire, plus par l'étude que par la prière; son sermon fut remarquable. Mais le lendemain, prêchant devant le même seigneur, après une longue préparation aux pieds du crucifix, il parla avec beaucoup plus de chaleur et d'onction. Le prince lui en demanda la raison:
"Monseigneur, dit le Saint, c'est Vincent qui a prêché hier, et c'est Jésus-Christ qui a prêché aujourd'hui."
Vincent avait quarante ans quand il entra pleinement dans sa vocation de missionnaire, après avoir été guéri d'une grave maladie par Notre-Seigneur. Un bâton d'une main, un crucifix de l'autre, il parcourut à pied presque toutes les provinces de l'Espagne, de la France et de l'Italie, instruisant, édifiant, convertissant les foules; il alla jusqu'en Angleterre, en Écosse et en Irlande, répandre la semence de la parole divine.
Les églises ne suffisant pas à contenir la foule de ses auditeurs, il prêchait ordinairement sur les places publiques et en pleine campagne. On compte que ce prédicateur tout divin convertit vingt-cinq mille juifs et autant de musulmans, et retira du vice plus de cent mille pécheurs. Dieu renouvela pour lui le miracle des premiers jours de l'Église: Vincent ne prêchait qu'en latin et en espagnol, et tous ses auditeurs, quels qu'ils fussent le comprenaient dans leur langue.
Son triomphe était la prédication des fins dernières; il fut l'apôtre du jugement dernier, et les foules frémissaient de terreur dès qu'il répétait les paroles du prophète:
"Levez-vous, morts, et venez au jugement."
Quand Vincent prêchait en quelque lieu, les marchands de disciplines, de cilices et autres instruments de mortification accouraient et ne pouvaient suffire à satisfaire les acheteurs. Tous les jours, après le sermon, son compagnon sonnait les miracles, et on apportait les malades en foule. Vincent Ferrier mourut à Vannes, en 1418.
Vincent naquit à Valence, en Espagne. Sa mère, avant sa naissance, eut révélation de son avenir. Inquiète, elle consulta un saint personnage et en reçut l'assurance que cet enfant prédestiné serait un grand saint, dont l'éloquente parole ferait fuir les loups et ramènerait au bercail les brebis égarées.
Tout petit enfant, il réunissait ses camarades, leur parlait du bon Dieu et de la Sainte Vierge avec tant d'onction et d'amour, qu'ils en étaient touchés.
Après avoir édifié quelques années le couvent des Dominicains de Valence, il fit ses premiers essais dans la prédication, et l'on accourut bientôt de loin pour l'entendre. Il puisait son éloquence dans les plaies sacrées du Sauveur et dans les lumières de l'oraison. Un jour qu'il devait prêcher devant un grand seigneur, il se prépara, contre son ordinaire, plus par l'étude que par la prière; son sermon fut remarquable. Mais le lendemain, prêchant devant le même seigneur, après une longue préparation aux pieds du crucifix, il parla avec beaucoup plus de chaleur et d'onction. Le prince lui en demanda la raison:
"Monseigneur, dit le Saint, c'est Vincent qui a prêché hier, et c'est Jésus-Christ qui a prêché aujourd'hui."
Vincent avait quarante ans quand il entra pleinement dans sa vocation de missionnaire, après avoir été guéri d'une grave maladie par Notre-Seigneur. Un bâton d'une main, un crucifix de l'autre, il parcourut à pied presque toutes les provinces de l'Espagne, de la France et de l'Italie, instruisant, édifiant, convertissant les foules; il alla jusqu'en Angleterre, en Écosse et en Irlande, répandre la semence de la parole divine.
Les églises ne suffisant pas à contenir la foule de ses auditeurs, il prêchait ordinairement sur les places publiques et en pleine campagne. On compte que ce prédicateur tout divin convertit vingt-cinq mille juifs et autant de musulmans, et retira du vice plus de cent mille pécheurs. Dieu renouvela pour lui le miracle des premiers jours de l'Église: Vincent ne prêchait qu'en latin et en espagnol, et tous ses auditeurs, quels qu'ils fussent le comprenaient dans leur langue.
Son triomphe était la prédication des fins dernières; il fut l'apôtre du jugement dernier, et les foules frémissaient de terreur dès qu'il répétait les paroles du prophète:
"Levez-vous, morts, et venez au jugement."
Quand Vincent prêchait en quelque lieu, les marchands de disciplines, de cilices et autres instruments de mortification accouraient et ne pouvaient suffire à satisfaire les acheteurs. Tous les jours, après le sermon, son compagnon sonnait les miracles, et on apportait les malades en foule. Vincent Ferrier mourut à Vannes, en 1418.
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