Et c’est juste une question de bon sens, une question d’humanité.
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Jean-Marie Le Pen est mort et les gauchistes se sont réunis ce soir dans les rues pour fêter sa mort avec des bouteilles de champagne.
Ces gens n’ont-ils pas de vie? Sérieusement?
Il faut être d’une vacuité absolue pour sortir fêter la mort d’un vieil homme qui n’avait plus aucun pouvoir comme si cela allait changer quoi que ce soit à leur existence morne et insignifiante.
Ils se pensent du côté du bien, convaincus d’être les résistants d’un combat imaginaire, alors qu’ils ne sont que des pantins ridicules noyant leur insignifiance dans du mousseux tiède au milieu d’une foule en quête d’une cause à mimer.
Ces pseudo-moralisateurs de comptoir avec leur air satisfait, persuadés d’avoir vaincu le mal en débouchant une bouteille sur la place publique, se croyant investis d’une mission sacrée en trinquant à la mort d’un homme Un spectacle affligeant où la bêtise le dispute à l’autosatisfaction.
Leur prétendu antifascisme n’est qu’un défouloir haineux. Une excuse pour exprimer leur violence et leur frustration. Ils dénoncent un monde qu’ils ne comprennent pas, se construisent des ennemis imaginaires et se livrent à un simulacre de justice historique qui ne trompe personne.
La vérité, c’est qu’ils ne fêtent pas la fin d’un fasciste mais le simple plaisir de haïr sans conséquence entre gens du même milieu dans leur bulle d’entre-soi dégoulinante d’hypocrisie.
Triste époque où des ratés sans cause ni talent doivent se raccrocher à la mort d’un vieillard pour exister.
Au fait, savez-vous ce qu’est l’opposition contrôlée ?
