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Ille-et-Vilaine Nationaliste
Groupe militant nationaliste en Ille-et-Vilaine.
Рэйтынг TGlist
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ТыпПублічны
Вертыфікацыя
Не вертыфікаваныНадзейнасць
Не надзейныРазмяшчэнне
МоваІншая
Дата стварэння каналаЛист 27, 2024
Дадана ў TGlist
Груд 07, 2024Рэкорды
07.04.202523:59
108Падпісчыкаў05.12.202423:59
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Péripéties rennaises.
Les villes, de par leur nature, peuvent avoir plusieurs visages ; la ville de Rennes ne déroge pas à cette tendance.
En effet, celle-ci est connue pour ses multiples visages, celui de l'histoire avec son patrimoine riche des époques romaine et du Moyen-Âge notamment. Le visage du tourisme avec un cadre propice à ce loisir qui attire des touristes français et étrangers venant profiter des loisirs de Rennes. C'est également un pôle économique qui, comme la Bretagne, attire de nombreux Français du public et du privé.
Néanmoins, la ville de Rennes a un autre visage, moins reluisant, c'est le moins que l'on puisse dire, celui d'un asile à ciel ouvert plus ou moins permanent.
Pourquoi cela ?
Eh bien, cela est dû à une communauté d'individus profondément dérangés mentalement : les insupportables, les inénarrables, les inimitables et surtout les insalubres gauchistes antifascistes et autres produits de l'extrême gauche.
Ceux-ci peuvent être considérés comme des Pokémons rares, quoique cela soit insultant pour cette franchise venue de l'empire du Soleil levant.
Quelles sont les nuisances de ces gauchistes ?
Elles pourrait être résumées en une expression : « Emmerder le monde. » Cela va des poubelles incendiées aux grafitis informes sur tous types de support allant des églises aux murs des facultés de la ville, facultés qui servent d'exutoire à leur soif de destructions, alors qu'ils prétendent lutter contre les restrictions budgétaires.
Cependant, leurs événements les plus remarqués sont les « rave party », fête illégale où le but est, semble-t-il, dégrader un lieu choisi de préférence abandonné pour le dégrader le plus possible.
D'ailleurs, c'est justement cette activité qui les a menés à tenter d'occuper un ancien cinéma avant de s'y faire déloger virilement par le célèbre videur de boîte de nuit, le 1988 situé en dessous, dont le pseudonyme est Le Jarl.
Suite à cela, les antifascistes ont gémi sur les réseaux sociaux, se plaignant de la violence du Jarl et de ses hommes, eux qui n'hésitent pas à agresser en surnombre toute personne jugée trop à droite et à s'en vanter sur les réseaux sociaux, n'apprécient guère les corrections physiques.
À noter que lorsque des gitans attaquent un événement similaire à Brie avec des armes de manière beaucoup plus violente, En effet, les gitans semblent bénéficier d'un joker qui fait qu'il n'y aura pas de communiqué pour dénoncer leurs violences de la part des gauchistes. Ceux-ci préfèrent même inventer des histoires de violences néo-nazies pour ne pas les nommer, comme cela fut le cas avec un élu de Cintré, Anton Burel, qui avait gémi à propos de sa supposée agression par des néo-nazis chantant leur racisme à tue-tête. À la clé de ces jérémiades, une manifestation d'antifascistes à Cintré pour accompagner leur nouvelle idole. Tout ce cirque, accompagné de la presse, a duré jusqu'à ce que les policiers ont révélé que l'agression, réelle, était en réalité le fait de gitans. Cet élu d'extrême gauche est soit mythomane, soit atteint d'une nouvelle forme de daltonisme qui fait passer des gitans pour des miliciens nostalgiques du IIIe Reich.
Dans tous les cas, il sera nécessaire de soigner ces détraqués ; un projet Guyane proposé par un site très démocratique et très participatif pourrait être la solution.
Quoi qu'il en soit, il est temps que les Français cessent d'attendre des solutions de la part du système démocratique et qu'ils rejoignent le remède qu'est l'action nationaliste.
Qui Vive ?
France !
Ille-et-Vilaine nationaliste.
Les villes, de par leur nature, peuvent avoir plusieurs visages ; la ville de Rennes ne déroge pas à cette tendance.
En effet, celle-ci est connue pour ses multiples visages, celui de l'histoire avec son patrimoine riche des époques romaine et du Moyen-Âge notamment. Le visage du tourisme avec un cadre propice à ce loisir qui attire des touristes français et étrangers venant profiter des loisirs de Rennes. C'est également un pôle économique qui, comme la Bretagne, attire de nombreux Français du public et du privé.
Néanmoins, la ville de Rennes a un autre visage, moins reluisant, c'est le moins que l'on puisse dire, celui d'un asile à ciel ouvert plus ou moins permanent.
Pourquoi cela ?
Eh bien, cela est dû à une communauté d'individus profondément dérangés mentalement : les insupportables, les inénarrables, les inimitables et surtout les insalubres gauchistes antifascistes et autres produits de l'extrême gauche.
Ceux-ci peuvent être considérés comme des Pokémons rares, quoique cela soit insultant pour cette franchise venue de l'empire du Soleil levant.
Quelles sont les nuisances de ces gauchistes ?
Elles pourrait être résumées en une expression : « Emmerder le monde. » Cela va des poubelles incendiées aux grafitis informes sur tous types de support allant des églises aux murs des facultés de la ville, facultés qui servent d'exutoire à leur soif de destructions, alors qu'ils prétendent lutter contre les restrictions budgétaires.
Cependant, leurs événements les plus remarqués sont les « rave party », fête illégale où le but est, semble-t-il, dégrader un lieu choisi de préférence abandonné pour le dégrader le plus possible.
D'ailleurs, c'est justement cette activité qui les a menés à tenter d'occuper un ancien cinéma avant de s'y faire déloger virilement par le célèbre videur de boîte de nuit, le 1988 situé en dessous, dont le pseudonyme est Le Jarl.
Suite à cela, les antifascistes ont gémi sur les réseaux sociaux, se plaignant de la violence du Jarl et de ses hommes, eux qui n'hésitent pas à agresser en surnombre toute personne jugée trop à droite et à s'en vanter sur les réseaux sociaux, n'apprécient guère les corrections physiques.
À noter que lorsque des gitans attaquent un événement similaire à Brie avec des armes de manière beaucoup plus violente, En effet, les gitans semblent bénéficier d'un joker qui fait qu'il n'y aura pas de communiqué pour dénoncer leurs violences de la part des gauchistes. Ceux-ci préfèrent même inventer des histoires de violences néo-nazies pour ne pas les nommer, comme cela fut le cas avec un élu de Cintré, Anton Burel, qui avait gémi à propos de sa supposée agression par des néo-nazis chantant leur racisme à tue-tête. À la clé de ces jérémiades, une manifestation d'antifascistes à Cintré pour accompagner leur nouvelle idole. Tout ce cirque, accompagné de la presse, a duré jusqu'à ce que les policiers ont révélé que l'agression, réelle, était en réalité le fait de gitans. Cet élu d'extrême gauche est soit mythomane, soit atteint d'une nouvelle forme de daltonisme qui fait passer des gitans pour des miliciens nostalgiques du IIIe Reich.
Dans tous les cas, il sera nécessaire de soigner ces détraqués ; un projet Guyane proposé par un site très démocratique et très participatif pourrait être la solution.
Quoi qu'il en soit, il est temps que les Français cessent d'attendre des solutions de la part du système démocratique et qu'ils rejoignent le remède qu'est l'action nationaliste.
Qui Vive ?
France !
Ille-et-Vilaine nationaliste.
08.04.202511:00
Récemment, le journal Ouest-France a publié un article qui relate des contrôles de polices à l'entrée du lycée Émile Zola pour empêcher toute intrusion de drogues ou d'armes blanches.
Ces mesures font suite à divers épisodes de violences aux alentours ou au sein même d'établissements scolaires en Ille-et-Vilaine.
Le 13 octobre 2023, une collégienne d'origine mongole a menacé et poursuivi sa professeur d'anglais armé d'un couteau et ce après avoir déclaré vouloir la tuer.
Le 18 décembre 2023, le lycée Descartes et d'autres établissements furent confinés en raison de la présence d'un homme suspect et armé d'un fusil rôdant aux alentours.
À Cesson-Sévigné également, il y eut la présence d'un individu muni d'une arme blanche qui aurait été aperçu à proximité d'un établissement scolaire.
Il y eut également une femme alcoolisée qui menaça des lycéens avec une arme blanche.
Tous ces actes de violences qui furent commis par des individus désaxés et isolés illustrent bien le virage dans la violence de la France. Celle-ci finit, lentement, mais sûrement par se normaliser, se banaliser. Les politiques changent, mais au lieu d'avoir la volonté d'éradiquer ces violences, les autorités tentent de limiter les risques et notamment par ces contrôles.
Quel aveu de faiblesse de la part de la République, qui sait se montrer brutale dans la répression, mais seulement dans certaines situations bien précises et qui ne relèvent pas de la sécurité publique.
On pourrait résumer la situation de la sécurité pour les élèves français avec une comparaison. D'un côté, l'éducation nationale, par la voie de François Bayrou, alors ministre de l'éducation à l'époque des faits, exclut Vincent Reynouard, coupable, non pas de violences physiques, mais coupable de doute sur la véracité d'un certain récit concernant la Seconde Guerre mondiale. De l'autre aujourd'hui, François Bayrou, maintenant Premier Ministre, ne daigne même pas communiquer sur ces épisodes de violences touchant l'école.
Il est temps d'inverser la tendance et ceux par des mesures fermes et simples.
- Retour de la peine de mort, notamment pour les crimes sur enfants.
- Arrêt de l'immigration, particulièrement quand elle vient de pays avec un taux de malades mentaux et/ou de consanguinité élevés.
- Plan national pour accompagner les familles ayant des enfants perturbés mentalement.
- Mener une politique impitoyable contre la drogue qui touche de plus en plus de jeunes gens : répression judiciaire contre les trafiquants de drogues et internement des toxicomanes notamment.
- Réouverture des bagnes et particulièrement de celui de Cayenne pour accueillir toute personne associale qui nécessiterait un éloignement maximal de la société.
Toutes ces mesures de bons sens ne pourront se faire avec cette République qui préfère les criminels endurcis aux honnêtes français nationalistes.
Seul un gouvernement nationaliste ayant à coeur l'ordre et la sécurité des Français pourra agir. Cependant, il ne faut pas attendre une réponse étatique pour réagir à ces dangers.
Former des communautés militantes solidaires en cas de besoin et inscrire ses enfants dans des établissements éloignés des zones à risques, tout en leur apprenant des gestes d'autodéfense, sont de bonnes mesures à prendre dans l'immédiat.
En résumé, à l'école comme ailleurs, un seul remède à la plaie démocratique, le nationalisme.
Qui Vive ?
France !
Ille-et-Vilaine Nationaliste.
Ces mesures font suite à divers épisodes de violences aux alentours ou au sein même d'établissements scolaires en Ille-et-Vilaine.
Le 13 octobre 2023, une collégienne d'origine mongole a menacé et poursuivi sa professeur d'anglais armé d'un couteau et ce après avoir déclaré vouloir la tuer.
Le 18 décembre 2023, le lycée Descartes et d'autres établissements furent confinés en raison de la présence d'un homme suspect et armé d'un fusil rôdant aux alentours.
À Cesson-Sévigné également, il y eut la présence d'un individu muni d'une arme blanche qui aurait été aperçu à proximité d'un établissement scolaire.
Il y eut également une femme alcoolisée qui menaça des lycéens avec une arme blanche.
Tous ces actes de violences qui furent commis par des individus désaxés et isolés illustrent bien le virage dans la violence de la France. Celle-ci finit, lentement, mais sûrement par se normaliser, se banaliser. Les politiques changent, mais au lieu d'avoir la volonté d'éradiquer ces violences, les autorités tentent de limiter les risques et notamment par ces contrôles.
Quel aveu de faiblesse de la part de la République, qui sait se montrer brutale dans la répression, mais seulement dans certaines situations bien précises et qui ne relèvent pas de la sécurité publique.
On pourrait résumer la situation de la sécurité pour les élèves français avec une comparaison. D'un côté, l'éducation nationale, par la voie de François Bayrou, alors ministre de l'éducation à l'époque des faits, exclut Vincent Reynouard, coupable, non pas de violences physiques, mais coupable de doute sur la véracité d'un certain récit concernant la Seconde Guerre mondiale. De l'autre aujourd'hui, François Bayrou, maintenant Premier Ministre, ne daigne même pas communiquer sur ces épisodes de violences touchant l'école.
Il est temps d'inverser la tendance et ceux par des mesures fermes et simples.
- Retour de la peine de mort, notamment pour les crimes sur enfants.
- Arrêt de l'immigration, particulièrement quand elle vient de pays avec un taux de malades mentaux et/ou de consanguinité élevés.
- Plan national pour accompagner les familles ayant des enfants perturbés mentalement.
- Mener une politique impitoyable contre la drogue qui touche de plus en plus de jeunes gens : répression judiciaire contre les trafiquants de drogues et internement des toxicomanes notamment.
- Réouverture des bagnes et particulièrement de celui de Cayenne pour accueillir toute personne associale qui nécessiterait un éloignement maximal de la société.
Toutes ces mesures de bons sens ne pourront se faire avec cette République qui préfère les criminels endurcis aux honnêtes français nationalistes.
Seul un gouvernement nationaliste ayant à coeur l'ordre et la sécurité des Français pourra agir. Cependant, il ne faut pas attendre une réponse étatique pour réagir à ces dangers.
Former des communautés militantes solidaires en cas de besoin et inscrire ses enfants dans des établissements éloignés des zones à risques, tout en leur apprenant des gestes d'autodéfense, sont de bonnes mesures à prendre dans l'immédiat.
En résumé, à l'école comme ailleurs, un seul remède à la plaie démocratique, le nationalisme.
Qui Vive ?
France !
Ille-et-Vilaine Nationaliste.
27.03.202508:39
Face à la déchéance démocratique, rejoins l'espérance nationaliste !
À Saint-Grégoire, Betton et Rennes, Ille-et-Vilaine Nationaliste continue de diffuser le message nationaliste.
Ainsi nos slogans ont pu s'inviter à l'université de Rennes 2, bloquée récemment par une énième mobilisation de l'extrême-gauche, prétexte au saccage et à des dégradations.
Aux étudiants lassés de la république et de son incurie, rejoignez la lutte pour la Révolution Nationale !
Qui Vive ? France !
Ille-et-Vilaine Nationaliste.
À Saint-Grégoire, Betton et Rennes, Ille-et-Vilaine Nationaliste continue de diffuser le message nationaliste.
Ainsi nos slogans ont pu s'inviter à l'université de Rennes 2, bloquée récemment par une énième mobilisation de l'extrême-gauche, prétexte au saccage et à des dégradations.
Aux étudiants lassés de la république et de son incurie, rejoignez la lutte pour la Révolution Nationale !
Qui Vive ? France !
Ille-et-Vilaine Nationaliste.
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